Salut tout le monde ! Je m'appelle Jeanne et je vous présente cette histoire qui est une traduction de la fiction du même nom de FlirtyFlapper que je remercie d'avoir accepté que je traduise son histoire. C'est ma toute première traduction alors j'espère que vous allez aimer ! Si c'est le cas n'hésitez pas à me le dire et aussi n'hésitez pas à me dire de quelle façon je pourrais m'améliorer dans ma traduction ! Enfin bref ENJOY !

Disclaimer : cette histoire appartient à FlirtyFlapper sauf les personnages et le monde qui sont la propriété de J.K ROWLING.

Chapitre 1

Il ne savait vraiment pas ce que c'était. En fait, elle représentait tout ce qu'il détestait. Elle était arrogante, éduquée, et elle manquait de confiance en elle. Ne le lançait même pas sur la façon dont elle s'habillait. Presque tout les centimètres de son corps étaient couverts. Elle ne se maquillait jamais et ses cheveux… ses cheveux l'énervaient ! C'était tellement sauvage, indompté, et ça ne lui allait pas. Il était libre, intelligent comme personne, rusé et il était toujours partant pour rigoler. Alors, pour Merlin, pourquoi est-ce qu'il était dans le salon du Terrier en train de la regarder lire ?

Il n'y avait pas d'explication logique pour Fred Weasley quant au fait d'être dans la maison de ses parents, en train de faire semblant de dormir par terre vers son siège, sa tête sous un livre. Il voulait juste la regarder. La façon qu'elle avait de poser sa joue sur sa main pendant que ses yeux bougeaient rapidement, absorbant tout les mots. Dès fois sa bouche bougeait pendant qu'elle articulait silencieusement les mots, ou alors elle souriait légèrement. Ses cheveux étaient regroupés en un chignon désordonné et son corps était caché sous un large pull Weasley. Sa mère avait apparemment l'habitude de ne jamais trouver la bonne taille pour Hermione. Le bleu profond rendait ses yeux miel un petit peu plus brillant.

Ça le gonflait.

Comment arrivait-elle à cacher tout son corps ? Sérieusement. Cette fille n'essayait même pas. C'était la seule fille de toute l'école qui ne faisait pas l'effort d'essayer. Les premières années faisaient plus d'efforts qu'elle et elles avaient 11 ans ! Même Luna essayait… d'accord elle était très colorée mais maintenant elle brossait ses cheveux et se maquillait. Hermione pouvait facilement ensorceler ses cheveux ou choisir un haut qui ne serait pas deux fois trop c'était ses jupes d'uniformes qui l'énervaient le plus. Ces choses arrivaient sous ses genoux ! Hermione Granger n'avait aucun sex-appeal.

Et pourtant… il était tellement attiré par elle.

Il ne devrait même pas la regarder ! Elle avait 2 ans de moins et elle était la meilleure amie de son petit frère. Bien honnêtement, il ne voyait pas pourquoi Hermione traînait avec eux. Harry était peut-être cool mais il n'était pas très malin et Ronniekins était… en fait, il ne produisait pas le lumos le plus brillant. Hermione était brillante. Cette fille était un génie certifiée et elle ne le savait même pas. Elle était convaincue d'être un petit peu intelligente parce qu'elle étudiait. Mais les jumeaux l'avaient remarqué durant sa première année. Elle pouvait facilement rivaliser avec n'importe qui dans leur année. George l'avait remarqué en premier, étonnamment. Il l'avait montré dans la Grande Salle quand Hermione avait changé les devoirs de quelqu'un pour eux. Ils avaient pensé que c'était extrêmement drôle, étant donné que c'était une farce sur un élève plus âgé. Ils étaient très déçus quand ils avaient réalisé qu'elle les avait corrigé. Une putain de première année avait corrigé le travail d'un élève de troisième année.

Fred l'avait regardé de près après ça. Elle avait commencé à passer l'été au Terrier et Fred était beaucoup trop heureux. Heureusement, George était le seul à avoir remarqué. Même la Petite Geek n'avait jamais remarqué.

« Fred ? »

« Hmm ? »

« Est-ce que tu pourrais arrêter de me fixer ? C'est assez gênant. »

« Oh vraiment oh grande sage ? » Il se tourna sur son flanc pour être en face d'elle. « Pourquoi, au nom de Merlin, mes yeux, mes charmants yeux si j'ose dire, te caressant te rendraient-ils mal à l'aise ? »

« Peut-être parce que tu appelles ça une caresse visuelle ou peut-être parce que tu fais ça depuis des heures. » Elle le regarda furieusement « Oh, je sais ce que c'est ! C'est le manque total de décence. J'ai l'impression que tu me déshabilles et ce n'est pas le bienvenue pendant que je lis. » lui siffla-t-elle. Une mèche brune s'était échappée de son chignon et venait lui chatouiller le cou.

« Tu veux dire que ce serait le bienvenue si tu n'étais pas en train de lire ? Eh bien Chérie pose ton livre. » Il fit gigoter ses sourcils et elle rougit fortement. Ses doigts n'en pouvaient plus. Il voulait vraiment sentir la chaleur de ses joues.

« Ce, ce n'est pas ce que je voulais dire et tu le sais. »Ses joues gonflèrentt alors qu'elle fit la moue.

« Oh allez Mione. Tu sais que je rigole. Je ne te demanderais jamais en rêve de poser un livre. » Il s'assit et glissa plus près d'elle.

