Je marchais en direction de mon restaurant pas plus enthousiaste que ça et finalement j'ai fait demi tour pour me rendre au bord de l'eau. J'étais d'une humeur exécrabe. Pourquoi ? Surment car je suis tomber amoureux d'un garçon et que celui-ci c'est payer ma tête. Pourquoi l'amour est un sentiment si merveilleux et si épouvantable en même temps ? Je m'asseoie dans l'herbe en regardant le paysage d'eau qui s'offre à moi. Je réfléchis, je ne pleure pas, jen ne broie pas du noir, je suis juste triste. Je repense encore à ce qui c'est passer.
Flashback
Aujourd'hui c'est le jour de Saint-valentin et je vais me déclarer ! J'ai passer toute la soirée à faire ses chocolats alors j'espère qu'il les aimera.
- Salut Issei.
- Ah Sanji.. c'est toi.
- Ça ne va pas ?
- Oui oui ça va, quesque tu veux ?
Je lui montra mes chocolats. J'avais les joues en feu.
- Tu sais que tu dois les donner à la personne que tu aimes ?
- Bien sûr, je ne suis pas stupide ! J'ai 18 ans quand même. Je t'aime et c'est pour toi que je les ai faits.
- Non mais ça va pas ! Je savais que t'étais louche mais de là à être gay ! Tu devrais avoir honte ! J'en veux pas de tes chocolats de merde.
Il est partit comme ça.
Fin flashback
-Est-ce si mal d'être homosexuel ?
-Pourquoi tu te demande ça ?
Je sursautais à l'entente de cette voix. Je me retournais et me retrouvais face à un homme qui m'a l'air plus vieux que moi, costaux, cheveux vert et il lui manque un oeil. Plûtot bel homme. Mais quesque je raconte moi je viens de me faire rejeter d'une des pires façons qui soit et me voilà déjà en train de relooker un autre mec non mais je suis pas normal.
-Pour rien.
Il ne sembla pas satisfait mais il n'insista pas.
-Je peux m'asseoir à côté de toi ?
- Fait comme tu veux.
- Je m'appelle Zoro.
- Sanji.
- Quesque tu fais ici seule à cette heure aussi tardive ?
Je regardais ma montre et vue qu'il était 23 heures! Je sautais sur mes deux jambes.
- Oh mon dieu, je suis rester ici tout ce temps ? Mon père va me tuer.
- Je te raccompagne si tu veux ?
- Je veux bien merci.
Lorsqu'il se leva je remarqua qu'il faisait au moin une tête de plus que moi.
- Tu as quel âge ?
- 18 ans..
- D'accord.
- Et toi ? Tu m'as l'air plutôt vieux non ?
- Pas vraiment, j'ai juste 21 ans. Au fait, est-ce que tu habite loin d'ici ?
- Quand même, 1 heure je dirais.
- Quesque tu faisais à 1 heure de chez toi ?
- J'allais à mon restaurant.
- Tu as un restaurant à ton âge ?
- Oui, je n'ai pas été à l'école, mon père a ouvert ce restaurant lorsque j'étais enfant et il m'a apprit à cusiner. Aujourd'hui il est à la retraitre alors il m'a léguer son resto.
- C'est chouette.
- Hm, et toi tu travailles ?
- Je suis proffesseur d'esrcime.
- Tu aimes les épées ?
- Ouais, ma meilleure amie me battait tout le temps quand j'étais petit. Malheureusement elle n'est plus la, mais je suis sûr qu'elle me battrait encore aujourd'hui, elle était vraiment têtue comme fille. Elle n'arrêtait pas de se dire que j'allais devenir meilleur qu'elle seulement parcequ'elle est une fille mais c'est faux, elle était vraiment puissante. Aujourd'hui je garde toujours son épée dans ma chambre.
- Je suis désolé, j'ai dû remonter des mauvais souvenir.
- Non ne t'inquiète pas, tout ce qui lui touche ne sera jamais un mauvais souvenir. Mais j'aurais une question et j'aimerais que tu y réponde sérieusement.
- D'accord.
- Alors mon blondinet, pourquoi tu te demandais si c'était mal d'être homosexuel ?
Je penchais ma tête vers le bas me sentant sur le bord des larmes.
- Pourquoi veux tu savoir ça ?
- Tu sais ce n'est pas un crime. Aimer reste aimer, que ce soit un homme ou une femme et les personnes qui n'ont pas compris celà sont des personnes fermé d'esprit.
- Tu.. tu le pense vraiment marimo ?
- Bien sûr ! Je suis moi-même homosexuel et j'en suis très fier et d'où tu sors le marimo je ne te permet pas !
Je partis à rire vraiment très fort. J'étais heureux. Comment un homme que je viens de rencontrer peut me faire sentir aussi bien. Nous continuâmes de marcher en silence. Puis je m'arrête devant ma maison.
- Bon et bien c'est ici.
- Alors je te souhaite une bonne nuit Sanji.
Il se retourna et commença à partir. Je ne sais pas pourquoi mais je ne voulais pas le voir partir, pas tout de suite alors mon corps à réagis, je lui ai aggriper la main et je l'ai ramener vers moi. Je me retrouvais le nez contre son torse.
- Peux tu rester cette nuit s'il te plaît ?
- J'espèrais que tu me le demande.
Je lui fis mon plus grand sourir et nous rentrâmes dans la maison.
L'amour peut être un sentiments qui nous procure que tu mal, mais quand nous trouvons la bonne personne, l'amour est un sentiment simplement magnifique.
