Bloody Valentine one shot contest

Cas: Remember

avocat de la défense: loumarcise

suspects: Bella/Edward

responsabilité : Les personnages de cette histoire appartiennent à SM, je ne fais que jouer avec.

pour participer ou lire les autres OS du concours rendez-vous sur http:// www . fanfiction . net/ community/ Bloody _Valentine_contest/ 76893/

« Vous avez le droit de garder le silence. Dans le cas contraire tout ce que vous direz pourra et sera utilisé contre vous devant un tribunal. Vous avez le droit de consulter un avocat et d'avoir un avocat présent lors de l'interrogatoire. Si vous n'en avez pas les moyens, un avocat vous sera désigné d'office. Durant chaque interrogatoire, vous pourrez décider à n'importe quel moment d'exercer ces droits, de ne répondre à aucune question, ou de ne faire aucune déposition. » traduction de l'avertissement Miranda

Voilà ma participation au concours Bloody Valentine. C'est mon premier concours alors j'ai un peu le trac ^^. D'après ma testeuse personnelle, il faut prévoir des glaçons. Ne venait pas vous plaindre après parce que la canicule s'est abattue sur vous.

POV Bella

12 Février 2010.

« Allez Bella, tu ne le regretteras pas.

- Non Alice, tout ce que tu veux mais pas ça.

- Mais pourquoi ?

- Alice, certes je serais toute seule le jour de la St Valentin, mais ce n'était pas une raison pour m'inscrire à ce... club.

- Bella, ce n'est que pour une nuit.

- Donne-moi une seule raison d'accepter et je le ferai.

- Depuis quand n'as-tu pas eut de relations sexuelles ?

- Euh...

- Tu vois ! Tu ne t'en souviens même pas ! S'il te plait ?

Comment puis-je résister quand ce petit lutin diabolique qui me sert de meilleure amie me fait sa moue « spécial Alice », hein ?

- Bon d'accord. Mais juste pour une nuit et parce que c'est la St Valentin.

- Youpiii ! Tu verras, je vais te rendre tellement belle que tous les hommes voudront coucher avec toi !! s'écria ma meilleure amie en tapant dans ses mains.

- Pffff....

14 février 2010

Je me prenais ma douche tranquillement quand Alice débarqua telle une tornade.

« Bella ! Il faut absolument que tu te prépares pour ce soir. Ne t'inquiètes pas, je m'occupes de tout. Dit-elle d'une seule traite. Comment faisait-elle pour respirer ?

- Alice, je n'ai besoin de rien. Je peux me préparer toute seule tu sais.

- Non, tu ne peux pas. Je t'ai acheté LA robe qu'il te faut. Je vais aussi te coiffer et te maquiller et je suis sûre que ce sera parfait.

- Bon ok.

Trois heures de souffrances terribles plus tard, Alice me tendit un miroir et j'eus le souffle coupé par l'image que me renvoyait la glace. Alice m'avait passé une superbe robe, bleu nuit, vaporeuse qui tombait sur mes pieds. Je portais des escarpins argentés tout simples « Il faut qu'ils soient faciles à enlever » m'avait assuré Alice. Elle avait mis en valeur mes yeux chocolat et avait « bronzé » un peu ma peau banche laiteuse. Pour finir, mes cheveux étaient relevés dans un chignon lâche.

-Et voilà, je ne suis pas mécontente de moi. Oh attends, j'ai oublié quelque chose.

Elle sortit en trombe de la salle de bain et revint quelques minutes plus tard avec une chaîne en argent qu'elle me passa autour du cou.

- Maintenant, tu es parfaite.

Je me levai et la remerciai en la prenant dans mes bras.

- Ne me remercie pas ! File vite ou tu vas être en retard.

Je pris donc le premier taxi qui se présenta devant moi et lui donnai l'adresse de la soirée. Une fois arrivée, je restai un instant immobile à observer les lieux. Ce n'était pas un manoir mais un château cette villa ! Alors que j'allais sonner à la porte, j'entendis un petit miaulement, je me retournai et découvris un adorable petit chaton blanc.

