Mon réveil sonne comme tout les matins, d'habitude je suis, comment dire, de mauvaise humeur mais se matin est pire que les précédents. C'est d'une humeur massacrante que je lève, envoyant valser mon réveil contre le mur. Je descends les marches et me dirige dans la cuisine ou se trouve mon père et ma mère, si je peux les qualifier ainsi. Ils sont souriants comme a leur habitude, je crains le pire.

-Harry James Erland tu vas aller dans l'internat prive nommée Poudelard. M'annonce ma mère un grand sourire aux lèvres.

-Vous m'envoyer dans un internat ?! Vous n'êtes pas sérieux ? Je ne suis pas un délinquant. Je crie en me levant de table.

-Oui et si on est sérieux, très sérieux parce que tu commence a mal tourner. Tu es… g….g….

-Vas-y dit le que je suis gay. C'est pas parce que je suis un délinquant mais c'est parce que vous ne supporter pas de savoir que j'aime un homme. Je suis anormal pour vous ?

-Oui, se n'est pas normal.

-Okay, je me barre de cette prison et sachez que je suis bien content d'aller en internat plutôt que reste avec vous ! Je hurle avant de monter préparer ma valise.

Je fais ma valise avec la rage, je suis tellement énerve. Il ose dire que leur fils n'est pas normal, juste pour ça, non mais c'est de l'abus et de plus ils veulent se débarrasser de moi. C'est du foutage de gueule. A peine j'ai finis que mon père m'emmener dans l'internat. Après deux heures de voiture on est arrive. Je descends de la voiture et me dirige vers les grilles d'un pas décide. Je sonne a l'interphone et on m'ouvre, je pénètre dans ma nouvelle prison. Je soupire et suis l'homme jusqu'à un bureau ou il toque. On ouvre la porte et je tombe nez à nez avec un vieil homme aux cheveux blancs et à la barbe tombante. Il me sourit et me donne des papiers puis me laisse partir sans un mot de plus. Je me dirige donc vers le dortoir qui se situe deux bâtiments plus loin. Je m'avance dans l'air froid du matin, jusqu'au petit bâtiment recouvert de peinture de toutes les couleurs. J'entre et me cherche la chambre cent un. Lorsque je la trouve j'entre en faisant tourner la clé dans la serrure. Je referme la porte aussitôt complètement gène parce que je viens de voir. J'attends quelques minutes dans le couloir qu'ils aient finis leur petite affaire, quelques minutes plus tard, on me tire à l'intérieur.

-Excuse pour tout a l'heure. Dit l'un des deux.

- Non ce n'est pas grave, c'est de ma faute. J'aurais du toquer. Je m'empresse de dire complètement panique.

-Pourquoi t'as les clés ?

-Comment vous le savez ?

-Sinon tu n'aurais pas pus rentre. Alors ?

-Euh… Euh… Bah... En faite c'est aussi ma chambre a partir de maintenant. Je réponds timidement.

-Ah… D'accord moi c'est Théodore et lui c'est Blaise.

-Et moi c'est Harry, Harry James Erland.

Ils m'adressent un sourire chaleureux. Je souffle et me dirige vers un lit dans le fond, il n'est pas fait donc a prendre. Une commode est à cote, je l'ouvre et range mes affaires.

-Mon ange, il est l'heure que tu y aille.

-Oh non, viens avec moi. Blaise je ne veux pas y aller seul.

-Je sais mais tu n'as pas le choix. A moins que.

Leur regard se tourne vers moi et Théo se rapproche de moi. Il sourit d'un sourire sadique, il me chope le bras et me tire vers le bas. Je me débats mais il est bien plus fort et il me tire vers le dortoir des filles. Je soupire, pourquoi le dortoir des filles ? Il s'approche de la première chambre et toque. Une belle blonde ouvre la porte et saute dans les bras de Théodore. Je ne comprends plus rien. La fille me regarde de la tête aux pieds.

-Rentrez, vous n'allez pas rester à la porte. Nous souris la jeune femme.

