Ça y est je commence ma fanfiction ! J'ai enfin trouvé un point de départ qui me conviens donc je me lance. C'est un OC, le personnage je l'ai créée et il me tient beauoup à cœur parce qu'il a une personnalité que "j'admire" si on peut dire. Je vous laisse lire, c'est plus un prologue qu'autre chose.
Je ne comprends plus, je suis perdu. J'ai toujours su où était le bien, où était le mal. Le bien c'était mes amis, le foot,
mon équipe. Le bien c'était mon frère, ce qu'il décidait je le faisais, il ne me forçait jamais mais quand j'étais en doute je prenais la même décision que lui. Mais maintenant je suis censé m'appuyer sur qui ? Je ne sais plus où est le bon côté parce que je ne sais plus où est mon frère. Et que personne ne me parle d'Ishido, ce n'est pas mon frère.
J'ai toujours mes amis, mais ce n'est pas pareil. Quand mon amoureux (dieu, qu'est-ce que ce terme est guimauve!) Kazemaru me prends dans ses bras parce que je pleure, c'est réconfortant mais ce n'est pas comme quand je courais jusqu'à la chambre de Goenji pour pleurer tout ce que j'avais. Parce que maman venait de mourir, que Yuuka était tombée dans le coma, parce qu'il allait devoir partir en Allemagne. Quand je veux discuter, Kido et Fudo sont ravis que j'aille chez eux (enfin ravi, c'est peut-être juste de la pitié mais voilà...) mais avec eux, on parle de stratégie, mais avec Goenji je pouvais juste lui parlais de mes sentiments, de ma vie, de tout.
Et il ma pris ma sœur, ma jolie Yuuka, évidemment elle l'a toujours préféré et je sais qu'il ne lui fera jamais mal, il l'avait promis à maman. Mais il avait aussi promis pour moi et il n'est plus là. Je suis Goenji Sorahono, mais le ciel enflammé est en train de s'éteindre, noyé sous les larmes.
L'autre fois, je voulais aller dans un bar avec mes amies* et je l'ai vu. Entouré de... prostituées. En face de lui, il y avait Kido, mais j'ai cru comprendre qu'il y était en mission. Ils m'ont regardés, je n'est pas vu les yeux de Kido mais ceux de Goenji, j-j'ai détesté ce que j'ai vu, ce dégoût pour moi. Je me suis fixé sur place, incapable de bouger et le pire c'est ce que j'ai entendu. :
«-C'est qui elle ? Demanda une des jeunes filles.
-Elle, ce n'est personne, plus personne.
-Schuu... je gémis. Schuu... »
Donc voilà, voilà, c'est plutôt cours mais j'avis peur de faire répétitif.
(le prénom Sorahono signifie réellement ciel enflammé)
*La scène est la scène du chapitre 2 de Lionceau, une fiction d'Ygrec que j'apprécie beaucoup.
N'hésitez pas laisser des reviews sur comment vous sentez cette fiction mais si honnêtement je ne vois pas si on sent ce que je veux amener vu que c'est peu développer.
Bisous.
