Titre : Vampire et calice : une vie pas si sanglante que ça. (au début, ça devait être le titre du livre puis une erreur d'écriture, ça c'est retrouvé sans les mots "de couple")
Auteur : Zinee
Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout à Dame J. K. Rowling, à part le scénario et le livre qu'Hermione emprunte... :D
Résumé : J'uis pourrie en résumé, je vais essayer de me débrouiller : et si Hermione n'était plus amoureuse de Ronald durant leur septième année à Poudlard. Et si Hermione ne se mariait pas avec lui ? Yuri, yaoi, homophobes s'abstenir !
Contexte : Cette histoire se passe entre la fin du tome 7 et son épilogue. Hermione et Ron ne sont plus ensemble depuis la rentrée de cette année-ci, c'est-à-dire juste avant le 1er Septembre 1998. Dean et Seamus sortent déjà ensemble depuis la veille de Noël 1998, Ginny et Luna aussi (depuis deux semaines avant la St Valentin), ainsi que Neville et Hannah (depuis leur sortie à Pré-au-Lard à la St Valentin). La suite dans la fanfiction qui suit...
Note : Désolée s'il reste des fautes et s'il n'y en a pas, moi être contente...
Vampire et calice : une vie pas si sanglante que ça.
Chapitre I
Hermione Granger était dans la bibliothèque de Poudlard en train d'essayer d'attraper le manuel de métamorphose avancée quand elle sentit un corps féminin se glisser derrière son dos et un souffle chaud sur son oreille lui murmurer :
_ Alors Grangie, besoin d'aide ?
Hermione fut troublée par ses paroles aussi bien moqueuses que séduisantes et troublée aussi par la personne qui les avait dites qui n'était autre que Pansy Parkinson.
Hermione vérifia si elle avait vu juste en regardant qui se trouvait collée contre elle. C'est bien Parkinson, se dit-elle, mais pourquoi est-elle aussi proche de moi.
En effet, Pansy s'était mise de façon à ce que si sa petite Grangie tournait la tête, leurs lèvres seraient séparées que par quelques centimètres.
Hermione commença à s'avancer vers ces lèvres tentatrices tandis que la Serpentard en faisait tout autant qu'elle. Leurs bouches se rencontrèrent d'abord lentement puis le baiser devint de plus en plus passionné.
Hermione fut retournée vers Pansy et soulevée jusqu'au rebord de l'étagère se trouvant maintenant derrière elle.
Parkinson posa sa main sur la cuisse de la Gryffondor et commença à la remonter vers la culotte d'Hermione quand celle-ci l'arrêta, se recula d'elle, à bout de souffle et lui dit :
_ On ne peut pas continuer tout ça autre part qu'ici dans la bibliothèque de Poud...
Elle venait d'être interrompue par la bouche de Pansy qui savait que quand Granger commençait à parler, ça pouvait durer des lustres.
Hermiona la repoussa, le visage rouge, étant donné que Pansy avait toujours sa main sur sa cuisse et la malaxait, et elle lui dit :
_ Pansy, c'est pas que ça me plaît pas mais si quelqu'un nous surprend...
_ Hermione, je m'en fous complètement et si quelqu'un nous surprend, comme tu dis, ça m'est égal, OK ?, la coupa Pansy en lui prenant le visage en coupe et de ce fait, elle lâcha la cuisse d'Hermione qui recouvra quelques couleurs.
Pansy l'embrassa de nouveau, une fois le baiser fini, elle s'exclama, moqueuse :
_ Tu veux que je t'attrape le livre que tu avais du mal à saisir tout à l'heure ?
_ Hum, oui... enfin si ça t'ennuie pas, dit Hermione, le rouge était réapparu sur ses joues.
Pansy l'enleva de sur le rebord et l'éloigna de l'étagère pour récupérer...
_ Manuel de métamorphose avancée, t'es sérieuse, Grangie ?
_ Oui, très. Et arrête de m'appeler comme ça !, s'énerva Hermione en la tapant légèrement à l'épaule.
_ Même pas mal !, lui fit Parkinson en lui tendant le manuel tant désiré et recherché par Hermione. Si tu le veux, embrasses-moi.
Voyant Hermione s'approcher d'elle, elle précisa :
_ Sur la bouche et passionnément, s'il te plaît.
Hermione déglutit difficilement et, prenant son courage à deux mains -heureusement pour une Gryffondor-, mit ses mains derrière le cou de la Serpentard. Cette dernière mit les siennes sur les hanches de son vis-à-vis et lui demanda :
_ Tu comptes me faire mariner longtemps ou tu comptes m'embrasser passioné...
Elle fut interrompue par les lèvres de sa brune sur les siennnes, Hermione entrouvra ses lèvres et caressa de sa langue les lèvres de Pansy. Accédant à sa requête, elle laissa passer la langue de la Gryffondor entre ses lèvres. Leurs langues se touchèrent, les électrisant toutes les deux puis peu à peu, elles commencèrent un ballet endiablé, passionné.
