Auteur : Sheina
Origine : Gundam wing.
Couple : surprise… En faite il suffit de me connaître -_-
Genre : Romance/drama.
Note : Heu… je pense que ça vient d'un film (c'est un vague souvenir -_-) enfin juste le principe des balles en glaces.
Résumer : Plusieurs meurtres par balle mais aucune balle. Une ombre dans la nuit. Un policier sur douer. Mais comment cela va-t-il se finir ?
Disclaimer : Les personnages ne sont malheureusement pas de moi
Béta lectrice : Azaléa Maxwell (elle est en a du travail avec moi la pauvre, n'est pas Aza ^_-)
Tueur à gage !
Chapitre 1 : nouveau contrat.
Je me levais tranquillement, baillant à m'en décrocher la mâchoire, je jetais un coup d'œil à mon réveille. 11h 45. Il faut dire que je n'étais rentré chez moi qu'aux petites heures, enfin, si 5 h 30 pouvais encore être considéré comme les petites heures. Baillant de nouveau, je rejetais ma couette afin d'aller prendre une bonne douche. Mais à peine étais-je sorti de ma chambre, qu'une boule de poil me sauta dessus en me faisant chuter. Souriant et riant, je lui dis :
- Descend ma grande, je vais arriver.
Un léger rugissement se fit entendre. La panthère noire se releva et me rendit ma liberté. Je me relevais en souriant avant de la caresser entre les deux oreilles. Elle émit un bruit de gorge ressemblant à un ronronnement. Elle était ma seule amie, enfin non, il y avait aussi Quatre. Elle me regarda de ses yeux d'ambre avant d'aller se coucher de tout son long sur mon canapé. Je me dirigeais alors vers la salle de bain.
Lorsque je fus laver et habiller, je me préparai un petit dîner vite fait bien fait. Une simple assiette de pâte sauce bolognaise. Une fois cela fait, je m'installais dans le fauteuil, mangeant tranquillement en regardant la télé. Nous étions lundi, et j'avais bien l'intension de profiter de mon jour de congé pour me reposer. Demain il me faudrait repartir au travail. Une fois fini, je mis mon assiette et mes couverts dans le lave-vaisselle. Soupirant, je partis m'installer prêt de Yuna, celle-ci leva la tête pour me faire une place. Je m'installais tandis qu'elle replaça sa tête sur mes genoux. La caressant lentement entre les oreilles, je regardais les informations. C'est alors que je le vis apparaître à l'écran, Heero Yuy, le grand commissaire, le petit prodige de la police. Il avait, comme moi, 22 ans et il avait sous ses ordres, la plus grande partie de la police. En fait, la police avait fait appelle à lui pour résoudre une série de meurtre non élucider. Cela faisait des années que des gens mourraient assassinés. Tuer par balle d'après les rapports d'autopsie. Mais le seul hic était que jamais, et ce même si aucun trou n'indiquait sa sortie, ils n'avaient retrouvé de balle. C'était un mystère non élucidé. Vers 15h, je sortis de chez moi pour faire quelques courses. En effet avoir une panthère chez soit ce n'était pas facile tout les jours. N'oublions pas que ça mange 5 kg de viande par jour. Heureusement que j'avais un subside pour ça. C'est vrai que Yuna à toujours été élevée de la main de l'homme et pour être plus précis de la mienne. Alors que ça mère la rejetée parce qu'elle était plus petite que les autre, c'est moi qui l'avait soignée jusqu'ici. Lui donnant le biberon, lui donnant son bain, ou encore la soignant quand elle était malade. Et maintenant elle refuse la présence d'une autre personne. Je me dépêchais de faire mes courses en finissant par la boucherie. Dès que je fus entré, Hilde, la gérante, me sourie et dit :
- Et Duo, Comment vas –tu ?
- ça vas et toi.
- Magnifique, je ne me suis jamais sentie aussi bien.
- je m'en doutais un peu, tu t'es encore arrondie ma grande.
- Je sais, mais ça ne me gène pas.
