Hey ! Je reviens, non pas avec un nouveau chapitre de Ldtr (me frapper pas !), mais avec un Two-Shot Sciles ! L'idée me trottait dans la tête depuis un moment, et tant que je ne l'avais pas écrit, dur dur de continuer le chapitre que j'avais en cours...

En tous cas cette histoire me tient à cœur, mais j'espère ne pas m'être égarée sur certains points.

Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas (si si), mais l'histoire est à moi donc pas touche ! C'est mon précieux...


Elementary School*

Scott quitta sa ville natale une semaine après la rentrée. Il avait 8 ans. Selon lui, c'était une immense erreur de déménager. Il allait perdre tous ses amis, et timide comme il l'était, il n'arriverait pas à s'en refaire. Selon sa mère, à cet âge là, tout était possible. Alors certes leur nouvelle maison était plus spacieuse et possédait également un jardin, mais il aurait tout donner pour ne pas vivre à Beacon Hills.

Il se retrouvait donc devant un petit bâtiment de pierres claires, assez accueillant, mais qui le terrifiait en ce jour. Il voyait de plusieurs enfants se courir dans les bras, des filles se faire la bise, tandis que lui restait accroché à la veste de sa mère, telle une bouée en pleine tempête.

Il vit une jeune femme blonde s'approcher, un sourire calme sur les lèvres.

- Tu dois être Scott McCall ? Ravie de te rencontrer, ajouta t-elle en le voyant acquiescer. Je serais ton institutrice cette année.

Il lui fit un sourire léger, pas encore à son aise dans cet environnement étranger.

- Scott, il va falloir que j'aille travailler.

L'intervention de sa mère lui fit resserrer sa prise sur la veste en coton. Paniquant, il releva des yeux humides, une moue triste sur son visage mat. Cependant, Mélissa ne flancha pas et finit par quitter son fils au bout de quelques minutes d'étreintes. Le garçon se retrouva alors tout seul, perdu. Heureusement pour lui, la sonnerie retentit, lui évitant d'attendre seul trop longtemps.

La matinée fut longue et emplie de solitude pour le petit Scott qui se retrouva au fond de la classe, à côté d'un brun énergique à qui il n'osa pas parler.

Le déjeuner se passa dans la même ambiance, il n'avait pas le courage d'aller vers le groupe de garçons de sa classe, alors il mangea dans son coin, dehors. Il venait juste de finir son sandwich et, alors qu'il allait entamer son gâteau, une ombre le protégea du soleil éblouissant. Il leva la tête et reconnu trois garçons de sa classe, mais il ne se souvenait du nom que d'un seul, Jackson Whittemore.

- Eh ! L'interpella celui-ci. C'est bien toi le nouveau ? Scott, c'est ça ?

- Heu... oui, répondit-il timidement.

- D'accord, puisque que tu es nouveau, je vais te prévenir tout de suite. Ici, c'est notre coin, ça va pas être possible que tu restes ici.

Scott se figea face au ton soudainement agressif du garçon. Il ne bougea pas d'un centimètre, ce qui agaça le brun.

- Oh ! T'as pas compris ou quoi ? T'es stupide ?!

- Whitemore, franchement, intervint une voix fluette mais ferme. Tu n'as pas autre chose à faire que d'embêter le nouveau ?

Jackson prit un air offusqué, tout comme ses acolytes.

- Je ne voix pas en quoi ça te regardes, Stilinski, siffla t-il.

Pour confirmer ses dires, il se retourna à nouveau vers Scott, le poing levé, dans l'intention évidente de le frapper. Le basané ferma les yeux, attendant le coup fatidique, qui, étonnement, ne vint pas. Il leva une paupière, et vit son sauveur retenir le bras en l'air de son tortionnaire.

Un combat silencieux s'était engagé entre Stilinski et Whittemore. La tension était palpable, aucun des deux ne comptait lâcher le morceau en premier. Au bout du compte, Jackson baissa son bras.

