Bonjour tous le monde, voici ma première vrai fic, qui est en fait une traduction. J'ai adoré cet histoire et je tenais à ce que les lecteurs français puissent la savourer. De plus, il y a tellement peu de fic Bethyl en français que c'en est frustrant.

Les personnages de Walking dead ne m'appartienne pas, ni l'histoire, qui est une traduction.

Bonne lecture


Cela faisait six mois qu'ils avaient quitté la prison. Six mois depuis la dernière fois qu'elle avait vu sa sœur. Six mois qu'elle avait regardé son père se faire tué. C'était seulement maintenant qu'elle réalisait le temps qui s'était écoulé depuis l'attaque de la prison, et tout ce qui s'était passé depuis. Aujourd'hui, avec le recul, Beth ne pouvait toujours pas dire si sa vie depuis était bonne ou mauvaise. Être seul avec Daryl Dixon pendant six mois ne pouvait être attribué à une seule émotion. Il était la personne la plus frustrante qu'elle n'est jamais rencontré, mais il était également le meilleur compagnon qu'elle n'aurait jamais pu avoir.

Alors que Beth ne voulait pas croire qu'elle avait besoin de compter sur quelqu'un, surtout Daryl, la jeune savait pertinemment qu'elle avait besoin de lui. Sans Daryl elle serait probablement morte depuis longtemps. Il avait contribué à la garder en vie en lui montrant des choses qu'elle n'aurait jamais pu apprendre d'elle-même. Il lui avait appris à chasser, à survivre et lui avait même appris à utiliser son arbalète. Il lui avait construit un petit arc avec deux flèches pour elle, et elle avait de plus en plus de facilité à la manier. Beth était convaincue que si elle s'était retrouvé avec un autre membre du groupe, elle serait morte à l'heure qu'il est.

Autant Daryl avait contribuer à ce qu'elle soit plus forte, autant il y avait des choses qui ne pouvaient être changé. Beth était émotive, elle l'avait toujours été. Même quand tout s'écroulait autours d'eux, Beth restait convaincue qu'il restait de l'espoir, qu'il y avait encore des gens biens dans ce monde. Malheureusement, à trop chercher le positif, Beth avait l'impression de ne plus voir que le négatif.

Beth s'était laisser démoralisé quatre fois depuis qu'ils avaient brûlé la petite cabane. La mort de son père était une des raisons. La crainte de ne plus jamais revoir sa sœur en était une autre. Elle avait même pleurer pour Judith, un soir, près du feu. Se demander ce qu'était devenue Judith, un bébé, un être innocent, qui ne comprendrait sûrement jamais pourquoi le monde était aussi affreux, lui faisait affreusement mal. La triste réalité était qu'elle était sûrement morte à la prison, ou peu après. Il était déjà suffisamment difficile de survivre à deux, Beth n'imaginait même pas avec un bébé sur les bras, alors qu'il y avait des rôdeurs partout.

Daryl avait été beaucoup plus fort qu'elle, ce qui n'était pas surprenant. Elle l'avait vu pleurer deux fois depuis qu'ils avaient brûlé la cabane. C'était ce jour que tout avait commencer. Il avait détruit une partie des murs qu'ils s'étaient construit toute sa vie pour se protégé. C'est suite à cela qu'elle avait appris à connaître une autre facette de Daryl. La seconde fois, il pensait qu'elle dormait. Elle l'avait entendu murmurer le nom de Merle. Elle comprenait, évidemment. Même si elle n'avait jamais particulièrement apprécier Merle, c'était sa famille. Et le sacrifice qu'il avait fait pour le groupe méritait qu'on le reconnaisse. Quand Beth avait pleurer pour Judith, Daryl n'avait pas pleurer, mais on voyait dans ces yeux que le sort de ce bébé le faisait souffrir. Elle ne pouvait lui en vouloir, Judith était un bébé incroyable.

