Bonjours à toi qui a décidé d'ouvrir cette fanfiction (Tu es folle/fou si tu crois y découvrir une quelconque histoire merveilleuse qui ressemblerait à de l'art), ceci est ma première histoire que je publie sur internet donc si tu as le temps à la fin n'hésite pas à m'écrire une review pour me dit se qui ne va pas etc. Aussi il vaudrait mieux lire les chapitres suivant pour te faire une véritable idée puisque le premier n'est pas se qui représente le mieux l'histoire, oh et le dernier lire n'était pas encore sortie quand j'ai commencé à écrire cette histoire donc certain personnage ne vont pas vraiment ressembler à se qui est dans le livre. voilà voilà maintenant j'arrête de parler et je te laisse lire.
Enjoy, Bixx
-Maman raconte moi une histoire. Elle leva les yeux de son livre vers sa fille et sourit tendrement.
-Aller viens te mettre dans le lit à côté de moi, dit-elle en tapotant la place vacante.
La petite fille souleva la couverture et cala son petit corps dans les bras protecteurs de sa mère.
-Quelle histoire veux-tu que je te conte ce soir?
L'enfant réfléchit quelques secondes puis se décida:
-Une belle histoire, je ne veux plus d'histoire compliquée.
-D'accord alors laisse moi m'en rappeler une… Alors il était une fois une jolie petite nymphe des bois, elle habitait seul dans la forêt et les villageois ne venait plus la voir…
-Mais pourquoi? Ils sont méchants, intervins la petite fille avec une petite moue.
-Tu dois me laisser finir sinon tu ne sauras jamais le pourquoi de la chose.
-Désolé… La mère lui sourit avec affection et continua son histoire:
-Alors… Ah, oui! les villageois ne venait plus la voir car cette petite nymphe avait fait quelque chose d'horrible… On racontait qu'à cause d'elle la forêt se fanait et qu'il était devenue impossible de traverser cette dernière sans que quelque chose d'affreux ne vous arrive. On disait qu'elle avait lancé une malédiction… Un jour, un beau sorcier qui avait fait halte dans l'auberge du village entendis cette rumeur et décida d'aller voir de ses propres yeux si elle était vrai. Le lendemain, le charment jeune garçon marcha jusqu'à la lisière des arbres et ne put rien voir d'autre que les ténèbres. Tenant fermement sa baguette dans sa main, il s'avança. Au début, il pouvait encore apercevoir quelques raies de lumière mais plus il s'enfonçait dans cette obscurité plus la lumière s'échappait. Il jeta un sort de lumière, et continua à avancer. Il marcha et marcha pendant des heures, les plantes devenaient de plus en plus oppressantes quand soudain, il vit de la lumière. Il couru vers se qui ressemblait à une sortie et se retrouva face à la plus belle des créatures qu'il ne lui eu jamais été donné de voir. C'était notre nymphe, elle était là, dans un lac, près du bord. Ses cheveux blanc cascadaient jusqu'à sa taille, illuminés par les rayons de la lune. Elle était vêtue d'une magnifique robe faîte de feuilles qui flottait autour d'elle dans l'eau. Une fois s'être remis de cette apparition, il vit qu'elle pleurait, le visage levé vers les étoiles. Il s'approcha d'elle et lui demanda:
"Pourquoi pleures-tu?" Elle posa son regard triste et remplis de larmes sur lui puis lui raconta son malheur et la raison pour laquelle la forêt mourrait peut à peut. Suite à cette révélation, le jeune homme la pris dans ses bras et lui promis de rester à ses côtés le temps qu'il faudra. Et c'est ainsi que jour après jour, semaine après semaine, ils tombèrent fou amoureux l'un de l'autre. On ne vit plus jamais ressortir le jeune sorcier mais on remarqua que la forêt, elle, était devenue plus accueillante et que des années plus tard elle était redevenue comme avant la malédiction… Voilà c'est finis.
La mère regarda sa fille qui tombait de fatigue et décida d'aller la coucher. Pendant qu'elle la raccompagnait dans ses bras pour la mettre au lit, sa fille les yeux à moitiés ouvert lui demanda:
-Pourquoi la nymphe était devenue aussi triste et que la forêt elle était devenue malheureuse?
Sa mère lui sourit et s'apprêtait à lui répondre… « LYDIA! »
Je me réveillais en sursaut, le coeur battant. Je regardais tous ces visages inconnues braqués sur moi. Je compris enfin en voyant le visage de ma prof d'Anglais furieuse.
-Même si mon cour ne vous intéresse pas, vous pourriez au moins faire mine de suivre
Je la regardais blasée par son comportement et lui répliquais un peu de mauvaise humeur, dans un anglais parfait:
-Madame, je suis anglaise. Je n'ai pas besoin d'apprendre l'anglais puisque c'est ma langue maternel et en plus je vous ferais remarquer que vous ne savez pas dire le mot « however » correctement.
Furieuse, elle me renvoya de cour sous les yeux rieurs des élèves ou choqués de mon comportement pour certains.
Soulagé de ne plus à avoir à être assise dans cette salle, à écouter les interminables questions sur je ne sais quel texte, je me dirigeais vers mon refuge.
