Introduction (commencement de l'histoire)

Eerie, dans l'Indiana, une petite ville calme où il fait bon vivre mais ce n'est pas ce que pense tout les habitants...

Rue Normal, vit la famille Teller, une famille banale: Le mari, Edgar Teller, inventeur de son état, Marilyn Teller, mère au foyer protectrice et leur deux enfants : Syndi, 16ans,belle jeune fille blonde au visage fin, très populaire au lycée et aussi, il y à Marshall, 13 ans, aussi brun que sa soeur est blonde,fasciner par tout ce qui peut paraître étrange ou peut ordinaire ou même encore effrayant.

Marshall était allonger sur son lit, lisant un magazine qui avait pour titre « Paranormal is True », il y était abonner depuis maintenant 2ans et ne ce lassait pas des histoires de zombies, yéti, alien et autres choses peut commune.

Il lisait avec des écouteurs aux oreilles et ne faisait attention à rien, et encore moin à la créature immonde qui venait d'ouvrir la fenêtre de sa chambre qui était juste au-dessus de son lit. La créature à l'allure visqueuse se glissa sur le dossier du lit, Marshall, toujours absorber dans sa lecture, renifla bruyament, sentant une ordeur d'égout, il ce redressa en cherchant des yeux ce qui pouvait bien en être à l'origine.

La créature sauta alors dans le cou du jeune garçon...

Dans le salon en-dessous on entendit alors un bruit sourd, Syndi regardait son émission « Tod et Donna », elle regarda le plafond en suppliant le ciel que son frère n'ai pas encore une fois défoncé son lit en essayant d'attraper un de ces deux lézards.

C'est alors que son regard ce porta sur le vivarium...les deux reptiles étaient pourtant présent sur leur morceau de bois...elle jugea qu'il valait mieux monter à l'étage vérifier par mesure de sécurité.

Elle poussa un profond soupir et monta les marches avec fénéantise en maudissant mentalement de ne pas être fille unique.

Elle arriva devant la porte de la chambre de son frère et toqua

-Marshall!! c'est quoi ce bruit? Qu'est-ce que tu fais??

Pas de réponse.

-Marshall!! ce n'est pas parce que les parents sont sorti que tu doit nier mon existance!

Toujours rien.

Elle frappa alors plus fort à la porte et hurla :

-OUVRE CETTE PORTE TOUT DE SUITE!! CRETIN!!!

Rien.

Elle envoya balader l'intimiter de son frère et ouvra la porte, elle se figea en voyant la scène:

Marshall était à l'évidence tomber de son lit et gisait sur le sol. Syndi se précipita au chevet de son frère et le supplia de se relever. Mais le garçon était tout à fait inconscient, Syndi sentait que la situation était grave, elle plongea alors sur le téléphone poser sur la table de chevet et appela les secours à moitier en larmes. Pendant qu'elle composa le numéro des urgences, elle prit le poul de son frère : il était très lent...affreusement lent...trop lent...elle redouta alors le pire...et elle avait raison

CH 1 : Une solution

Cela faisait deux mois...deux mois sans aucune vie dans la chambre de Marshall...deux mois que le diagnostique du médecin était tomber : il ignorait totalement la cause de l'état de Marshall, les prises de sang n'avait donner rien de concluant ou d'alarmant, cependant, son rythme cardiaque restait toujours aussi bas, il ne diminuait pas d'avantage, mais restait toujours lent, comme si Marshall était dans un coma très profond ou dans un état second.

Cependant, il fallait tout de même s'inquiéter: comme l'avais expliquer le médecin, un mauvais rythme cardiaque signifie aussi une mauvaise circulation du sang, ce qui, à long terme, était dangereux pour tout le reste de l'organisme et surtout, cela pouvait provoquer au cerveau des dommages irréversibles.

Le premier mois, les parents restaient sans arrêt au chevet de leur fils en espérant un signe, Marilyn refusant catégoriquement de sortir de la chambre, Edgar faisait sans arrêt les cent pas au pied du lit de son fils.

Simon avait bon avoir 9 ans, il restait cependant le meilleur ami de Marshall, il venait tout les jours raconter à son ami inerte sa journée, Syndi l'avait prévenu le soir de « l'accident », elle aurait jurée avoir entendu la voix du petit rouquin trembler au téléphone en entendent les mots « il ne réagis à rien...aucun médicament...aucun teste... », cependant elle s'attendait tout les jours à voir Simon fondre en larmes en implorant son meilleur ami de répondre à ce qu'il lui racontait.

