Les personnages et lieux appartiennent à J.K Rolling et Stefenie Meyer (sauf Daïdara Granger)
Dans cette fanfiction, Hermione à une cousine du nom de Daïdara Granger. Daïdara est une fille de parent Moldu qui a été rejeter par ces parents à cause de ça magie et vie depuis qu'Hermione est entré à Poudlard chez son oncle et sa tante (les parents d'Hermione). Elle fait partie du Trio d'Or et les à aidés dans toute leur aventures. Elle et Hermione se ressemble comme deux goûte d'eau, tant sur le plan physique qu'intellectuelle. La seule différence entre les deux jeune filles, c'est que Daïdara à 18 ans et qu'elle est d'une nature plus extravertie qu'Hermione. Elle ressemble d'avantage à Luna Lovegood, qui n'est autre que ça meilleur amie. Pour mener ma fiction comme je l'entends, je vais devoir modifier une petite partie du dernier tome d'Harry Potter. En effet, Daïdara est présente tout le long de leur périple et lorsque les raffleurs les reperds et les emmènes au Manoir Malfoy, elle prend la place d'Hermione et se fait torturer à sa place. Quand Dobby vient les aider, elle ne se laisse pas transplaner avec eux et se prend dans l'épaule le poignard qui était destiné à L'elfe. Elle se fait torturer jusqu'à la fin de la guerre et es retrouver par Hermione une fois qu'Harry à tuer Voldemort.
Chapitre 1 : La magicophobie
La guerre est fini depuis maintenant trois mois. Nous avons retrouvés et soignés tout les gens qui pouvaient l'être. Enterrer ceux que nous avions perdu et put faire notre deuil. Les conséquences de cette bataille sont considérables. Ron et la famille Weasley avait perdu Fred, l'un des jumeaux farceur, Harry avait perdu les deux seuls êtres vivant qui avaient connue ses parents, à savoir Remus Lupin et Severus Rogue. Hermione elle, n'avait perdu personne mais c'était tout comme. Sa cousine Daïdara, qu'elle aimait comme une sœur, ne vivait plus bien qu'elle soit encore vivante. Depuis qu'elle avait été retrouvée dans une cellule du Manoir Malfoy, elle ne parlait plus. La jeune femme se contentait d'exister. Elle mangeait, se déplaçait et dormait. Enfin dormir… elle essayait en tout cas. Chaque soir on l'entendait hurler et quand elle se réveillait en sueur, il lui était impossible de se rendormir. Pour calmer sa peur, ainsi que ses tremblements, elle serrait ses jambes dans ses bras en se berçant d'avant en arrière, le regard perdu dans le vague. Ces yeux semblait vidé de toute étincelle et ne renvoyait qu'une profondeur sans fond. Dans de telle condition comment pouvait-on faire un deuil ? Ça faisait trois mois qu'Hermione ne constatait aucune amélioration de son état. Et voyant qu'elle n'arrivait pas à la faire réagir, elle avait fait appelle à des tonnes de médicomage. Mais aucun ne savait ce qu'elle avait. Ils leurs dirent tous la même chose :
-Miss Granger est en état de choc. Ça lui passera.
Mais ça ne lui passait pas. Hermione c'était dit qu'un autre membre de sa famille pourrait peut-être l'aider. Alors elle avait fait des recherches. C'est comme ça qu'elle apprit que les parents de sa cousine étaient morts dans un braquage de banque, ils y a de ça presque un an, et que la seule famille qui lui restait, autre qu'elle même, était un oncle qui vivait à Forks, dans l'état de Washington en Amérique. Elle parla de son idée à son meilleur ami Harry et son petit-ami Ron, qui pensèrent que c'était une bonne solution. Hermione leur confia donc la surveillance de sa cousine et transplana sans attendre à l'adresse qu'elle avait pu trouver. Elle apparut à l'arrière d'une maison à un étage, blanche et au bout d'une rue comprenant le même modèle de maison. Elle gagna la porte avant et sonna. Quelque minute passèrent avant qu'on ne lui ouvre la porte.
