Auteur : Catirella
Titre : Club Olympus Boy's
Base : Gundam Wing
Disclamer : Ils ne sont toujours pas à moi. Crotte ! J'ai tout essayé, rien à faire, ils veulent pas les lâcher au Japon… Ils les prêtent de grès ou de force, allez savoir ? On s'en fout, le principal c'est que l'on arrive à les avoir rien que pour nous dans les fictions… Yatta ! A nous les G-Boys !
Couples : A venir
Sujet : Prostitution d'homme, Violences et un peu de douceur !
Genre : Angst, OCC, POV, STS (Sujet Très Sérieux)… Pour le moment c'est déjà pas mal !
Hlo, bêta de Catirella :
De nouveau une fiction très dure… Mais alors, très très dure…
Elle fait mal, elle fait ressentir une souffrance telle qu'elle ne peut laisser indifférente.
Elle est belle…
J'ai vraiment hâte de voir ce que vous en pensez.
Note de l'auteur, Catirella bien sûr :
Écrit le 7 mai 2006.
Mis en ligne le 20 septembre 2006.
J'avais dis à la fin de ma fiction « Pourquoi ? » lors de mes réponses aux reviews, qu'une viendrait prendre le relais de celle-ci.
La voici.
Et une fois de plus, nous voilà plongés dans un nouvel univers. La prostitution. Je sais que le sujet a déjà été traité mais peut-être pas de cette façon !
Et puis ! Toutes les fictions sont uniques…
Pour le prologue, on plante le décor et un seul nom des G-Boys ressort, mais je suis sure que vous allez vite trouver qui est ce prostitué qui est au centre de cette fiction !
Bonne lecture à vous tous et KISU… Catirella
Je vous informe au cas où certaines ne le sauraient pas, que nous n'avons pas le droit de répondre aux reviews via les fictions…
Attention Violence et Douleur !
₪ Ce sujet et pour moi des plus sérieux. Merci de ne pas y voir autre chose. ₪
En italique sans « » les pensées des personnages (S'il y en a bien sûr). Dans le prologue uniquement un !
Club Olympus Boy's
Prologue
Que donnerais-je pas, pour avoir une vie dite « normale », comme avant !
« AHH. »
Comment peut-on prendre son pied en faisant souffrir une autre personne ?
« AHHH. »
Ce tyran frappe de plus en plus fort ! Je n'en peux plus.
« AHHHH. »
Comment en suis-je arrivé ici ?
« AHHHHH. »
Punaise ! Je vais finir pas pleurer.
« AHHHHHH. »
Les coups se rapprochent on dirait.
« AHHHHHHH. »
Oui ! Plus de doute.
« AHHHHHHHH. »
Une pause. Une pause…
L'homme s'approche de celui qui a les mains liées au-dessus de la tête, accrochées à l'armature du lit à baldaquin, dont toutes les chambres du Club sont pourvues.
Il lui touche le dos qu'il vient de fouetter à 15 reprises. Le prostitué souffre mais ne doit pas trop le monter, car il sait que ce client est loin d'avoir fini de faire souffrir son corps.
Jamais de coup à sang. Mais une semaine, au moins, avant de pouvoir avoir de nouveau un client de ce type. Beaucoup aime le prendre, le corps marqué suite à un châtiment, sans avoir eu à faire quoi que ce soit.
Ce client aime le fouet et les jeux de rôle.
Pour le plus grand malheur du prostitué, la plupart de ses clients dit « fréquents » aiment le punir comme un vilain petit garçon. D'autres se contentent de fessées plus ou moins sévères. Peu lui font l'amour sans préliminaires, ou plutôt le défoncent sans préliminaires.
Le tarif, lorsqu'il y a coups avec marques qui durent plus de 2 jours, est bien plus élevé. Mais ce produit de luxe le vaut largement. Beaucoup seraient prêts à payer plus du double s'ils pouvaient lui faire encore plus mal. Mais voilà !
Il y a des règles au Club pour les clients.
Ne pas marquer à vie, donc à sang, un prostitué au risque de ressortir du Club les pieds devant ou d'avoir une visite mortuaire.
Le prostitué gémit et se mord les lèvres. Le client vient de lui ôter son dernier vêtement. Son pantalon. Seul rempart contre la morsure du fouet qui va maintenant le frapper sur tout l'arrière de son corps.
Le client s'éloigne à nouveau. Le prostitué ferme les yeux.