Sur ce, Hilde se caressa le ventre en souriant tendrement. Cela faisait 8 mois qu'elle était enceinte. Je la laissais dans son monde deux minutes avant de me placer devant elle et de passer une main devant ses yeux.
- ho heu… désolé Duo, je vais chercher ton colis de viande, il est vrai qu'elle mange comme quatre.
Sur ce, elle partit chercher un gros paquet dans l'arrière boutique. Il contenant ma viande pour aujourd'hui mais aussi les 5 kilo qu'il fallait pour mon bébé. Heureusement que mon studio n'était pas loin. Une fois le colis changé de main, je payais avant de partir en lui souhaitant une bonne journée. Elle me sourit et m'adressa un petit signe. Son mari était Solo, un garçon qu'elle avait rencontré pas hasard dans un parc. A peine rentré, Yuna vint me renifler. Un léger rugissement sortit de sa gueule lorsqu'elle renifla la viande. Souriant je lui dis :
- Mais oui attend, je vais te donner à manger gourmande, mais laisse moi rentré tout de même.
Lorsque je lui eu donné sa viande, je rangeais le tout avant de laisser passer tranquillement la journée. Avant de me couché, je n'oubliais pas de réglé mon réveil afin de me lever à 6h 30. Bien que je ne commençais qu'a 8h, il me fallait du temps pour me préparer. En effet, bien que je sois un garçon, mes cheveux avaient une longueur impressionnant. Toujours tresser, ils attisaient la convoitise de beaucoup grâce aux multiples reflets couleur miel qui courrait le long de mes mèches châtain. Mais ce qui est sur et certain c'est que l'attention des autres est attirer sur moi surtout à cause de mes yeux aux multiples reflets mauves, violets et autre nuances de la couleur améthyste. Enfin, bref, la compagnie des autres ne m'intéressait pas spécialement de toute manière. Les seules personnes que j'ai côtoyées durant mon enfance n'étaient tous que des égoïstes ou presque. Soupirant, j'allais me coucher.
*Le lendemain matin*
Lorsque le réveil sonna, ce fut avec difficulté que j'émergeais. Je détestais me réveiller aussitôt. Ce que j'aimais par-dessus tout c'était la grasse matinée. Enfin je n'avais pas vraiment le choix. Me levant en ronchonnant, je partis à la salle de bain. Une fois que je fus habillé et que je m'étais assuré que Yuna ne manquerait de rien, je pris mon vélo afin de me rendre au zoo. En effet c'est là que je travaillais. A peine arrivé, Chang Wufei me tomba dessus :
- MAXWELL….
- Quoi, je suis pas en retard il me semble.
- Ah non. Quelle heure est-il ?
- 8h moins 10 pourquoi ?
- et quand commences-tu normalement ?
- ben à 8h. Mais à quoi tu joues Wufei ?
- Sauf…. ?
- Heu... Wouaaaaaaaa, Kiara
Wufei :
Sur ce il partit en courant en direction de l'enclos des fauves. En effet, Kiara est une tigresse qui devait mettre bas dans la semaine. Et durant cette période elle refusait la présence de qui compte à par Duo. Je me demandais bien ce qu'elle pouvait lui trouvé. Enfin…
Duo :
J'arrivais auprès de Kiara. Lorsqu'elle me vit elle se mit à grogner mais me laissa l'approcher. Je me mis à côté d'elle avant de lui caresser doucement le flanc. Son souffle était encore régulier, ce qui me prouvait que le travail n'avait pas encore commencé. Je me dépêchais de préparer tout ce qu'il fallait, ainsi que beaucoup d'eau fraîche. En effet, en ce mois de juin, il faisait très chaud. Je m'occupais donc des autres fauves tout en gardant un œil sur Kiara. Alors que je m'occupais de max, le tigre blanc, j'entendis un puissant rugissement. Aussitôt je me précipitais vers la tigresse. Le travail venait de commencer. Ce fut après plusieurs heures d'effort que tout fut fini. Cinq petits étaient nés et en bonne santé. Je m'assurais que tout allais bien avant de repartir. Vu que le travail était commencé tard, la nuit était tombée maintenant que je quittais le zoo. Alors que je rentrais tranquillement, roulant lentement avec mon vélo, je remarquais qu'une voiture me suivait. Souriant, je me mis à accélérer progressivement. La voiture en fit de même et roula toujours de manière à ne pas se faire distancer. Tournant dans une ruelle prêt de chez moi, j'attachais mon vélo à un poteau, afin qu'on ne me le vole pas. Continuant à pieds, je vis que mon poursuivant en fit de même. Je tournais dans une impasse avant de sauter en prenant appuis sur l'un des containers pour attraper l'échelle de secoure de l'immeuble d'à côté. C'est alors que je vis entré dans la ruelle, un homme aux longs cheveux blond. Mettant la capuche de mon sweat afin de dissimuler mon visage, je sautais derrière lui en prenant un couteau caché à hauteur de ma cheville. Arrivant en souplesse derrière lui, je lui mettais la lame de mon arme sous la gorge avant de lui dire :
- Que me vaut la visite d'un homme de ta classe. Aux vues de tes vêtements tu n'es pas le plus pauvre du quartier.