-Bonsoir, désoler de vous déranger. Je me trouve bien chez Charlie Swan ? Demande Hermione poliment.
-Oui c'est bien moi, que puis-je pour vous ? Demande l'homme, d'une voix suspecte.
-Je suis Hermione Granger. La cousine de Daïdara…
-Oh mon dieu ! Es-ce qu'elle va bien ? Je vous en pris ne me dite pas qu'elle est…
-Non ! S'empressa de dire l'adolescente. Non, non ! Elle est vivante.
-Venez entrer, dit avec soulagement Charlie.
Il ne risque pas d'être soulager bien longtemps, pensa Hermione. Elle le remercia et entra. Charlie la fit asseoir sur un canapé quand la porte d'entré s'ouvra à nouveau.
-Papa, je suis rentré ! Dit une voix féminine.
-Dans le salon, répondit son père.
Des pas se firent entendre et une jeune fille ravissante entra. Elle ressemblait un peu à Hermione, peau blanche, cheveux brun, yeux chocolat, mais son visage était plus anguleux que celui de la sorcière et ses cheveux ondulaient gracieusement.
-Bella voici Hermione Granger, ta cousine par alliance ? Demanda Charlie. Enfin bref. Hermione est la cousine de Daïdara !
-Oh mon dieu ! Es-ce qu'elle va bien ? Elle n'est pas…
-Non, chérie. Elle est encore vivante, répondit son père. Elle survécu à cette guerre !
-Vous êtes au courant ? S'étonne la sorcière.
-Bien sûr ! S'exclame Charlie offenser.
- Excusez-moi, mais comme elle ne m'a jamais parlé de vous…
-C'est normal, répondit sombrement Charlie. Mon imbécile de sœur ne voulait pas que nous soyons en contacte avec elle. Mais elle nous envoyait toujours des hiboux ! Enfin sauf cette année, mais nous avons été prévenue.
-Je comprends, dit Hermione pensivement. Enfin bref. Daïdara n'est pas morte mais… on ne peut dire qu'elle soit vivante non plus…
-Comment ça ? Demande Bella qui s'était installé près de leur invitée.
-Pour faire simple, elle à sauver la vie d'un ami à nous et c'est fait torturer pendant un peu plus de deux mois, pleura Hermione.
La famille Swan eurent un hoquet d'effrois et se mirent à pleurer avec la sorcière.
-La guerre est fini depuis trois mois mais elle na pas ouvert la bouche depuis, à part pour hurler dans son sommeil. Elle ne fait que se déplacer et manger. Elle ne vie plus ! Elle se contente d'exister, expliqua t-elle. Alors j'ai pensé que peut-être… peut-être que si elle changeait de lieu, elle ira mieux.
-Oui c'est une bonne idée, répondit Charlie d'une voix rauque. Où est-elle ? Peut-on aller la voir ?
-Et bien en faite… je pensais qu'elle pourrait peut-être venir vivre ici. À Forks. Étant une héroïne de guerre, elle est devenue riche alors elle pourra s'acheter une maison et pourra vivre seule. Mais il faudra la surveiller, dit précipitamment Hermione.
-Pas question! s'écria Bella. Elle viendra vivre ici !
D'abord surprise et inquiète Hermione soupira de soulagement en entendant la fin de la phrase de la jeune Swan.
-Comme vous voudrez. Je vais partir maintenant, la prévenir et voir sa réaction. Je vous envoie un hibou dès que possible pour que nous puissions nous organiser, si elle veux bien venir ici. Si elle ne veut pas, je viendrai vous voir un week-end pour que vous lui rendiez visite.
-Merci Hermione, répondirent-ils en même temps.
Elle leur fait un sourire triste en leurs disant qu'elle aurait préférer les rencontrer dans de meilleur circonstance et transplana devant leur yeux ébahis. Hermione apparut dans la chambre de sa cousine, qui n'eut toujours aucune réaction. Elle s'avança lentement et pris la main de sa parente avec douceur. Elle lui caressa le dos avec tendresse et lui sourie.
-Il a fait beau aujourd'hui tu ne trouvas pas ? Demanda Hermione.
