Les cloches de Notre-dames sonnèrent à l'unisson le temp était d'un triste à croire le ciel était aussi malheureux que le peuple de Paris,un silence de mort regnait en ville et il fut déchiré par un bruit aigue et sec, que l'on entendait à longueur de temps...elle se trouvait la devant Notre-Dame elle etait aussi imposante que terrifiante, la peuple parisiens s'était rassemblé en masse pour assister aux exécutions.
Quatres personnes qui portaits tous une longue cape avec une capuche attendaient en bas de la ballustrade « j'veux pas mourir» disait l'un d'eux, ils commencèrent a gémir tous sauf quelqu'un il etait la levant les yeux ciel et ne dit rien comme si...il avait accepter son destin.

Non loin de là des bruit de pas intense se faisaient entendre sur les homme semblait ne ressentire aucune émotions comme un bloc de glace il s'arreta quelques instant regarda sa montre de poche elle etait d'un blanc argenter et portait une inscription incruster deçu "jacque" il l'ouvrit et regarda l'heure et contrairement a la couleur argent de la montre le cadrant etait noir avec des chiffres romains au couleur d'or ( elle affichait 15h ) sur le côter qui recouvrait le cadrant il y avait une autre incription est écrit en petit " devant tes choix ne te défile pas, devant tes idées hurles les,devant tes ennemies détruit-les" il referma la montre la rangea et courut comme s'il avait le diable au semblait avoir vingts ans pas plus, il était vétu d'une simple chemise blanche et les manche retoucé jauni a cause de la saletée, avec un gilet sans manche qui descandait a mi-jambe a l'arriére il portait un pantalon bleu asser foncé et des bottes qui arrivait presque au genoux et sur sa tête il y avait une capuche qui cachait son visage sauf, une lueur bleu qui s'en é s'arreta et la vit là en bas la guillotine, il descenda du toit en passant par des echaffaudages de fortune et courut a travers la foule.

Il ne restait que deux personnes a attendre leurs tour les gardes saisirent une des dernière personnes qui se débatait, elle hurla mais en vain, il fut allonger sur la planche de la guillotine la tête coincée dans un trou pour qu'il ne puisse pas s'enfuir il hurla à la mort,il hurlat de toute ses forces et puis, plus rien pendant que des gardes enlevaient le corp de la planche d'autres allaient cherche le dernier condamné.

il courait aussi vite qu'il le pouvait, il aperçu des garde qui tentaient de l'empecher de passer il pris une faucille dont la lame etait plus grosse que l'ordinaire et une petite lame était placé sous le manche, il se débarrassait des gardes comme s'ils n'avaient jamais été là.

un des gardes de la ballustrade fit signe de se dépêcher le condamner regarda derrière lui et sembla abassourdie comme si la mort en personne arrivait il essaya de partir mais en vain.

il était à présant a vingts mètre de l'échafaud trois gardes étaient devant sa route épées a la main, en un rien de temp l'homme était passer et les gardes, à terre dans une marre rouge. il reprit sa course effrené, il était au niveau de l'échaffaud et vit le garde pousser le condamner a terre et semblait déterminer et au niveau de l'echaffaud il bondit des escaliers pour prendre appui sur une barriere de bois sur la plateforme qui surlevais la guillotine soudain le temp avais comme ralentit pour lui il regarda le garde qui semblait appeurer et commençi a sortir son épée ,l'homme dirigeais sa faucille ver le garde, il la tenait des deux main la petite lame du manche dirigé vers le garde et soudain un mécanisme fit jaillir le manche et plaqua le garde sur le sol de l'echaffaud. la faucille etait désormais aussi grande que l'homme qui la maniait, il se releva saisit son arme et approcha du comdamner. Une tresse s'echappa de la capuche qui etait attacher par une sorte de croix rouge,les mains attachées elles serait les points. il s'approcha d'elle rentra le manche télescaupique et saisi la faucille du bon sens.
-«je te tien enfin» . fit-il
La lame se dirigiea vers la femme et soudain plus rien le souleva mon casque et je vois une femme
-c'est tout pour aujourd'hui tu peut aller te reposer. dit-elle en souriant.