The Murderer : Chapitre 1

NDT : Les personnages de Shingeki no Kyojin ne m'appartiennent pas et sont l'unique propriétés de Hajime Isayama.

Dans cette fan fiction, l'escouade de Rivaille n'est pas morte, mais ils ont tout de même arrêtés le titan féminin. Il y aura du Yaoi Soft, et de la jalousie virant à la folie. Le rating est T car j'estime que certaines scènes sont quand même assez sanglantes (peut être pas dans ce chapitre, mais dans la suite oui ;D). Pour situer à peu près dans l'espace temps, je dirais que cela ce situe à la fin de l'anime, parce qu'il faut se l'avouer, vu la suite dans le manga papier, c'est compliqué de faire une fiction sur cette période là, vus les événements qu'il s'y passe ! Bon, je préviens tout de suite aussi que vous risquez de me dire que les actions se déroulent trop rapidement, qu'on a pas assez de détails sur la relation entre Eren et Rivaille, sur Sebastian, etc,... Mais c'est normal, car le premier chapitre fait office de contexte, j'entrerais plus dans les détails des souvenirs de tout ces moments par la suite, dans les prochains chapitres. Voila, j'espère que vous aimerez !

En pleine guerre contre les titans, les soldats du bataillon se renfermaient de plus en plus sur eux mêmes. D'un autre côté, on ne pouvait les blâmer, ils avaient leurs raisons. Se renfermer, pour ne pas s'attacher a des gens susceptibles de mourir sous vos yeux. Oui, sa peut être compréhensible comme mode de vie. Seulement si les soldats se renfermaient, le travail d'équipe n'était pas au summum de l'efficacité, et l'ambiance au sein des rangs étaient des plus tendues. Le stress et la peur provoquaient l'échauffement et la fatigue des nerfs, qui explosaient pour rien, pour un simple petit coup de tête. L'humain était un être assez étrange. A bout de nerfs lorsqu'il est trop souvent seul, mais anéantie lors de la mort d'une personne chère. Deux choses complètement opposées l'une de l'autre, qui font qu'un être humain est au fond plus difficile à gérer qu'un titan vide d'émotions.

Ces derniers temps, les membres du bataillon subissaient de lourdes pertes, tout le monde était chamboulés et ne savaient point comment réagir à la situation de crise qui s'annonçait à eux. Leurs effectifs étaient plus que jamais en manque de patriotes. Les soldats encore présents commençaient à mettre au point une rébellion contre les hauts gradés, et les titans venaient rajouter leur grains de sel en faisant parler d'eux. La reconquête des murs avaient été abandonnés pour le moment, les "explorateurs" n'ayant plus assez de forces physique ou morales pour mener une telle mission, pour céder place à un plan d'aide aux personnes coincées à l'intérieur. Ils avaient lutés 2 jours durant, non stop, pour sauver un maximum de personnes des mains des titans, mais encore une fois, ils furent hués en rentrant en lieu sur avec les rescapés. On leur criait d'arrêter tout cela, de faire mieux leur boulot et d'enfin devenir efficace contre ces monstres. Et au milieu de tout cela, Eren bouillait intérieurement. Comment ces personnes qui n'avaient aucunes idées de ce qu'était la situation face à un titan, hors des murs, ou dans le sein bataillon ? Ils ignoraient tout de cela, ne connaissaient pas la terreur de sortir en ce demandant si cela allait être notre dernier jour. Ni l'horreur de découvrir le corps d'amis calcinés dans les dents de ces géants. Et eux, qui se battaient pour la gloire et la survie de l'humanité, eux qui sacrifiaient des vies pour faire avancer au mieux la situation, ce faisaient toujours huer à leur retour.