Nous entrons dans la pièce qui est plus spacieuse que la notre, je la regarde surpris et me rends compte qu'elle est le sosie de Théodore. Elle sourit, son corps est svelte, elle est grande et belle. Sa robe la mets en valeur malgré les manches longues qui lui couvre les bras, sa robe lui arrive au niveau du mollet et a ses pieds quelques bracelet tint légèrement. Ses cheveux blonds-roux lui arrive juste sous la poitrine et ses yeux sont gris ardoise, légèrement bleute. Elle s'assoit et nous invites à en faire de même. Je m'installe face à la sublime créature blonde. Théo a cote de moi.

-Bonjour je m'appelle Artémis Nott et je suis le préfet du dortoir des filles et la sœur de Théodore. Toi, tu es ? Dit doucement la jeune fille.

-Alors bonjour je suis Harry James Erland, je suis nouveau et le camarade de chambre de Théodore.

-Dans se cas enchante Harry. Me sourit Artémis.

Je ne la trouve pas terrifiante et ne comprenne donc pas pourquoi Théodore refuse d'y aller seul. Elle regarde son frère d'un air heureux.

-Dis moi mon chou, as-tu invite une demoiselle au bal d'automne qui se dérouleras se week-end ?

-Non. Réponds simplement le garçon en baissant les yeux.

-Comme ça « non ». Ne me dis pas que tu y vas avec Blaise ? Je vais lui arracher les yeux à se trou du fion. Théo comment sa se fait que tu n'y vas pas avec l'une des charmantes cavalière qui sont venus te le proposer ? S'énerve la jeune fille.

-Si je voulais inviter Blaise et je repousse toutes les filles. Dit-il avec une petite voix.

-Théodore Nott, je vais vous transformer en rôti. Je vous laisse une dernière chance.

La jeune fille semble calme et sereine mais un sourire comment dire… Entre le sadique et l'angélique étire ces lèvres, la rendant carrément flippante. Elle avait dit vous rendant sa phrase encore plus lourde de menace.

-Bien Madame.

-J'aime mieux ça.

Théo est tout tremblant alors que Artémis semble heureuse de la réponse obtenue et se détends. On passe encore une heure à papoter de tout et de rien. Au bout de cette heure, Artémis nous congédie d'un signe de main. On remonte dans le dortoir des garçons.

-Alors comment tu trouve ma sœur ?

-Flippante mais sympa.

-Ouais t'as raison. Elle est totalement flippante mais bon je l'aime quand même.

-Sinon il y a un bal ce week-end ?

- Et oui. Le bal d'automne, c'est le meilleur.

-Ah bon ? C'est comment les bals ici ?

-Sympa.

-Il y a une tenue vestimentaire exige ?

-Costard ou robe.

-Robe même pour les garçons ?

-Oui. Si tu y vas avec un homme tu dois porte une robe.

-D'accord merci.

-De rien.

On rentre dans la chambre et découvre Blaise assis avec un autre garçon. Je m'allonge dans mon lit, ignorant royalement ce garçon familier mais pourtant étranger. Une main rentre dans mon champ de vision.

-Santé.

-Ouais salut.

-Je m'appelle Draco Malefoy et toi ?

-Harry Borderland.

Je referme mes yeux, lui montrant qu'il me tape sur le système. J'attrape mon carnet et commence à écrire une chanson, comme d'habitude. Je soupire. J'ai envie d'écrire mais ne trouve pas l'inspiration.

« La vie et moi ça fait des dégâts

Je voudrais juste en finir,

C'est la mon seul désire

Juste partir, juste mourir

S'en est fini, d'aujourd'hui

Alors oui voilà,

Je ne veux plus être là

On y peut rien, on y changera rien

C'est soit mourir soit souffrir

Et mon choix est fait, lorsque le doux fouet

Qui sonnera ma mort, frappera encore

Alors je me libérais enfin des ces souffrances.

Même si cela n'a plus aucune importance

Mon âme tourmentée

En a bientôt finis avec cette vie

De mes yeux coulent de douces perles salées.

