Salut chères lecteurs, comme promis me revoici avec une nouvelle fanfiction « Dragons », à l'époque moderne, et où Harold et Krokmou s'enfuient. Avant de commencer je voudrais remercier Timothe, Lamisselodiedu83, et Vicky03, pour leurs appréciations sur le dernier chapitre de Équilibre, ainsi que sur le contenue totale de la fic, d'ailleurs j'ai été agréablement surpris par certains avis. Plus un merci spéciale à Timothe qui remplace temporairement Agamemnon en fonction de bêta.
Comme d'habitude je publierais tout les mardis, jusqu'à début septembre, car après je change de d'employeur, et je ne connais pas encore mes nouveaux horaires. Quoiqu'il en soit je publierais toujours une fois par semaine, et une fois mes horaires fixé je vous direz quel jour je publierai. J'espère que cette fic vous plaira, je pense avoir trouvé un scénario du tonnerre, à vous d'en jugez. Bonne lecture !
Prologue : Apparences trompeuses
« La Terre... La troisième planète du système solaire, et la seule habitable... Habitée par une multitude d'espèces animales, et végétales en tous genres... Mais depuis plus de quelques millions d'années, elle est habitée par deux espèces qui sont totalement opposées, mais pourtant parfaitement compatibles. Les humains et les dragons. Ces deux espèces dominent la planète. Elles ont été rivales pendant des millions d'années, jusqu'à ce qu'il y a plus mille ans. Elles ne s'unissent que grâce à la volonté d'un dragon des plus rare et d'un garçon viking, dont les noms sont oubliés de nos jours. »
« Ces deux espèces se complètent, par leurs facultés, les dragons évoluent plus rapidement que n'importe quelle autre espèce, parfois en l'espace d'une dizaine d'années. Alors que son espèce sœur, l'humanité, évolue grâce à la technologie pour compenser sa faiblesse corporelle. Toutefois les deux espèces sont intelligentes, et vivent en harmonie depuis plus de mille ans. »
« Malgré le rapprochement des deux espèces, il était impossible de parvenir à une unification mondiale. Eh, oui malgré toutes leurs majestés, ils n'arrivaient pas à tous s'unir sous un même étendard. Ce qui conduisit inévitablement à la formation de plus de cent quatre-vingts pays de par le monde. Et autant de pays apportaient inévitablement des guerres. Au fil des siècles ces guerres se sont intensifiées faisant de plus en plus de victimes, jusqu'à ce qu'il y a soixante-quinze ans. Il y aie la fin de la seconde guerre mondiale »
« Ce fut la guerre la plus dévastatrice à ce jour. Plus de deux cents millions de morts des deux espèces, des deux camps, des dégâts matériels inimaginables, et combien de pertes historiques... Elle s'acheva il y a soixante-quinze ans par le largage des deux plus puissantes armes que le monde ait jamais connu, les bombes atomiques d'Hiroshima, et de Nagasaki. Dès lors, le monde est entré dans une paix relative, malgré les attentats, et les guerres économiques, et froides entre les grandes puissances... Enfin c'est ce que croit la majorité des habitants de la planète... »
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« Ça c'est Beurk... Une grande ville des États-Unis d'Amérique, cette grande ville est située sur Lawson Island, à l'extrême nord du continent. Complètement isolée du reste du pays, mais à ses mains à cause d'une malheureuse partie de cartes entre Canadiens et Américains, il y plusieurs siècles de cela. C'est une ville portuaire aussi grande que New York, mais la différence avec New York, c'est qu'elle a été fondée par des vikings, et depuis lors est à moitié concentrée sur le militaire, avec une raison de plus étant isolée, toutefois la ville à son propre nid de dragons sur une île à proximité sur Maccoll Island. »
« Les académies de cette île sont réputées dans le monde entier, pour à la fois former mentalement et physiquement leurs étudiants qu'ils soient humains ou dragons. Et la plus réputée est l'académie de « La rive du Dragon », c'est la plus prestigieuse, c'est de cette dernière que sort des ingénieurs de haut niveau, qui sont également capables de se défendre militairement, avec de l'armement allant du pistolet au tank, sans compter la formation de cavalier de dragons de très haut niveau. »
« Cette académie est située en bord de mer, sur le rebord d'une falaise. Pourquoi ?En hommage aux premiers colons vikings qui seraient partis de leur île natale,menés par le premier cavalier de dragons il y a environ mille sept cents ans. Désormais plus évoluée et agrandie, cette académie est magnifique, et prête à prendre des élèves. C'est là que j'étudie, d'ailleurs me voici... »
On voit sur une plate-forme de béton un jeune adolescent gringalet, petit. Il porte une longue chemise verte émeraude rayée, un jeans marron foncé, des baskets rembourrées noire de jais, ainsi qu'une sorte de doudoune sans manches également marron foncé, et une montre numérique au bras. Ses traits de visage montrent qu'il devient un homme, ses yeux vert émeraude vous transperceraient le cœur d'un seul regard, si vous parveniez à les dénicher sous les cheveux auburn tombant de son crane. Son sac à dos est très simple,noir de jais également, mais profilé comme pour des sacs de motard pour ne pas avoir trop de frictions au vent. Entre ses mains une tablette, il complète un projet d'ingénierie.
