Blabla : corrections apportées.


Voilà le message que ma laisser ma chère Am' ma correctrice sans la quelle, vous n'auriez jamais eu une fic aussi clean XD

Remerciez la ! (sans m'oublier!)

Ps : Cette fic ce passe aux 16 ans d'Harry, autrement dit, à sa sixième année.

Ps2 : pour ceux qui ne le savent pas : Cette version de la fic (il y a une autre version) est une fiction yaoi, autrement dit, Harry Sort avec Malfoy (enfin, à la fin) et le rating est M ! Alors attention!


Harry monta dans sa chambre en traînant des pieds, sa tante et son oncle le regardèrent faire de leur chaise dans la cuisine, pendant que Dudley regardait son assiette vide, puis celle d'Harry, qui était intact, avec envie.

C'est dans cette abominable famille de moldu, que depuis maintenant 16 ans, le Grand Harry Potter, « Le survivant » pour quelques uns, ou « L'Elu » d'après le dernier numéro de la Gazette du sorcier, vivait ; enfin, si on pouvait appeler cela vivre, depuis son retour, il ne faisait que descendre le matin, faire le petit-déjeuner, poser les couverts pour trois, et monter dans sa chambre, ne descendant qu'aux repas, le teint livide, pour dire qu'il ne mangerait pas, et il remontait d'un pas long (d'un pas lourd), à force que même sa tante remarqua que quelque chose n'allait pas, mais elle ne dit rien, regardant, pour la première fois, son neveu monter les escaliers, avec inquiétude…. Mais elle cacha cela bien vite, avant que son mari ne le voit, certes elle n'aimait guère Harry, mais le voir comme ça, le teint livide, squelettique, elle s'inquiétait, elle se demandait si, Lily, sa sœur, aurait laissé son Dudley arriver dans cet état, c'était impossible, ce n'était pas le genre de Lily, mais malheureusement, elle ne pouvait rien faire, son mari la prendrait pour une folle si elle sympathisait avec Harry, un… un … Un vous savez quoi ! Elle n'arrivait même pas à le dire dans sa tête….

Harry de son côté, continua de monter et entra dans sa chambre, il s'allongea sur son lit, et se plongea dans ses pensées…

Cela faisait trois jours… trois jours qu'il n'avait pas mangé, mais il n'avait pas faim, trois jours… Trois jours qu'il n'arrêtait pas de pleurer, à force que, cette nuit, il ne lui restait plus aucune larme… Oui, cela faisait trois jours, qu'il était revenu à Privet Drive, et depuis ce jour, il ne cessait de repenser à son parrain perdu, mort dans la bataille, Sirius Black…

Pour la première fois depuis des lustres, sa chambre était parfaitement rangée, il n'y avait que son lit, une valise fermée dans le coin, et trois(quatre non ?) journaux sur la table, qui avaient changés depuis qu'il était revenu, dans ces trois journaux, on pouvait remarquer, en gros titre, « LE SEIGNEUR DES TÉNÈBRES DE RETOUR ! HARRY POTTER L'ÉLU ? », Ou encore « SIRIUS BLACK : INNOCENTÉ APRÈS LA MORT » et dans un autre : « POUDLARD ? L'ENDROIT LE PLUS SECURISÉ DU PAYS ? OU LE CONTRAIRE ? » Et dans le dernier « LES MANGEMORTS ATTAQUENT », mais ces journaux, Harry ne les a pas lus, il n'en avait que faire, ça ne l'intéressait pas, ou plus…

Soudain, un bruit se fit entendre dans la fenêtre, Harry se tourna pour voir un majestueux hibou blanc frapper le verre avec son bec, il se leva, lentement, pour aller ouvrir et décrocha la lettre du hibou, qui s'envola immédiatement.

Harry ouvrit la lettre, et devina la fine et ronde écriture de son directeur, Albus Dumbledore :

Cher Harry,

Je sais à quel point la mort de Sirius doit être éprouvante pour toi, même si cela me fait très mal, je devine que c'est pire pour toi, ton parrain, ta famille…

Mais tu dois savoir qu'il était mort comme il le voulait, dans un combat contre les forces du mal, et tu dois être fier de lui, mais tu dois aussi lui faire honneur, ainsi qu'à tes parents.

Je t'offre cette chance en te demandant de devenir mon élève pendant ces vacances, je t'enseignerais la défense contre les force du mal, l'occlumencie, et peut-être, la légimencie, mais je t'apprendrais aussi l'ancienne magie, et quelque chose que tu ne connais sûrement pas.

Tu étudieras aussi la métamorphose et les sortilèges avec le professeur McGonagall et leprofesseur Flitwick, si tu acceptes bien sûr.