« AH. »
Les fesses ! Il vise les fesses. C'est moins douloureux pour le moment ! Hum ! Je peux encore souffler un peu…
« AHHHHHHHH. »
Le salaud. Il alterne ! Il vient de me frapper le dos. Enfoiré de client…
« HUM.. »
Les cuisses maintenant. Ce mec est l'un des plus pervers, et encore il se retient…
« AHHHHHHHHH. »
Il a réussi à me faire pleurer. Je ne peux pas avoir des clients plus doux de temps en temps.
« AHH. »
On dirait qu'il espace ses coups cette fois-ci ! Pour sûrement mieux bander à me voir me tendre après chaque impact du fouet.
« AHHHHHHHHHH. »
Le dos ! Ça fait trop mal ! Qu'il arrête avec mon dos ! Je tremble maintenant, merde ! Je dois me reprendre ou Mister J me punira pour avoir flanché avant que le client ne m'y autorise ou la fin de son temps.
« AHHHHHHHHHHHH. »
Et encore, le dos, il a attendu plus longtemps entre les deux coups. Quel sac à merde ! Je le déteste ce client…
« AHHH…AHHHH...AHHHHH…AHHHHHH…AHHHHHH…AHHHHHHH…AHHHHHHH…AHHHHHHH…AHHHHHHHH… AHHHHHHHHH… »
Dix ! Mon dieu, que j'ai mal aux fesses à présent… Je vais souffrir le martyre lorsqu'il va me prendre de force.
« AHHH. »
Je dois tenir…
« AHHHHHHHHHHHHH. »
Non. Pas le dos, pitié…
« AHHHHHHHHHHHHHHH… AHHHHHHHHHHHHHHHH… AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH… »
Le prostitué pleure à chaudes larmes en hoquetant . Le client s'approche de lui et lui caresses les cheveux.
« C'est fini mon garçon, tu as été sage. La punition est finie. Maintenant, il va falloir remercier ton professeur ! »
Les liens sont dénoués. Le garçon, qui est l'élève selon les désirs de son client, fait de gros efforts pour ne pas retomber sur le lit. Le client le fait se mettre à quatre pattes sur celui-ci et, après avoir mis un préservatif, le prend sans aucune préparation. Entendre hurler son élève qu'il vient de corriger, le fait encore plus bander.
Le prostituer crie de plus en plus, en pleurant toujours, le client jouit dans son intimité en l'enculant toujours plus. Lui, de son côté, n'éprouve que souffrance et ne bande pas. Heureusement, le client, trop occupé à le défoncer, ne voit pas sa verge ballante pendant l'acte. Son client fait des va-et-vient dans son anus plus qu'irrité pour ce dernier client.
Au bout de 10 minutes, le client éjacule dans son préservatif. Au moins le prostitué n'est pas souillé par la semence de ces pervers, qui, à ses yeux, se ressemblent tous.
Il s'écroule sur le ventre. Le client se rhabille et lui lance une poignée de dollars.
« À dans un mois mon mignon, et sois sage, ou gare à toi ! »
Le client quitte la chambre.
Au moins cet argent est à lui et uniquement à lui. Mister J ne touche pas à ce que les clients leur donnent, comme une sorte de récompense pour leur prestation.
Lui, il ne touche que 10/100 des sommes que chaque client versent pour lui fait subir ce que bon leur semble, du moment que leur plaisir soit assouvi.
Pour le moment, il pleure. Il a trop mal.
Comment en est-il arrivé là ?
Le besoin d'argent. Et vite !
Sa sœur, seule avec son bébé, devait faire opérer celui-ci de toute urgence pour qu'il ne perdre ni la vue, ni l'ouïe. Mais aux Etats-Unis tout à un prix. Même la vie d'un bébé. Alors, il avait vendu le seul bien qu'il possédait et qui lui appartenait.
Son corps.
Sa sœur l'ignorait. Il lui avait fait promettre de ne pas lui demander d'où provenait les 150 milles dollars qu'il lui avait donné la veille de l'opération. 50 milles dollars en plus pour qu'elle puisse s'occuper de son neveu le temps qu'il rembourse sa dette et qu'elle puisse retravailler pour vivre correctement avec le petit Solo.
Un chèque de 150 milles dollars pour payer la clinique privée et un document bancaire pour un virement de 50 milles dollars sur le compte bancaire de sa sœur. C'est deux derniers cadeaux pour sa seule famille.
