On est dans la troisièmes salle de musique entrain de se préparer pour accueillir les jolies filles, nos tenues aujourd'hui ressemble a ceux des serveurs. Haruhi arrive et comme d'habitude touts le monde s'extasient devant sa beauté sauf toi. Depuis quelques temps tu es exécrable avec elle, personne ne comprend ton comportement. Même pas moi, ton propre frère. C'est pathétique. Toi qui est ma moitié, mon jumeaux, je devrais pouvoir te comprendre, comme à chaque fois, mais, là, je n'y arrive pas. Que t'arrive t-il Kaoru ?
Nous nous préparons pour l'arriver de nos clientes, le King toujours assis dans son siège. Les portes s'ouvrent et nos clientes entrent. On commence le service, tout se passe bien jusqu'à se qu'Haruhi te bouscule sans te voir étant presser dans sa course. Le service à thé que tu tenais sur un plateau se renverse sur ta tenue mais se n'est pas ça qui m'importe le plus. Tu t'es brûler au doigt, je vient vers toi, prend ton index et le met en bouche pour faire passer la douleur. T'es joues rosie un peut mais tu ne dit rien et ce depuis une semaine.
Une semaine que je n'entend que ta voix lorsque tu es obliger de répondre mais rien de plus. C'est pareil pour les autres membres du cercle, tu ne leur parle que lorsque c'est nécessaire. Sauf la seule fille du groupe, elle tu ne lui parle plus. Je relâche ton doigt et regarde t'es yeux, après avoir pris ton visage en coupe pour t'obliger à me regarder en face. Car même ça, tu ne le fait plus. Tu évite toujours mon regard. Quais-je fait pour que tu me fuis ainsi, Kaoru ?
- Kaoru, il faut...
- On à pas le temps, Hikaru. On doit s'occuper de nos clientes. Me dis tu en me coupant, tu sais déjà se que j'allais dire.
Seulement sa ne sert à rien de continuer. On est plus aussi unie qu'il y a une semaine. Je te regarde partir dans la salle où on se change. Je ne bouge pas, j'ai cette horrible douleur dans ma poitrine. Je me relève et part au font de la salle sous les regards triste des clientes et ceux des membres du cercle. Tout le lycée à remarquer qu'ont était plus ensemble, tu restes souvent seule. Tu te renferme sur toi même et je sais pas la raison qui ta pousser à avoir un tel comportement. Tu ressort de la salle après quelques minutes. Je te trouve vraiment magnifique. Le King s'approche de toi, petit à petit votre conversation, non plutôt son monologue puisque tu ne répond pas, dégénère. Il fait de grand geste dût à son énervement et commence à hausser le tons. Touts les yeux sont braquer sur vous, nos amies vous regardes inquiet mais aussi avec une étincelle d'espoir surtout Haruhi quant aux clientes, elle aussi espère que le King va réussir à te faire réagir. Le ton monte d'un cran à nouveaux, tu commence à trembler. Je m'approche de vous car je sais très bien ce qui se passe quand on élèvent la voix sur toi.
- Tamaki-senpaÏ, arrête.
- Non ! La comédie à assez durer ! Dit-il sans me regarder. Maintenant Kaoru, tu arrête ton p'tit jeu et ...
- DAMARE ! Hurlais-je, se qui le coupa.
Il se tourne vers moi complètement ahuri mais je n'y fait pas gaffe. Je m'accroupis prêt de toi où tu t'étais laissé tomber, tremblant, les mains sur la tête baisser, les épaule tressautent te signe que tu pleure. Je te prend délicatement dans mes bras, tu te laisse faire mais je sais que si tu n'étais pas dans cette état, tu ne m'aurais pas laisser te prendre dans mes bras. Je dis a touts le monde de sortir, chose qu'ils font après avoir hésitez pendant quelques seconde enfin sa c'est pour nos amies car nos clientes sont déjà partie lorsque j'ai élevés le tons.
Une fois seule, toujours par terre au milieu de la grande salle de musique, j'attend que tu te calme en te murmurant des mots doux à l'oreille. Petit à petit t'es tremblements cesse ainsi que t'es sanglots. Je t'écarte un peut de moi sans pour autant me séparer de toi.
- kaoru, dis moi se qu'il ne va pas. Je t'en supplie.
- ...
- Kaoru, s'il te plaît, si j'ai fait quoi que ce soit, dit le moi. Je n'aime pas te voir dans cette état.
- Je te déteste, dit tu dans un murmure presque inaudible.