Syndi, quand à elle, essayait de vivre un minimum, elle mangeait peut, en ce forcant, dormais peut aussi, alors elle se forcait à rester au lit, et le plus étonnant était qu'elle n'appelait aucune de ces copines et encore moin copains, elle ne lisait pas ces magazines de mode, elle ne regardait plus son émission favorie, la seule chose qu'elle faisait était d'espérer et réfléchir en cherchant dans tout les livres médicaux qui lui tombait sous la main une solution que le médecin de l'hopital aurait pus ommettre.

Au bout d'un mois, Edgar à décidé de ramener Marilyn, même de force, à la maison, celui-ci craignant réellement que son épouse devienne folle ou ne fusse que déprimée, malheureusement c'était déjà le cas en ce qui concerne cette dernière hypothèse.

Edgar Teller avait repris le travail, ayant demander un conger « enfant malade »,son patron avait eu une réunion avec les membres de la société pour qu'ils évitent le plus possible d'aborder le sujet de l'étrange sommeil de Marshall.

Au lycée ce fut la même histoire, tout les étudiants était au courant pour les Teller et le principale avait demander à ce qu'on évite le sujet et surtout en présence de Syndi. Celle-ci devait revenir la semaine suivante.

Tout un mois était passer pendant lequel la famille Teller tentait de garder une vie normale, Syndi voyait à nouveau ses amies, mais souvent, son esprit semblait partir ailleurs pour ce réfugier près de Marshall et puis il était hors de question de s'éternisée à parler des garçons! À present si on voulait voir Syndi, il fallait se rendre à la bibliothèque pour tenter de lui arracher une réponse alors que la jeune fille a le nez plonger dans d'énorme volumes de médecines.

Syndi était à nouveau rentrer tard ce jeudi soir là, elle revenait encore fois de la bibliothèque, en arrivant devant chez elle, elle vis la voiture garée, donc ses parents n'étaient pas à l'hopital ou alors peut-être avaient-ils été plus tôt.

En tout cas, lorsqu'elle passa la porte d'entrer, elle senti une atmosphère lourde, ces parents parlaient bruyament, elle glissa sa veste au porte manteau et alla s'assoir sur les escaliers qui menaient à l'étage pour écouter la conversation.

-Bientôt, il faudra faire un emprunt à la banque, disait son père d'un ton évident

Marilyn ne répondit pas tout de suite

-On fera ce qu'il faut, tant que les médecins continue de chercher...si il le faut, je retravaillerais...

-Et moi je ferais des heures sup'...c'est incoyable ce que les frais médicaux peuvent être cher...c'est même honteux! Et nous n'avons pas encore payer les testes qu'il subit tout les jours! Je me demande vraiment si ils sont nécessaires...

-Bien sûre qu'ils le sont! s'emporta Marilyn, il faut que l'on sache si quelque chose s'améliore ou...s'aggrave...

Marilyn fondit en larmes, Syndi était convaincue que Edgar la prenait dans ses bras.

-Ne t'en fais pas, ma chérie, il s'en sortira...dit-il d'une voix tremblente

S'en fut trop pour la jeune fille qui monta dans sa chambre en ravalant ses larmes, il fallait s'en douter, les problèmes d'argent...tout tourne toujours autour de l'argent...même la vie de son frère à présent!

Si seulement elle pouvait travailler, elle y avait déjà penser, même juste pour s'occuper l'esprit, mais personne ne voulait l'engagée, soit parce que les gens n'en avaient pas les moyens, soit parce qu'ils craignaient qu'elle soit fragile psychologiquement. Pourtant, elle avait bien précisé qu'elle était habile de ces mains et bonne en math mais rien n'y avait fait.

Mais maintenant, trouver du travail n'était plus un loisir : c'était une nécéssité, et si elle ne trouvais pas vite, elle s'en voudrait de n'avoir rien pus faire pour son frère...ne pas l'entendre la vaner lui manquait, sa musique rock aussi et même ces bizarries.

Elle ouvrit la fenêtre de sa chambre, ces pensées l'étouffaient, il lui fallait de l'air, et s'assit sur le rebord de la fenêtre pour observer le ciel. Elle avait toujours penser que les étoiles l'inspiraient, mais le ciel était couvert, pas la moindre lumière à l'horrizon, même les étoiles l'abandonnaient, à ce moment, elle aurait donner corps et âme pour les voir...

Corps et âme...corps...mais oui,...non elle n'oserait pas et pourtant cela rapporte beaucoup...mais faut-il encore oser...et puis si ces parents l'apprenaient...non, elle serai discrète...

Elle descendit de la fenêtre et la referma, elle se dirigea vers son mirroir sur pied et se regarda dans la glasse, elle détacha ses longs cheveux blond maintenu par un élastic et enleva son t-shirt. Elle s'admira ainsi en soutien-gorge pendant un moment et pris une décision : si il le faut, elle vendra son corps...et cela même au diable.