Parfois, Eren se disait qu'il valait mieux les laisser crever plutôt que de laisser mourir leurs amis. Et pourtant, il savait bien qu'il ne pourrait lui même pas faire sa. Ça sera un déshonneur d'abandonner ainsi. D'autant plus qu'il sait que sa mère l'observe depuis là-haut, et attend qu'il soit prêt pour la venger. Alors aujourd'hui, tandis qu'il se baladait tranquillement dans les couloirs, le lendemain de la mission de sauvetage, il essaya de penser à quelque chose de joyeux. Il voulait éviter de repenser à ces souvenirs les plus noirs, quand il voyait le moral des troupes, il se disait que si même lui qui était censé être l'espoir de l'humanité, ce laisser plonger en dépression, ça ne ferait qu'aggraver leur état psychique. Certes, on pouvait penser que le bataillon avait l'habitude des morts et du sang, mais bon, ils restaient humains après tout. Aujourd'hui, après les deux jours éprouvants qu'ils venaient de vivre, ils avaient droit à une bonne semaine de repos et de remise sur pieds. Cela calma quelque peu les nerfs des soldats, qui profiteraient de leurs semaine de vacance pour ce déstresser et remettre en questions plusieurs de leurs doutes. Dans la même journée, Erwin avait fait un discours, faisant clairement comprendre que les troupes devaient ce remotiver. Malgré les morts, il fallait lutter, car même si la situation était critique, sa n'était pas un prétexte pour tout laisser tomber. Il a aussi insisté que faire une révolution contre lui ne les aideraient pas plus, et ne rendrait pas leur vie plus heureuse, bien au contraires. Les seuls ennemis qu'ils devaient assaillir, c'était les titans, pas leur supérieur. Pourtant, Eren ce demandait si ils étaient vraiment les seuls ennemis à craindre, car il fallait bien avouer que le gouvernement en lui même semblait cacher beaucoup de choses au peuple... Ces pieds foulaient le sol d'un pas pressé. Erwin l'attendait dans son bureau, avec le caporal. Et rien qu'en pensant à son Heicho, celui qu'il avait admiré durant de nombreuses années et celui qui était désormais son amant, un sourire ce dessina sur ces lèvres, sans qu'il ne puisse le contrôler. Il croisa Petra, Erd, Auruo et Gunther, et les salua sans s'arrêter, jusqu'à ce que la jeune femme de l'escouade dans laquelle il avait été administré, avec ces amis, l'interpelle.

-Eren ? Sa ne va pas ? Tu as l'air pressé... demanda t-elle, avec son éternel sourire

Pourtant, Eren avait toujours l'impression que lorsqu'elle lui souriait, son sourire était faux, comme tiré pour paraître gentille. Il devait avouer que le sourire qu'elle lui faisait était très peu crédible comparé aux magnifiques éclats de joie qu'elle offrait à Rivaille... Se pouvait il qu'elle éprouve de la jalousie envers lui ? Eren ne voulait pas y croire. Petra était l'une de ces amies, et ils s'entendaient bien tout les deux, alors même si elle était peut être jalouse, il ferait tout pour ne pas trop lui faire de mal, il ne souhaitait pas se disputer avec elle. Enfin, sa n'était clairement pas le moment de penser à ce genre de choses. Mais pourtant, sa curiositée le poussait à tester quelque chose, pour obtenir une réponse.

-Sa va ne t'inquiète pas, et oui je dois faire vite, le major Erwin m'a convoqué dans son bureau, il parait qu'il veut me voir, avec le caporal. Bon, je dois y aller ! finit il en reprenant son chemin, en lançant un sourire à l'escouade

