Chapitre 1 : Bambi, tu nous avais caché ça !
Bambi adore les tacos. Pourquoi ? Je vous demande pourquoi vous aimez lire des fanfictions pourries !? Sur l'étagère, un paquet de tacos à faire bouillir. Ni une ni deux, Bambi se transforme en masterchef (eh oui, les références sont à la hauteur de l'histoire). Pendant que l'eau bout (à 100°, c'est inutile !) Bambi allume la radio.
« Surprise, les enfants ! Aujourd'hui on va découvrir un nouveau style de musique…
La java, s'écrit Bambi, trop cool !
... le death métal ! »
S'en fut la joie de Bambi, comme les feuilles rouges des érables quand l'hiver approche. Après une parenthèse poétique vraiment médiocre, les tacos étaient près. Est ce qu'on va passer 3000 ans à dire que Bambi a mangé ses putains de tacos ?
Bambi a un emploi du temps bien chargé. Après avoir trait les vaches (et oui, Bambi est éleveur de lait sur pattes dans le Wisconsin et oui il écoute de la country de Nashville à fond dans son tracteur), il doit enfiler son judogi et courir au judo. Arrivé au Dojo… je crois qu'on va censurer ce passage : trop violent âme sensible s'abstenir, par contre les courageux pourront aller lire la séance au renvoi suivant : chika ckika kachuuuu ! (l'évolution ultime de Pikachu).
Après cette séance un peu secouante, Bambi sentit que les tacos remontait. Que les faons puissent vomir ou ne le puissent pas, les tacos finirent dans les toilettes des vestiaires. Alors que Bambi s'apprêtait à épurer tout ça, un reflet brillant attira son œil malicieux (on est chez Disney ok). Une pépite d'or ! s'étonna-t-il. Il l'a pris délicatement et l'observa : il y découvrit un caractère chinois.
« Je savais bien que ma mère était mexicaine… »
C'est ainsi que Bambi devint dealer de feuille d'acacia sur Hawai.