Pas de réponse.
-Qu'as-tu fait de ta journée ?
Pas de réponse.
-Daïdara. Tu sais où je suis allé aujourd'hui ?
Pas de réponse.
-Je suis allé à Forks.
Pour la première fois depuis trois mois, la jeune sorcière eu un geste de compréhension. Elle tourna la tête vers Hermione et planta ses yeux marron dans ceux de sa cousine. Cette dernière fut surprise par le mouvement mais aussi part les yeux pétillant de la jeune fille.
-Forks, murmura Daïdara d'une vois rauque dut au manque d'usage.
-Oui ! S'écria Hermione, pleurant de joie. Oui, Forks ! Tu sais qui il y a là-bas ?
-Oncle Charlie et Bella, répondit-elle la voix plus forte.
-C'est exacte ! Oh Daïdara, tu parles ! Tu bouges ! Tu vies ! Hurle de joie sa cousine.
Ron et Harry débarquèrent dans la chambre, baguette à la main.
-Tout va bien ? Demanda Harry.
-On t'a entendu crier, précisa Ron.
-Les garçons, Daïdara parle ! Cria Hermione en sautant de joie.
Ils allèrent la féliciter quand l'objet de la conversation ouvrit la bouche, les faisant taire instantanément.
-Mione ? Demanda sa cousine en papillonnant des yeux, comme si elle sortait d'un rêve. Où es-ce que je suis ? On est quel jour ? Il est quel heure ? J'ai faim !
- Oh mon dieu chéri ! Cria une nouvelle fois Hermione en serrant sa parente dans ses bras.
-Daï, tu te souviens de quoi ? Demande Harry avec douceur. Enfin qu'elles sont tes derniers souvenirs ?
-Je me souviens d'avoir vue Mione se pencher vers moi dans… dans... la cellule des Malfoy et… et c'est tout ! Ah ! Et Hermione qui vient de me dire qu'elle a rendu visite à mon oncle et ma cousine à Forks.
-Et rien entre les deux ? Demande Ron.
-Pourquoi y a eu quelque chose entre les deux ? Demanda la sorcière.
Ils soupirèrent et pendant que Ron était partie chercher à manger, ses deux amis lui racontèrent ces trois mois de léthargie.
-Oui je m'en souviens maintenant, murmura-t-elle. Je ne suis sortie de là que lorsque tu ma rappeler mon oncle Charlie et Bella.
-Oui, répondit Hermione avec douceur.
-Sais-tu pourquoi ? Demande Harry.
-Oui. Je… je cherchais un moyen d'échapper à la magie, dit-elle sombrement. Je ne veux plus vivre ici. Entourer de… de… de cette foutu magie ! Mais je ne pouvais pas partir. J'aurai été seul ! Vous étiez ma dernière famille. Mais javais oublier mon oncle et ma cousine ! Oh, Hermione ! Tu croix qu'ils voudront bien que je vive près de chez eux ?
-Justement j'allai y venir, sourire cette dernière.
Mais avant qu'elle puisse finir sa phrase Ronald Weasley ouvrit la porte de la chambre et déposa un plateau remplis de nourriture sur le lit de sa belle-cousine.
-J'ai réussit à convaincre tout la famille ne de ne pas venir te déranger pour le moment, mais ils vont venir un part un pour te parler, dit Ron fier de lui.
La jeune fille le remercia et mangea goulûment sous leurs yeux amusés.
-Donc je disais… ah oui. Ton oncle Charlie et Bella seraient heureux que tu habites avec eux.
-Chertainement pos, répondit sa cousine la bouche pleine. Pardon. Je disais « certainement pas ». Je me prendrais une maison là-bas.
-Ils vont insister, la prévient-elle.
-Je suis très certainement plus têtu qu'eux, avança Daïdara.
