Petites précisions avant de commencer :

-Ceci est ma troisième fanfic.

-Je suis dyslexique et dysorthographique donc il y aura des fautes, je m'en excuse par avance.

-Disclamer : Tous les personnages d'Harry Potter appartienne à J.K Rowling et ce, tout au long de cette fanfic. Les autres perso et l'histoire en elle même sont de moi par contre.

-Cette fic et sous le signe du WTF, il sera bourré de référence française, de jeu de mots (désolé pour ceux qui lirons cette fic via un traducteur), ainsi que d'anachronisme. D'habitude j'écris des fic logique, là c'est tout le contraire je me lâche. À savoir que je me baserais sur les livres ou les films suivant ce qui m'arrange.

Sûr ce, je vous laisse j'ai des hommes en blanc qui m'attendent. Bonne lecture.


Chapitre 1 : Lettre.

"Vous avez du courrier monsieur Potter."

"Super!" S'exclama Harry. "Vous pouvez l'ouvrir s'il vous plaît ? J'ai les mains un peu occupées par la camisole."

L'infirmier s'exécuta et tendit la lettre à Harry qui la saisi avec ses doigts de pied.

Après avoir lu la lettre Harry s'exclama. "Ça explique certaine choses. Préparez mes affaires Nestor. Je m'en vais."

"De un, monsieur Potter, je ne m'appelle pas Nestor. De deux vous n'êtes pas interné de votre propre volonté donc vous ne pouvez pas décider de partir. Et de trois vous n'avez pas d'affaire." Déclara l'infirmier.

"Vous n'êtes pas au courant ?" Dit Harry avec un grand sourire. "J'ai changé de médecin traitant. Je suis maintenant suivi par le docteur Jaque. Et le docteur Jaque a dit qu'il fallait me laisser sortir."*

Le regard de l'infirmier devint alors vitreux et déclara. "Le docteur Jaque a dit qu'il fallait vous laisser sortir." Puis il enleva la camisole de force d'Harry.

"Oh! Et il va me falloir de l'argent pour le taxi."

L'infirmier sorti son portefeuille et donna à Harry deux cents livres avant de le conduire à la sorti.

"Bon ça c'est fait." Dit Harry. Puis il relut la lettre. "Albus… Albus, où ais-je déjà entendu ce nom… Miss Figg." Déclara-t-il en claquant des doigts.

Cette dernière avait accidentellement dit ce prénom quand elle avait chassé Harry de chez elle, après qu'il ait rebaptisé tous ses chats et que ces derniers ne répondaient plus que par leur nouveau nom comme : Chacripant, inchalubre, Chaperlipopette, Chachéunboncha, etc…. Il n'y avait qu'un seul chat qui avait échappé aux noms en 'cha'. C'était le seul male et Harry l'avait appelé Gertrude.

Harry siffla un taxi qui l'amena à Privet Drive.


Quand Arabella Figg ouvrit la porte de sa maison et vit qui était sur son pas de seuil, elle poussa un crie d'effroi et tomba à la renverse.

"Allons miss Figg. Ce n'est pas des manières pour accueillir un vieil ami." Déclara Harry. "Regardez! Je vous ai apporté des oranges et des croquettes." Dit-il en montrant deux sacs. "Bon, pendant que vous vous relevez, je vais préparer tout ça." Lança-t-il en se dirigeant vers la cuisine.

Arabella se mit une main sur le cœur. Attendant que ce derniers recommence à battre à un rythme décent.

Lorsqu'elle entra dans la cuisine à son tour, elle vit les oranges, dans les gamelles des chats, et les croquettes, dans une assiette à biscuit apéritif et Harry en grignotait quelque une.

Elle prit une grande inspiration et demanda de la voix la plus calme qu'elle pouvait prendre. "Que me vaux ta visite, Harry?"

"Albus Dumbledore, vous connaissez ?" Demanda Harry.

Ne sachant pas quoi répondre elle déclara. "Cela ce pourrait. Pourquoi cette question ?"

"J'ai reçu une lettre d'une certaine McGonagall et elle me demandait de me procurer des trucs qu'on ne trouve pas à la droguerie du coin, j'ai vérifié. Et quand j'ai vus le nom d'Albus sur la lettre je me suis dit que c'était peut-être le même que celui que vous aviez mentionné."

"Si je te mets en relation avec eux, je ne te verrais plus?" Demanda Arabella pleine d'espoir.

"Si ça peut vous faire plaisir." Répondit Harry.

Harry avait à peine fini sa phrase qu'Arabella fonça à l'étage et écrivit une lettre en toute hâte pour se débarrasser d'Harry. La lettre était très simple.

Envoyez quelqu'un pour s'occuper des fournitures scolaire d'Harry.

Figg

Elle prit la lettre, la mit dans une enveloppe à l'attention de Dumbledore, et la donna à son hibou qui fut plus 'balancé' qu'envoyé par la fenêtre.

"C'est fait." Déclara-t-elle à Harry lorsqu'elle redescendit dans la cuisine. "Quelqu'un viendra d'ici un ou deux jours."

"Parfait, maintenant je dois vous crever les yeux." Dit Harry en sortant un couteau d'un tiroir.**

"QUOI!" Hurla Arabella.

"Ben? Je tiens ma promesse évidement. Je vous crève les yeux comme ça vous ne me verrez plus jamais."

"Je voulais dire que je n'aurais plus à être en votre présence." Lança Figg paniqué.