Je me souvenais encore de ce jour où je me promenait près des bords de Seine où les établies de livres sont installés. Une enseigne à l'écriture gotique, coincée dans une petite rue avait attiré mon regard. Je traversai la route et marchais jusqu'au bâtiment. le magasin avait une façade toute vitré avec à l'intérieur un décor de vieux loft industriel. Sur le mur de droite, des centaines de dessins et croquis étaient collés et dans le coin à gauche était installé des fauteuils et un canapé en cuire marron devant un comptoir où une caisse enregistreuse et un mac était posés. Vers le fond on pouvait voir plusieurs portes fermées. Je me reculais pour regarder de nouveau l'enseigne: « Witche's tattoos ».
"intéressant"m'étais-je dis et sur un coup de tête j'étais rentré, un gars que je n'avait pas vu au travers de la vitre était assis derrière le comptoir et fixait l'écran d'ordinateur. Il leva les yeux et me demanda en souriant:
-Que puis-je faire pour vous?
-J'aimerais bien voire les différents styles de tattoos que vous faîte s'il-vous-plaît.
-Oui bien sure je vous les apportes installez-vous sur un des fauteuils, je reviens tout de suite, vous voulez un thé, un café ?
-Oh, heu, un thé s'il vous plait, dis-je dans un sourire polie.
-Très bien je reviens.
Depuis ce jour, j'était revenue de nombreuse fois et avait sympathisé avec ce garçon. Il s'appelait James et travaillait avec un autre homme, Blaise. De temps en temps, je les aidais, les jours où il y avait beaucoup trop de monde, je jouais la standardiste. J'appris, par accident, un jour qu'ils étaient comme moi, des sorciers. Cela facilita les choses quand ils durent m'expliquer comment ils avaient pu ranger en 10 minutes, un tiroir entier de paperasse qui était tombé par terre, dans le désordre.
À ce souvenir, un léger sourire parcouru mes lèvres. En entrant je vis Blaise occupé sur l'ordi, je prie un des grands tabourets et m'assit en face de lui. Il ne leva même pas les yeux sachant très bien qui s'était permis ce geste.
-Je croyais que tu ne finissais que dans une heure?
-Oui, mais ma prof d'anglais à juger bon de me mettre à la porte plus tôt, elle a pas trop apprécié de me voir dormir. Blaise leva les yeux au ciel.
-Heureusement que tu n'es pas comme ça à tout tes cours sinon on aurait dû te supporter deux fois plus, dis-il avec un sourire malicieux.
-Oh mais je suis sure que je dois tellement te manquer dans la journée et puis que feriez-vous sans moi?
-Probablement beaucoup et peu de choses, répliqua une voie derrière moi.
Je tournais la tête pour voir James qui enlevait ses gants jetables, un sourire rieur sur le visage.
-Le client est entrain de se r'habiller, prépare les produits à appliquer Blaise s'il-te-plait.
-C'est déjà fait, dis-il en montrant des petites fioles sur le bord du comptoir, James hocha de la tête et se tourna vers moi.
-Alors pourquoi, tu es là plus tôt ?
-Elle s'est fait viré pour avoir dormit, répliqua Blaise.
-La dernière fois s'était quoi déjà ? Ah oui, Lydia a été renvoyé de cour pour avoir fait tout un discours qui même s'il était en anglais était sur la remise en question de sa présence ici. James riait tout en finissant sa phrase, tandis que Blaise ricanait.
-Le pire c'est que quand je suis aller demander à me sortir de ce cour, il m'on rétorqué un « c'est une question de quota d'heures, on ne peut pas vous l'enlever », dis-je en levant les yeux au ciel.
James commençait peut à peut à calmer son rire quand le client sortie. Il régla rapidement et partie après avoir écouter les conseilles d'applications sur le nouveau tatouage. Pendant que James était allé ranger la salle pour le prochain rendez-vous, je m'emparai d'un carnet à croquis et d'un crayon qui traînait à côté. Peu à peu mes esquisses prenaient formes: un coeur mécanique en mauvais état portait une paire d'ailes squelettiques qui ne possédaient plus que quelques plumes, les autres étaient tombées à terre formant un parterre. Cette image me trottait dans la tête depuis un petit moment, je levais la tête vers Blaise qui travaillait toujours sur des modèles.
-Est-ce que l'un de vous deux, pourrais me faire ce tatouage ? il me regarda dubitatif.
-Heu si tu veux… mais tu veux un tatouage comme ça? Sur un coup de tête?
-Non, j'y réfléchis depuis un certains temps, mais je ne l'avait pas encore vraiment dessiné, dis-je en haussant les épaules.
-D'accord mais il est assez compliqué ça va prendre du temps et je sais que toi et la douleur…
-Je prendrais une potion anti-douleur évidemment, j'admettais comme si c'était l'évidence même.
James apparu à ce moment avec un air intrigué.
-J'ai entendu que tu voulais un tatouage? lequel? Je lui tendis le carnet et il l'examina l'aire sérieux. Oui pourquoi pas mais ça risque de prendre beaucoup de place, il plonge sa main dans ces cheveux dans un tique nerveux, où est-ce que tu le veux?
-Sur mon dos en plein milieu, dis-je avec un aire déterminé, puis hésitant, mais il coûtera combien?
À l'entente de ces mots James et Blaise me regardèrent ébahis, puis Blaise répondit:
-Rien du tout voyons.
-Tu travailles presque ici, bien sure qu'il sera gratuit, répliqua juste après James.
-Je préférais demander et puis moi si je garde mon argent ça me va, répliquais-je.
-radine, lança James avec un sourire.