Comme promis par Ron, toute la famille Weasley entra dans la chambre de la demoiselle et Hermione en profita pour envoyer un hibou aux Swan pour leur expliquer la situation. Après plusieurs semaines de négociation, Daïdara eu gain de cause pour la maison. Semaines pendant les quelles les Weasley purent voir avec stupeur et pitié que la jeune femme ne supportait plus de faire ou de voir de la magie. Chaque fois qu'un objet faisait quelque chose qu'il était incapable de faire chez les Moldus, elle pleurait à chaud de larme. Chaque fois qu'elle voyait une baguette magique ou entendait un sort, elle plaquait ses mains sur ses oreilles et hurlait de terreur. Molly avait fait venir plusieurs médicomage qui avait tous révéler le même résultat : magicophobe.
-Mais c'est impossible, rouspétait Mrs Weasley. Elle ne se sépare jamais de sa baguette !
-C'est pour se défendre, avait expliqué le dernier médicomage. Elle revoie toujours la guerre, elle a été torturé pendant de long mois… rien d'étonnant qu'elle ne sorte jamais sans sa baguette même si la magie lui fait maintenant affreusement peur.
Molly Weasley lui fit un signe de compréhension mais restait peu convaincu.
-Elle ma dit qu'elle partait demain en Amérique, dans une ville Moldu, chez des parents Moldu ? Demande la médecin.
-C'est ça, dit-elle tristement.
-Ça lui fera le plus grand bien, assura-t-il.
Mrs Weasley fut prise d'une si grande fureur que c'est tout juste si elle ne congédia pas le médicomage à grand coup de pieds au derrière. Non mais dit donc ! Mieux ailleurs que chez moi ? Mais cet homme n'est qu'un charlatant, se disait-elle.
Pendant ces mêmes semaines, Daïdara avait décidé de réviser ces cours d'école Moldu. La jeune femme, même si elle n'avait plus de contact avec ses parents, voulait les rendre fière et avait poursuivie deux cursus scolaire en même temps. L'un magique et l'autre Moldu, ce dernier par correspondance. Elle rentrerait cette année en terminal et pour la première fois de sa vie, dans un lycée Moldu. Ce soir là elle fit ses valises avec soins. Puisqu'elle ne voulait pas utiliser la magie, elle dut faire plusieurs bagages et avait déjà envoyé ses objets la semaine précédente. Les meubles qu'elle voulait pour sa maison on été commander sur internet, livrer et réceptionner par Bella qui avait rangé sa maison. Hermione c'était évidement proposer son aide mais sa cousine savait qu'elle aurait utilisé sa baguette pour tout ranger et elle ne voulait pas que les lieux s'imprègne de magie. Son autre cousine avait accepté avec grand plaisir, plus tard elle lui avait affirmé avoir trouver ça très amusant et avait été aidée par son petit-ami Edward et ses frères. Cette nuit là, comme toute les autres nuits, Daïdara hurla après les fantômes de son passé qui hantait toujours ses rêves. Oui rêve ! Car comme à chaque fois, la jeune femme commence à rêver avant de hurler soit de douleurs, soit de peur. Parfois même de fureur ! C'est donc avec des cernes de dix kilomètres de long qu'elle prit son petit-déjeuner ce matin là. Mrs Weasley c'était surpasser et avait mit les petit plat dans les grand pour le départ de la demoiselle. Tout le monde était déjà debout pour accompagner la jeune fille à l'aéroport grâce à deux voitures que le ministère avait fait venir pour leurs sécurités. Le petit-déjeuner avait été pris avec une joie exagérer qui n'échappa à personnes. Daïdara était touché que ses amis surmontent leur tristesse devant elle et ne voulant pas gâcher leur effort, fit de même. Les heures passèrent bien trop vite et l'heure de faire leur au revoir était déjà arriver. Les Weasley la prirent chacun leur tours dans leurs bras, lui souhaitant bonne chance. Harry, Ron et Hermione furent les derniers.
-Tu es certaine de ne rien avoir oublié ? Demande une énième fois Hermione à sa cousine.
-M'ione, soupira la concerner. J'ai tout. Comment je pourrais oublier quoi que se soit avec toi sur le dos ?
-Je suis juste inquiète qu'il te manque quelque chose, se défend la sorcière.