Cette fois, Eren en était presque sur. Il aurait juré avoir vu une étincelle disparaître du regard de la rousse lorsqu'il avait prononcé le mot "caporal". Surement avait elle des sentiments pour lui, a moins que sa ne soit que de la simple admiration, comme Auruo, mais bon, aux yeux d'Eren, Petra était tout de même bien plus intelligente que l'homme au don de ce mordre la langue continuellement. Il était persuadé qu'elle ne ce rabaisserait pas à ce genre de jalousie fondée sur de la simple admiration envers un supérieur. Et puis il voulait juste garder une bonne entente avec elle, et n'empêcherait jamais que son caporal soit son ami. De toute manière, même si il essayait, Eren doutait fort du fait que le petit brun accepte de se faire dicter sa conduite et ces fréquentations aussi facilement. Il coupa court ces pensées lorsqu'il arriva devant une grande porte à laquelle il frappa. Quand une réponse lui fit enfin signe qu'il pouvait, il entra et remarqua qu'apparemment, il était en retard, car Rivaille attendait avec sa tasse de thé dans les mains, tandis qu'Erwin feuilletaient ces papiers. Tout deux semblaient être là depuis au moins 15 minutes, et Eren fût gêné par son retard. Il s'assit sur la chaise libre aux côtés de Rivaille et tout deux posèrent leur regard sur le blond, lui faisant comprendre qu'ils souhaitaient savoir ce en quoi consistait cette convocation. Il s'éclaircit la voix et commença.

-Ecoutez... Hum... J'aimerais que vous me rendiez un service. Je pense que vous pourriez, car l'une des recrues m'a prévenu qu'Eren serait surement heureux de s'occuper de sa, puisqu'il avait vécu la même chose... De toute manière c'est un ordre, je ne le laisserais pas tout seul deho-

Alors qu'il allait finir sa phrase, il fût coupé par le petit brun, qui commençait à s'impatienter. Et le châtain aux yeux verts turquoises ne le montrait pas, mais sa curiosité re-faisait surface à vitesse grand V. C'était un vilain défaut, sa mère le lui disait toujours, mais actuellement, il ne pouvait lutter contre ce sentiment, ayant hâte de savoir quelle était la nature de ce service. Et surtout, que voulait dire le grand blond par "vécu la même chose" ? Qu'est ce qu'avait pu lui dire un de ces amis... ?

-Viens en au fait, arrête de tourner autour du pot, on est pas cons non plus...

Erwin regarda tour-à-tour les deux hommes assis en face de lui, et reprit.

-J'aimerais que vous adoptiez un enfants que nous avons trouvé hier. Il a perdu ces parents. Si je vous demande sa, c'est parce qu'il a 11 ans, l'âge pour la formation, et que tout nouveau soldat voulant entrer dans nos rangs est le bienvenu. Mais c'est encore un enfant.

Eren fut surpris par la demande. Il s'attendait à tout, sauf à cela. Adopter un enfant orphelin... C'est vrai qu'il comprenait la détresse que devait vivre ce gosse, l'ayant lui même vécu. Lui aussi avait vu sa mère ce faire dévorer sous ces yeux. Il ce maudit aussitôt d'avoir repenser à ce funèbre souvenir, et serra les poings pour éviter que les larmes ne lui montent aux yeux d'elles mêmes. Rivaille dût remarquer son trouble, et sa réaction, car il fit un oui de la tête.

-C'est d'accord.

Erwin esquissa un faible sourire, satisfait d'avoir un nouveau "futur soldat" dans les rangs. Il donna les papiers contenant le peu d'informations que l'enfant leurs avait révélées sur lui et les prévint qu'il arriverait dans très peu de temps. Les deux hommes se retirèrent pour aller ce préparer à accueillir le nouveau membre de leur famille.

-Merci Heicho... souffla le châtain, la tête baissée

Ce dernier, le regarda sans comprendre, ces iris grises fixaient sur le visage penché de son compagnon.

-Pourquoi tu me remercie ? Pour avoir accepté le morveux ? Dans ce cas ne le fait pas, de toute façon, j'avais l'intention de te parler de l'adoption, et puis pas besoin de te prendre la tête, on l'éduquera comme notre fils, et c'est tout.

Eren ne répondit rien, et ce contenta de poser sa tête sur l'épaule du plus vieux et plus petit que lui, qui le prit dans ces bras, lui offrant une étreinte chaude et agréable. Oui, Eren ferait tout pour que le petit puisse sourire et devenir un bon soldat. Leur petit moment d'amoureux fût interrompu par une Hanji qui débarqua comme une furie dans leur chambre, apparemment, elle ne savait pas frapper à une porte. Elle ce prit une remarque cinglante de la part de Rivaille, accompagnée par son habituel surnom : Quatre yeux. Quelle surnom affectif... C'était bien son heicho sa ! Elle leur annonça que l'enfant était arrivé et les attendaient.