« Je m'appelle Harold... Grand nom je sais... Je suppose que mon père m'a nommé ainsi pour montrer à quelle point je le déçois... Mais je m'en fiche. »
« Je suis également le plus faible Beurkien de toute la ville, et aussi le plus étrange, et pour ces raisons tout le monde me hait... Mais ça aussi je m'en fiche... Tiens vous voyez d'autres Beurkiens, soi-disant mieux que moi. »
On voit se dirigeant vers lui cinq adolescents affublés de leurs dragons. La première personne est un jeune garçon costaud aux cheveux noir charbon, son regard est rempli de vantardise, il porte des habits de cuir tout comme son dragon,un cauchemar monstrueux rouge vif :
« Lui c'est Rustik Jorgenson, et son dragon Crochefer,mon soi-disant cousin... Et son dragon Crochefer,Il me bat à chaque fois qu'il le peut, c'est à dire très rarement, grâce à certaines circonstances inexplicables... Quoi qu'il en soit moi aussi je le déteste. »
Maintenant un grand garçon enrobé aux cheveux blonds arrive. Il porte une grande veste de fourrure autour de son corps, tellement grande en fait qu'on ne voit presque pas son pantalon rembourré, et ses bottes. Il porte également un bonnet de fourrure sur sa tête. Son regard est celui de quelqu'un de bon et il essaye d'éviter le regard de l'auburn tout en grattant son dragon,une Gronke marron qui lèche son propriétaire de la main :
« Ça c'est Varek et sa Gronke Bouledogre... Autrefois de bons amis, désormais m'ignorant à cause de ma réputation... Ce n'est pas un ami, un véritable ami est à vos cotés quoiqu'il arrive comme mes connaissances d'autres villes... »
Maintenant,deux jumeaux étaient visibles, ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau de la pointe de leurs tresses blondes à leurs yeux bleus en passant par leurs sourires moqueurs qu'ils envoient à notre héros. À la différence que l'un est un garçon, et l'autre une fille. Ils portent des vêtements similaires aux autres, de beaux pantalons rembourrés en cuir, avec des vestes marrons bien rembourrées, ainsi qu'une paire de bonnets ressemblant à des casques vikings assortis. Derrière se trouve un bragettaure vert marécage,les deux têtes ayant le même regard sournois que leurs dresseurs :
« Eux c'est les jumeaux Kranedur et Kognedur, et leur dragon Prout et Pet, on ne connaît pas leurs véritables noms, donc on les a surnommés ainsi, par contre les pauvres dragons ont été nommés de leurs cerveaux où qu'ils se trouvent... Reconnus dans toute la ville pour leurs mauvaises blagues qui se terminent en désastres... Eh oui malgré le demi neurone qu'ils partagent ils s'en sortent toujours à mes dépens. »
Finalement une jeune adolescente aux longs cheveux blonds tressés, et pendant sur son épaule s'approche. Elle porte des lunettes de soleil noires, cachant ses magnifiques yeux bleu azur. Elle porte un grand manteau de fourrure se terminant par une immense capuche de fourrure dans son dos, ainsi qu'une jupe cloutée au dessus de son pantalon rembourré et de ses bottes en fourrure. Elle affiche un sourire oisif et indifférent. A ses cotés un dragon vipère bleu et jaune scrutait avec joie le jeune garçon qui ne levait que rarement les yeux pour regarder ses tourmenteurs :