- JE… Je veux parler à l'ombre.
- L'ombre ?
- On m'a dit que vous étiez son contact.
- Où as-tu eu cette information ?
- Mes hommes me l'on dit après avoir fait une enquête sur vous.
- Et que lui veux-tu ?
- J'ai un contrat pour lui.
- Laisse-le demain à 00h auprès du cerisier centenaire du parc, je passerais le message. Attention, tu viens seul et en personne.
- D'accord.
Sur ce je partis en courant, le laissant tremblant. Je partis récupérer mon vélo avant de rentrer directement chez moi. Aussitôt ma Yuna me sauta dessus en ronronnant. Après avoir joué avec elle pendant un moment, je pris ma douche avant de manger un morceau. Je ne tardais pas à aller dormir, en effet j'allais certainement devoir me passer de quelques heures de sommeil à venir. Le lendemain tout se passa sans problème. Kiara s'occupait bien de tous ses petits. Les autres animaux allaient biens, je n'avais donc pas grand-chose à faire à part les nourrirent à l'heure prévue. Le soir venu, vers 23h 30, je m'habillais de noir, mis un collier à Yuna et sortis avec pour me diriger vers le parc. Lorsque je fus arrivé à destination, je me murmurais à Yuna se qu'elle devait faire. Elle me regarda un instant, une lueur d'intelligence brillant dans ses yeux d'ambre, avant de se diriger vers l'arbre. Je me mis dans un arbre à portée pour que je puisse la surveiller, juste au cas où. Apparemment elle ne sentit aucun danger car elle se dirigea vers le cerisier sans problème avant de se mettre dans les fourrer aux aguets. Comme prévus, elle resta là à attendre le colis. L'homme blond déposa un attaché case noir puis partir. Yuna attendit quelques minutes avant d'avancer. Elle ouvrit la mallette, cassant les attaches avec ses griffes, avant d'y prendre les papiers. Elle se dirigea vers moi sans se presser, écoutant les bruits alentour. L'on rentra ensemble sans problème. Immédiatement je lu les documents, apprenant par cœur les traits physiologique et psychologique de ma prochaine victime. Apprenant les moindres détails des plans fournis, mémorisant le numéro et l'adresse de mon employeur ainsi que ma proie. Lorsque tout fut encré dans ma tête je brûlais le tout avant d'aller dormir. Le réveille fut difficile, en effet je n'avais pas beaucoup dormis. Tout se passa sans problème au parc, sauf que Wufei me gronda parce que j'avais l'air endormi. Non mais enfin, pour qui il se prenait ? Mon patron ? Heu… en fait oui, c'est mon patron, soupirant, je traînais les pieds jusque Kiara pour voir comment elle allait. Je ne pouvais espérer mieux, elle protégeait ses petits avec beaucoup de ferveur, elle m'empêchait de les approcher. Enfin, c'était tout à fait normale pour une mère de protéger sa progéniture. Lorsque ma journée de travail s'acheva à 18 h 30, je fis un petit détour. La maison de mon employeur n'était pas très loin de mon lieu de travail, j'avais donc décidé d'y faire un saut. Lorsque je fus sur place, je fis le tour de la propriété. Petite baraque à vrai dire. En fait, elle appartenait à Miliardo Peacecraft, grand et riche dignitaire de cette ville. Il espérait bien se faire réélire encore cette année, mais la concurrence était dure. Sa sœur, Réléna Peacecraft, s'était mise en tête de le surpasser. J'attendais que la nuit tombe avant d'agir. Lorsque le ciel fut obscurcit par diverse nuage, j'enfilais ma cagoule en prenant soin de placer un brouilleur de vois au niveau de ma gorge. Il était hors de question que ce fils à papa me reconnaisse. Montant sur le toit, je passais par une petite lucarne du grenier, faisant attention à ne pas faire le moindre bruit. Monsieur Miliardo se trouvait dans son bureau au premier étage, je l'avais repéré par l'une des fenêtres. Je me faufilais derrière lui et, de nouveau, lui mit une lame sous la gorge avant de lui dire :
- J'accepte le contrat. Le prix, 3.000.000 Euros.