Elle sourit un peu et c'était l'une des expressions qu'il préfèrait chez elle. C'était timide et doux et ça portait son charme de je-sais-tout. Ce n'était pas un sourire en coin. Non elle n'était pas assez prétentieuse pour ça. Mais ça réchauffait son cœur et ça le fit lui sourire en retour.

« Qu'est-ce que tu lis ? Ça doit être terriblement ennuyeux pour t'intéresser pendant » Il regarda l'horloge « 3 heures. »

« C'est une histoire moldue. »

«C'est très vague mademoiselle Granger. Allez, des détails ! » Il s'appuya contre le fauteuil et tapotai rapidement ses jambes, qu'elle avait étendue sur l'un des bras du fauteuil. Il se comportait de manière enfantine. Mais il la touchait et il en avait des frissons.

Elle rougit. « C'est une histoire d'amour. »Elle le regarda, attendant patiemment une remarque déplacée. Fred avait toujours été un peu plus joueur que George. Cependant, quand ils étaient tout les deux, il avait l'air plus résigné.

« J'ai demandé des détails. Je ne vais pas te laisser me faire patienter." Il lui sourit. C'était un peu de travers, sa bouche avait l'air de se lever un peu plus d'un côté que de l'autre. C'était attachant. Ça ajoutait quelque chose à son charme de canaille. Fred avait toujours était inatteignable. Il flirtait un peu avec les filles mais il avait toujours l'air trop détaché pour se faire attraper. Il faudrait qu'elle soit quelqu'un de spécial pour être avec lui, Hermione pensait fréquemment. Il fallait qu'elle comprenne qu'il n'était pas fait pour être attrapé, c'était un esprit libre. Il avait besoin de quelqu'un qui l'aimerait pour qui il était, et elle devait être ferme avec lui. Fred allait souvent trop loin dans ses farces quand George n'était pas avec lui pour le freiner.

La sensation tenace qu'elle avait quand elle pensait au type de filles avec qui Fred pourrait être l'arrêta. Elle y pensait trop souvent. Elle pensait à Fred trop souvent. Mais il était devenu un ami très proche et soudainement il était tout autour d'elle. Par exemple, en ce moment, Fred lui avait amené une tasse de thé quand elle avait pris son livre dans le salon, et il était resté. Il avait attrapé un livre et s'était allongé par terre. Il l'avait ouvert au milieu, ce qui pour Hermione n'avait pas de sens parce qu'elle était quasi sûre qu'il ne l'avait jamais lu, et pendant qu'il faisait semblant de lire il l'avait fixé. PENDANT TROIS HEURES.

Le pire ? Ça ne la gênait même pas.

Elle lui dit tout sur le livre. Elle était prise d ans le fait de lui raconter qu'elle n'avait même pas remarqué qu'il avait attrapé ses pieds et qu'il avait commencé à les masser. La pression était très agréable et elle soupira. Ses lèvres se soulevèrent pour former ce sourire idiot et elle fondit un peu plus. Il était vraiment attirant. D'accord, il avait un beau visage, mais c'était plus que ça. Il avait un certain charme, un éclat. Ça venait définitivement de l'intérieur. Peut-être qu'Hermione avait tendance à le chercher, mais elle était sûre que c'était toujours là.

Il avait l'air passionné par ce qu'elle racontait. Elle ne pouvait pas se résoudre à lui faire un simple résumé. Elle lui parla de chaque personnage, lui résuma chaque chapitre, lui donna des détails sur le paysage. Elle rougit quand elle réalisa qu'elle lui avait divulgué la fin.

« Je suis désolée. Je n'aurais pas dû te dire la fin. »

« C'est pas comme si j'allais le lire de toute façon. » Il rigola « Tu l'as déjà lu ? Et tu le relis… tu es une fille bizarre Petite Geek. » dit-il alors que ses doigts se promenaient sur sa voûte plantaire. Elle cria et retira son pied. « Ooo ! Elle est chatouilleuse ! »

Elle rougit encore. « C'est un bon livre. » Elle ne ferait pas attention à son affirmation.

« Tu lis souvent des romans cochons ? » Ses yeux brillaient espièglement.

Elle se racla la gorge. « Je crois… j'ai en quelque sorte commencé l'été dernier. Ginny m'en a prêté un. C'est sympa. Je lis toujours des livres pour apprendre. Et c'est pas comme si j'avais beaucoup de romance dans ma vie. » Elle marmonna la dernière partie. Elle ouvrit grand les yeux. Cette dernière partie n'était pas censée sortir !

« Oh Mione, tu pourrais pourtant. Tu dois juste abandonné ces horribles pulls et habits trop larges. »

Elle était irritée et il le regretta instantanément. Il ne voulait pas le dire de façon cruelle. Il savait qu'elle avait dû faire face à beaucoup de critique à cause de son look. Il ne comprenait pas. Elle était magnifique ! Elle était juste mal fagotée.

« Je vais me coucher. Il est tard. » dit-elle doucement. Elle éloigna son autre pied de lui et elle monta les escaliers sans un autre mot.

Fred grogna. Merde.

« T'es un idiot. »

« Ça fait combien de temps que t'es là ? » Fred demanda à son jumeau.

George s'appuyait sur la chambranle de la porte avec un sourire en coin. « Depuis assez longtemps pour te voir te comporter comme un abruti. Tu avais l'habitude de savoir y faire. Pas autant que moi mais assez pour éviter d'offenser les demoiselles. Et puis tu arrives et tu insultes celle qui compte vraiment. » rigola-t-il.

« Oh ta gueule. » dit-il avant de monter les escaliers.

Il avait vraiment besoin de travailler ça… Oh Dieu, il allait avoir besoin de conseils. Il allait devoir demander des conseils.