-Au pire on le lui rendra quand nous irons la voir, répondit Harry.
-Mais oui arrête de te faire du mouron, renchérit Ron.
-Tu vas tellement nous manqué, dit Hermione la voix chevrotante.
-Ho, Hermione ! Vous aussi vous allez me manquer, mais on s'enverra des hiboux, promit Daïdara.
Elle sera une dernière fois ses amis et sa cousine puis se dirigea vers son avion dans un dernier salut à tout le monde. Ce n'est qu'une fois assise à sa place qu'elle s'autorisa à pleurer doucement. C'est vrai qu'ils lui manqueraient mais pas la magie. Pas les souvenirs horribles qu'elle y avait vécu. Le voyage se passa trop lentement et en même temps trop rapidement au goût de la sorcière. Elle sortie parmi les voyageurs Moldu et n'eus aucun mal à apercevoir sa cousine et son oncle. Elle courut jusqu'à eux et les serra dans ses bras. Étreinte qu'ils lui rendirent avec bonheur. Ils l'accompagnèrent récupérer ses valises et réussirent tant bien que mal à tout caser dans la voiture de chef de Police. Personnes ne lui parla de la guerre, ni même de l'après guerre. Ils se contentèrent de briser le silence en lui parlant des changements de la ville et de son lycée.
-Je te ferai visiter demain, lui dit sa cousine. Et tu mangeras avec nous à la cafétéria !
-Tu vas encore au lycée Charlie ? Taquina la sorcière.
-Je croix que Bella te parle de la merveilleuse famille Cullen, répond-t-il d'un air entendu.
-Tu verras ils sont adorables, dit sa cousine en fusillant son père du regard. D'ailleurs ils nous ont invités à manger chez eux demain soir…
-Tu es puni je te rappelle, dit Charlie avec empressement.
-Tu es puni ? S'étonna la sorcière. Qu'as-tu fait ?
-Elle est partie en voyage sans ma prévenir pendant trois jours ! Sans même donner de nouvelle !
-Ce n'était pas un voyage, marmonna Bella. Je suis partie empêcher Edward de faire une grosse erreur !
-Alors que cet idiot t'avait laissé comme une vielle chaussette, accusa Charlie.
-Et c'est pour ça que j'aurai dut le laisser se suicider ? S'indigne sa fille.
-Non mais c'est pour ça que tu n'aurais pas dut lui pardonner et te remettre avec !
-Houlà ! Stop, temps mort. On rembobine et on m'explique, exigea Daïdara.
Bella soupira puis lui expliqua ce qui lui était arrivé l'année dernière. La sorcière écouta attentivement et ne pu mettre le doigt sur ce qui la gênait. Il y avait quelque chose d'anormal dans ce récit mais avant qu'elle ne puisse y voir plus claire, Charlie lui confia qu'ils étaient arrivé. La voiture c'était garé dans une allé entourer par le foret et devant une grande maison au brique rouge d'un étage. Elle en fut immédiatement amoureuse. La maison avait un charme certain et lui rappelait son Londres natale. Bella et Charlie ouvrirent la marche et lui firent une visite guidé. L'entré était tapisser de cardes aux photos immobile. Une petite table était collé au mur à ça gauche avec poser dessus un récipient en cristal remplie de perles nacré, une statue en forme d'hippocampe et d'un vase contenant une tulipe mauve, son animal et sa fleur préférer. Un grand tapis vert émeraude était étalé sur le parquet vernit et en face d'elle se trouver un superbe escalier en bois montant à l'étage supérieur. Sur sa gauche se trouvait une porte en verre qui conduisait à une petite cuisine équipé où il y avait une table blanche, trois chaises et une grande fenêtre donnant sur le devant de la maison. Sur sa droite le salon de taille moyenne, avec une cheminé et les murs en brique rouge. Le parquet était sombre, un canapé trônait en son centre, face à la cheminer et encadrer de deux beau fauteuil. Tout trois était de couleur rouge et en velours, avec le bois doré. Une grande table pour six personnes se trouvait dans le fond à gauche et deux grandes fenêtres laissant entrer la lumière dans la pièce. Celle de