- Mais…
-A prendre où à laisser, le prix n'est pas discutable.
- Bi…bien.
- Vous voilà raisonnable, elle sera morte dans les prochains jours.
Sur ces derniers mots, je partis comme si je n'avais été qu'un simple courant d'air. Les jours passèrent tranquillement, j'avais prévus d'agir dans la nuit de jeudi à vendredi. Lorsque le jour J arriva, tout était prêt. A la nuit tombée, j'enfilais ma combinaison de cuir noir, ainsi que mon masque. Celui-ci était des plus simples, noirs et en cuir également, il couvrait l'entièreté de mon visage, et recouvrait mes cheveux avant de s'attacher à l'aide de quatre petits lacets à l'arrière de mon crâne. Mes cheveux avaient soigneusement étaient coincé dans ma combinaison afin d'éviter que l'on me reconnaisse trop facilement. Bien évidement je portais des gants pour éviter toute empreinte. Je partis silencieusement de mon studio, emportant avec moi une mallette noire. Je me fondais dans la nuit, m'harmonisant avec elle afin de m'en faire une alliée. L'ombre était, depuis toujours, l'une de mes meilleures amies, tout comme la solitude, enfin. Arrivé à environ 1900 mètres de la maison de ma proie, je pris la direction d'une petite colline se trouvant au nord-est. En effet, j'étais venu repérer les lieux auparavant. Mais cela n'était pas vraiment nécessaire vu que je connaissais cette ville comme ma poche. Non parce que j'y avais grandis, mais parce que cela faisait belle lurette que je sévissais dans le quartier. Me positionnant au milieu des fourrés, j'ouvris ma valise afin d'en sortir diverses pièces que je me mis à assemblé minutieusement afin de former mon fusil. La dernière partie que je fixais était la lunette de précision. Je me mis alors à observer, à travers celle-ci, la demeure de ma victime. Cherchant la fenêtre de sa chambre. Une fois en vue, j'ouvris un petit compartiment à part dans mon attaché case, j'en sortis un chargeur très froid. En effet se compartiment était réfrigérer car, pour ne jamais laisser de trace, mes munitions était tout simplement faite de glace. Mettant mon chargeur et engageant un cartouche avant d'ajuster mon tir, je tirais. Une légère détonation se fit entendre, le bruit avait été étouffé à merveille par le silencieux. Une balle en plein cœur, cela ne pardonnait pas. Je m'assurais alors qu'elle était bien morte avant de plier bagage et de rentrer tranquillement chez moi.
* Le lendemain matin*
Heero :
Trowa, mon coéquipier et ami, venait de m'appeler, me demandant de venir d'urgence à l'adresse de la politicienne Réléna Peacecraft. Je fis ce qu'il me dit. Dans les 15 minutes qui suivirent, j'étais prêt et montait dans ma voiture. Lorsque j'arrivais à hauteur du portail, un policier en uniforme m'arrêta
Désolé monsieur, mais vous ne pouvez pas rentrer dans cette propriété pour l'instant.