- Tu vas le regretter Stilinski. Ce n'est pas parce que ton père est le shérif que tu dois te sentir intouchable.

Et c'est sur ces mots qu'il partit, toujours accompagné de ses deux amis. Scott les regarda quelques instants avant de se tourner vers celui qui l'avait aidé. Des cheveux bruns et courts, une multitude de grains de beauté parsemaient une peau blanche, et des yeux ambrés le fixaient de manière soucieuse.

- Je ne sais pas si tu sais qui je suis, commença t-il. On est assis à côté en cours.

Ce fut la lumière dans l'esprit de Scott. Il avait passé toute la matinée à ignorer le garçon, et pourtant celui-ci venait de voler à son secours. Il n'avait que trop rarement connu quelqu'un d'aussi généreux.

- Mais si ! S'exclama le basané. Tu es M-m...

- Appelle-moi Stiles, c'est beaucoup plus simple.

Scott rit franchement face à la mine qu'affichait le garçon. Celui-ci le regarda avec un petit sourire avant de reprendre la parole.

- J'ai bien vu que tu ne t'intégrais pas avec les autres.

A ces mots, McCall baissa la tête.

- Comme je suis extrêmement généreux, j'accepte d'être ton ami, entendit-il.

Il releva la tête, pour croiser des yeux ambrés rieurs, semblant se moquer de son empressement joyeux. Il acquiesça vivement d'un brusque hochement de tête, alors que Stiles s'installait à ses côtés et commençait à lui parler de tout et n'importe quoi.

Et c'est sous un soleil radieux qu'une amitié à toute épreuve venait de naître entre Scott et Stiles.

ooOoo

Au fil de l'année qui suivit, les deux jeunes devinrent inséparables, voulant être toujours l'un avec l'autre, pour faire les quatre cent coups, ou tout simplement profiter de la présence de l'autre.
Entre la mère et de Scott et celle de Stiles, le feeling passa bien également, ce qui permettait aux deux bruns de passer encore plus de temps ensemble, lorsque leurs mères s'installaient autour d'une tasse de café.

Ces moments d'amusement et de complicité avec Stiles permettaient au jeune basané d'oublier, pour quelques instants, la situation tendue qui régnait en ce moment chez lui.
Il adorait ses parents, et les voir se déchirer ainsi, bien qu'il ne saisisse pas l'entièreté du problème, le rendait morose.
Il profitait donc au maximum de la présence de l'hyperactif, qui l'empêchait de rester dans ses sombres pensées.

C'est en voyant Stiles faire le pitre que Scott se demanda ce qui pourrait bien ébranler la confiance infaillible de son ami.

Il espérait n'en avoir jamais la réponse.

ooOoo

Il avait neuf ans lorsque sa vie bascula à nouveau.

Il s'était réveillé à l'hôpital, un bandage serré autour du crâne et la main de sa mère serrant la sienne.

N'apercevant son père nul part, il s'enquit auprès de sa mère qui le dévisageait, les larmes aux yeux. Il la vit déglutir, et il sut qu'il n'aimerait pas sa réponse.

- Il ne viendra pas mon chéri, commença t-elle. Il est parti de la maison pour refaire sa vie.

L'horreur figea le petit garçon. Cependant, l'effet des sédatifs refirent surface, et il tomba dans un sommeil parsemé d'inquiétude.
Après sa sortie de l'hôpital, il resta longtemps dans son lit, sans bouger. Il restait sourd aux vaines tentatives de sa mère pour le faire réagir.
Il adorait son père, même s'il ne le voyait pas autant qu'il l'aurait espéré à cause du travail de celui-ci. Et maintenant, il ne le verrait que une à deux fois par an.

Il fixait le mur lorsque son meilleur ami finit par entrer dans sa chambre. Scott tourna immédiatement son regard vers lui, le détaillant. Ses cheveux avait poussé, chose inhabituel en sachant que Stiles ne supportait pas cela, des cernes sombres avaient pris place sous ses beaux yeux ambrés.
Il ne savait pas ce qui avait pu mettre l'hyperactif dans cette état. C'est donc sans un mot qui se décala et l'invita à s'installer à ses côtés. Stiles vint immédiatement se nicher sous la couette. Ils ne parlèrent pas. Ils n'en avaient pas besoin.

