Vous connaissez tous la fameuse histoire d'Alice ? Avez vous déjà essayé de trouver une suite ? Moi, oui, et voici ma version…
Disclaimer : Alice aux pays des merveilles ne m'appartient pas, c'est juste l'histoire qui suit qui est de moi.
CHAPITRE 1
Toc Toc Toc.
Ma sœur entra dans ma chambre…
« - Alice, veux-tu te promener dans le jardin aujourd'hui ?
- Bien sûr, pour quelle heure?
- Maintenant ?
- Très bien! »
J'attrapai la première veste sur laquelle mes yeux se posèrent, pour me couvrir du vent que février soufflait.
Puis quelques pas plus tard, nous fûmes enfin arrivées.
Je m'installai avec Dinoh, mon chien, sur la même branche qu'hier et ma sœur me récita une leçon de français, je sentais mes yeux malgré moi se fermer, mais je me laissai aller…
Quelle aventure abracadabrantesque allait encore m'arriver ?
Il y a quelqu'un. Enfin, je sens une sorte de demi présence. Une tortue qui tournait en rond… Je m'approche d'elle mais elle me fuit. N'étant pas du genre à me laisser faire je décidai de la suivre, ce qui n'était pas si compliqué vu la vitesse de cet animal.
Elle suivait une sorte de sentier en laissant quelques empreintes mais elle s'arrêta face à une petite cabane délabrée, j'ouvris la porte et un ascenseur remplissait la pièce, ses portes s'ouvrent devant moi, j'y entre donc, curieuse et quelques secondes plus tard, le petit reptile que je suivais me rejoignit. Mais ma curiosité ne s'arrêta pas là, il y avait un bon nombre de boutons lumineux à ma droite, dont les nombres : 25, 33, 73, 89 etc qu'on ne retrouvait pas régulièrement dans les ascenseurs, mais celui qui attira le plus mon attention était marqué d'un « wonderland », qu'était-ce ? Je réfléchis aux conséquences mais la tentation était trop forte pour ne pas appuyer, je poussai de mon index le dit bouton et les portes se fermèrent. L'excitation et l'adrénaline m'envahir. Quelques secondes et quelques étages plus tard, les portes se rouvrirent, pour me laisser découvrir un énorme désert, malgré le vent qui me soufflait du sable dans les yeux, je me forçai à continuer, c'était la seule solution de toute façon, la cabanette avait disparue.
