Genre: Pov Naruto Angst ; OCC ; combat ; sang ; Deathfic, WIP, Aventure, Mystery, Drama/Tragedy ; Lime ; Lemon, Darkfic, UA. DARKFIC, Yaoi, Yuri, hétéro
Info personnelle : Salut à tous...Je me présente Sonnyus si vous ne me connaissez pas... Cette histoire est un UA Naruto très noir avec un humour assez particulier, et voyez par-là que c'est aussi comique que de voir un chat écrasé, on pleure le chat mais si vous SAVIEZ QUE CE CONNARD DE CHAT N'A PAS REGARDÉ AVANT DE TRAVERSER ET QUE JE N'AVAIS PAS LE TEMPS DE RALENTIR ! On lui dirait que c'est de sa faute à lui et pas à moi pas vrai ?!... Quoi je m'éloigne et raconte ma vie... Mais t'es qui d'abord?...Ma con...consci...conscience ?! Mais qu'est-ce que c'est que ce truc de merde ? C'est pour les enculés... Comment ça justement ? La soirée chez Dylan... Avec l'alcool et la came... Attends tu veux dire que je ne suis pas monté sur le cheval comme je le pensais ?... C'est pour ça que je ne pas marcher correctement et que Dylan me dévisage à chaque fois qu'on se croise... Non ce n'est pas pour ça ?... Sa sœur ?!... Celle de neuf ans... j'ai quoi... NON... Et... elle t'a dit si elle a aimé... comment ça pédophile ?!
Voilà à peu près l'humour de la fiction... Cela ne vous plaît pas... Restez pour l'action, il y a du sang, des morts, plein de surréalité et surtout il y a du Lemon, du Yaoi, du Yuri, Hétéro... Faites pas les malins je vous ai vus sur *BIP*… Comment ça je ne peux pas parler de ce site... Mais c'est pourtant génial ! On peut y voir plein de vidéos) gratuites... Je ne peux pas parler de *BIP*. Ah c'est marrant *BIP**BIP**BIP**BIP**BIP**BIP**BIP**BIP**BIP**BIP* *BIP**BIP**BIP**BIouuu* Merde ! Je crois que je l'ai cassé... Ha bah du coup... Tu… (Se prend un piano sur la tête (lancé) par sa conscience.)
Index : Communication interne
Note perso sérieuse : Si vous voyez une faute plus grosse que vos yeux, vous me hurlez dessus à coups de reviews et je corrige rapidement. Comme fait par darkayora. Autre chose, si quelqu'un sait où je peux trouver les dates saisonnières au Japon cela m'arrangerait.
Fic qui a subit les corrections de la beta Cinnamyl. Merci à elle et espérons que notre collaboration durera.
Disclamer : Les personnages que vous allez voir ne sont pas de moi.
Index : \\\\\\\\\\ = changement de vue
WWWW= retour dans le passé, flash-back
XXXXX = avancement dans le temps.
§§§§= même moment mais ailleurs
Sans nom chapitre I : Introduction
Il me regarde dans les yeux, j'y vois de la supplication et de la douleur au vu de son état. Il pense que ça va me faire changer d'avis pour cause de mon âge ? J'appuie sur la détend sans sourcilier. Un bruit sourd et sa tête finis exploser sur la moquette blanche devenue rouge depuis quelque seconde.
Je sors du bâtiment en regardant le carnage que j'ai causé, la police doutera sérieusement qu'un Homme ait pu faire ça tant cela ressemble à l'attaque d'animaux en furie. Tout est rouge, cet endroit qui était d'une beauté sans pareil est complètement détruit. C'est cher payé pour avoir osé se moquer d'un homme, ou peu selon mon point de vue.
Sorti du bâtiment, je reçois une douleur directement dans la poitrine suite à un bruit que je connais par cœur pour avoir été élevé avec.
Je tombe, la douleur me tiraillant, j'ouvre la bouche mais ne hurle pas, je commence à voir le tireur s'approcher. Je relève rapidement mon arme mais elle - en voyant sa poitrine je compris la différence - m'écrase le poignet.