« Et elle c'est Astrid et sa vipère Tempête... Comment la décrire ? Ah oui ! Arrogante, égocentrique, violente, mauvaise perdante, et complètement indifférente au reste du monde... Je crois bien que j'ai eu il y a un lointain passé, du genre il y a quelques siècles des sentiments pour elle... Qui depuis bien longtemps ont brûlés comme un fétu de paille. »
Le jeune adolescent n'ayant pas lâché un mot à ses intimidateurs, ni même donné un regard autre que blasé pendant plus de deux secondes à ces derniers, avait attiré leur attention, et désormais ils venaient vers lui afin de régler des comptes imaginaires. Alors qu'ils s'approchaient Harold les avait vus avec leurs regards méchants :
« Une personne normale serait partie très rapidement, surtout voyant les dragons rappliquer avec eux. Ou alors se serait lancé la tête la première dans la bataille pour prouver son caractère... mais s'il y a bien une chose que vous devez savoir sur moi c'est... »
Il commençait à marcher très lentement vers l'intérieur de l'académie, se faisant lentement poursuivre par le groupe de personnes et de dragons. D'autres élèves sortaient de l'enceinte du bâtiment avec leurs reptiles à leurs cotés, ne remarquant même pas l'auburn qui se déplaçait au travers de la foule avec une aisance montrant qu'il n'en n'était pas à son coup d'essai. Le groupe quant à lui, même avec leurs formations des plus hardies avait un mal de chien à le suivre, étant bloqué par la foule. Rustik parlait alors avec agacement :
« Et merde ! On va encore perdre l'inutile ! Pour une fois qu'on pouvait le remettre à sa place pour être lui ! », les réactions de ses camarades qui se déplaçaient en parallèle avec lui étaient des plus mitigées. Astrid était impassible, mais un expert comme son dragon pouvait voir qu'elle était irritée par ce fait. Varek était soulagé, même s'il n'était plus ami avec Harold il n'avait jamais voulu le frapper, mais il le faisait, pour qu'on ne le traite pas de la même façon que ce dernier. Quant aux jumeaux, et bien... ils fonçaient dans le tas sur une seule et même idée :donner une raclée à Harold duquel ils se rapprochaient :
« Regardez on va le rattraper ! », disait Kranedur se rapprochant d'Harold qui soudain avait beaucoup de mal à se faufiler entre les gens. Le groupe souriait avidement, alors qu'il entrait de plus en plus lentement dans l'intérieur de l'académie. Ce qu'ils ne pouvaient pas voir était le sourire sur son visage alors qu'il avançait. Soudain Rustik cria méchamment :
« Le fils de Stoick Haddock, maire et général de Beurk,mon œil! », Harold se raidissait légèrement à la remarque de Rustik, mais après une fraction de seconde de panique invisible à la plupart des étudiants, Harold reprenait sa route :
« Eh, oui c'est moi Harold Haddock,l'inutile,la calamité de beurk, fils de Stoick Haddock,maire et général de beurk. Un des soldats les plus fort des États-Unis,ayant fait plusieurs interventions dans tout les pays du monde avec son légendaire dragon,un cornebrute du nom de Cranecrocheur. »
Il entrait finalement à l'intérieur du majestueux établissement, l'intérieur était à couper le souffle, une grande salle en bois massif, avec au centre un grand feu de bois, entouré d'une table, des tables et des étagères de bibliothèques dans tout les recoins, et des escaliers de chaque cotés de la pièce montant à plusieurs étages supérieurs remplis également d'étagères et de livres, et au bout du chemin une sortie menant sur une autre plate-forme permettant de se rendre aux salles de cours...