"Là, vous jouez sur les mots." Dit Harry avec une petite moue. "Mais soit, si vous voulez que je vous tue, qui suis-je pour juger?"

"C'est pas ce que je voulais dire!" Hurla Figg. Elle réfléchi à toute vitesse, et une idée lui viens. Pour sortir Harry d'une crise il fallait lui faire penser à quelque chose qui n'a rien à voir. "Où vas-tu dormir le temps que les gens de Poudlard viennes?"

"Oh, je vais simplement dormir chez mon oncle et ma tante. Ça fait si longtemps que je ne les ai pas vus. Il vont être comptant de me revoir." Et Harry quitta la maison en laissant le couteau derrière lui.

Arabella soupira alors que ses jambes se dérobaient sous son poids. "C'est pour ça que j'ai faussé tous mes rapports."


Les Dursley étaient en train de déjeuner quand la porte du salon fut ouverte à grand coup de pied et qu'une voix hurla.

"CHÉRIE! J'SUIS RENTRÉ!"

Les Dursley pâlirent en reconnaissant le ton de la voix plus que la voix elle-même.

"Hé! C'est qui ce balai qui squatte ma chambre?" Dit Harry en approchant des Dursley.

"Je… tu… qu'est-ce que tu fais dehors?" Fini par dire l'oncle d'Harry.

"Il m'ont libéré pour bonne conduite." Déclara Harry.

"Pour bonne conduite?" Demanda tante Pétunia.

"Oui j'ai réussi mon créneau du premier coup." Lança Harry en faisant le V de victoire avec ses doigts.

"Ton…" Commença Pétunia avant que son mari ne lève la main pour l'interrompre. Il ne fallait JAMAIS entrer dans le jeu d'Harry.

"Mais que fais-tu ici ?" Demanda Vernon.

"J'ai reçu une lettre de Poudlard m'informant que j'étais un sorcier et je vais attendre ici qu'ils m'envoient quelqu'un pour toutes les formalités. Vous en faite pas j'ai déjà tout prévu dit-il en donnant une petite tape amicale sur la joue de l'oncle Vernon. "Vu qu'un balais squatte ma chambre, et que Marge n'est pas là, je vais dormir dans la chambre d'ami." Déclara Harry en montant les escaliers. Puis il les redescendit aussitôt quand Vernon commença à baragouiner "Il n'en est pas question."

"Écoute tonton." Dit Harry avec un sérieux qu'il n'avait que rarement. "Je dors ici quelque jours, et après tu ne me revois plus et tu n'as plus à payer l'hospice. C'est un bon deal ou c'est un bon deal?"

"…C'est un bon deal." Fini par lâcher Vernon.


Contrairement à ce qu'avait dit miss Figg, une personne ne vint pour Harry qu'au bout d'une semaine, sous la forme d'un géant qui frappa à la porte des Dursley.

"Bonjour, je suis Rubeus Hagrid. Je viens chercher Harry pour ses courses."

Quand Harry vit le géant il s'exclama. "Ouah! Vous avez du mangé beaucoup de soupe quand vous étiez petit. Ou alors vous vous êtes pris pas mal de coups de pied au cul. C'est aussi possible que vous ayez pris des coups de pied au cul par une soupière."

Hagrid ne savais pas quoi dire et il jeta un regard au Dursley qui eux, au contraire, évitaient son regard. Hagrid remarqua qu'ils avaient tout les trois l'air malade.

"Tiens Harry j'ai quelque chose pour toi." Dit Hagrid en sortant un gâteau au chocolat. "Joyeux anniversaire."

Harry s'exclama. "Au saumon! Mon préféré."***

Hagrid fronça les sourcils et regarda à nouveau les Dursley, qui lui faisais signe de ne pas y faire attention.

"Allez Toto! En route sur le chemin de brique jaune." Déclara Harry en sortant tout en effectuant une petite gigue.****

Hagrid jeta encore un regard aux Dursley et Vernon déclara. "Bon courage, vous en aurez besoin. C'est votre problème maintenant."


L'arrivé d'Harry au chaudron baveur ne fut pas sans causé d'émois. Tout le monde voulait serrer la main du survivant, jusqu'à ce qu'un dénommé Quirrell lui serre la main. En le voyant, Harry se mit à regarder à droite à gauche.

"V… v… vous cherchez qu… quelqu'un monsieur P… P… P… Potter?"

"Je cherche la flute et le serpent qui vont avec le turban." Dit Harry.

"Harry!" S'exclama Hagrid. "Le professeur Quirrell est un professeur de Poudlard, un peu de respect."

"Désolé mais son turban me fait penser à un gros buzzer. En le voyant j'ai juste envi d'appuyer dessus en criant 'STÉPHANIE DE MONACO!'."

Les personnes présentes dans le bar le regardèrent avec des yeux ronds.

"Quoi!?" Dit Harry. "Vous auriez préféré que je dise 'Hardy'?"*****

XXXXXXXX

*Référence au jeu "jaque a dit" et à star wars avec "ce n'est pas ces droides que vous recherchez"

**Légère référence à "tintin le lotus bleu" avec le fou qui veut couper la tête de tintin.

***Référence aux pubs Apéricube. Dans ce cas c'est un anachronisme de 1998.

****Référence au magicien d'OZ.

***** Référence au sketch 'télémagouille' des inconnus. C'est aussi un anachronisme, mais de 1992.