Le lendemain de l'opération, après s'être assuré que son neveu et sa sœur aillent bien, il rentra dans ce Club où il n'en ressortirait que lorsque les 400 milles dollars qu'il devait à Mister J seraient entièrement remboursés. Les intérêts sont élevés, mais un prêteur sur gage l'est toujours. Seulement 10/100 par client uniquement pour lui. Et 15 autres pour les frais d'entretien qu'il coûtait au Club.
Combien de temps lui faudrait-il pour tout rembourser ? Déjà 6 mois et il se sentait sale, mais heureux d'avoir pu donner un avenir à Solo. Son petit ange blond, comme son papa qui n'est plus de ce monde hélas.
Il n'avait pas le droit de refuser un client, il doit suivre le règlement à la lettre sous peine de subir les foudres de Mister J. Wufei les avait subi devant tous les garçons du Club pour que ceux-ci se rappellent où est leur place.
Ce jour-là, nous l'avions bien compris, et moi plus que les autres. J'étais là depuis seulement deux mois.
Nous étions en Enfer.
J'ai mal. Et demain, je vais devoir encore écarter les cuisses pour 5 clients minimum. J'ai l'anus en feu et pas que lui d'ailleurs.
Hilde, Solo… Vous me manquez tellement. Je n'ai pas le droit de sortir pour le moment. Heureusement que si je travaille bien, je peux vous téléphoner toutes les 3 semaines. Et c'est dans 5 jours que je vais pouvoir prendre de vos nouvelles. J'ai hâte d'y être. Vous êtes la seule raison qui me fait tenir le coup chaque jour un peu plus.
Il y a Feifei aussi. S'il lisait dans mon esprit actuellement, il hurlerait mon nom. Heureusement qu'il est là aussi car sans lui, je serais peut-être déjà mort de faim ou d'épuisement. C'est lui qui m'a aidé à tenir bon le premier mois et qui m'a forcé à manger pour avoir des forces pour les exercices du soir.
Je n'arrive pas a m'y faire à cette vie de pute. La douleur est le pire. Pourquoi ai-je pas des clients doux qui me font l'amour sans violence et qui me donnent aussi du plaisir. Je n'ai pas joui une seule fois en 6 mois !
Putain, je n'ai que 20 ans merde ! J'ai le droit à un peu de chaleur humaine moi aussi, même si l'on paie pour pouvoir me baiser et me frapper.
Quelqu'un toque à la porte.
« Oui ? »
La personne entre et s'approche de moi. Elle me caresse les cheveux.
« Ça va ? »
Je lui souris légèrement.
« J'ai connu des jours meilleurs ! »
Il regarde mon corps meurtri et soupire.
« Il n'y est pas allé de mains morte ce gros porc. Je vais faire comme d'habitude, tu veux bien ? »
« Oui, Wufei ! Ça calme la douleur quand tu me mets la serviette avec de l'eau fraîche. »
Il m'embrasse sur le front et va vers ma salle de bain pour en ressortir quelques minutes plus tard avec une bassine en porcelaine et une petite serviette éponge blanche. Dés que celle-ci est posée sur mon dos, je soupire de soulagement.
Tu es comme un frère pour moi Feifei… Tu es toujours là pour soulager mes douleurs après qu'un de mes clients violents ait quitté la chambre attribuée pour mon séjour à durée indéterminée au Club.
« Merci Wufei ! »
« De rien ! Je te suis redevable à vie. Sans toi, J m'aurait frappé deux fois plus le jour de ma punition devant vous tous. En me secourant, tu t'es toi-même attiré sa colère et tu en payes le prix maintenant. Tu as les clients les plus sados du Club. S'il pouvait tous te les donner, il le ferait uniquement pour te voir souffrir tous les jours. Mais ton corps ne le supporterait pas et aujourd'hui tu es sa valeur la plus sûr et la plus demandée. Il n'est pas non plus stupide, il dose bien les clients pour que tu te rappelles qu'il ne faut jamais se mettre en travers de son chemin. »
« Hum… Et si c'était à refaire, je le referais. Wufei ! Il m'a encore pris avec force et les 4 autres d'avant aussi ! »
« Tu peux remonter ton fessier, je vais te mettre un peu de crème qui calmera la brûlure de ton anus… Où est-elle ? Toujours au même endroit ? »
« Oui. Wufei et si J arrive ? »
Il me caresse à nouveau les cheveux.