Si tu le veux, tes amis Hermione et Ronald peuvent venir. Envoie-moi Hedwige le plus vite possible,

Albus

Harry n'en revenait pas. Dumbledore voulait être son professeur ! Il l'était déjà, c'est vrai, puisqu'il est directeur de Poudlard, mais il ne s'attendait pas à ce qu'il veuille lui donner des cours particuliers ! Après tout, il est l'un des sorciers les plus puissant de ce monde ! Harry ne savait vraiment pas quoi en penser... Et, en plus, il lui demandait ça comme si c'était tout à fait banal ! Il lui demandait sa permission ! Il attrapa trois parchemins, envoya à ses deux meilleurs amis une invitation, et à son directeur un court billet :

Cher Mr Dumbledore,

J'accepte volontiers votre offre, j'attends votre réponse, et j'ai envoyé une invitation à mes amis.

Harry.

Il donna le tout à Hedwige qui, s'envola par la fenêtre en hâte, contente de voir Harry heureux, et d'avoir, enfin, du travail….

Ceci fait, Harry retourna s'asseoir dans sur lit, attendant la réponse de son Directeur, il prit la première lettre et la relit une dizaine de fois. Fier, oui, il était fier de son parrain, mort en essayant d'emmener le plus de Mangemorts, oui il en était fier, mais ça ne changeait pas que Sirius était mort, et pour Harry, c'était de sa faute, de sa faute, et aussi un peu celle de Rogue. Rogue… Harry tremblait de colère rien qu'en souvenir de son nom, il ne savait pas ce qu'il lui ferait le jour où ils se rencontreraient, mais il était sur qu'il allait perdre son sang-froid, il fallait l'avouer, il était un peu « Foncer, pas réfléchir ! », mais il est né comme ça, il ne pouvait rien y changer.

Harry relut encore une fois la lettre, depuis la mort de Sirius, c'était la première fois qu'il était « Heureux » , et il comptait bien remercier Dumbledore , d'ailleurs, il croyait même, que peut être, aujourd'hui, il pourrait dormir tranquillement, vraiment dormir...

Il s'allongea sur son lit et tira son drap et se couvrit avec, et presque tout de suite, il tomba dans les profondeurs du sommeil.

***

Harry se réveilla, et trouva le même hibou qu'hier qui attendait devant la fenêtre, il y avait aussi Hedwige qui avait préféré entrer dans sa cage, avec Coq, le hibou surexcité de Ron, cadeau de Sirius…

Harry chassa cette pensée de sa tête et se dirigea pour faire entrer le hibou trop poli pour entrer sans être invité, et c'était vrai, à peine Harry leva la main pour lui demander de se percher sur sa main, il entra par la fenêtre, Harry lui prit la lettre et l'ouvrit, c'était la réponse de Dumbledore .

Cher Harry,

Je suis heureux qui tu acceptes mon offre aussi rapidement, ça me fait très plaisir.

Je passerais te prendre demain, on ira à Poudlard, ton ami Ronald et Hermione t'y attendent, je vais chercher la petite Granger, quant à Ronald, Arthur le ramènera par la poudre de Cheminette.

Albus

Harry déposa la lettre, et le hibou sortit par la fenêtre, il décida de prendre le petit-déjeuner et de se laver, ça faisait trois jours qu'il ne l'avait pas fait, mais il se dirigea d'abord vers le petit Coq et Hedwige qui tenaient chacun une lettre, c'était des lettres qui confirmaient ce qu'avait dit Dumbledore , Ron était à Poudlard et Hermione attendait Dumbledore .

Harry descendit et fit le petit-déjeuner, mais contrairement à son habitude, il posa quatre couverts, et ce fut ce que Pétunia Dursley remarqua en entrant dans la cuisine, et malgré le fait qu'elle ne l'avait pas montré, elle était rassurée, son neveu devait aller mieux.

En voyant que sa tante venait de s'asseoir dans la cuisine, Harry se plaça en face d'elle, il ne savait pas pourquoi, mais il voulait dire à Pétunia qu'il allait partir, avant que Vernon ou Dudley ne viennent :

« Bonjour, Tante Pétunia »

Elle le regarda un instant, elle avait l'air surprise qu'il lui adresse la parole le matin, elle répondit un Bonjour à peine perceptible, tant elle était surprise, elle avait remarquer que Harry allait mieux, mais pas au points de lui parler à elle, elle savait bien qu'il ne l'aimait pas, et qu'il s'attendait sûrement à une réponse désagréable, c'était pour ça qu'elle s'était dit qu'il ne lui dira rien, pour éviter d'entendre quelque chose de blessant alors qu'il l'était déjà.

« Euh, Tante, Pétunia, je dois m'en aller demain à Poudlard »

-Hein ? Mais la rentrée c'est pour Septembre ! rétorqua-t-elle, surprise.

