Bonjour et bonsoir à tous, on se retrouve pour une nouvelle fanfictions.

Satanés Gryffons envahissants verra son chapitre deux apparaître bientôt, c'est une promesse.

Cette fiction est inspiré d'une fiction en particulier qui a pour thème Hermione et les frères Weasley pendant l'été. Donc oui, celle-ci en est largement inspirée mais malheureusement cette fiction a été abandonnée ( depuis 2008, plus aucun chapitre ). C'est une très bonne fiction - point de vue personnel - que je vous invite à lire.

Je ne sais pas encore combien de chapitre il y aura, à voir.

Je vous invite à laisser une pitite review de rien du tout, j'aimerais beaucoup avoir des avis, et puis, cette fanfiction évoluera en fonction de vos demandes aussi, si vous préférez un personnages ou autre. Et puis ça m'aidera à m'améliorer aussi - ça ce serait bien -.

( Si vous laissez une review, les jumeaux apparaitront dans votre jardin pour vous rafraichir avec un jet d'eau. - le vieux chantage qui ne marche pas - )


Des boules d'hormones mobiles, voilà comment je vois les frères Weasley depuis maintenant plus une semaine. Avant, ils étaient simplement les frères de Ron, mon meilleur ami. Entre les jumeaux Weasley avec leurs farces stupides, Percy et ses petites lunettes et son faux air autoritaire, Bill, Charlie, dont je peux difficilement parler ne les ayant pas vus avant ce fameux début d'été, autant vous dire qu'ils n'étaient pas prioritaires dans mes pensées. Mais voilà le problème, c'est l'été, les vacances, il fait chaud, et moi je passe deux mois dans une maison remplie de garçons torse-nus sans parents à l'horizon. C'est dangereux, je ne vous le fais pas dire, mais avant je n'y avais pas pensé. Mise à part les frères Weasley, il y a Harry et Ginny. Bon. Vous ne voyez toujours pas le problème ? Bien. J'ai 17 ans et je me retrouve entourée de jeunes hommes torses nus, s'amusant à faire des batailles d'eau parce qu'ils ont trop chaud - m'arrosant aussi au passage, ça les amuse -, qui me lancent des regards lubriques dès que je suis en maillot de bain. Et tous ont bien grandi.. Percy a troqué ses lunettes ringardes pour des lunettes plus épaisses, modernes, qui lui vont étrangement bien, ses cheveux en bouclés coupés courts, sans oublier quelques petites ondulations qui viennent parfois lui cacher la vue. Ah, aussi, même si il n'est pas du genre musclé-joueur-de-Quidditch-, il compense avec une excellente culture et son intelligence - on lui pardonnerait presque son arrogance -. Passons aux jumeaux Weasley. Ils ont grandi, leurs cheveux sont eux-aussi courts, sans cesse en bataille, avec leurs sourires en coin si craquants, leurs blagues - que je trouve toujours aussi débiles mais parfois elle m'arrache un sourire -, et leur fâcheuse tendance de toute faire ensemble - tout, ou presque -. Ron.. Ron n'est pas un sujet de mes fantasmes, il reste Ron, empoté, maladroit, goinfre, malgré ses abdos - qu'on s'entende, il en a -. Passons aux plus grands.. Ils sont plus vieux que moi et sont par conséquent plus mature - tout dépend du sujet à vrai dire -. Bill, avec sa coupure au visage - due à l'attaque d'un loup-garou, sous sa forme humaine -, son humour, et ses fichus sourire en coin labélisés Weasley.. Il est grand, musclé et adulte - d'accord, quand il est dans la même pièce que moi, j'ai très chaud - et a même visité l'Egypte. Et vient enfin Charlie, spécialiste des dragons, habile, grand et musclé - encore une fois merci au Quidditch -. Comment rester impassible face à ça ? Je suis sure que je rougis dès que je croise le regard de l'un.

