Honnêtement je ne sais pas trop quoi dire alors je vais faire simple =) ceci est ma première fiction et j'ai mis du temps avant de me décider à la publiera lors soyez indulgents s'il vous plait. je vais pas plus vous embêter avec mon blabla mais je vais juste vous préciser que les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont tous la propriété de Akira Amano mis à part Eilee qui est de mon invention. Bon bah voilà j'espère que vous apprécierez et désolée pour les fautes qu'il pourrait y avoir.


La vie est quelque chose d'étrange, le monde en lui-même a un aspect étrange. On né, on vit et on meurt, tel est le cycle de la vie. C'est triste mais c'est ainsi que ça marche, on ne peut rien y faire. Mais le plus étrange dans ce monde ce sont les choses qui se passent sans que l'on puisse l'expliquer.

Certains les nient, d'autres y croient et dans ceux qui y croient il y a ceux qui les craignent et ceux qui les encouragent. Je ne fais partis d'aucune de ces catégories, après tout il me serait difficile de les nier alors que j'en suis l'objet, je ne souhaite pas les glorifier, je n'ai jamais demandé à ce que cela m'arrive, quant au fait de les craindre, peut être le devrais-je mais je ne m'en sens pas l'humeur, c'est tout de même une chance qui m'a été offerte et je compte bien en profiter.

Je me nomme Eilee, mon nom de famille je préfère le garder pour moi, j'ai 24 ans. Enfin c'est l'apparence de mon corps car techniquement parlant je suis morte depuis près de quatre siècles, ce n'est pas comme si ce n'était pas le cas, je me souviens de tous ce qui s'est passé ce jours-là. Je me souviens de comment la journée a commencé et de comment elle a fini, je me souviens du regard triste de ma famiglia, de mon frère et de la douleur de la mort, et ensuite plus rien. Juste la désagréable impression de brouillard, le noir m'entourant, je n'avais plus la notion du temps et je ne pouvais que ressasser mes souvenirs, pas toujours agréables, et observer ce qu'il se passait dans le monde des vivants que j'ai vu évoluer en avance rapide ce qui n'est pas pratique pour tout comprendre, en gros, la mort c'est la merde. Puis soudain j'ai ressentis une douleur immense, chose étrange étant donné que je ne ressentais plus rien depuis mon décès. Quand ce fut fini, je sentis que quelque chose avait changé, le brouillard n'était plus et je pouvais ressentir mon corps. Quand je me suis faite cette réflexion la première pensée qui m'est venue et quelque chose du genre, « mon corps !? C'est quoi encore ce merdier » mais je me suis vite fais la remarque que j'aurais le temps d'y penser plus tard. Je ressentais des sensations désagréables et je mis du temps avant de comprendre que j'étais allongée et vu la solidité et la froideur je compris que c'était le sol, un sol dur comme la roche mais pas le sol dallé auquel j'étais habituée. Il y avait du bruit aussi, beaucoup trop pour moi qui m'étais habituée au silence. Je n'osais pas ouvrir mes yeux qui n'auraient normalement pas dû être présent, comme tout mon corps par ailleurs. Je me décidais finalement à observer l'endroit où je me trouvais. Je ne fus pas aveuglée par une quelconque lumière trop intense remerciais Dieu ou qui que ce soit qui m'est fait revenir de l'avoir fait e, pleine nuit. Une fois que mes yeux furent habitués à cette nouvelle obscurité je pus discerner la ruelle dans laquelle je me trouvais. C'était étroit, sombre, il y régnait une atmosphère assez pesante qui me mit directement à l'aise, cela me rappelait ma première vie. En effet, première, car j'avais rapidement compris que je m'étais vu offert une nouvelle vie. Un bouddhiste aurait dit que je m'été réincarnais mais je sentais au plus profond de moi-même que ce n'était pas le cas, j'étais celle que j'avais toujours été, avec quelques années de moins, me fis je la remarque en regardant mon corps qui étais celui de mes sept ans.

- Il manquait plus que ça tient, soupirais je. Bon faisons le topo, comme il dise aujourd'hui, je suis morte il y a une durée indéterminée, j'ai vécu une mort d'enfer en m'emmerdant la plupart du temps, j'ai souffert le martyr pour une raison tout aussi indéterminée que l'époque dans laquelle une force supérieur vient de me faire ressusciter, et, alors que le corps que j'avais en mourant était en excellente santé, fort et vif bref le top du top quoi, il a fallu que la dite force supérieur me donne mon corps de gamine faible et malade, je fis une pause plus ou moins longue, digérant ce qui m'arrivait, avant de m'exclamer. Mais je suis maudite ou quoi !? qu'est-ce que j'ai bien pu vous faire pour mériter ça !?

- Heu, tu vas bien ? entendis-je venir de derrière moi.