« Bon,c'est la bibliothèque parfait... Cette petite course-poursuite était bien drôle, mais il est temps de passer à autre chose... », murmurait Harold à lui même se stoppant à la sortie de la grande salle, avant de disparaître sous un aile de la mort passant à proximité à la vitesse de l'éclair, pile au moment où ses agresseurs clignaient tous des yeux. Personne ne voyait son manège tellement il était rapide, en quelques seconde il avait monté plusieurs niveaux de la bibliothèque. Et regardait le groupe perdu au milieu des étudiants jusqu'à ce que Varek,qui ne parlait pas assez fort pour qu'il l'entende à peine :
« Il es passé où ? C'est comme ça presque à chaque fois... Comment fait-il? Il n'a même pas de dragon... », Harold écoutait encore la conversation en silence, tout en s'échappant par l'issue du sommet de la bibliothèque :
« Ouais,un vrai coureur olympique... Pour sauver sa peau il fuit lâchement, ça fait longtemps qu'il s'entraîne, comme avec sa mère ! », dit soudain Rustik, le garçon s'arrêtait dans la stupeur de ce qu'il venait d'entendre, donc sans prendre une pensée de plus, il attrapa le plus gros livre à sa portée, et le lança directement sur la tête de Rustik qui était assommé à l'horreur de son dragon. Les autres tentaient de voir qui avait lancé le livre, mais il n'y avait pas un terreur terrible qui avait remarqué l'action brusque :
« Ils ne savent rien de moi... Ni de ma mère, et pourtant ils se permettent d'être juges et jurés... Pathétique. Comme vous l'avez sans doutes remarqué je n'ai pas de dragon avec moi ici maintenant ; mais j'en ai bien un. Inconnu de tous, même de mon propre père. En somme mon meilleur ami reste dans l'ombre pour de bonnes raisons, tout comme mon vrai moi. »
Alors qu'il avançait sur la plate-forme, sa tablette sous le bras d'un air pensif, soudain une petite alarme retentissait. Il s'arrêtait net deux seconde avant de partir en courant à l'intérieur de l'académie, plus précisément vers son casier. Heureusement pour lui à cette heure-ci il n'y avait quasiment personne devant les casiers. Il allait vers le sien ouvrit la porte pour cacher son visage. Et il appuya sur chaque angle de la montre de façon ordonnée comme un code.
Après neuf manipulations différentes le cadran de la montre se relevait, révélant une oreillette, qui sonnait faiblement comme la sonnerie d'un téléphone portable, mais en moins fort. Avec empressement il mit l'oreillette en place et appuya sur le bouton du coté, de ce fait elle arrêta immédiatement de sonner, et une voix se faisait entendre :
« Stratège on a besoin des commandos de l'ombre très rapidement, point de rendez-vous habituel un transport vous y attend. », Harold restant le plus discret possible à cause des élèves commençant à arriver dans le couloir, murmura à l'oreillette sa réponse :
« Reçu chef, je m'équipe, j'entube, et j'arrive. Terminé. », A la fin de la conversation il éteignait l'oreillette, et se mit à courir entre les couloirs, tout en sortant de son sac, des morceaux de gommes, et de la peinture rouge, avec le contenu de son taille crayon. Il se dirigeait vers l'infirmerie, tout en mettant tout les ingrédients dans sa bouche et en mâchant, en faisant attention de ne rien avalé :
« Comme beaucoup de gens, vous l'aurez sans doute deviné, j'ai un secret... »
Il arrivait à l'infirmerie en courant, en mettant une main devant sa bouche en urgence, faisant semblant d'être malade. Alors que l'infirmière lui disait bonjour, il n'en faisait rien, et courut jusqu'au W.C, vidant le contenu de sa bouche dans ce dernier en faisant des bruits atroces et inhumains presque comme s'il était en train de mourir. L'infirmière voyant la situation peu inhabituelle, saisit un mot d'absence, et se mit à le remplir sans se poser de questions. Pendant ce temps Harold lavait sa bouche de l'horrible contenu qui y avait séjourné.
Avant de retourné dans la pièce principale où l'infirmière, et son dragon un terreur nocturne regardait avec sympathie au garçon tout en tendant le mot. Harold leva alors sa tête soi-disant malade à la dame, avant de donné un petit sourire de gratitude, il prit le mot. Sur le palier de l'infirmerie elle l'entendait dire :
« Vraiment tu n'as pas de chance, cette maladie génitale qui a besoin d'un matériel approprié pour être soigné, et cela arrive si souvent... », Harold retournait légèrement sa tête vers l'infirmière lui lançant un regard rempli de gratitude avant de dire :
« Je suis habitué depuis douze ans que ça m'arrive, mais je vous remercie toujours de votre soutien.. Gloups... je crois que je devrais y aller, bon à plus madame. », et sur ces dernières paroles il s'enfuyait par la porte. Et serpentait dans le labyrinthe qu'était son école jusqu'à la sortie. Une fois sorti de l'école faisant son numéro à toutes les caméras de surveillances et gardes. Il était enfin dans la ville une fois sorti du guêpier il se dirigea vers chez lui. La tour « Grande salle », c'est la plus haute tour de la ville avec plus de deux cents mètres de hauts.