-Alors, mon pauvre petit, tu es tout seul ? Tu n'as pas de chance. Je suis désolée, je ne peux pas te prendre avec moi.

À contrecœur, je sonnai à la porte et une armoire à glace vint m'ouvrir. Je lui tendis mon invitation et il me laissa rentrer. L'intérieur était encore plus splendide que l'extérieur. Je promenais mon regard autour de moi et poussais un soupir d'agacement. Mais qu'est-ce que je faisais ici ? Maudite soit Alice et ses « brillantes » idées ! Non mais, je vous jure !! Pourquoi avait-elle fallu qu'elle insiste pour que je me retrouve, moi, Isabella Swan, 25 ans, en ce maudit 14 février, en ce jour pourri de la St Valentin, dans ce manoir où les hommes et les femmes venaient pour prendre du plaisir. St Valentin de mon cul, oui ! Je détestai cette fête depuis le 14 février 2000. Rien que d'y penser, j'avais encore un pincement au cœur.

//FLASH-BACK//

- Bella ?

- Oui Jacob ?

- J'aimerais t'avouer une chose.

- Quoi donc mon chéri ?

- Voilà, euh... j'aime une autre fille que toi.

- Quoi ??

Sur le coup, j'avais cru mal entendre car pour moi, il était impossible que Jacob me trompe.

Mais c'était bien la vérité. Cela faisait un mois qu'il couchait régulièrement avec Leah, ma meilleure amie de l'époque. J'avais piqué une crise et j'étais devenue folle de rage. J'avais insulté celle que je croyais mon amie de tous les noms. La colère avait ensuite fait place à un déchirement et à une tristesse infinie. J'avais été inconsolable durant de nombreux mois. Mon père ne savait plus quoi faire et finalement m'avait envoyé dans l'université de droit où je m'étais inscrite. À ce moment, j'avais rencontré Alice et sa joie de vivre qui m'avait beaucoup aidé à surmonter cette épreuve. Depuis, nous ne nous quittions plus et elle était pour moi, la meilleure amie qu'on puisse rêver d'avoir. Je lui devais tant.

//FIN DU FLASH-BACK//

J'avais beau adorer Alice, il n'en restait pas moins que parfois, elle avait de ces idées qui lui traversaient l'esprit. Comme de m'inscrire dans ce... club. Toute forme de sexe y était permise, de l'homosexualité à la bisexualité en passant par le sexe à plusieurs, mais une règle était tout de même imposée. Personne ne devait dire son nom, pas de détails sur la vie de tel ou tel personne. Nous étions des inconnus qui prenaient du plaisir avec des inconnus. C'était une nuit et rien d'autre. Le portier vint me débarrasser de mon manteau et, pour la deuxième fois de la soirée, je soupirais. Je me dirigeais vers le bar, bien décidé à y rester tout le temps que durera cette fichue soirée. Pendant que je marchais, je ne pus m'empêcher de rougir à l'idée de ce que je portais en dessous de ma robe bleue. Une fois au bar, je demandais au barman une Margarita et tout en sirotant mon cocktail, je jetai un regard sur mes éventuels compagnons de soirée car si je devais absolument coucher avec quelqu'un, autant que se soit un canon. C'est à ce moment que je croisais son regard. Ses yeux ressemblaient à deux émeraudes dans lesquelles je me perdis. Son regard me bouleversa, jamais un homme ne m'avait fait pareil effet. Je l'observai plus attentivement. Il était grand, brun, avec les cheveux qui partaient dans tous les sens. Ses traits étaient fins, sa mâchoire carrée. Sa bouche me donna aussitôt l'envie de l'embrasser. J'avais devant mes yeux un Dieu Vivant. Je détournai rapidement la tête afin de ne pas montrait qu'il me faisait de l'effet. À cet instant, un homme d'une vingtaine d'années, les cheveux blonds et gras, s'approcha de moi.

« Salut ! J'aimerais savoir si ça te dirait d'être ma partenaire de cette nuit. Je vais être franc : je te trouve à mon goût et....

- Non merci, je ne suis pas intéressée.

