Bonjour chers gens, ceci est sensiblement ma première expérience en matière d'écriture!Je vous pris d'être indulgent! Je serais la personne la plus heureuse du monde si je recevais quelques critiques qui me permettront d'avancer! Et aussi, j'aimerais que quelqu'un me dise si je devrais continuer ou laisser tomber. Ce chapitre est court je sais! Mais ce n'est que le début prenait le comme prologue – chapitre

Disclamer : rien n'est à moi. L'histoire est le fruit de mon imagination débordante.

Chapitre 1 : Une miette

Ciel Point Of View

Je ne sais pas ce qui est arrivé. Mais c'est arrivé. J'étais pourtant armé jusqu'aux dents pour ne pas tomber amoureux de… Sebastian .Je sais, je sais. Vous êtes sûrement entrain de penser la chose suivante : Quoi!Ciel Phantomhive, LE très orgueilleux Ciel Phantomhive amoureux de son diable de majordome Sebastian Michaelis?C'est insensé j'en conviens, je ne voulais même pas me l'avouer à moi-même. Mais j'ai du me rendre à l'évidence que le charme de Sebastian ne m'avait pas laissé indifférent. Ce sentiment qu'on appelle communément « l'amour » a commencé à montrer le bout de son nez un après-midi tout ce qu'il y a de plus normal. Je venais de recevoir une lettre de sa Majesté d'Angleterre m'intimant de venir la voir la semaine qui suivait. Elle avait, selon ces dires, quelque chose à me confier. Son excellence racontait que ladite chose la peinait énormément .Je me dois, en tant que Chien de la Reine, de soigner la peine de sa Majesté. Après avoir pris conscience de la lettre, j'avais envoyé Sebastian, qui commencé à s'ennuyer ferme tout seul dans son coin, me chercher une tasse de thé accompagné d'une pâtisserie finement préparée de ces mains (douces) d'expert.

- Sebastian, au lieu de poiroter va donc me chercher le thé de l'après-midi et une pâtisserie.

- Yes, my lord

Auparavant, ces trois petits mots auraient disparus de l'historique de mon cerveau en un battement de cil, mais maintenant tout me restait en tête. Son intonation, son débit, sa voix, son ton. Perdu dans les abysses de la pensée, je n'avais pas remarqué qu'une tasse de thé fumante et qu'une généreuse part de gâteau trônaient sur mon bureau. Je n'avais pas non plus remarqué que le visage de mon cher (et très sexy) majordome n'était plus qu'à une quinzaine de centimètres du mien. 3 secondes ont été suffisantes pour me permettre de réagir adéquatement.

- Pousse-toi avant que ma main ne s'écrase royalement sur ta joue!

- Je suis navré de vous avoir effrayé, mais vous aviez l'air perturbé à mon arrivé, j'ai simplement voulu vous réveiller

- Trêve de bavardage! Tu me donnes mal aux neurones. Laisse-moi déjeuner en paix.

Et il retourna à son endroit favori, plus précisément le coin à gauche de mon bureau. La pâtisserie était exquise, enivrante, douce et crémeuse. Tout bonnement délectable. Le moment le plus relaxant de la journée ( à savoir le moment où je déguste mon déjeuner) se déroulait parfaitement jusqu'au fatidique moment où une miette de mon gâteau se déposa au coin supérieur droit de ma lèvre. Je me préparais à l'essuyer à l'aide de mon doigt quand la voix de Sebastian s'éleva dans la vaste pièce

- Vous n'oseriez pas Bocchan? Ce n'est pas une manière pour une personne de votre rang. Je pensais que vous étiez digne de représenter votre noble famille. Mais avec de piètres manières…

Si je devais trouver un défaut à Sebastian (outre le fait qu'il était quasi parfait) ce serait sûrement le défaut de toujours avoir une réplique sanglante mais subtile à me faire remarquer. Et ces répliques me faisaient fulminer de rage.

- Oh par pitié tais-toi! Je ne crois pas avoir demandé ton avis. Va me ramener un mouchoir!

- Finny les a malheureusement terminés en essayant de nettoyer le déluge qu'il a causé il y a peu de temps en cuisine.

- Pourquoi mes domestiques sont ils SI incompétents ? Ce n'est qu'une miette

franchement! Enlève la moi immédiatement. C'est un ordre.

- Yes, my lord

Avant même que mon cerveau n'assimile les derniers mots prononcés avec son habituel ton stoïque, ses lèvres d'un teint rosé vinrent se poser au coin des miennes. Les frôlant presque, doucement très doucement. Le rouge me monta aux joues. On aurait dit qu'il faisait exprès pour me frustrer de la sorte. J'étais sidéré. Non, sidéré n'était pas le mot exact.

- Vous êtes débarrassé, my lord.