Je te regarde en écarquillent les yeux. Pourquoi me déteste tu ? Que t'ais-je fait ?
- Tu...tu me... déteste ? Dis-je la voix brisé. Mais pourquoi ?! M'emportais-je.
Des larmes née aux cons de tes yeux, je les essuies avant qu'elle ne puissent rouler sur t'es joues.
- Gomen, je ne voulais pas élever le tons. Mais, j'ai mal. J'ai mal, de voir mon frère se séparer un peut plus de moi chaque heure, chaque minutes, chaque seconde de chaque jours. Dit moi se qui se passe, je t'en supplie, Kaoru.
- J'ai mal, Hikaru. Tellement mal.
- Où à tu mal ? Demandais-je inquiet.
Tu prend ma main et la met à l'emplacement de ton coeur. Je te regarde avec incompréhension, que veut tu me dire ?
- Je ne comprend pas, dis-je dans un murmure.
- J'ai mal de te voir avec elle. J'ai l'impression que tu t'éloigne de moi. Je t'aime, Hikaru, ne me laisse pas, je t'en pris. Dis tu les larmes roulant le long de t'es joues.
Je te regarde surpris puits avec tendresse et amour. Je te serre un peu plus contre moi et tu enfuis ton visage dans mon cou. Je comprend, tu étais jaloux de Haruhi. J'aurais du le remarquer.
- Pourquoi être jaloux de Haruhi ? Demandais-je doucement.
- Tu la fais entrer dans notre monde qu'ont avait fermer avec un cadenas. Tu passe beaucoup de temps avec elle. Et tu l'aime.
- Tu te trompe. Tu relève ton visage et me regarde avec incompréhension. Je ne l'aime pas, c'est simplement une amie. C'est toi que j'aime, tu es mon frère, mon ami, mon amour. Expliquais-je avec un grand sourire.
Tu me sourie tendrement, j'approche mon visage du tien et pose mes lèvres sur les tiennes. C'est un baiser chaste, on essaye pas de l'approfondir, on profite simplement des lèvres de l'autre. On rompe le baiser après quelques heures, quelques minutes ou quelques secondes, je n'en sais rien. J'ai perdue la notion du temps lorsque mes lèvres on toucher les tiennes, si douce, si sucré à la fraise. Un véritable délice.
On sort de la salle de musique pour retrouver les autres dans la chambre du président. Sur le chemin, tu es silencieux, tu appréhendes leurs réactions pour notre amour mais aussi pour ton comportement exécrable pendant la semaine. Je prend ta main dans la mienne et entrelace nos doigt pour te donner du soutien. Tu me sourie. j'aime ton sourire, il ma toujours illuminer dans les endroits sombre et réconforter dans les moment où sa n'allait pas.
On est devant la porte de chambre du président, je frappe, il nous ouvres la porte et on entre. Haruhi n'ose pas te regarder de peur. Elle t'aime beaucoup et ton comportement lui à fait mal. Tu t'avance vers elle, te met accroupie devant elle -elle était assis sur le lit de Tamaki-.
- Gomen, Haruhi. Dit tu doucement car toi aussi tu as remarquer que sa la faisait souffrir de savoir que tu la déteste.
Pour la première fois de puits une semaine, elle te regarde dans les yeux. Tu lui fait un sourire réconfortent et elle te saute au cou. Tu la sert contre toi. Vous restez ainsi pendant quelques minutes avant de vous séparer. Tu te retourne vers les autres et présente tes excuses qui sont accepter par touts le monde. Je m'approche de toi et t'embrasse doucement comme la dernière fois c'est un baiser chaste, tu y répond après quelques secondes d'hésitation. On se sépare, tu as les joues en feu et n'ose pas regarder la réaction des autres.
- Tu lui as enfin avouer ton amour, Hikaru. C'est pas trop tôt. Me dit Tamaki. Tu relève la tête surpris.
- Vous étiez au courants ? Demande tu complètement ahuri.
- Oui, c'est pour cette raison que je passais beaucoup de temps avec Haruhi. Étant donné que c'est une fille, je pansais qu'elle aurais pu m'aider, avouais-je.
- T'aurais pu le dire plus tôt, non mais j'vous jure. J'étais jaloux d'elle pour rien. Marmonne tu entre tes dents persuader que personne ne t'entend.
Tut le monde explosa de rire même Kyouya. Je t'aime vraiment. Cette nuit on fient la fête en l'honneur de notre amour.
Fin.