Ce soir était différent. Elle avait pleuré et Daryl, maladroitement, avait posé sa main sur son dos, se demandant ce qui se passait. Beth venait seulement de réaliser qu'aujourd'hui était son dix-neuvièmes anniversaire. Le premier anniversaire qu'elle fêtait sans sa famille. Oui, Daryl était avec elle et elle le considérait comme sa famille, mais elle ne s'était jamais senti aussi seule. Sa mère était morte, son père aussi, sa tante également. Elle ignorait totalement si sa sœur était vivante. Qu'est-ce qui lui restait, les autres membres de la prison? Cela faisait des mois qu'elle ne l'ait avait pas vu. Daryl?

Bien sûr, avec lui tout était différent. Comme lorsqu'il lui avait appris à tirer de l'arbalète. Elle ne comptait pas bien sûr la nuit à la cabane, ou Daryl avait essayé de lui faire tirer sur un rôdeurs. Ils étaient tous les deux saouls cette nuit-là. Elle pouvait maintenant facilement abattre un cerf, tant qu'il n'était pas plus loin qu'une vingtaine de mètres. Il lui avait appris à retirer la peau d'un animal comme il le fallait, ce qu'elle sentait qu'elle aurait dû savoir depuis longtemps. Il lui avait montré comment reconnaître les plantes comestibles.

Beth avait beaucoup appris de lui et Daryl s'était révélé impressionner; du moins, il semblait l'être. Un soupir s'échappa d'entre ses lèvres alors qu'elle tirait le bras de Daryl plus serré autour de sa taille. Ce n'était pas la première fois qu'ils dormaient comme cela, mais des fois ils n'avaient juste pas le choix. Avec l'hiver, les deux avaient pris l'habitude de s'en sortir comme cela lorsqu'il faisait trop froid. Beth avait une couverture a elle, mais elle ne faisait pas grand chose contre le froid hivernal qui les glaçait jusqu'aux os.

La plupart des nuits commençaient avec le bras de Daryl autour de sa taille élancée, son souffle dans son cou, et finissaient par Beth à l'extérieur des couvertures, tentant de garder son esprit claire. Beth sentait quelques fois la ''virilité'' de Daryl contre son dos, mais l'ignorait. La plupart du temps par respect pour Carol, parce que, avouons-le, Daryl avait toujours eu un faible pour Carol.

Mais maintenant? Carol n'était pas là. Depuis longtemps Daryl avait cesser de rechercher Carol et les autres membres du groupe. Beth n'était peut-être plus à leur recherche, mais elle ne renonçait pas à l'espoir de retrouver quelqu'un un jour. L'idée qu'ils pourraient être seul pour toujours alors qu'il y a six mois ils étaient si entouré l'effrayait. Ils n'avaient pas vu d'autres personnes depuis les six derniers mois. A part le vieil homme, mais Beth essayait de ne pas y penser.

Il semblait s'être écoulé près d'un éternité depuis qu'ils avaient couru après le vieil homme. Être seul avec Daryl semblait faire passer le temps de façon beaucoup plus lente qu'il ne l'était en réalité. Si Beth ne s'était pas forcer à compter les jours qui passaient, elle n'aurait probablement pas réaliser que c'était son anniversaire aujourd'hui. C'était quelque chose qu'elle faisait depuis le début. Elle tenait à savoir combien de temps s'était écoulé depuis le début de la fin du monde. Ce n'est pas comme si elle pouvait compter sur un téléphone ou même un journal.

Il s'était écouler un peu plus de deux mois depuis qu'ils avaient vu le vieil homme. Il semblait doux, aussi doux qu'on puisse l'être après avoir trempé dans un monde aussi cruel. Si Beth avait dû lui donner un âge, elle lui aurait donner dans la soixantaine. Pas bien plus jeune que son père l'avait été. Daryl et elle était à quelque mètre d'un groupe de rôdeurs avant de réaliser qu'ils étaient beaucoup trop nombreux pour seulement eux deux. Ils avaient couru à travers les bois, espèrent trouver une sorte de refuges le temps que la horde passe. Beth avait même proposer de grimper aux arbres, mais Daryl avait refuser prétextant que les rôdeurs pourraient encore les voir et les sentir.

