Un certain soir d'été
Dans les rayons de l'astre rougeoyant
Entre songe et réalité, Obscure et clarté
Au terme du faisceau couchant
C'est là qu'apparu le loup, sa majesté.
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Je me suis approché et il m'a regardé
Et dans son regard mordoré
Subsistait tant d'humanité
Que j'ai sentie mon cœur chaviré.
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La lune est pleine et sur son disque irréprochable
S'auréole une couronne d'un rouge immuable.
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Es-ce toi dont parle les mythologies?
La créature où survie le cœur d'un homme
Car je ne vois ni bestialité, ni sauvagerie
Seulement la vie pareil aux autres hommes.
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Parfois j'ose croire que ces légendes sont vraies
Que les autres puissent te voir, semblable à ma vision de toi
Et que dans la brise de cette nuit étoilée
La nature enchantée défie ses propres lois.
MMMMMMMMMMMMMMM