Mélissa les retrouva dans la même position, plusieurs heures plus tard, endormis.

ooOoo

Peu à peu, Scott se remit du départ de son père. Il redevint le garçon souriant qu'il avait toujours été. Pourtant, alors que lui allait mieux, Stiles gardait d'affreuses cernes sous les yeux. Ses cheveux partaient dans tous les sens. Le basané s'inquiétait de plus en plus pour son ami.

Il avait bien vu les côtes apparentes sous la peau blanche lorsque Stiles se changeait. Il n'avait rien laissé paraître, mais cette découverte lui avait brisé le cœur. Son meilleur ami, son frère, souffrait et il ne savait pas comment l'aider.

La semaine suivante, alors qu'il cherchait toujours une solution au problème de Stiles – toujours inconnu – celui-ci s'absenta trois jours de suite.

Lors du premier, Scott paniqua en voyant que son acolyte ne viendrait pas. Il n'avait pas été seul depuis longtemps, et cette nouveauté l'effrayait. Il passa donc une journée morose, qui ne s'améliora pas en rentrant chez lui. Sa mère affichait toujours une mine triste, loin de ses habituels sourires rayonnants. Bien qu'il savait que sa mère avait aimé profondément son ex-mari, Scott ne comprenait pas pourquoi elle ne commençait pas à aller mieux. Il allait devoir chercher la source de ce problème également.

Au bout de trois jours consécutifs où Stiles ne vint pas à l'école, le basané pris la décision d'aller voir son meilleur ami pour prendre de ses nouvelles en personne. Lorsque sa mère vint le chercher le soir même il émit le souhait de voir son ami et, sans un mot, l'infirmière prit la route en direction de la maison des Stilinski. Pourtant, loin d'être dupe, Scott vit sans peine le visage d'ordinaire calme de sa mère s'assombrir au fur et à mesure qu'ils approchaient.
Le chemin ne fut pas long, tout au plus quinze minutes, mais le jeune garçon trépignait d'impatience sur le siège arrière à l'idée de voir l'hyperactif. Et surtout de savoir pourquoi il n'était pas venu, lui qui aimait tellement apprendre toutes sortes de choses.
A peine la voiture arrêtée, le jeune basané bondit hors du véhicule, et courut jusqu'à la porte d'entrée. La maison des Stilinski étant un peu comme la sienne, il entra sans prendre la peine de sonner. Il monta les marches deux à deux et, une fois de plus, ne prit pas la peine de s'annoncer avant de pénétrer dans la chambre de Stiles.

Le sourire qui s'était étalé sur son visage fondit comme neige au soleil face à la scène sur laquelle il tomba.

La chambre était plongée dans l'obscurité, les rideaux ne laissant filtrer qu'un mince filet de lumière. Ainsi, il pouvait voir l'ensemble de la pièce et, surtout, le lit de son ami. Il se dirigea vers celui-ci, sachant que Stiles y était, au vu de la couverture qui laissait deviner le corps mince du garçon.
Sans un mot il s'installa au bord du lit, à quelques centimètres de son ami. Délicatement, il souleva le drap qui recouvrait également la tête du garçon. Il découvrit alors l'étendu des dégâts.

Stiles avait toujours été fin, mais même lui pouvait deviner que cela faisait plusieurs jours que l'hyperactif n'avait pas mangé un repas correct. Ses joues creuses lui donnaient l'air d'un malade, prêt à se faire prendre par la faucheuse. Ses cheveux bruns, désormais plus long, étaient emmêlés et formaient un nid autour de sa tête. Le cœur de Scott se serra en voyant les yeux ambrés de son ami. Ces si beaux yeux qui avaient perdu de leur éclat joyeux.