-Oui, je sais, mais Dumbledore me demande de venir pour prendre… des cours particuliers, répondit-il un peu gêné, il s'attendait à ce que Pétunia lui dise de ne pas prononcer le nom d'un sorcier dans la maison, mais elle n'en fit rien.

-Dumbledore te propose des cours particulier ? Tu dois être fort !

Harry faillit tomber à la renverse, c'était la première fois que Pétunia lui parlait comme ça, elle semblait intéressée par le fait que Dumbledore donne des cours à Harry, et celui-ci avait même décelé de l'inquiétude dans sa voix quand il avait dit qu'il allait à Poudlard le lendemain, mais le plus extraordinaire, c'est que Pétunia connaissait la puissance de Dumbledore , et qu'elle en parlait sans gêne, et Harry comprit, peut être que, Pétunia avait fait semblant, pendant tout ce temps, de haïr le monde des sorciers, car elle avait peur de perdre son mari, car c'était bien la première fois qu'Harry parlait avec elle de sorcellerie sans que l'Oncle Vernon ne soit à proximité.

-Comment sais-tu que Dumbledore est fort ? demanda-t-il enfin.

-Euh, et bien, Lily me parlait beaucoup de son école…

Ah, c'était donc ça ! C'était sa mère qui avait raconté à la Tante Pétunia que Dumbledore était fort.

Harry termina rapidement son petit déjeuner et dit en se levant :

« Je vais me doucher, Dumbledore viendra me prendre demain, il n'a pas précisé d'heure, et le connaissant bien, ça peut être à minuit, à six heures du matin, ou bien à 23 heures, il est un des sorciers le plus imprévisibles que je connaisse… »

Harry se figea, il avait dit le mot tabou dans cette maison, il venait de dire « Sorcier » il se retourna vers la tante Pétunia pour voir sa réaction mais elle le regardait distraitement, le mot « tabou » ne semblait pas l'avoir dérangé.

« Va te laver vite, ils ne vont pas tarder à se réveiller, et au cas où Dumbledore venait à minuit, je serai en train de dormir, alors au revoir d'avance. »

Harry était surpris par la soudaine sympathie de sa tante, mais il ne dit rien, si ce n'est qu'un au revoir à la porte de la cuisine.



Harry ne s'était pas trompé sur son directeur, car à minuit pile, la porte d'entrée sonna, Harry se leva tout de suite, attrapa sa valise qui était sur son bureau, prête, et descendit les escaliers discrètement, il espérait que son oncle ou sa tante ne soit pas réveillés, il ne voulait pas qu'ils voient Dumbledore , il ne croyait pas qu'ils allaient bien prendre le fait qu'un sorcier vint sonner à leur porte .

Il s'attendait à tout de leur part si ça venait à arriver, à tout, sauf ce qu'il entendit.

Il était en train de descendre la troisième marche, quand il entendit la porte d'entrée s'ouvrir, il crut que Dumbledore avait eut la merveilleuse idée d'entrer sans se faire remarquer, donc sans sonner, mais il se figea quand il entendit ce que le directeur dit :

« Ah ! Chère Pétunia ! Comment ça va ? »

Harry n'en revenait pas, il avait bien entendu ? Dumbledore avait appelé sa tante « Chère Pétunia ? » il faillit éclater de rire quand il s'imagina la tête de Pétunia, mais il préféra entendre sa réponse :

« Ah ! Professeur Dumbledore ! Je suis très heureuse de vous voir ! » En disant cela, elle se figea, et de là où il était, il vit Dumbledore sourire, mais sa tante continua « Harry, Descends ! Ne reste pas la à écouter les conversations ! C'est impoli ! »

Harry resta sans voix, et sans même savoir pourquoi, il descendit les marches et se tint devant eux :

« Bien, je vois que tu es prêt, allons y ! » Dit Dumbledore avec un grand sourire, et les valises d'Harry disparurent « Pétunia, tu permets qu'on transplane de l'intérieur de ta maison ? Je ne veux pas donner plus de travaille aux oubliators »

« Oui, bien sûr professeur » répondit celle-ci.

Pendant tout ce temps, Harry était resté silencieux, figé, Ainsi sa tante connaissait Dumbledore bien plus qu'une personne qui à juste écouté les récits d'une sœur, et elle l'appelait « Professeur », et comme ci Dumbledore avait lut dans ces pensé, il dit :

« Plus Tard Harry, Plus tard ! »

Harry voulut répliquer, mais sans prévenir, Dumbledore se plaça devant lui attrapa son bras, et transplana, et Harry sentit pour la première fois l'horrible sensation du transplanage, mais quand il rouvrit les yeux, il était devant les grilles du château de Poudlard...


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