- Allez, je suis sûre que tu en as envie mais que tu fais ta timide. Dit-il en se collant à moi.

Non mais pour qui se prenait ce type ?

- Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans la phrase « je ne suis pas intéressée » ? m'écriai-je en serrant les poings si fort que mon verre se brisa, me coupant la main par la même occasion. Je sentis le sang couler, mais n'y prêtaient aucune attention, mon regard rivé ce boulet qui croyait que j'allais coucher avec lui.

- C'est bon, calmes-toi beauté.

J'étais trop estomaqué pour dire un mot. Au moment où j'allais lui dire ce que je pensais de lui, un doux ténor résonna :

- Cette demoiselle vous a demandé de la laisser tranquille, il me semble. Si vous étiez un temps soit peu galant, vous partiriez mais cela ne semble pas rentrer dans votre vocabulaire. De plus, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, mademoiselle vient de se blesser la main et sa plaie a manifestement besoin d'être désinfecté.

Le jeune homme s'en alla, vexé. Je levai la tête pour remercier mon sauveur et me perdis à nouveau dans l'émeraude de mon bel inconnu. De près, il était encore plus beau et les mots n'étaient pas suffisants pour le décrire. Un homme pareil ne pouvait être réel, je devais être en train de rêver. Son doux ténor résonna à nouveau, m'arrachant à mes pensées :

« Je suis désolée de vous avoir importunée mademoiselle, mais il m'a semblé que vous aviez des difficultés à vous débarrasser de ce jeune homme.

-Oui, en effet. Je vous remercie de m'avoir débarrassé de cet abruti.

- Je vous en prie, ce fut un plaisir.

Il demanda un torchon propre et un verre d'eau au barman, puis entreprit de nettoyer ma coupure. Ses gestes doux et tendres à la fois m'électrisèrent. Jamais un homme ne m'avait procuré pareil sensation rien qu'en me touchant.

- Et voilà mademoiselle.

- Merci infiniment, que puis-je faire pour vous récompenser ?

- Je ne demande rien en échange...

J'entendis au loin un slow débuter.

- ...toutefois si vous acceptiez de danser avec moi, vous me combleriez.

Je rougis. Pourquoi avait-il demandé ça ? Moi, ma maladresse légendaire et la danse n'avions jamais étés bonnes amies.

- C'est que... je ne sais pas danser.

- Je vois. Ne vous inquiétez pas, tout est dans le cavalier. Acceptez-vous cette danse en ma compagnie.

- Avec joie murmurai-je pas si heureuse que ça.

Il éclata de rire devant mon ton et me conduisit à la piste de danse. Là, il me déposa sur ses pieds et commença à danser. Son corps contre le mien réveilla en moi des sensations oubliées depuis longtemps et je sentis une flamme s'allumer dans mon bas-ventre. Il m'adressa un petit sourire en coin et je crus que j'allais mourir. Cet homme est diablement sexy et je le voulais. Oui, je le voulais pour ce soir comme mon partenaire mais je ne savais pas comment lui dire. Remarquant mon trouble, il se pencha vers moi et me chuchota à l'oreille :

« Je vous trouve ravissante et si j'osai, je vous demanderai d'être ma partenaire de la nuit. Acceptez-vous ?

Je sentis un frisson me parcourir le dos. Il me regarda avec une moue « à la Alice » et je pus lire tant d'espoir dans ses yeux que mon cœur se gonfla de joie. Je me mis sur la pointe des pieds et doucement, déposai mes lèvres sur les siennes. Notre baiser fut doux, tendre. Je le rompis la première et lui demandai :

- Cette réponse vous convient-elle ?

- Je n'aurai pu rêver de réponse plus satisfaisante.