Scott ne savait ce qui avait pu arriver pour que Stiles soit dans un tel état. Et il n'allait pas lui demandé, non. Il allait juste attendre que le garçon soit prêt à se confier, à partager son lourd fardeau. Il fit donc ce qui lui parut le plus logique à faire. Il poussa un peu Stiles afin de s'installer en position allongée à ses côtés. Un vague sentiment de déjà-vu l'envahit, mais il le repoussa pour prendre Stiles dans ses bras, dans une tentative enfantine de le réconforter. De lui dire implicitement « Je suis là maintenant ».

Cela sembla suffire à Stiles, qui enfouit sa tête dans le cou du basané. Très vite, celui-ci sentit sa peau s'humidifier, mais ne prononça pas un mot.
Ce ne fut que bien plus tard, alors que la nuit était tombée, que Stiles se décida enfin à parler. Et Scott sut pourquoi son ami était ainsi.

Il n'avait peut-être plus son père à chaque instant de sa vie, mais il pouvait toujours le voir pour son anniversaire ou autre. Stiles, lui, venait de perdre définitivement sa mère, creusant un trou béant dans son cœur. Une plaie qui ne cicatriserait jamais complétement. Et, à sa façon, Scott sentit également son cœur se briser.

Il avait eu raison. Même après trois ans, Stiles ne redevint pas aussi joyeux et plein de vie qu'il le fut avant la mort de Claudia. Il avait certes retrouvé cette fameuse étincelle, mais elle était terni par le poids des remords. La tristesse venait recouvrir ses yeux ambrés d'un sombre voile quand il pensait que personne ne faisait attention à lui. Mais Scott gardait toujours un œil sur Stiles.

Le garçon se fit alors la promesse de tout faire pour que son meilleur ami retrouve pleinement cette étincelle. Parce que Stiles devait être cette lumière qui éclairait constamment sa vie.

Junior High School*

L'entrée au collège ne fut pas la période la plus simple que vécurent les deux compères. Si en primaire il avaient été ignorés, le cas ne s'arrangea pas avec. Pour tout dire, ils auraient préféré continuer d'être invisible aux yeux de certaines personnes. Mais ne dit-on pas que les adolescents passent par une phase appelée « l'âge con » ? Scott et Stiles en furent les malheureuses victimes.

Oh bien entendu, pour des gamins de 12 ans, cela n'alla pas bien loin. Juste quelques moqueries sur leur physique et deux-trois menaces, mais rien d'insurmontable. Du moins, c'était ce que pensait Scott.

ooOoo

Ce ne fut qu'au mois de février, lors de leur septième année*, que Scott se rendit compte d'un changement chez son ami.

En temps normal, qu'il pleuve, qu'il neige ou que les températures passent en dessous du zéro, Stiles mettait toujours, toujours, un tee-shirt. Bien entendu il avait un pull, une veste ou un manteau par dessus, mais quand ils rentraient en classe, l'hyperactif finissait toujours les bras nus.
Ce fut donc ce qui l'interpella en premier lorsqu'il vit Stiles garder son pull à l'effigie de Captain America, au lieu de se mettre à l'aise comme il en avait l'habitude.

- Stiles, chuchota t-il en poussa l'interpellé du coude.

- Quoi ? Répondit Stiles sans prendre la peine de tourner la tête.

- Tout va bien ?

Le jeune acquiesça, toujours sans regarder Scott. Celui vit alors la mâchoire de son ami se serrer compulsivement, sans comprendre pourquoi. Il fronça les sourcils, tout en se retournant à nouveau en direction du tableau.