C'est bientôt fini

Le dernier jour s'achève

Mon cœur est mort

Ma douleur s'achève. »

Je souris au final sa rends bien. Je devrais l'essayer au piano. Je finis par m'endormir, habille. Je me réveille seul. Je soupire et regarde l'heure quatre heures de l'après-midi. Je trouve un mot sur ma table de chevet.

« Partit faire course. On a pas cours demain, stresse pas. A+ »

Je soupire et vais prendre ma douche en chantonnant une vielle comptine, triste et douce. Je me regarde dans un miroir et me dépêche de cacher les abominations qui strient mon torse. J'enfile une chemise noirs et un jeans noir, aussi. Je coiffe légèrement mes cheveux et sort de ma chambre, sans oublier mes clefs. Je me promène sur le campus et croise quelques étudiants. Je marche dans les jardins lorsque j'aperçois au loin, trois roux. Je me dirige intrigue vers eux et découvre…

-Ron, George, Ginny?

Ils se retournent vers moi, Ginny se lève et se jette dans mes bras. Elle m'embrasse sur la joue.

-Harry, sa fait combien de temps qu'on t'avait pas vus ?

-Deux ans. Ginny lâche-moi, s'il te plait.

Elle relâche sa prise a contrecœur. Ronald m'attrape et me sert brièvement. George me sert juste la main, gène. Je soupire et m'assois sur l'herbe fraiche.

-Tu es arrive quand ?

-Ce matin.

-Oh c'est récent.

-En effet.

Cinq autres personnes arrivent en courant. J'en connais deux, Fred et Charles (dit Charlie). Fred ne fait pas attention et s'installe a cote de son frère tandis que moi, je rougis gène de me retrouver face a lui. Il finit par me jeter un regard et m'adresse un sourire carnassier. Je baisse la tête et rougis. Je me lève.

-Je vais retourne a mon dortoir et finir la visite. Au revoir

Fred se lève.

-Je t'accompagne, se serais bête que tu te perdes.

-Ah merci Fred.

Je commence à partir vers le dortoir et il me suit. Peu après il m'attrape le bras et me tire vers une bâtisse grise.

-Ou on va ?

-Tu n'as pas encore visité l'école, n'est-ce pas ?

-Non en effets. Tu me la fait visiter ?

Il me traine a travers les couloirs et on finit par s'arrête dans un des couloirs du troisième étage. Personne. Fred se retourne vers moi.

-Écoute, j'aimerais reprendre ou toi et moi, on s'était arrête. J'aimerais reprendre notre relation Harry.

-Non, de toute façon, il n'y a plus rien entre nous depuis que tu l'as embrassé devant moi.

Il s'approche de moi, attrape mes poignets dans une main et me plaque violemment sur le mur, mes poignets au dessus de ma tête. Il plaque sa bouche contre la mienne, passant une de ses jambes entre les miennes. Je n'ai pas d'échappatoire, je me suis fait avoir comme une jeune fille. Je suis coince entre le mur et lui. Il passe sa langue sur mes lèvres puis commence à quémander l'accès. Je lui refuse bien entendu mais il persiste. Il se détache de moi et passe sa langue sur ma mâchoire, me faisant frissonner. Il descend dans mon cou écartant le col de la chemise et commence à suçoter ma peau. Je commence à me débattre, sachant que trop bien ce qu'il va arriver. Il ressert sa prise sur mes poings et sa main libre commence à déboutonner le haut de ma chemise. Je soulève une jambe et essayer de le taper mais il anticipe mon mouvement. Il pose sa main sur ma cuise et la caresse. Je commence à crier mais il m'interrompt d'un baiser.

-Personne, ne t'entends Harry. Personne n'a cours. Il y ni a personne dans le bâtiment.

Hello, hello.

J'espère que ce premier chapitre vous a plu. Pourriez-vous me dire ce que vous en pensez ? Je ne sais pas si je fois continuer ou pas. J'aurais besoin de vos avis aussi bien positif que négatif.