Le coup de feu part loin d'elle et je sens quelque chose me traverser la gorge, c'est une piqûre qu'elle me fait.
J'écarquille les yeux, j'ai l'impression que mon corps brûle de l'intérieur. Je ne peux retenir un hurlement de douleur qui résonne dans le clair de la pleine lune.
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Quelques années plus tard
Je me redresse alors que mon portable sonne annonçant que c'est l'heure. Je suis déjà habillé depuis une heure. Je ne me suis pas couché, je ne dors presque jamais. Je rentre dans la salle de bain histoire de me passer de l'eau sur le visage pour bien me nettoyer. Je regarde la baignoire, il y a encore un peu de sang sur le bord. Je soupire et me dépêche de passer une éponge avec de la javel dessus.
Je ressors et vais dans la cuisine mais je n'ai pas faim et encore moins soif. Je zappe donc le déjeuner et vais dans le salon, vers le canapé. Je m'allonge dessus, j'ai encore cette sensation étrange que ma vie ne me convient pas. Fais chier.
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«Tension en baisse ! Dépêchez-vous d'apporter son groupe sanguin !»
Je ferme les yeux mais j'entends encore ce qu'on me dit.
« C'est horrible, qui a pu faire cela ?! »
Je sens qu'ils me mettent des trucs dans les bras. J'entends des bips, cela est assez rassurant dans un sens mais qu'est-ce que c'est énervant, j'ai l'impression que ça fait plus de bruit que ces gens hurlant. Je sens un métal sur mon corps, il me coupe mon tee-shirt et étrangement c'est quand ils voient mon torse qu'ils se la ferment tous. Je sais que mon corps est magnifique mais il ne faut pas pousser, je le trouve moche personnellement, malgré ce qu'on m'en dit. Tellement que je ne peux résister à le marquer.
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Je suis sorti de mes songes par un bruit sourd.
C'est encore elles.
Elles frappent contre le mur. Je me relève et vais à l'entrée après m'être regardé dans un miroir. Mes cheveux sont toujours autant en bataille, ils sont blonds mais plus du tout du même blond de ma naissance, d'avant cette histoire.
Maintenant c'est un blond sombre. Un blond dont je suis à voir sa fausse couleur. Je tends vers le brun dans la pénombre et vers le blond au soleil. Mon mascara orange légèrement saturé me manque, cela va faire longtemps depuis la dernière fois que je m'en suis mis. Je soupire, prends une paire de lunette lunettes de soleil rangée dans un tiroir et Kama avec moi. Je la serre contre moi, cela fait longtemps que je ne l'avais pas fait, putain que je hais ma vie.
Je hurle que je vais en cours et que je rentre vers 16 heures. J'entends des hurlements et des pleurs, en plus de bruit sourds, elles s'habitueront sinon je vais devoir faire comme avec les autres.
Je sors de la maison et tourne la clé vers la droite en un tour pour la fermer.
Je n'habite pas dans une grande maison, en fait plus elles sont petites - et pas très aménagées - et mieux je me porte.
J'ai dû faire pas mal de démarches pour me faire passer pour le propriétaire. Personne ne s'est douté que c'était en fait un gamin de 15 ans qui payait depuis le début. Oui j'ai 15 ans, beaucoup disent que je suis très jeune mais que mon caractère en a surpris plus d'un.
Alors vous vous enlevez tout de suite l'idée que je suis dans l'âge bête et que je ne suis qu'un gamin. Je mesure un mètre soixante-dix et côté intelligence, et tout ce que cela concerne, je suis très développé, pour preuve le fait que j'habite dans une maison en me faisant passer pour le propriétaire depuis près de trois mois.
Pour tout le monde, je suis le fils d'une famille de pauvres qui va au lycée à pied car elle n'a pas de voiture. Peu importe, j'aime marcher et s'ils savaient quel point je m'en cogne de ce qu'on pense de moi. Je ne me préoccupe que d'une personne : Moi et seulement moi.
