Voici ma toute première fanfic Bleach que je publie ici, j'espère que vous aimerez!^^

Résumé: Suite à la mort de ses parents, Hakura Neka, jeune lycéenne de 16 ans, décide de revenir au Japon ou elle se fait recueillir par Aizen Sosuke qui sera son nouveau tuteur. Mais celui-ci cache bien des choses...


Chapitre 1: Welcome!

Je frappai à la porte de l'imposante bâtisse.

C'était donc là que je vivrai? Un immense manoir dans le style traditionnel japonais. Le propriétaire devait être très riche...

Un homme tout aussi impressionnant m'ouvrit. A première vue, rien d'extraordinaire. Des cheveux bruns coupés courts, de grandes lunettes carrées, un grand sourire sur son visage.

Mais son aura avait quelque chose de terrifiante, de malsaine... Et, avec un minimum d'intuition, on pouvait deviner que le sourire qu'il affichait sur son visage n'était que façade.

Heureusement que Yuki, ma sœur avait été accueillie dans une autre famille... Cette personne ne me disait rien qui vaille.

Bienvenu! Tu dois être Hakura Neka, je suppose? Je suis Aizen Sosuke, ton tuteur. Entre donc! Je vais te faire visiter.

Il se poussa pour me laisser passer.

Décidément, c'était tout ce que j'avais imaginé! Les pièces étaient énormes, vides pour la plupart. Bref, la moitié du manoir ne servait à rien.

Comment mon tuteur avait-il put se payer une maison aussi grande? D'après ce qu'il m'avait dit, ce n'était qu'un simple architecte. On ne gagnait pas autant avec ce métier, si...?

A le fin de la visite, il m'emmena dans un des salons du manoir et me fit signe de m'asseoir sur un des trois grands canapés en cuir noir qui occupaient la pièce. Je m'exécutai.

J'ai deux trois choses importantes à te dire, Hakura.

...Oui?

Tout d'abord, au sujet du troisième étage du manoir. Tu as sûrement remarqué l'escalier en colimaçon à l'arrière du salon du deuxième étage? Écoute bien ce que j'ai à te dire, car je ne le répéterai pas deux fois. Je T'INTERDIT d'accéder au troisième étage, c'est bien clair?

Je m'enfonçais un peu dans mon canapé. Ce type faisait vraiment peur quand il se foutait en rognes!Mieux valait garder ses distances avec lui et le troisième étage...

Euh... Très bien Aizen-san.

Ensuite, continua Aizen sur un ton un peu plus calme, pour ce qui est des visites. Je t'interdit également d'inviter qui que ce soit chez moi, compris?

Compris.

Et pour finir, le plus important: Tu ne dois en aucun cas dévoiler mon identité à une tierce personne.

… D'accord.

Bon, je suis désolé Hakura mais je vais devoir te laisser, j'ai du travail! D'ailleurs, tu devrais commencer à ranger tes affaires dans ta chambre.

Et, sur ce, mon tuteur se leva d'un bond et partit s'enfermer dans sa chambre. Quel comportement étrange, vraiment...

Son insistance sur son identité et à propos du troisième étages ne faisaient que confirmer mes pensées: cet homme cachait bien quelque chose.

En général, mon instinct ne me trompais que rarement sur ce genre de choses.

Un agent secret? Un assassin? Sûrement quelque chose dans ce genre là. Mais vu le personnage, il ne valait mieux pas chercher plus loin, si on voulait rester en vie. Sa petite saute d'humeur tout à l'heure suffisait à fournir un argument valable pour oublier tout ça et pour se concentrer sur sa petite vie tranquille de lycéenne.

Voici Hakura Neka, notre nouvelle élève. Allez vous asseoir, je vous prie.

Haï sensei, répondis-je en m'inclinant avant d'aller m'asseoir.

Malheureusement pour moi, lees seules places de libre étaient toutes au fond de la classe, en retrait des autres. J'avançais donc le plus vite possible vers mon bureau, prenant bien soin d'ignorer tous les regards inquisiteurs tournés vers moi.

Bien sûr, tout le monde me regardait comme une bête de foire. Sûrement à cause de mes cheveux bleus/violets, avec quelques mèches noires corbeau. J'avais toujours aimée les couleurs sombres...

Bref, pas très différent de mon lycée en France. Pas assez dans le moule. Mais bon, j'avais l'habitude d'être en solitaire.

Bien! Ouvrez vos manuels à la page 238. Akira, au tableau!

Génial! Des maths... Ma première journée de cours commençais bien.