Je lui souris. Il m'entraîna alors vers le grand escalier de marbre qui se trouvait dans l'entrée et me conduisit à l'étage. Arrivée en haut, je découvris une rangée de portes. Mon compagnon ouvrit la première d'entre elles et je ne pus retenir un hoquet de dégoût. Se tenaient devant nous, le blond qui m'avait abordé tout à l'heure et une rousse et ils... je n'en avais même pas les mots. Je fermai rapidement, mais doucement, la porte et lançai un regard à mon Apollon qui semblait gêné. Je passai devant lui et m'arrêtai devant une autre porte et n'apercevant aucun bruit, je l'entrebâillai. Elle était vide. Je pénétrai à l'intérieur et ne pus m'empêcher de m'extasier devant la beauté des lieux. Les murs étaient recouverts de tableaux et une magnifique cheminée en marbre blanc, dans laquelle crépitait un feu, se tenait sur le côté. Un immense lit à baldaquin se dressait devant moi et il était entouré de tables de chevets sur lesquelles brûlaient des chandeliers. Mon Apollon entra à son tour et m'entourant de ses bras, me susurra à l'oreille :

« Cette chambre me convient parfaitement. Qu'en dis-tu ? »

Et avant que j'ai pu répondre quoi que ce soit, il déposa ses lèvres sur les miennes. D'abord surprise, je répondis bien vite à son baiser. Sa langue vint lécher ma lèvre inférieure, quémandant un accès à ma bouche que je lui accordais aussitôt. Il entraîna alors ma langue dans une danse lente et sensuelle où chacune bataillait pour avoir le contrôle sur l'autre. Je ne pus retenir un gémissement et je le sentis sourire. Notre malheureuse condition humaine se rappela à nous et c'est à bout de souffle que nous nous séparâmes. Il me regarda un instant et son regard me fit un instant, peur. Ils étaient d'un noir d'encre, obscurcis par le désir qu'il ressentait. Il se jeta à nouveau à l'assaut de mes lèvres. Sauvagement, mes mains déchirèrent sa chemise et se baladèrent sur son merveilleux torse musclé. Elles retracèrent les lignes de ses abdos et je l'entendis gémir à son tour. Il fit doucement glisser les bretelles de ma robe et son contact avec peau déclencha des frissons dans mon dos. Je me souvins alors en rougissant que je ne portais rien en dessous de ma robe, car Alice avait insisté, et je rougis violemment. J'essayais de recouvrir ma poitrine de mes mains, mais il m'en empêcha. Mon Apollon me prit dans ses bras puis me déposa dans le lit. Il prit mes seins en coupe avec douceur et leur prodigua un massage qui me fit gémir. Il prit ensuite un de mes tétons durcis dans sa bouche et commença à le suçoter et à le mordiller m'arrachant un cri de surprise et de plaisir. Il infligea ensuite le même traitement à son compagnon puis commença à créer un parcours avec sa langue sur on ventre. Ma respiration était saccadée et mon cœur battait la chamade. Je réalisai soudain une chose : il prenait le dessus depuis tout à l'heure. Avec un contrôle dont je ne me pensai pas capable, je l'arrêtai dans son trajet puis le retournai afin de me trouver au-dessus de lui. Il ouvrit la bouche :

« Que...

- Chut. Deux points négatifs depuis le début de la soirée.

- Lesquels ? me demanda t'il, anxieux des aveux que je pourrai lui faire.

- De une,...

Je l'embrassai sur la tempe puis fit glisser ma langue le long de sa mâchoire, puis continuai mon chemin jusqu'à ses tétons que je titillai à mon tour. Puis, je me dirigeais vers son jean...

-.... je trouve que tu es trop habillé alors que je suis toute nue.

D'un habile coup de main, je lui retirai son jean et son boxer. Je restai sans voix devant la longueur de son sexe, dressé devant moi. Il me jeta un coup d'œil amusé et me demanda d'une voix rauque :

« Ce que tu vois te plaît ?

Je déglutis en signe d'acquiescement puis, repris d'une voix blanche :

- De deux,...

Je donnai un coup de langue sur son sexe, le faisant frémir.

- .... c'est à mon tour de jouer.

