Hello à tous, je suis MrJacketBarths ! (ou Barthes, comme vous voulez)
Voici le début de ce qui est cette fois, une histoire totalement originale ! Oui, ma première. Tout le reste, même si c'était assez bien foutu, c'était juste des reprises d'autres sources. Et cette fois, Gorillaz et Rammstein, y'aura pas.
A la place, je vous propose une histoire mettant en scène 2 univers très différents, l'un assez ancien et l'autre très récent : Devolver Digital et Clyde Vanilla !
Bon, j'imagine que le second, vous connaissez, parce que tout le monde a écouté les 2 premiers épisodes. Mais pour le premier, voici un conseil que je vous donne :
- Tapez « Devolver Digital » sur Internet.
- Allez sur les pages Wikipédia qui en parlent. Surtout les pages anglaises, elles sont meilleures.
- Consultez leur chaîne YouTube et regardez leurs bandes-annonces et autres vidéos. Ou les gens qui ont joué aux jeux.
Si je vous conseille ça, c'est parce que sinon, vous ne pigerez juste RIEN à ce que je vais vous raconter. Ou alors, pas grand-chose. Et que pour raconter précisément tous les jeux édités par ces gars-là avec leurs scénarios et leurs personnages, il me faudrait tout un bouquin ! Vraiment. Tout un bouquin.
Je tiens à vous prévenir qu'évidemment, je continue Gorillaz Kicks Assia ! (j'essaierai d'alterner entre les 2). Et que comme Clyde Vanilla est une toute jeune série audio n'ayant que 2 épisodes (déjà que j'ai pas écouté l'épisode 2), je vais ignorer tout ce qui pourrait survenir à partir du moment où cette fanfiction commencera à être postée sur les Internets ! C'est-à-dire que l'histoire peut être dissociée du véritable scénario de la série audio et que je ne prendrai que les personnages de Clyde et de Billy pour ça. Et accessoirement, le vaisseau avec une voix de DJ des années 90.
Donc, appréciez cette petite intro qui va essayer de vous mettre en bouche ! Tous ceux qui seront cités appartiennent à leurs créateurs/s'appartiennent à eux-mêmes.
Le ciel, endroit et époque indéfinies
« Laserauser, me recevez-vous ? »
« Je vous reçois bien, Commandant. »
William Bailey était euphorique. Jeune aviateur aux grandes compétences, il avait la chance d'être dans un poste de sergent au sein des Luftrausers. Une unité d'aviation rassemblant une bonne partie des meilleurs… ben, aviateurs de leur promotion. Dirigeant les avions les plus armés et les plus dangereux qui puissent exister, ils se chargeaient de faire régner la paix dans le ciel et sur les sept mers. Ce dont Bailey était fier. Et la seule chose qui le rendait encore plus fier, c'était donc son fameux Laserauser.
Un avion gros et massif qui était la terreur de beaucoup de pirates de l'air. Encore plus quand le laser qui donnait son nom à l'avion se mettait en marche et pulvérisait tout le monde. A cette pensée, Bailey se souvint de la fois où, alors que la bande de pirates cubains qui était en train de les canarder s'apprêtait à gagner le combat, il avait enclenché pour la première fois un laser amélioré par les bons soins de Jeffrey Isbell, le mécano officiel de l'équipe des Luftrausers. Tous cramés du premier coup, ces salopards ! Will repensait à tout ça quand soudainement, ses appareils se mirent à clignoter et à émettre des bruits étranges. Il se redressa tout de suite sur son siège.
« Tour de contrôle, que se passe-t-il ? L'avion se comporte bizarrement. »
« Bailey, ici tour de contrôle. Les autres nous en avertissent aussi. On dirait que c'est comme pour nous prévenir qu'on va presque trouver ce pourquoi on vous a envoyés. »
A ces mots, l'aviateur repensa à la mission d'aujourd'hui. Leur commandement les avait informés que le ciel semblait brouillé par des parasites. Et que, plus étonnant, ces parasites n'avaient pas du tout l'air normaux. Comme si le problème venait de quelque chose de plus grand que les communications. Pour ne rien arranger, une fissure lumineuse s'était créée dans le ciel et tout le monde, jusqu'aux plus hautes institutions, se posait la question de son origine.
Et Bailey semblait être arrivé près de cette fameuse fissure. Peut-être allait-il être le premier à livrer des informations à ses supérieurs, voire trouver la source de ceci. Au moins, sûrement que ça le changera de son quotidien. Il se retourna vers la gauche et la droite et vit ses équipiers dans leurs brillants destriers aériens, regroupés avec lui et fonçant vers leur objectif.
« Tout le monde est paré ?, dit-il à ses coéquipiers.
« Tout le monde, lui répondit l'un d'entre eux. On n'attend plus que votre accord pour foncer vers la cible. »
« Accord autorisé, se contenta-t-il de répondre, le sourire aux lèvres.
Immédiatement, les Rausers partirent tout droit vers la drôle de fissure, prêts à tirer et Will était paré, lui aussi. Certes, son avion se comportait bizarrement mais ce n'était pas la première fois. Son équipe était chevronnée et avait réussi énormément de missions, celle-là n'allait sûrement pas foirer ! A un moment, il crut voir la cible devenir plus lumineuse mais comme le soleil brillait, il ne pouvait pas en être sûr.
Et puis, il disparut.
19ème arrondissement de Paris, un appartement inconnu, 2017
A cet instant précis, Alexandre Muttoni, Frédéric Coispeau et Florian Reneau étaient des hommes heureux.
A cet instant précis, ces 3 hommes, qui avaient abandonné des métiers qui les frustraient et ne les rendaient pas heureux, étaient fiers du bébé qu'ils avaient créé. Oui, un bébé mutant, drogué, hyper-musclé et un peu psychotique sur les bords, mais un beau bébé quand même.
A cet instant précis, ils avaient réussi à sortir de leurs cerveaux un univers fait de Russes, de lutteurs sous drogue complètement tarés, de mafieux très laids, de policiers ultra-corrompus, de pitbulls terrifiants, de combats de rue et d'hallucinations horrifiques. Et à cet instant précis, pas mal de gens avaient adhéré à leur trip, dont une petite entreprise américaine réputée et de 2 gars les ayant inspirés très fortement.
A cet instant précis, ils étaient partis dans plusieurs endroits du monde, avaient enchaîné les salons et avaient accompli un parcours que peu de gens peuvent se targuer d'avoir accompli.
A cet instant précis, ils contemplaient leur jeu, fiers de pouvoir se dire qu'ils avaient réalisé ça rien qu'avec leurs 3 paires de mains et fiers de pouvoir être considérés comme de vrais développeurs. De vrais développeurs de jeux vidéo.
Oui, à cet instant précis, Alexandre, Frédéric et Florian étaient des hommes heureux.
Et à cet instant précis… ils disparurent.
Et voilà, cette intro est finie ! Et ce qui est arrivé aux développeurs et aux personnages, vous le saurez dans le prochain chapitre. Et retenez bien que ce que vous avez vu, ça va arriver à beaucoup d'autres. Mais il fallait faire un choix et je n'ai pas mis tout le monde ici.
En tout cas, si vous avez aimé, laissez une review !
Tshaw !