droite donnait sur l'allée de devant et celle de gauche sur le jardin de derrière. Ils montèrent en suite à l'étage où il y avait trois porte. Celle de gauche donnait sur une salle de bain plus grande qu'on ne pouvait le deviner. Il avait une baignoire aux pieds félin doré et agrémenté d'un paumât de douche. Un lavabo en marbre gris sur la gauche était surmonté d'un grand miroir et l'unique fenêtre donnait sur le jardin. La porte face aux escaliers était sa chambre, au couleur pastel. Les murs était vert et le lit bleu. Sa coiffeuse blanche était postée près de la fenêtre qui donne vue aussi sur le derrière de la maison. Une armoire en bois de cerisier était poster en face de cette dernière et un miroir en pieds était mit en face de son lit. La dernière pièce ne comptait que trois mur et une rambarde donnant sur le salon. C'était le bureau bibliothèque. Tout le mur était tapissé de livres, certains Moldu, d'autre non. Les livres sur la magie ne l'effrayaient pas. C'était faire de la magie qui l'horrifiait. Un bureau en chêne et en cuire brun était positionné en face de la fenêtre qui offrait la même vue que toute celle de l'étages. Un canapé en tissus noir était mis de dos à la rambarde et laissait la place de circuler derrière, une table en verre était poser devant et plusieurs poufs verts était étaler par terre. Elle remercia chaleureusement sa famille et les invitèrent à dîner. Ils acceptèrent avec joie et Bella aida sa cousine à défaire ses valises. Une fois tout terminé, l'heure de manger approchait à grand pas.
-Laisse je vais m'en occuper, avait dit Bella. Papa à une surprise pour toi je croix.
-Oui, tu ne vas pas aller au lycée à pieds, rit-il. Et comme Bella refuse d'être prise pour un taxi...
-Effectivement c'est hors de question, fit-elle faussement en colère.
-Je t'ai offert un moyen de transport.
La petite famille se trouvait à présent devant la maison et Charlie les conduisaient près d'un cabanon. Il ouvrit la porte grâce à une belle clé ancienne en argent.
-Tada ! Dit-il fière de lui.
Dans l'étrange cabane en bois se trouvait une superbe moto noir et argent. Une Harley reconnue la sorcière. Une Harley SUPERLOW 2018Rien que ça.
-Alors Daï peut conduire une moto mais pas moi ? S'insurge Bella.
-Daïdara va avoir dix-neuf ans, répondit Charlie avec sérieux. Elle adulte depuis un an et en plus elle n'a pas le permit voiture.
La fille du chef Swan dut en convenir et reporta son attention sur sa cousine qu'il n'avait toujours rien dit ni même bouger.
-Tu… Oncle Charlie tu m'offres une moto ? Hurla-t-elle en se jetant dans ces bras. Oh c'est génial ! C'est le plus cadeau qu'on mat jamais fait ! Oh merci, merci, merci !
Les deux Swan rirent de bon cœur et rentrèrent dans la maison. Tout le monde s'installa dans la cuisine et Bella montra à sa cousine sorcière comment utiliser les différents objets de cette dernière. Une fois le repas fini et les trois attablés la jolie brune revient à la charge.
-Je sais que je suis puni papa, mais les Cullen tiennent vraiment à connaître Daïdara !
Charlie soupira et les deux jeunes filles savaient qu'il allait céder mais ce qui les étonna c'est qu'il avait déjà décidé de lever la punition. A quelques conditions évidements. Bella devait revoir ces anciens amis, un certain Jacob Black en particulier si la sorcière avait bien tout compris. Sa cousine promis et le dîner sa passa dans la bonne humeur. Le soir étant bien avancer, les Swan partirent après que Bella lui assure qu'elle venait la chercher demain matin pour lui montré le chemin du lycée. Daïdara leur fit un ultime signe de salut quand elle cru voir une ombre noir s'éclipser à la suite de la voiture. La jeune femme patienta quelque minute avant de se dire qu'elle avait dut rêver et partie se coucher sans demander son reste.