-Alors comme sa t'es au courant ? demanda Eren, curieux de savoir si c'était tenu secret, ou pas du tout

Celle ci acquiesça et fit une espèce de danse qu'elle faisait habituellement quand elle parlait des titans ou des exploits que ces expériences auraient rendus.

-Bien sur, tout le monde l'est désormais ! D'ailleurs... Il me semble que Mikasa n'est pas très heureuse de la nouvelle !

Très bien. C'était génial. Mikasa voulait désormais tuer les deux hommes, et tout le monde savait qu'il allait adopter un enfant avec Rivaille. Dit comme sa, la situation était vachement gênante. Et tandis que d'une manière qu'Eren n'avait pas suivie, la brune avait réussie à retourner sur le sujet des titans et s'essoufflait à faire un monologue pour elle même sur les vertus de la force de ces monstres favoris, le caporal prit la main du demi-titan et l'emmena loin de cette folle pour aller à la rencontre du petit garçon. Eren bien que stressé, fût surpris par la douceur des choses. Tout ce passa très bien. Ils firent connaissances et se trouvèrent des points communs.

Le petit s'appelait Sebastian, avait donc 10 ans, et était brun, les yeux verts. Cela ne semblait pas le déranger le moins du monde d'avoir deux pères adoptifs, cependant, on pouvait encore voir dans son regard la tristesse due à ce qu'il avait vu. Eren n'avait pas attendue plus longtemps pour poser un genoux au sol pour être à la hauteur de l'enfant et l'avait serré fort dans ces bras, sous la surprise de celui ci. Il se mit à pleurer.

-Moi aussi, j'ai vu ma mère ce faire dévorer par un titan sous mes yeux. Je sais ce que tu ressens.