C'est lorsque qu'ils étaient arrivés près d'un rivière qu'ils avaient vu le vieil homme. L'homme avait tiré plusieurs coups de fusil sur les rôdeurs derrière eux avant de leur ordonner de le suivre. Beth et Daryl n'ayant aucunement le luxe de prendre le temps de discuter, ils l'avaient suivi après s'être jeté un bref coup d'oeil. Pour un vieil homme, Beth pouvait dire qu'il courrait vite.

Le vieil homme les mena jusqu'à une clairière, ou Daryl et elle virent une petite cabane. Daryl refusa d'y entrer, la horde était si nombreuse qu'elle détruirait la cabane en un rien de temps. Mais l'homme ouvrit une trappe menant à la cave, et Beth reconnut un de ses abris anti-ouragan comme elle en avait vu à la télévision. Sans un mot, les trois étaient rentrés dans la trappe, qu'ils s'étaient presser de refermer. Beth eu le temps de voir un petit stock de nourriture, un lit superposé et plusieurs livres avant que la trappe se referme et que la lumière ait diminuer.

Elle entendait la respiration de Daryl et se recula jusqu'à ce que son épaule heurte son dos. Il avait son arbalète en main, prêt à tirer. Non vers le vieil homme mais vers la porte. Quoique cela n'avait aucune importance. Si les rôdeurs réussissaient à trouver l'abri, ils ne pourraient rien faire contre un nombre si important de rôdeurs.

Ils écoutèrent silencieusement les rôdeurs gémir en passant au dessus de l'abri. Ils eurent l'impression d'attendre des heures que la horde passe, bien qu'ils n'attendirent en vérité que quelques minutes. Lorsque le bruit à l'extérieur diminua assez pour être jugé sans danger, le vieil homme avait marché jusqu'à la porte, toussant sèchement dans la paume de sa main, l'autre main tenant une lampe à l'huile qu'il venait d'allumer. Elle ne dégageait pas beaucoup de lumière, mais permettait de voir un peu mieux leur environnement.

L'homme s'étaient présenté sous le nom de Jed et leur avait dit qu'il les avaient sauver seulement parce qu'il était en pleine chasse. Il avait entendu les cris excités des rôdeurs et avait deviner qu'ils devaient certainement suivre quelqu'un. Après une quinte de toux qui sembla durer une heure, Beth lui avait demander s'il allait bien. Jed avait assurer que oui, que ce n'était seulement qu'un rhume. Il leur offrit de la nourriture et un abri pour la nuit, à condition qu'ils ne voleraient rien de lui.

Certes, ils n'avaient pas grand chose à voler, mais ils acceptèrent rapidement. Daryl et Beth avaient finis par rester avec le vieil homme trois nuits, et sa toux ne cessaient d'empirer. Daryl avait voulu partir, prétextant qu'ils ne pouvaient rien faire et que le vieil homme n'était de toute façon pas leur problème. Beth pensait que c'était surtout la deuxième raison qui le poussait. Elle était inquiète, cependant, de le quitter alors qu'il était dans un tel état de faiblesse. Elle le convainquit de rester.

Plus tard dans la nuit, elle regretta sa décision. Après le dîner, ils s'étaient tous installés pour dormir, Daryl ayant décider de partir chasser le lendemain matin, histoire de ramener à manger. C'avait été presque un soulagement de s'endormir dans le silence, Jed n'ayant pas tousser de la nuit. Pourquoi n'avait-il pas toussé de la nuit? Il était mort dans son sommeil. Ni elle, ni Daryl n'avaient réalisé avant que le cris du rôdeurs ne la réveille. La première pensée qu'elle avait eu était qu'ils avaient réussis à rentrer par la porte. Elle avait secouer l'épaule de Daryl, qui gémit doucement dans son sommeil jusqu'à ce que le son du rôdeur se rende à ses oreilles.