Je marche depuis déjà une heure et arrive enfin à mon lycée. Les cours commencent dans quelques minutes. J'arrive en avance depuis la rentrée qui s'est faite il y a deux mois. C'est la première école de ma vie et - quand je vois le niveau de l'éducation - je me dis que c'est la dernière.
Si je fais tout ça c'est juste en attendant. Je sais que bientôt il viendra me chercher et c'est à ce moment que je lui cracherai à la figure pour lui répondre. Je vais m'asseoir directement à ma place en classe et sort une feuille, sachant que personne n'est là, remplie d'écritures et de chiffres.
«Père tu as été très généreux par ton apprentissage et j'espère que là où tu te trouves tu es bien avec mère.»
Mère, la dernière fois que je l'ai vue...
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« PITIE ARRÊTE ! NON... AHHHHHH !... AHHHHHH ! NARUTO NE REGARDE PAS ! »
Elle n'arrête pas de me lancer des regards et de détourner les yeux alors qu'elle voit mon regard choqué. Elle mérite ce qui lui arrive, et cela parfait mon éducation, seulement cela me choque que deux êtres humains doivent faire ça pour se reproduire. Et quelle est cette sensation entre mes jambes ?
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Je préfère l'oublier vite faite et ne garder d'elle que cette photo que mon père a accepté que je prenne, de toute manière il n'était pas en état de refuser vu qu'il était mort d'une balle dans la tête. C'était marrant mine de rien que sa tête ait explosé comme ça sous l'impact de la balle.
J'entends des bruits dans le couloir et regarde une dernière fois la feuille pour la mémoriser. J'ouvre une fenêtre et laisse l'air envahir la salle. Je sors un briquet de la poche de ma veste.
C'est son briquet, le briquet qu'il m'a donné quand je suis parti...
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« Je te donne le droit de l'utiliser à une condition... »
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Je le range rapidement en souriant, je tiendrai cette promesse.
Je déchire la feuille en plusieurs morceaux et l'allume avec un petit paquet d'allumettes que je garde toujours sur moi.
Le feu prend bien, l'odeur du papier brulé me remonte les narines et je finis par écraser le feu quand, même pour lui, on ne voit plus rien.
Je retourne à ma place et attends patiemment, la journée passe lentement comme d'habitude. Les gens me jetteent des regards de mépris mais cela ne me fait pas plus d'effet que de l'eau sur ma peau.
Les cours s'enchainent et personne n'a entendu le son de ma voix. Personne ne m'a adressé la parole.
Je mange dehors, dans la cour, puis décide de m'allonger dans l'herbe et de fermer les yeux pour profiter des derniers rayons du soleil.
L'automne est presque fini, on va passer à l'hiver dans un mois avec les températures qui chuteront, faudra pas j'oublie de nourrir mes chiennes ce soir.
J'entends mon portable sonner, je décroche en grognant pour dire que j'écoute.
«Naruto...»
Je me redresse immédiatement en entendant Sakura, c'est une connaissance depuis l'orphelinat.
Je lui demande si c'est bien elle et elle rigole en disant que oui.
Je soupire intérieurement, Sakura, mon premier amour, la fille que je n'ai pas entendue depuis six ans.
«Je te dérange ?»
«Du tout ! Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?»
«Je t'appelle pour prendre des nouvelles, tu... enfin on ne s'est pas beaucoup parlé depuis...»
«Oui c'est vrai... Comment il va ? »
«Il s'est remis, il tenait à te remercier mais je me suis sentie bête lorsque mon téléphone disait que ton numéro n'était plus attribué)...»
Je sens le reproche et je prends les devants en disant que je souhaitais me changer les idées. Et c'est vrai que depuis ce jour, mes idées ont été très claires.
«J'ai réussi à te trouver c'est déjà pas mal...»
«Comment tu as fait ?!»
Je venais de hurler contre elle et je me rends compte sur le moment que j'ai dû lui faire peur.
« J'ai tapé l'un des vieux numéros que tu m'avais donné et voilà... »
« Un ancien numéro... »
Elle confirme et je sais que c'est un mensonge - Je ne suis pas stupide - je sais qu'elle me cache quelque chose et dans mon état actuel je déteste les surprises.