Et ces quelques mots suffirent à faire lâcher à Sebastian les larmes qu'il retenait prisonnières. Il se sentit aussitôt chez lui après cela, ce sentant plus proche de ces nouveaux pères. Les jours et les mois passèrent. LQuand la semaine fût finie, ils reprirent leurs vies quotidienne : Les entraînements avec Sebastian (Il avaient insistés pour s'occuper de son apprentissage, plutôt que de l'envoyer à la brigade d'entrainement), les réunions, les expéditions, etc... Ils avaient finis par noués de solides liens entre eux. Seulement les amis des deux hommes, eux, trouvaient cela en quelque sorte gênant. Ils ne disaient pas répugnant, car ils restaient leurs amis, et essayaient d'accepter leurs choix, mais gênant était le mot qui leurs convenaient. Ils étaient tout bonnement jaloux que les trois passent autant de temps ensembles, alors que les seuls moments où ils pouvaient parler à Eren ou Rivaille sans que le petit ne vienne étaient les mission extra-muros, ou les réunions. Autant dire que sa n'était pas vraiment la joie au sein de l'escouade Rivaille. Une nuit, alors que l'enfant dormait dans sa chambre et que ces pères dormaient dans la leur, l'un dans les bras de l'autre, le châtain s'échappa des bras solides de son caporal afin d'aller au toilettes. Cette nuit là, jamais il n'aurait cru assister à une telle scène. Il fit demi tour, partant en courant vers la chambre de son fils, à l'autre bout du couloir. Une odeur acre vint jusqu'à lui, et cette odeur, il la connaissait parfaitement. C'était celle du sang. Certaines personnes disaient que le sang ne possédait pas d'odeur, pourtant à force de combattre des titans, et de voir ces camarades ce faire tuer, il était bien placé pour dire que oui, le sang avait bel et bien une odeur. Et ce n'était pas l'odeur la plus agréable à sentir, elle était tellement acre et indescriptible que cela expliquait le fait que peu de personnes peuvent la sentir. La peur l'emplit lorsqu'il ouvrit la porte, pour laisser place au désespoir et à l'horreur lorsqu'il découvrit ce qu'elle renfermait. Un flot d'émotions l'assaillit alors. La peur, la terreur, la tristesse, la haine, l'horreur, tout ce bousculait dans sa tête. Il s'approcha rapidement, affolé, de son fils, et chercha son pouls. Malheureusement, comme il le craignait vu la dose de sang qui s'échappait de la grande plaie qu'il avait partant du cœur jusqu'à la gorge, le corps froid de l'enfant était vide d'existence. Non loin de lui, une lama de l'équipement tridimensionnel était rougie par le sang du jeune garçon. Eren sentit le sang transpercer ces vêtements, et il serra le corps contre lui. Le monde sembla s'écrouler autour du père. Qui avait bien pu faire un telle chose à Sebastian ? Personne au bataillon ne serait assez cruel pour tuer aussi sauvagement un enfant sans défense. Pas alors qu'ils vivaient tous si heureux ensembles. Qui avait bien pu lui faire une chose si atroce que celle ci... Il écarquilla les yeux en entendant des bruis derrière lui, et cru avoir à faire face au meurtrier de son chère fils. Et il aurait aimé pouvoir lui casser la gueule, le faire souffrir autant qu'il avait fait souffrir le pauvre gamin qui ne méritait pas de mourir si jeune. Mais il ne vis que les yeux écarquillés de Rivaille, qui observait la scène, semblant lui non plus, ne pas vouloir y croire. Sans qu'ils comprennent comment, tout leurs amis arrivèrent, surement prévenus par quelqu'un. Le Heicho serrait Eren contre lui, tandis que ce dernier pleurait toutes les larmes de son corps. La détresse et la sensation de vide qu'il ressentait était indescriptible, et le brisait de l'intérieur. Il avait l'impression qu'une part de lui était morte avec leur fils. Et ce fut ce moment que choisis la femme rousse pour intervenir.

-Je sais qui est le meurtrier. Je l'ai vu, par la fenêtre, avant de venir vous chercher ! C'est Eren, qui as tué Sebastian. dit Petra, avec un regard terrifié et triste

Auruo s'avança.

-C'est vrai, j'étais avec elle.

Aussitôt, Rivaille s'écarta un tout petit peu de son amant, pour le regarder. Non, il le connaissait trop bien pour l'accuser comme cela sans aucune preuves. Eren ne pourrais jamais faire cela. Il lui lança un regard pour lui demander de dire quelque chose, mais rien ne vint. Trop choqué, le châtain ne sut que dire. Tout ces amis le regardaient avec un regard perçant, horrifiés, et en attente d'une réponse qui ne vint pas. Personne ne savait vraiment que pensait de l'accusation de Petra. Et l'accusé lui, était complètement perdu. Pourquoi son amie l'accusait-elle, comment pouvait-elle dire sa alors qu'elle n'avait rien pu voir, étant donné qu'il n'avait rien fait... Comment Petra pouvait-elle l'accusait alors qu'il était dévasté et à la limite du suicide, par la vue du corps sans vie de son petit protégé ? Et surtout... Il priait pour qu'au moins Rivaille ne la croit pas. Il savait que le brun le connaissait, mais il savait aussi que parfois la tristesse peut prendre le dessus sur les neurones. Et si tout ces amis venaient à le haïr, il espérait que le caporal lui fasse confiance et reste avec lui. Sinon, il ne s'en sortirait pas. Et pourtant, le seul avec qui il souhaitait pleuré était là, en regardant le châtain au pyjama imprégné de toute part du sang du jeune, en le fusillant d'un regard indescriptible. Soit il essayer de trouver une explications, et des preuves de la non-culpabilité du demi-titan, soit au contraire, il le pensait coupable. Oui, à ce moment là, sous les regards suspects de ces amis et regardant le corps de son fils sans vie, Eren eut vraiment envie d'en finir.