« Ne t'inquiète pas. Yuki l'occupe pendant que je suis là ! »
« Tu remercieras Yuki demain midi pour moi, je ne crois pas que je pourrai aller déjeuner. »
Tout en déplaçant la brique rouge qui ne tient plus entre ma fenêtre et les volets.
« Oh, que si tu vas descendre pour déjeuner. Je viendrai te chercher à 11h30. Hors de question que tu sautes encore des repas, mon Golden Boy ! »
« Feifei, m'appelle pas comme cela ! »
Il revient vers moi avec le tube dans la main et un sourire aux lèvres.
« Quand tu ne m'appelleras plus par des surnoms stupides plus de 24 heures ! »
En faisant une petit moue, je lui réponds :
« Arrive pas ! C'est trop tentant. AHHHH… »
« Excuse-moi. La crème est froide et tu te rétractes plus rapidement que nous tous. »
« Non, ce n'est pas grave, ça fait du bien. Merci Wufinou ! »
Wufei lève les yeux au ciel.
« Et un de plus. »
Je suis trop fatigué. Je me sens partir dans un sommeil réparateur que mon corps tout entier réclame. Wufei continue de me mettre de la crème dans l'anus qui est presque en sang et, dans un dernier soupire, je sombre dans les bras de mon chevalier aux yeux aussi uniques que les miens, qui viendra me délivrer de ma prison aux milles souffrances.
« Dors. Tu l'as bien mérité. »
Un dernier baiser sur les cheveux, une serviette replongée dans l'eau, essorée et remise sur les boursouflures du dos et des fesses meurtries, et Wufei quitte cette chambre aux allures de paradis. Celui qui l'occupe depuis 6 mois, doit chaque soir et nuit depuis 4 moins maintenant, subir la colère de Mister J pour s'être interposé entre lui et Wufei. Il a un seul jour de repos par semaine, mais ce jour-là, il ne gagne rien et doit quand même verser une sommes fixe au club. 150 Dollars.
Le Club Olympus Boy's, ou COB's comme certain aime à l'appeler, était devenu le paradis de la prostitution masculine de moins de 30 ans à New York. 20 à 25 garçons, toujours disponibles, 7 jours sur 7, de 18 à 29 ans. Certains y étaient de leur propre chef pour ce faire du fric vite et facile, d'autres ne savaient faire que cela et aimaient par dessus tout le sexe, et pour les derniers, le prêteur sur gage avait croisé leur chemin à un moment donné de leur vie.
Actuellement le plus jeune prostitué et le plus récent entré dans le Club, était un jeune homme de 20 ans tout juste, d'une beauté sans pareille, qui avait tout de suite séduit Mister J. Lui avancer 200 milles dollars contre un remboursement de 400, avait été son plus gros coup pour les 5 garçons qui travaillaient pour lui en remboursant ce qu'ils lui devaient.
Il ne l'avait pas testé. Pas son type. Mais le voir se faire prend et frapper par les clients du Club lui procurait un orgasme bien plus grand que de le prendre de force. Certains clients aimaient avoir un public et Mister J se faisait un plaisir d'en faire partie.
Yuki était son type même du plaisir charnel. Yeux et cheveux noirs. Mince, élancé, et plus de 25 ans. En plus lui, il était là uniquement pour le sexe. Donc, pourquoi s'en priver !
Ce garçon était arrivé au bon moment. L'un d'eux venait de quitter le club après 10 ans de bons et loyaux services. Il avait pris sa place et son numéro.
Depuis son arrivée, les affaires du Club Olympus Boy's, ne s'étaient jamais aussi bien portées. Un joyaux se devait d'être admiré, et depuis 6 mois il n'avait qu'un seul jour de repos par semaine, comme tous les autres.
Son corps commençait à se fatiguer et les coups n'aidaient pas à le garder en forme pour qu'il puisse tenir encore 6 mois à ce rythme.
Ce soir sera un autre jour avec d'autres clients…
A suivre…
Alors ! Vous avez trouvé qui est ce prostitué ?
Oui !
Je savais qui vous trouveriez facilement.
Le voile du mystérieux occupant de cette chambre sera levé dans le chapitre 1…
Pour ceux qui n'auraient pas trouvé le nom de celui-ci.
Club Olympus Boy's
Attention nous voila !
Catirella
Rappel
₪ Ce sujet et pour moi des plus sérieux. Merci de ne pas y voir autre chose. ₪
Dernière info : Cette fiction serra " Updated " normalement une seule fois pas mois.
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