Soupirant, je sortis de la poche intérieure de mon blouson mon badge avant de lui tendre. Il me regarda un instant avant de le prendre. Après l'avoir observé attentivement, il me le rendit en me disant :
Veuillez m'excuser Monsieur.
Ce n'est rien, vous ne faite que votre travail.
Sur ce, je remontai la luxueuse allée avant de venir me garé à côté de la voiture de mon ami et collègue. Celui-ci y été appuyer, il m'attendait. Une fois garé, je sortis de ma voiture. Trowa s'avança vers moi. Je lui serrais la main, il me dit :
Encore une nouvelle victime, et comme pour les autres fois, aucune trace n'y d'infraction n'y de la balle.
Hum…. D'autres détails ?
Pas vraiment, les domestiques n'ont rien remarqué. Aucun bruit suspect.
Bon, puisque la blessure est toute de même par balle, a-t-on trouvé l'orifice d'entrée de celle-ci dans la maison ?
Non, la fenêtre de la victime était ouverte, c'est donc certainement par la que la balle est rentrée. Et pour ce qui est de la plaie de la victime, c'est une balle en plein cœur.
Soupirant, je me mis à réfléchir un instant. Trowa fini par me demander :
Tu veux aller voir la chambre de la victime ?
Oui, cela pourrait peut-être m'aider.
Trowa se mit en route, je le suivis. Cela faisait une nouvelle victime. Mais quand allait-on arrêter ce malade ? Arrivé sur le lieu du crime, je me mis en quête du moindre petit indice que puisse m'aider.
Duo :
Étouffant un bâillement, je repris les soins de Lika. C'était une lynx qui s'était blessé il y a deux jours. Elle avait voulu sauter sur une branche mais celle-ci avait cassé. En retombant, elle s'était entaillée la patte arrière droite contre un rocher. Lorsque j'eu fini de changer ses bandes, Je vis Wufei arrivé vers moi. Arrivé à ma hauteur, il me dit :
Alors, comment va-t-elle ?
Ca va, mais il faut qu'elle évite de forcer, sinon elle risque de garder un léger boitillement. Il faut dire que la plaie était assez profonde.
- Hum… Je compte sur toi pour qu'elle guérisse.
Mais oui, t'en fait pas. Tu sais bien que je les adore et que donc je ne les abandonnerais jamais.
Je le sais Duo, ne t'en fais pas. Au fait, comment va Yuna ?
- Elle va bien, tu la connais, elle mange comme quatre et me saute dessus à tout moment.
Oui, c'est vrai qu'elle t'a toujours adoré. C'est peut-être l'une des seules femmes.
Sur ce, il se mit à rigoler. Je souriais aussi. Wufei savait très bien que je préférais les hommes aux femmes, et que Yuna était la seule femme que j'acceptais à présent dans ma vie. Décidant de le taquiner à m'on tour, je pris un air un peu machiavélique avant de lui demander :
Et toi, les amours mon grand ?
Il vira immédiatement couleur écrevisse avant de me dire :
ça ne te regarde pas.
vu ta rougeur, le grand blond t'a encore culbuté hier…
Il se mit alors à crier mon prénom avant de me courir à près. Je me mis à le fuir en rigolant avant d'aller me placer au côté de Kiara. Celle-ci me regarda un instant, mais lorsqu'elle vit Wufei arrivé comme une furie, elle se mit à gronder en se plaçant devant ses petits et devant moi. Le chinois s'arrêta immédiatement avant de dire :
Revient ici Maxwell… Arrête de te cacher derrière Kiara.
Pas question, j'ai pas envie que tu m'étripes. Kiara elle, elle me protège.
Je lui tirais la langue. Mon ami soupira avant de s'accroupir et de dire doucement à la tigresse :
calme toi ma grande, je ne vais rien lui faire.
Celle-ci arrêta de grogner. Wufei se releva et s'approcha. Mais alors qu'il arrivait prêt de moi, Kiara se plaça entre lui et moi. M'accroupissant, je passais un bras autour de son cou avant de lui murmurer doucement :
-C'est tout ma grand, calme toi.