Quelque chose n'allait pas, et il comptait bien aider à nouveau Stiles avant que cela ne dégénère.

ooOoo

Au fil des mois, Scott nota des petits changements chez son meilleur ami. En plus de ne porter que des chemises à carreaux alors que les températures avoisinaient les 28°C, Stiles avait à nouveau perdu du poids. A son grand soulagement, ce ne fut pas comme lors de leur quatrième année*, mais, en tant qu'ami, Scott avait remarqué les doigts légèrement plus osseux de Stiles ainsi que l'affinement de ses joues. Lorsqu'il lui en avait fait la remarque, le brun lui avait seulement rétorqué que c'était normal en pleine croissance, mais Scott n'était pas dupe. Lui-même ne prenait pas une silhouette aussi filiforme, alors qu'il avait quelques centimètres en plus.

Ce fut pendant une de leurs habituelles soirées jeux vidéos que Scott pris son courage à deux mains. Sans crier gare, et surtout parce qu'il savait que Stiles allait se rebiffer - chose logique vu ce qu'il comptait faire – il sauta sur son ami et entreprit de... lui enlever sa chemise. Aux grands maux, les grands remèdes.

- Scott ! Cria t-il en se redressant légèrement.

Le visage de Stiles passa du blanc au rouge quand il vit le visage mat aussi près du sien, toujours sans réagir. Il finit par prendre conscience de ce que Scott faisait que lorsque les doigts de celui-ci s'attaquèrent au troisième bouton de sa chemise. Gigotant autant que possible afin de déloger son ami de son bassin, il s'arrêta net quand il sentit les doigts du basané effleurer son torse, dans un geste surement inconscient. Il releva son regard sur celui de son agresseur, trop occupé à l'effeuiller pour prêter attention à son inactivité. Il savait qu'il n'arriverait pas à se défaire de son emprise, Scott était plus lourd et plus fort que lui. Il savait également pourquoi il faisait ça, et le connaissant, autant le laisser faire.

Bien trop vite, le basané eut fini de déboutonner sa chemise et de la lui enlever. Stiles détourna le regard, mais entendit très distinctement l'exclamation du brun quand il découvrit son corps à moitié nu. Son torse qu'il savait parsemé d'hématomes passant du jaune au violet, et ses bras couverts de bleus dû à la force avec laquelle on l'empoignait. Il sentit à nouveau les doigts chauds de Scott passer sur sa peau, retraçant chaque marque graver en couleur. Une faible plainte lui échappa lorsqu'une pression trop forte se fit sur un hématome trop récent.

Scott serra les dents en l'entendant. Qui osait frapper ainsi Stiles ? Qui cherchait à lui faire du mal au point de ternir son éclat ?

- Qui ? Gronda t-il inconsciemment.

Il était peut-être doux comme un agneau en temps normal, mais on ne touchait pas impunément à Stiles sans en subir les conséquences, qui que ce fut. Il détacha enfin son regard du torse marqué, pour remonter au visage crispé de Stiles. Stiles qui semblait sur le point de pleurer. Le cœur du basané se serra à cette constatation. Sans prendre le temps de vraiment réfléchir il se coucha sur l'hyperactif et roula sur le côte, l'enfermant dans un étreinte réconfortante. Stiles nicha presque inconsciemment son nez dans le cou brûlant de son ami et serra à son tour son ami dans ses bras.

Finalement ce ne fut pas Stiles qui pleura cette nuit-là. Les larmes qui coulèrent furent celles d'un garçon qui avait faillit à sa promesse, pleurant sur une âme recollé qui venait à nouveau de perdre un morceau


*J'ai utilisé les appellations des Etats-Unis, mais en gros la Elementary School c'est la primaire, la Junior High School c'est le collège et la septième année scolaire au USA est égale à la 5e en France. Voilà c'était pour ceux qui ne connaissait pas ce système. Par contre je ne dirais High School qu'au début de la seconde partie, mais je basculerais sur lycée ensuite.

La seconde partie devrait arriver sous peu, et sera (normalement) plus longue. Vous devez vous doutez que la suite traitera plus des épisodes, mais je ne compte pas faire le détail de chaque saison, mais reprendre les grandes lignes (celles dont j'ai besoin) pour mettre en place le plus naturellement possible nos deux petits bébés !

Je vous dis à bientôt les gens ! Des bisous sur vos joues !