Je t'ai cherchée toute ma vie...
Prologue :
Alyana, 8 ans, vivait une enfance paisible avant que son village ne se fassent attaquer par des barbares. Ayant tout perdue, elle fuit seule à travers les landes obscurs de son pays.
15 ans plus tard, habillée comme un garçon, ses longs cheveux blond cachés sous sa cape d'un rouge vif, elle est envoyée en Bretagne protéger l'Évêque Germanus et accomplir la mission pour laquelle elle a été envoyer sur le territoire Bretons.
Les personnages ainsi que la plupart de l'intrigue appartiennent au réalisateur Antoine Fuqua, ma fiction s'inspire de son film et se trouve modifier a certains moments.
Chapitre premier : « Le grand jour est arrivé ».
"Quiconque se sert de l'épée
périra par l'épée."
An 452 après Jésus Christ.
Un jeune garçon de douze ans sur son cheval galopait à travers champs, la mine grave. Arrivé à auteur de son village, il sauta à bas de sa monture et couru rejoindre sa famille.
« Père ! Ils sont là... » Se retournant, il indiqua de la tête la cavalerie romaine qui approchée du camp.
« Le grand jour est arrivé... » Lui répondit son père reportent son regard sur son fils qu'il ne reverrait peut être jamais. Allant lui chercher son cheval, il le fit grimper dessus contenant tant bien que mal ses émotions.
« Une légende dit que les chevaliers tombés à la guerre sont ressuscités en superbes chevaux. Il a vu ce qui t'attend. Et il te protégera. »
Lancelot ne pouvait s'empêcher d'avoir peur, il voulait montrer à sa famille que c'était un garçon courageux, mais malgré cela l'angoisse lui tenaillait si bien le cœur qu'il ne prononça que quelques mots.
« N'ayez crainte, je reviendrais. »
Prêt à partir, il fût interrompu par les cris d'une petite fille s'approchant de lui en courant, l'appelant d'une petite voix encore engourdie par le sommeil :
« Lancelot, Lancelot, c'est pour toi. » Lui donnant un petit objet sculpté dans le bois, elle partit ensuite se réfugier dans les bras de sa mère.
Serrant l'objet dans sa main gauche, il jeta un dernier regard à ses parents, son frères et ses sœurs avant de faire tourner bride a son cheval et de l'entraîner vers les légionnaires romains.
« Combien de temps serons-nous partis ? » S'enquit-il en arrivant en face à l'un d'eux.
« Quinze ans. Sans compter les mois qu'il faudra pour rallier ta garnison. » Lui répondit d'un ton sans réplique le soldat.
Promenant un regard circulaire aux autres enfants sermates qui comme lui serviront l'armée romaine, il entendit son père et le reste de la tribu lui hurlait :
« Lanceloooooooot ! Roiiiiiii ! »
Regardent sa mère en pleure dans les bras de son père, sa famille autour de lui, il sentit une fois de plus une vive émotions le saisir, mais il ne devait pas pleurer, pas devant eux. Il remarqua alors sa petite sœur qui le regarder et compris les mots qui avaient franchis ses petites lèvres rose « Ancelot, tu ne nous oublieras pas ? »
Ce petit surnom qu'elle lui donnait depuis sa naissance lui avait toujours plu, ne savant pas prononcer Lancelot, elle l'avait appelé Ancelot et avait continuer jusqu'à aujourd'hui encore. Tant de souvenir que jamais il n'oubliera, surtout les visages de ses parents, son jeune frère et ses deux petites sœurs.
Le signal donné, il partit a la suite des romains, se fût la dernières fois qu'il les vit.