Je me suis assuré personnellement de mes lignes téléphoniques et jamais je n'aurais repris un vieux numéro de téléphone. Surtout sur ce numéro. Seules trois personnes devaient le connaitre. L'un est mort, et si c'est l'un des deux autres alors elle est loin d'être en sécurité.
«Euh Naruto... Je… me disais qu'on pourrait se revoir… J'ai la semaine de libre et Sasuke est pareil de son côté.»
«Sasuke...»
Sasuke et mon premier ami masculin, il était aussi à l'orphelinat avec Sakura et moi. C'est un grand ami qui est actuellement dans les finances, je rigole en pensant que lui et moi on aurait pu se voir plus tôt s'il avait signé le mauvais papier.
«Eh bien moi je suis complètement libre actuellement. Tu es où?»
«Actuellement je me trouve à Hiskou...»
Hiskou... Ce n'est pas la porte à côte, je vais être obligé de prendre les transports en commun. C'est bien ma veine, l'homme dont j'ai pris l'identité n'avait qu'une voiture et elle est réservée pour un cas unique.
«Bien. Je peux être là dans une heure.»
«Ah euh... Ce n'est pas pressé, on peut s'organiser pour demain si tu veux ?»
«Demain au café jaune ?»
«Euh oui… Le café jaune...»
Je l'aurais parié, quelqu'un lui a mis la pression pour qu'elle m'appelle. Dans un premier cas c'est sans danger pour moi et je prépare ma salive, mais dans le deuxième je serai obligé d'être accompagné.
«Sakura, tu sais pour Sasuke et moi ? Je sais que tu veux arranger les choses mais j'ai besoin de temps. Désolé.»
«Ah... Alors à la limite on peut s'organiser cela tous les deux... Naruto cela fait longtemps qu'on ne s'est pas vus. Je... j'ai vraiment besoin de te parler...»
Je sens un ton triste dans sa voix, elle a besoin de moi et je le vois bien. Je lui répète que je peux être là dans une heure mais elle me répond avec humour qu'elle préfère me voir à un rendez-vous avant de me montrer sa chambre.
Je souris, rigolant très légèrement, je tente de lui donner de la voix, de montrer mon amusement mais je n'y arrive plus depuis longtemps, mes sentiments sont morts.
Je soupire en lui souhaitant une bonne journée, disant que j'ai hâte d'être à demain. Elle répond qu'elle aussi et je ne peux empêcher un léger sourire d'apparaitre.
Ils veulent me revoir ? Ils ne vont pas m'oublier.
Je me relève et part du lycée, j'ai encore cours cet après-midi mais je n'ai plus de patience.
«Naruto où tu vas !?»
Je ne réponds pas, c'est la CPE qui m'a posé la question. Je lui tourne le dos et continue sans m'occuper de ce qu'elle me dit. Elle menace d'appeler mon père si je m'en vais, je m'arrête et lui tourne la tête.
«Shizune… Serait-ce une menace que vous me faites ?»
Je me retourne et vais vers elle en marchant calmement. Elle tient son regard de pierre contre moi, mais je sais qu'elle ne va pas tenir longtemps.
«Naruto… Quitter le lycée alors que tu as encore…»
Sa voix part dans les aigus alors que je lui touche la joue en souriant.
«Shizune, vous savez que je déteste les menaces ? Que cela me met hors de moi quand je les entends ? Vous ne voulez pas me voir en colère ?»
« NON ! »
Elle hurle en se serrant le bras droit, se frottant sur une partie précise montrant qu'elle a bien retenu la leçon, j'allonge mon sourire en l'embrassant sur la joue. Elle rougit d'un coup, choquée.
«Naruto, qu'est-ce que… ?»
«Je montre à tout le monde mon amour pour vous. Vous ne m'aimez pas ?»
Je change ma voix comme je dû souvent le faire pour paraitre mielleux et doux, je me déteste à faire ça mais, comme me l'a appris mon père...
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«On doit tout faire pour atteindre son objectif et l'utilisation de son corps est la première des choses à faire… »
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Elle rougit fortement et s'éloigne de moi, je reprends mon air habituel et enlève de mon visage ce faux sourire. Je m'éloigne d'elle et repart.