Il entrait dans la tour et montait à l'aide de l'ascenseur au dernier étage, son chez lui. Ouvrant la porte Harold révéla une gigantesque pièce où le luxe était visible partout. Sans s'attarder sur les possessions matérielles de son père, il filait dans sa chambre sans attendre. Sa chambre était grande,au moins quinze mètres carrés, les murs étaient recouverts de divers dessins et schémas. Le petit bureau succombait sous la paperasse, sauf pour l'emplacement de l'ordinateur entièrement libéré, un lit trois fois trop grand était également présent à coté de la penderie et de la salle de bains.
Avec précipitation il posait son sac sur son lit, puis se dirigea vers la salle de bain, une fois à l'intérieur il la verrouilla avant de se diriger vers la cabine de douche. En entrant à l'intérieur de cette dernière il posa sa main sur le carreau du haut, qui s'allumait d'un rayon laser qui scannait sa main, en même temps qu'il disait :
« Protector of the earth 0027801 stratège. », une fois la main scannée et le code prononcé, le carreau s'allumait d'un couleur verte. Et tout à coup le bac de douche descendait d'un niveau. Révélant à l'utilisateur plus qu'heureux une petite salle secrète qui s'alluma dès son entrée. Dans la salle il y avait un uniforme très étrange installé sur un mannequin à sa dimension, il se composait d'un gilet noir comme la nuit, avec en dessous une sorte de combinaison avec plein de rangements, un pantalon également noir avec beaucoup de poches, ainsi que des gants ne protégeant que la paume de la main, et finalement un foulard assez rigide se montant sur la bas du visage, avec une radio oreillette.
Il y avait également plusieurs outils dans la cachette, dont un fusil de sniper amélioré réservant semblerait-il beaucoup de surprise. Un revolver tout aussi mystérieux, plusieurs grenades, et charges explosives. Un couteau de commando fait dans une matière noire, une étrange poignée sculptée et visiblement ayant de la haute technologie au vu de tous les boutons sur l'engin. Plus une ceinture pleine de gadgets tous plus surprenant les uns que les autres :
« Certains cachent de lourds troubles familiaux... »
Harold était en train de mettre le costume des plus étranges sur lui même, prenant soin de bien mettre en place chaque objet sur son corps. On ne voyait actuellement qu'il mettait son pantalon, et son revolver sur le son coté gauche tout en prenant la ceinture d'outils :
« D'autres leurs plus mauvaises actions... »
Il mettait maintenant le haut du costume, prenant les gants et les plaçant délicatement au dessus de ses mains. Il installait également la poignet sur sa jambe droite, puis le couteau dans une poche de son costume sur son avant-bras droit, avant d'installer les grenades et les charges explosives dans de multiples poches de son gilet :
« Certains même leur véritable personnalité, ainsi que leurs vrai eux... »
Désormais il fermait correctement sa veste, révélant un symbole sur son épaule. La terre en arrière plan, avec dragon et un humain armé juste devant, avec en dessous du symbole les initiales G.P. Il attrapait désormais son fusil de sniper qu'il accrocha solidement à sa poitrine, avant d'installer le foulard rigide sur la partie basse de son visage, cachant ainsi sa véritable identité. Puis il appuya sur un bouton sur le mur de la chambre, et le baque de douche remontait sans lui, révélant un ascenseur avec une barre au centre, ainsi qu'un bouton. Harold monta sur l'ascenseur et avant de presser le bouton il se retournait avec un regard mystérieux, mais fort :
« Moi, c'est un peu tous ces secrets que je cache à la fois, je ne suis pas comme tout le monde, moi je suis un... »
Il pressait soudain le bouton, faisant tomber l'ascenseur à grande vitesse vers les égouts, en tenant fermement ses armes, il faisait une descente à plus de cinquante kilomètres heures sans sourciller, mais plutôt avec un sourire sous son foulard :
« Ghost Protector ! »
Et voilà une nouvelle histoire de débuté, je réponds toujours aux reviews pour infos, donc laisser en autant que vous le souhaiter ! Et sur ceux je vous dis à Mardi prochain !