Jusqu'à présent, les journées se passaient plutôt tranquillement, je me levais avant tout le monde, je déjeunais, Bill arrivait en souriant - et moi je bavais à moitié -, me saluait, s'installait, tout se passait dans le silence, venait ensuite Charlie, arrivant en trainant des pieds, grognant en passant une main dans ses cheveux en bataille, encore endormi, puis lui aussi s'installait silencieusement sans rien dire en somnolant. Puis descendaient les jumeaux, toujours aussi énergiques, descendant les escaliers en tapant des pieds comme il fallait, déboulant dans la cuisine en discutant à voix haute et nom de Merlin, arrivaient les cheveux mouillés, sortant de leur douche communes - et déjà torses nus, évidemment, il fait trop chaud dès le matin -. Ils déposaient chacun un baiser de leur côté sur mes tempes et allaient déjeuner tranquillement - et moi je balbutiai un bonjour -. Percy descendait un dernier avec Harry et Ginny, déjà bien coiffé et habillé, un manuel d'utilisation de on ne sait trop quoi dans les mains. Autant vous dire que Ron se levait en dernier et se goinfrait pendant que tout le monde vaquait à ses occupations. Bref. La journée continuait - lentement -, vers midi, on mangeait, je sentais parfois la jambe de Charlie - à ma droite - m'effleurer, autant vous dire que je rougissais et que lui souriait. De temps en temps j'effleurais la main de Percy, à ma gauche, et je retirais ma main vivement en balbutiant des excuses. Je n'étais définitivement pas faite pour être une femme fatale, mystérieuse, on lisait trop facilement mes émotions - et mes intentions -. Puis, l'après-midi, soit ils avaient chaud et se mettait tous torses nus, décidant ainsi de faire une bataille d'eau - c'était une véritable torture, je pouvais voir des goutelettes d'eau couler sur leur peau, dessinant davantage leurs muscles, tandis qu'ils riaient. Des fois je me retrouvais légèrement mouillée par Fred ou Georges mais généralement, je partais me réfugier en haut -, soit, ils décidaient de se faire un petit match de Quidditch. Torses nus, évidemment. Ah bon sang, je n'étais jamais tranquille. Car évidemment, en plein match, je pouvais les observer - ils sont musclés bon sang, vraiment -, en train de rire tous, il n'en fallait pas plus pour que je mette à avoir vraiment chaud.. Abrégeons. Le soir, tout se passait bien généralement - bien que, comme bon soir, j'avais le droit à un baiser sur le front de chacun, je ne sais pas ce qu'il leur prend -, il faisait plus froid au moins, ils avaient tous un tee-shirt.

Tout ça pour dire que tout allait pour le mieux jusque-là. Jusque-là. Si mes hormones étaient déjà bien agitées, eux, ne semblaient pas vraiment faire attention à moi - en tant que réelle représentante de la gente féminine et non en tant que la meilleure amie coincée mais gentille du petit frère Ron, 'voyez -. Tout a basculé environ une semaine après mon arrivée ici, soit quelques jours avant le moment où je vous parle - vous suivez ? -. Bien. Alors, sur ordres de Ginny - je n'ai littéralement pas eu le choix - j'ai dû emporter quelques sous-vêtements en.. en dentelle. - ne me regardez pas comme ça ! -. Et j'en avais mis aujourd'hui, noirs, en dentelle, bref, pas de détails ici, je précise aussi que c'était simplement pour les essayer, d'accord ? Et donc, où en étais-je ? Ah oui, j'étais donc parée de.. de ça, un haut blanc sur moi ainsi qu'un simple pantacourt noir quand, lors du repas du soir, Fred, en face de moi, a malencontreusement renversé le tiers du pichet d'eau sur moi. En soi, pas de quoi se plaindre, il faisait chaud, mais le tee-shirt blanc est soudaine devenu transparent. Tous les regards se sont alors tournés sur mon soutien-gorge en dentelle. Ça n'a duré que quelques secondes, le temps que je me lève et que je cours aller me changer mais visiblement, il y a du avoir un déclic dans leurs esprits puisque, depuis, je n'ai plus l'impression d'être Hermione Granger mais un objet de convoitises. C'est là que commence les réels ennuis. Les regards notamment. Parfois Charlie caresse légèrement ma cuisse pendant le repas, les jumeaux tentent toujours de m'attirer dans leur chambre, et des tas d'autres choses que je vous raconterais prochainement, pour l'instant, je vais essayer d'aller dormir. Essayer. Ron ronfle, c'est insupportable.