Salut à tous ! Oui je sais, une nouvelle fic. Promis, elle ne sera pas bien longue, seulement quatre court chapitres et puis, on reprendra avec la fin de Uchiwa'story et le prince et le troll. J'espère que vous aimerez !
Titre : Ce jour-là, j'avais dix-sept ans...lorsque je suis mort.
Couple : HPxDM, RWxDM RWxHG SsxSB RLxLM HPxGW HPxNL HPxBZxTN
Harry est passé du côté des ténèbres. Mais pour quelle raison a-t-il décidé de devenir pire que voldemort, disséminant sa rage et sa haine à travers tout le pays ?
Ce jour-là, j'avais dix-sept ans…lorsque je suis mort.
Qu'est-ce qui me fait dire ça ? Avant toute chose, sachez que je n'exagère pas en avouant cela. Mon cœur ne battait plus, au sens figuré bien évidemment. Mais laissez-moi vous raconter…comment je suis devenu l'être ignoble que je suis maintenant.
Prélude. Une trahison incompréhensible.
Tout est parti de là. A cette époque, je sortais avec un type en lequel je n'aurais jamais cru jusqu'alors, de ceux que tous méprisait et exécrait. Mais je l'aimais, j'en étais fou et rien d'autre ne m'importait. Draco, mon fougueux amant ! J'aime à le nommer de la sorte même si nous n'avons encore rien fait. Semble-t-il que monsieur veut qu'on apprenne à bien se connaître. Faut dire, six ans de haine nous poursuivent alors je peux bien attendre.
J'ai foi en lui, là n'était pas la question mais, tout puceau que j'étais, je comprenais que pour lui, il était important de savoir s'il n'allait pas faire une erreur en m'offrant ce qu'il avait de plus cher. J'étais loin de savoir, pauvre ignorant que j'étais, à quel point je me fourvoyais.
Ron et Hermione, étrangement avaient plutôt bien prit notre relation et je me réjouissais de voir les effort qu'ils faisaient pour que tout aille bien. Je flottais sur un nuage…pas pour longtemps !
Ce soir-là, la nuit de ma mort, je décidais d'aller voir Dray. Il détestait ce surnom mais ça m'amusait de l'appeler comme ça. Et puis, pourquoi cesser d'utiliser la seule chose qui le faisait m'embrasser pendant des heures. J'étais heureux, léger lorsque, au détour d'un couloir, je surpris Ron et Draco en grande conversation. J'allais m'approcher pour demander ce qu'ils faisaient là lorsque la vision suivante me cloua sur place.
Non, pas possible ! Pas ça, pas eux ! J'étais tétanisé, mon cerveau naviguait dans le brouillard le plus intense. Pourtant, j'approchais de la salle dans laquelle ils s'était enfermés et d'où s'élevait ces bruit indécent. J'entrouvrais la porte pour contempler le spectacle de leurs deux corps. Ma vision brouillé par mes larmes, je m'enfuis sans demander mon reste et regagnait mon dortoir où je me jetais sur mon lit. Un sort d'intimité et je laissais ma rage éclater.
Furieux de m'être fait rouler par ceux que j'aime. Bafoué dans mon orgueil ! Jamais je ne leur pardonnerais !
Le lendemain, je me révaillais seul dans le dortoir. Tout le monde était dans la grande salle. Je restais allongé sur le dos, à ressasser la nuit d'hier soir. Et étonné de constater que je ne ressentais rien. Ma main glissa sous l'oreiller pour toucher la boîte en bois caché dessous. Le Harry d'avant avait disparu. Je me levais et filait sous la douche tandis que ma magie rangeait mes affaires. Lorsque j'aurais finit ce que j'avais décidé, il serait temps pour moi de m'en aller.
J'entrais dans la grande salle où cette traître de belette m'accueillit avec un grand sourire. Il était heureux, il m'avait volé la seule chose que j'avais réussi à garder après avoir vaincu Voldemort. Mais que dire de Draco et ses explications vaseuses sur les relations sexuelles hors mariage ? Ils s'étaient bien foutu de moi, ces deux connard. Et j'allais leur faire payer !
— Alors Ry, dit la belette en posant une main sur mon épaule. Bien dormi ?
Je levais simplement ma baguette et lui lançait le doloris. Son corps secoué de spasme tomba à la renverse tandis qu'il hurlait de douleur. Et moi, je le contemplait les yeux vide, indifférent aux hurlement retentissant de part et d'autre. Je ne les entendit pas, pas plus que je ne vis Hermione se jeter sur Ron, me suppliant d'arrêter.
Et puis, j'entendis sa voix. A nouveau, je tournais ma baguette vers lui et le torturait sans remord. Mais un expelliarmus de Dumbledore, remit du choc me l'arracha.
— Qu'est-ce qui te prend, Harry ?
Je continuais de fixer Draco, allongé sur le sol, ses grand yeux gris emplit de douleur et de peur. Il ne comprenait pas ? Mais moi aussi, je n'avais pas saisi. Jusqu'à hier soir.
— Le temps de Voldemort est révolu. Voici venu le mien, murmurais-je si doucement qu'il fut le seul à entendre.
Puis je tournais les talons et quittait cet endroit où mon cœur était mort, la boîte bien caché dans la poche de ma cape.
J'avais dix-sept ans.
La suite demain, sans faute. Plus longue et où on commence à comprendre pourquoi Harry a peté un plomb. Et sachez que tout ne semble pas ce qu'il y paraît !