Et je l'englobai dans toute sa longueur. Il sursauta. Je commençai à le pomper avec bouche, utilisant parfois mes dents pour lui procurer davantage de plaisir. Je le sentis se tendre, aussi accélérai-je le mouvement et quelques secondes plus tard, il venait dans ma bouche en plusieurs jets. J'avalai le tout et le regardai. Il récupérait difficilement et je m'en réjouis. À ma grande surprise, il me retourna rapidement et déposa une multitude de baisers partout sur mon corps avant d'embrasser mon bouton du plaisir. Je me crispais. Il continua son chemin de baisers avant d'embrasser mon sexe complètement trempé pour lui. il inséra alors un doigts en moi commença à le bouger doucement. C'était trop peu. Comme s'il comprenait mon impatience, il introduisit un deuxième, puis un troisième doigt en moi. Il entra et ressortis deux fois avant que son corps ne se tende puis que je soit emporté dans une spirale de plaisir. Il me regarda reprendre contenance puis déposa ses lèvres sur les miennes. Nos langues se trouvèrent immédiatement et entamèrent un ballet érotique. Au bout d'une minute, nous mîmes fin à ce baiser, essoufflés. Je le regardai dans les yeux et mon envie de lui augmenta aussitôt. Je le voulais, là maintenant, en moi. Je lui dit alors, avec un aplomb que je ne me connaissais pas :

« Prends-moi. Prends-moi, je t'en prie.

Son regard s'obscurcit à nouveau. Il se positionna et d'un coup de rein, me pénétra violemment. La sensation de le savoir en moi me provoqua un plaisir immense. Il commença ses mouvements de va et viens, tout d'abord lentement puis de plus en plus accélérés et de plus en plus fort alors que je l'encourager à augmenter la cadence. Je sentais l'orgasme me guetter et deux coups de reins plus tard, nous atteignîmes tous les deux le septième ciel. Après cet orgasme fulgurant, il s'écroula à mes côtés, épuisé. Je me collai contre son torse et doucement, m'endormis.

Lorsque je me réveillais le lendemain matin, j'étais seule. Mon cœur se serra à cette vision car cela me confortait dans l'idée que cela n'avait été qu'une nuit. Je me levai alors et allai prendre une douche où je ne pus empêcher les larmes de couler sur mes joues. Je ne le reverrai plus. Je n'avais rien été d'autre que le coup d'un soir pour lui alors que moi... j'avais éprouvé tellement de choses ce soir-là. Je m'étais sentie si belle, si vivante sous son regard. Il m'avait fait découvrir et redécouvrir des sensations oubliées et encore inconnues. L'eau chaude finit par m'apaiser et je me rhabillai. J'enfilai rapidement ma robe, mes chaussures et regardai autour de moi. Cette pièce resterait à jamais gravé dans ma mémoire. Je portais la main à mon cou, distraitement et m'aperçus avec horreur que je n'avais plus le collier d'Alice. J'avais dû le perdre durant nos ébats d'hier soir. Tans pis, celui qui le trouvera auras ainsi un beau cadeau. Je fermai la porte derrière moi, puis descendis lentement les marches, nullement pressée de sortir d'ici. Arrivée dans le hall, je jetai un dernier coup d'œil au salon, encore jonché de verres d'alcool, de mégots de cigarettes,...

J'enfilai mon manteau, encore suspendu, ouvris la porte et sortis dans le froid matinal. Le vent glacial acheva de me mettre le moral à zéro.

« Joyeuse St Valentin » pensai-je amèrement.

J'appelai un taxi pour qu'on vienne me chercher. Je n'eus pas à attendre longtemps. Au moment où je montai dans la voiture, un miaulement attira mon attention. Je me retournai et aperçus le chaton blanc de la veille. Une idée me traversa alors la tête. Je demandai au chauffeur de m'attendre une minute, pris le chaton dans mes bras et montai avec lui dans le taxi.

« Petit chat, je te baptise Remember, en souvenir de cette soirée incroyable »

Je le déposai sur mes genoux et me mis à le caresser. Il ronronna. Un sourire naquit sur mes lèvres, cette journée n'était après tout, pas si pourrie que ça.

FIN

Si pouviez me poster une review pour me donner, votre avis, ce serait comme si je venais de vivre ce lemon à la place de Bella alors s'il vous plait, une petite review. J'hésites à poster une suite à cet OS. À vous de me donner votre avis dans votre review.