Le cours avait à peine commencé que la porte de la salle s'ouvrit à la volée. Un jeune homme aux cheveux bleus apparut. Il portait un col roulé noir moulant qui laissait deviner ses formes plutôt bien dessinées, une grande veste blanche et un slim tout aussi blanc. Quel charisme...

Tiens, monsieur Jaggerjack nous fait honneur de sa présence? Dépêchez-vous d'aller vous asseoir! cria presque le professeur en tuant l'arrivant du regard.

Le lycéen aux cheveux bleus parcourut la pièce d'un regard nonchalant à la recherche d'une place. Il s'attarda brièvement sur moi avant d'aller tranquillement s'installer à mon côté. Il sortit un cahier et écrivit dessus:

«Comment tu t'appelles?»

Visiblement, le bleuté avait l'air de s'intéresser à moi.

«Hakura et toi?»

«Grimmjow. Va falloir qu'on parle tout à l'heure...»

Vachement expéditif, ce Grimmjow. Il n'y allait visiblement pas par quatres chemins.

«Pas de problèmes.»

La sonnerie soupira et effaça notre conversation à l'aide d'un blanco, puis il griffonna rapidement le cours avant de sortir tout aussi rapidement de la salle. Je voulu le suivre mais le professeur m'interpella pour me donner le plan du lycée. «Lycée de Karakura» était écrit en caractères rouge sang tout en haut de la feuille. Je le remerciai et sortis à la recherche de mon, j'espère, nouvel ami.

Les recherches durèrent quelques minutes, puis je le trouvai enfin, assis sur le toit du lycée, entrain de fumer. Il dégageait quelque chose d'agressif, ce qui faisait que la plupart se tenaient à l'écart de lui. Le bleuté écrasa son mégot au sol puis me remarqua enfin. Il m'observa monter vers lui, impassible. Je lançai la conversation en me plantant devant lui:

Qu'est-ce que tu voulais me dire, Grimmjow? demandais-je, intriguée.

J'ai des question à t'poser.

J'attendis qu'il continue, mais visiblement il n'avait pas l'intention de parler. Il observait les escaliers par lesquels j'étais passée, attendant visiblement quelqu'un...

Kurosaki, cracha-t-il en voyant une touffe de cheveux oranges apparaître.

Ledit Kurosaki s'immobilisa en voyant son interlocuteur. Il lui lança un regard mauvais.

Bon bah Hakura, ce s'ra pour une aut' fois j'crois... me dit finalement Grimmjow avant de descendre rapidement, bousculant le rouquin au passage.

Celui-ci s'apprêtait à me dire quelque chose quand la sonnerie signant la fin de la pause retentit.

Je retournais tranquillement en cours, repensant à Grimmjow. Visiblement, Aizen n'était pas le seul à cacher des choses ici...


Voilà! Fin du première chapitre!^^

Ichigo: Hey, pourquoi tu nous as envoyé ce taré aux cheveux bleus? J'étais bien avec ma p'tite vie tranquille de shinigami, moi! Vire le de cette fic!

Auteure: Désolé, mais ça va pas être possible! :P

*file se cacher en voyant arriver Grimmjow*

Grimmjow: Hey gamin, c'est qui qu'ta traité de taré aux cheveux bleus là?

*Regarde les deux se battre en saignant du nez*

Que voulais dire Grimmjow à Hakura? Que cache Aizen? Pourquoi Grimmjow semble tant détester Ichigo? Grimmjow va-t-il arriver à battre Ichigo? L'auteure va-t-elle arrêter de saigner du nez? Vous le saurez dans le prochain chapitre! :P

Ichigo, Grimmjow & l'Auteure: Reviews?

Définition du mot Review:(Dérivé de Commantus sus unes fanfictus)

Commentaire de quelques lignes prenant deux malheureuses minutes de la vie du lecteur, et procurant deux minutes de bonheur intense à l'auteur.

Histoire du mot Review:

La croyance populaire à longtemps voulue que les reviews soient considérées comme un acte occulte, interdit et malsain. Cependant, quelques centaines d'années plus tard, un des chercheurs les plus réputés au monde a fait une découverte incroyable: Les reviews étaient en fait des actes d'extrême gentillesse!

50 ans plus tard, il a été prouvé scientifiquement que les reviews boostaient le moral de l'auteur qui les recevaient, et qu'un manque de review pouvait affecter profondément un auteur, et le faire plonger dans une dépression, ce qui le ferait stopper immédiatement toute fanfiction en manque de review.

Nous rappelons que d'après l'article 68949593 du code officiel des fanfictions, il est formellement interdit de tuer l'auteur/auteure.