Dans l'obscurité, elle entendit Daryl ramasser son arbalète. Elle avait peur d'ouvrir la petite lampe, peur que le rôdeur se rende jusqu'à Jed. C'est lorsque la lumière fut allumé qu'elle avait réalisé que le rôdeur était Jed. Quelques seconde plus tard Daryl lui avait mit une flèche dans la tête. Il avait été un vieil homme bourru, lui qui était probablement une âme aimable et douce avant la chute. Inutile de préciser qu'aucun d'eux n'avaient tenu à se rendormir à cet endroit ensuite.

Elle ferma les yeux quand le bras de Daryl serra sa taille, l'attirant plus proche de sa poitrine dans son sommeil, la distrayant de ses pensées sur le vieil homme. L'entendant frissonner, elle soupira. Elle ne comprenait pas comment il pouvait toujours avoir plus froid qu'elle. C'était comme si sa température avait toujours quelques degrés au dessous des autres. Elle devait admettre que les hivers aujourd'hui était beaucoup plus froid que ceux avant l'apocalypse. Peut-être était-ce aussi que les gens étaient si habitué de vivre avec la chaleur qu'il était plus difficile de vivre sans.

Daryl marmonna quelque chose dans son sommeil, resserrant encore sa prise sur sa taille, expulsant l'air de ses poumons. Peut-être faisait-il des cauchemars. Ce ne serait pas le premier. Elle l'avait vu tourner et murmurer dans son sommeil, en proie aux démons de son passé dont il avait toujours refusé de parler avec elle. Ce n'était pas comme si elle pouvait le lui reprocher, Daryl avait plus d'horreurs dans son passé qu'elle ne pouvait se l'imaginer. Pas qu'elle le voulait dailleurs.

Beth soupira et tira son bras jusqu'à ce qu'elle puisse au moins se tourner face à lui. Elle leva sa main et les passa dans ses cheveux noirs, prenant garde à ne pas le réveiller. Il avait l'air si calme dans son sommeil, quand il ne se retournait pas toutes les secondes à cause de ses cauchemars. Il marmonna quelque chose d'autre et Beth sentit un sourire tendre illuminé son visage alors qu'elle regardait ses lèvres. Elle se demanda, non pas pour la première fois, ce que ça ferait de l'embrasser.

Sa paume reposait contre sa joue, le regardant dormir. C'était la première fois depuis près d'une semaine qu'ils étaient capable de dormir plus de quelques heures. Généralement le froid les réveillaient. La maison qu'ils avaient trouvé contenait plusieurs couettes épaisses et un peu de nourriture que d'autres survivants n'avaient pas pillé. En fait, à quelques détails près, la maison était intacte. Il y avait des vêtements pour tous les deux, et une baignoire qu'ils s'étaient empresser de remplir de neige pour la faire fondre et se laver.

À vrai dire, la jeune fille ne s'était pas senti aussi propre depuis plus d'un mois. Il était étonnant qu'elle est eu toutes les difficultés du monde à s'endormir, alors qu'était propre, qu'elle avait le ventre plein et qu'elle était au chaud. Daryl avait à peine eu le temps de poser sa tête sur l'oreiller qu'il dormait déjà. Il n'avait jamais de difficultés a dormir. Elle soupira doucement. Elle détestait les nuits comme celle-là, où elle tournait et retournait, incapable de plonger dans le sommeil. Elle supposait que c'était d'avoir tant pleuré et naturellement avec les larmes venaient les pensées envers son père, sa sœur et tous ses proches qu'elle avait perdu. Ce ne serait pas la première fois.

Son pouce caressa doucement la joue de Daryl alors qu'il marmonnait encore, essayant de la calmer. On aurait dit qu'il était en perpétuel bataille. Elle fronça les sourcils en se blottissant encore plus, essayant de vider son esprit dans l'espoir d'avoir encore quelques heures de sommeil.