«Si jamais tu pars, je convoque le conseil et tu seras blâmé.»
Je m'arrête me retourne vers elle rapidement, je ne retiens pas ma main de heurter sa joue droite.
Le coup est violent, lui faisant émettre un bruit de douleur en la faisant tomber. Je la regarde alors qu'elle met sa main sur sa joue, les larmes aux yeux. Tous les regards sont sur nous, mais s'ils croient que cela va m'arrêter ils se gourent.
Je la prends par la gorge et la force à me regarder dans les yeux afin qu'elle voit bien que je ne rigole pas.
«Je déteste les menaces…»
Ma voix est devenue un peu plus grave. Je serre ma main, elle a le souffle coupé. Elle me prend mon poignet en serrant pour espérer que je la lâche mais cela ne marche pas et elle me supplie de le faire.
«Lâche-moi… Tu me fais mal…»
Je resserre ma main.
«Elles sont où vos menaces maintenant ?»
«Lâche-moi… je… peux… plus respirer…»
«Et alors ? Tu crois que le monde va te pleurer, que la terre s'arrêtera de tourner parce qu'elle t'a perdue ?»
Elle me supplie de la lâcher, de ne pas lui faire de mal. Mon attitude envers elle n'a pas changé, je suis sur le point de la tuer par strangulation et cela ne me fait même pas sourciller.
«Pitié… Je t'aime…»
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«Kyūbi… Pitié… Je t'aime…»
Un bruit sourd se fait entendre.
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Je la jette à terre en la toisant alors que ces mots résonnent dans ma tête. Je serre le poing et lui hurle dessus alors qu'elle venait de prononcer les pires mots que je puisse entendre.
«Comment oses-tu me prononcer ces mots ? Tu crois que mes sentiments sont identiques ? Que je t'aime ?! Mais regarde-toi qui pourrait aimer une fille comme toi ? Tu es une moins-que-rien, une pauvre fille qui ne mérite même pas la vie qui lui a été donnée ! Tu es une peureuse de première qui a peur dès qu'on s'approche trop près d'elle et le pire coup que je me suis fait !»
Je me retourne et pars, oui je me la tapais - et me la retaperai - mais ne pensez pas que cela est par pur bonheur, mais j'avais besoin qu'une personne couvre mes absences.
Elle a osé me dire qu'elle m'aimait, mais pour qui elle se prend ?
Je suis en colère et j'ai besoin de me calmer. Je prends les transports en commun pour aller dans une ville voisine et rentrer dans un bar.
Je demande un verre d'alcool et pas de la merde. Il ose me demander ma carte d'identité.
«Tu n'as pas entendu ma commande ? Je veux un verre sur-le-champ et dépêche avant que je m'énerve.»
« Et tu te prends pour qui, gamin ? »
C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Je le prends par le col et le plaque contre son bar en sortant ma sœur Kama pour la plaquer sous sa gorge. Il écarquille les yeux en tentant de se relever, mais une fois qu'il sent la larme sur sa gorge il est totalement immobile.
Kama est une lame de 10 cm, aussi tranchante que n'importe qu'elle épée, voire bien plus tranchante.
«Je suis le gamin qui va te trancher la gorge si tu ne me sers pas un verre sur-le-champ…»
«Qu'est-ce qu'il se passe ici ?»
Je ne me retourne pas mais je sens une présence derrière moi.
«Ton putain de barman a refusé de me servir.» Répond-je à deux doigts de trancher la gorge du barman.
«Calme–toi gamin et lâche-le… Comment tu veux avoir un verre si personne ne te le sers.»
Je soupire, il m'appelle «gamin». J'ai un nom et ce nom est connu de tous, personne dans le pays ne l'ignore, personne n'oublie ma silhouette.
Soupirant, je lâche cet homme et lui dis de se dépêcher. Il tremble comme une feuille et semble regarder derrière moi pour demander à son patron ce qu'il doit faire.