Lui donnant un bisou entre les oreilles, je me relevais avant de sortir de son enclos avec Wufei. Celui-ci soupira avant de dire :
je ne sais pas ce qu'il te trouve mais que tu aies vers n'importe le quels d'entre eux et ils te protègent.
Je sais. A vrai dire je n'ai jamais compris d'où se don me venait mais j'ai toujours pus être accepter par n'importe quel félin.
Normale, entre bête sauvage, on se comprend.
Mais….
Celui-ci se mit à rigoler. Après avoir dîné avec lui, je partis nourrir les animaux du zoo. Le reste de la journée se passa sans problème. À 19 h je quittais le zoo pour me diriger vers le petit magasin se trouvant non lui de chez moi. Après y avoir mit mes achats dans la charrette, je me mis dans la file de la caisse. C'est alors que j'entendis la conversation des deux personnes devant moi :
Tu as entendus, il parait que l'ombre à encore frapper.
Vrai ? Je ne le savais pas. Qui a-t-elle tué cette fois ?
Peacecraft.
Quoi, le beau mec blond de la présidence…. ?
Non, sa sœur, c'elle qui devait aussi se présenter aux élections.
Ho…. Mais tu sais toi pourquoi il appelle le tueur l'ombre toi ?
Ben c'est parce qu'ils ne savent pas c'est qui. Il n'arrive pas à mettre la main dessus.
Ah…. Ok. Tu t'imagines, c'est peut-être un super beau mec.
T'es une vraie folle. Qui te dit que c'est pas un laideron ?
D'habitude ils sont superbe les méchants.
Tu es désespérante.
Sur ce, elles se mirent à rigoler. Soupirant, j'attendis encore quelques minutes avant d'arriver devant la caissière. Celle-ci pointa mes achats, je payais avant de partir, enfin soulager d'être dehors. C'est fou ce que je pouvais ne pas avoir de patience pour certaine chose. Autant je pouvais rester des heures sans bouger pour repérer les lieux et les habitudes de ma victime, autant attendre le bus ou attendre dans les magasins était un calvaire. Regardant ma montre je vis qu'il était déjà presque 20h 30. Hilde allait me tuer. Je pris mon vélo, plaçais les courses dans le sac se trouvant sur mon porte bagage avant de me dépêcher. Je devais passer prendre la viande pour Yuna. Une fois devant chez elle, je sonnais. Après quelques minutes, la porte s'ouvrit. Hilde avait une main sur les hanches et fronçait les sourcils.
Heu… désolé Hilde… Mais y avait du monde au magasin… et …
Duo !
Oui je sais, je suis en retard, désolé.
Elle soupira avant de me tendre un sac. Le prenant, elle me dit :
-Allez, dépêche-toi d'aller la nourrir. La pauvre, elle doit t'attendre.
J'y vais, merci Hilde.
Je mis la viande avec mes autres courses avant de me dépêcher. Arrivé sur place, je l'ouvris la porte avant de rentrer mon vélo. Mais lorsque je fus dans le salon, Yuna me sauta dessus avant de me lécher le visage. La repoussant en rigolant, je lui dis :
Doucement ma grande, j'arrive.
Elle me répondit en ronronnant avant de se mettre à renifler les sacs que j'avais lâchés. ME relevant, je les ramassais. Mon petit diable me suivis, fixant le sac de viande avec ses yeux d'ambre. Arriver à la cuisine, je lui donnais à manger. Lorsque madame fut servie, je rangeais le reste avant de me faire à manger. Une fois le ventre calé, je rangeais ma vaisselle dans la machine avant d'aller prendre une douche. Je partis ensuite me coucher tandis que Yuna venait me rejoindre, se couchant à mes côtés dans le lit, prenant la place du compagnon que je n'avais pas.
Dans le chapitre 2 : Après un nouveau meurtre, un policier même l'enquête.
Une petite review, merci, arogatu, danke shone, grazzie, gracias, dank u wel, thank you,…