A peine Beth commença-t-elle à se calmer qu'elle l'entendit. Le bruit d'un rôdeur qui approchait. Son corps se raidit en l'entendant de plus en plus proche. Elle tourna ses yeux vers Daryl qui dormait toujours profondément. Il faudrait plus qu'un gémissement de rôdeur pour le réveiller. Sans un mot, la blonde se leva et eut un frisson dès que ses pieds touchèrent le sol. Sa température était peut-être plus haute que celle de Daryl, mais le froid l'atteignait quand même.

Sans un regard vers Daryl elle se dirigea vers la fenêtre, prenant son arc dans ses mains. Ses yeux pâles fixèrent l'herbe mal entretenu, cherchant la source du bruit. Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne le voit. Elle jeta un regard vers Daryl. Ce n'était pas la première fois qu'elle devait s'occuper d'un rôdeur seul, et sûrement pas la dernière. Elle attrapa plusieurs flèches qui traînaient au sols.

Elle aurait bien voulu utilisé l'arbalète de Daryl, mais il manquait sérieusement de flèche pour celle-ci et elle était plus dur a manier de l'intérieur qu'un simple arc ordinaire. Daryl lui avait montré comment faire les flèches et elle s'améliorait. Elle n'était pas aussi bonne que Daryl mais elle sentait qu'il ne lui restait plus grand chose à apprendre sur ce sujet. Elle se glissa silencieusement hors de la chambre jusqu'à la salle de bain. C'était la seul fenêtre du deuxième étage qui ouvrait facilement. Elle avait également le meilleur angle pour tirer un rôdeur dans la cours avant de la maison. En plus, elle pouvait garder la porte fermer pour éviter que le froid trouble le sommeil de Daryl.

Beth ouvrit la fenêtre lentement. Elle visa et tira aussi vite. Un juron passa entre ses lèvres lorsque la flèche passa au dessus de la tête du rôdeur et planta dans le gazon. Les sourcils froncés, elle mit un autre flèche, qu'elle tira. Cette fois la flèche atteignit l'estomac du rôdeur.

Si ce n'était pas qu'elle avait appris à se taire, elle aurait sûrement crier de joie de voir sa troisième flèche se planter dans sa tête. Le mort tomba aussitôt. Elle fit une petite danse de la victoire et mit sa tête près de la fenêtre. Elle écouta le silence, satisfaite, puis referma la fenêtre. Elle poussa un soupir de soulagement lorsque le vent froid cessa de l'atteindre.

Il ne fallu pas longtemps avant qu'elle remballe arc et flèche et retourne dans la chambre d'où elle entendait la respiration de son compagnon. Un petit sourire étira ses lèvres pour sa petite victoire comme elle posait le tout contre le mur, puis retournait au lit une fois de plus.

Beth tenta d'entrer sous les couvertures sans le réveiller, mais le souffle froid qui le toucha le fit sursauter. Ses yeux bleus sombres scannait la pièce alors qu'il se redressait rapidement sur son coude, cherchant le moindre danger. Lorsque son regard tomba sur la jeune fille, il vit qu'elle semblait se retenir de rire.

''Qu'est-ce qu'il y a de si drôle?'' Demanda-t-il, la voix encore rauque.

''Rien.'' Répondit rapidement la jeune fille.

Il plissa les yeux vers elle, pas certain de la croire. Après un rapide coup d'oeil à la chambre, il se réinstalla à côté d'elle. Son regard fixé dans ses yeux pâles.

''Tu es gelé'' murmura-t-il.

'' Il y avait un rôdeur à l'extérieur.''

''T'as utilisé combien de flèches?''

''Trois'' Murmura-t-elle. Elle fronça les sourcils lorsqu'elle vit le sourire moqueur de Daryl.

Daryl laissa son regard jouer sur son visage un instant ou deux, puis enveloppa ses bras autour de sa taille pour l'attirer sous les couvertures.

'' Dormons, 'reste encore quelques heures avant le lever du soleil.''

Beth hocha la tête au creux de ses bras, profitant de sa chaleur.