Il finit par me servir mon putain de verre en tremblant comme une souris devant un chat. Je ne le lâche pas des yeux, ils connaissent mon visage et je vais être obligé de faire du ménage.
Je le sais, je ne suis pas dans ma ville ici, ou en tout cas plus maintenant.
Une fois fini, je me retourne pour regarder celui qui a ouvert sa gueule.
Il doit faire dans les 1m80, il a une carrure imposante et semble même accompagné de ses gorilles. Je regarde autour de moi rapidement, pas de client et donc pas de témoin.
«Les mains en l'air !»
Le barman a sorti un fusil à pompe de sous le comptoir, il semble avoir repris du poil de la bête. Je souris, j'ai besoin de me calmer et un verre sera loin de me suffire.
Il me répète de mettre les mains en air mais je ne l'écoute pas et jette juste un regard dans sa direction en tournant la tête.
«Tu oses me menacer ?»
Je ne lui laisse pas le temps de répondre et détourne la tête.
Je lève les mains lentement et une fois qu'elles sont au-dessus de ma tête, je lâche Kama - qui était dans ma main gauche, l'autre ayant encore le verre vide- et me dépêche de me tourner sur la gauche en mettant ma main de libre sur son canon pour le pointer sur l'un des gorilles. Sous la panique, le barman tire et l'homme se prend la balle dans l'estomac. Je jette le verre dans la tête du barman - l'étourdissant - en tirant sur l'arme.
Je le frappe - par la crosse de l'arme avec beaucoup de force - sa tempe droite, lui faisant perdre connaissance. Je prends l'arme des deux mains en le retournant rapidement pour charger le chien et tirer sur le gorille qui s'enfuit vers la sortie alors qu'il a vu son collège mort.
Je recharge le chien en regardant l'homme de 1 mètre 80 qui écarquille les yeux en se rendant compte de ce qui va lui arriver.
Je fige ce sentiment dans son esprit et lui explose la tête, gérant le recul par mon épaule. Je passe de l'autre côté du comptoir et tire sur le garçon d'à peine dix-huit ans dans la poitrine.
Je décharge l'arme et la jette sur lui en vidant le bar de tout son alcool dans tout le bar, après m'être assuré de d'avoir fermé la porte.
Le bar empeste l'alcool et je garde une dernière bouteille que je vide rapidement dans mon gosier, cela fait deux mois que je n'ai pas bu une goutte d'alcool. Je jette la bouteille à terre, récupère Kama et mon sac - que j'avais mis sur une banquette - pour couper le fil du téléphone et les séparer, avant de les mettre dans l'alcool.
Je quitte le bar en partant rapidement mais sans trop attirer l'attention. Je sors mon téléphone et fini par composer un numéro. Je n'entends pas de sonnerie mais une explosion.
À suivre
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«Nous l'avons retrouvé.»
«Bien. On doit y aller armé ?»
«Pas la peine. Il ne nous fera rien.»
«N'oublie pas de qui on parle.»
«Justement. On parle bien de Naruto.»
«Moi je te parle de Kyūbi.»
«Et d…»
«Désolé te vous coupez mais j'ai une question pour vous.»
*Silence devant la grande allure sombre et imposante*
«Vous partez pour aller le chercher. Partant du principe qu'il ne va pas vous tuez, vous allez faire quoi ? Lui proposer de revenir ? Là déjà vous avez plus de chance de vous prend une balle. Mais j'accepte que le kami de la chance vous suivent, c'est quoi le plan ? Vous le ramener ici et vous priez pour qu'il reste sage ? Là, même avec 1000 trèfle à 10 feuilles et le Kami en personne, vous rêvez si vous pensez qu'il va rester gentiment en place.»
*Silence lourd, prouvant qu'ils lui donnent raison.*
«Mais on ne peut pas le laisser seul.»
*Une femme de 20 ans part immédiatement, suivit par un homme du même âge. La silhouette partant.*
«Vous pensez que cela va réussir ?»
«Avec Nagato et Konan contre lui ? Il n'a aucune chance…Pas dans son état…Mais l'idée de sacrifie la fille ne me plait pas.»
Discutons à plus d'une journée de route de Naruto