Les mains d'Hermione aggrippèrent les cheveux de Pansy tandis que cette dernière bougea ses mains de ses hanches à ses fesses et les malaxa duement. Hermione pensa "C'est trop on après 8 mois sans relation..." Puis, tout à coup, Hermione éloigna Pansy d'elle et lui dit rapidement :
_ Je dois aller dire à Mrs Pince que je prends ce livre.
Une fois ces paroles dites, elle s'enfuya vers une autre rangée de la bibliothèque où elle respira plus librement et la Gryffondor alla vers le bureau de la bibliothécaire où Mrs Pince lui dit :
_ Bonjour !
_ Bonjour, Mrs Pince ! Ça serait pour emprunter ce manuel de métamorphose avancée. Hermione regarda autour d'elle puis continua : ... et un livre sur les vampires.
Mrs Pince alla chercher le carnet des emprunts dans les tréfonds de la bibliothèque. Hermione fut seule et attendit patiemment que la vieille bibliothécaire revienne.
_ Sur les vampires, il y a un très bon livre qui s'appelle Vampire et Calice : une vie de couple pas si sanglante que ça, lui susurra Pansy en lui dévoilant l'une de ses canines très pointue et en enserrant ses hanches dos à elle près de son corps.
_ Mrs Pince, je me suis souvenue d'un titre de livre, ça s'appelle Vampire et Calice : une vie de couple pas si sanglante que ça, fit Hermione à la bibliothécaire en réponse à ce que Pansy avait dit.
Le temps qu'elle dise cela, Pansy s'était échappée sans qu'elle ne s'en rende compte.
Bon, maintenant, je souffle un grand coup. Le coeur de la Gryffondor battait si vite qu'ellle se demandait s'il n'allait pas bondir hors de sa poitrine.
Dès que Mrs Pince eût finie avec le carnet des emprunts, posée les livres sur le bureau, Hermione prit les livres et s'en alla en lançant un vague au revoir à la vieille dame derrière son bureau.
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Quelques minutes plus tard, dans la Grande Salle, Hermione arriva encore et toujours la première depuis cette année. Elle s'installa à la table des rouges et ors. Elle sortit de son sac de cours Vampire et Calice : une vie de couple pas si sanglante que ça et le manuel de Défense Contre les Forces du Mal.
Puis elle décolla du manuel sa couverture et la colla sur celle du livre qu'elle venait d'emprunter. Après avoir fait ça, elle lut ce livre fort intéressant tout en prenant son petit-déjeuner.
Elle ne se rendit pas compte qu'elle n'avait plus de lait pour tremper ses toats dans son bol, jusqu'à que son meilleur ami, Harry Potter, le lui dise.
_ Merci Harry, le remercia Hermione en se reservant du lait.
Elle se replongea dans son bouquin. Dean Thomas et Seamus Finnigan arrivèrent bras dessus, bras dessous et firent remarquer que Hermione avait une marque rouge dans son cou.
La née-Moldue, absorbée complètement dans son livre, n'entendit pas les remarques des deux nouveaux arrivants.
Avançant vers elle, Ronald le lui fit remarquer de nouveau en précisant que c'était un suçon et pas une simple marque rouge en passant son bras autour des épaules d'Hermione qui sursauta en sentant un poids sur ses épaules, elle referma vite fait le livre sur les vampires et lui jeta un sort informulé permettant de ne pas être lisible par les camarades de la Gryffondor.
_ Qu'est-ce qui se passe ?!, s'exclama-t-elle.
_ Il se passe que tu as un "suçon" dans le cou, lui dit Ginny qui s'était approchée de la table des Gryffondor pendant tout le remue-ménage d'Hermione. Et tout le monde le voit...
Hermione découvrit les quelques dizaines de regards de sa table mais aussi des autres, y compris les Serpentard qui observaient son cou. Elle défit son chignon à la vitesse du son. Harry, plus pour se moquer d'elle que la rassurer, lui dit :
_ On a absolument rien vu, Hermione. Rien de rien, rien du tout...
_ Tu te trouves drôle, Harry ? Parce que, moi, je ne trouve pas ça marrant !
_ Ah bon ! Moi, je crois que si, c'est marrant ! Regarde autour de toi, tout le monde rigole, même Sir Nicholas.
Hermione observa autour d'elle ses camarades hilares (et le(s) fantôme(s)), se renfrogna et en marmonnant -et prenant ses affaires-, elle se leva de sa table et quittta la Grande Salle.
Au moment de sortir de la Grande Salle, elle percuta quelqu'un, ce quelqu'un était Parkinson. Elles se regardèrent en chiens de faïence pendant une minute. Puis, toutes les deux se dirigèrent vers des directions différentes, une vers la table la plus à gauche -par rapport à l'entrée quand on vient de l'extérieur-, et l'autre vers sa chambre de Préfète-en-Chef...
À suivre...
N'hésitez pas à laisser des remarques (bonnes ou mauvaises), des sugestions de scénarios ou de corrections de phrases maldites (c'est mon défaut ainsi que le vocabulaire), je suis preneuse... Ainsi que pour le résumé...
Zinee.
