Pairing : Variés, pour notre plus grand plaisir... *sourit diaboliquement* Gardons la surprise ;) Enfin, précisons que vu que chaque OS contient un HGSS ou y fait une allusion, cette fanfiction est classée HGSS.
Avertissement : M
Résumé : Trois OS parlant de petites culottes... Ca promet ! Délire assuré.
Disclaimer : tous les personnages et l'univers de Harry Potter appartiennent à J.K. Rowling, cette fiction est ma propriété et celle de Eugénie (ou Ginny de son surnom) pour certaines.
Note de l'Auteur : Voilà où mène un délire sur msn... Lol.
HISTOIRES DE CULOTTES
~ Acte 1 : Le nouveau Sherlock Holmes ~
Par DoC
Severus Snape dormait paisiblement lorsqu'un rire cristallin venu des profondeurs le réveilla en sursaut. Il se redressa dans son lit, raide comme un piquet (1) dans la pénombre de la chambre et tandis l'oreille : rien, aucun bruit. Il maudit un instant Peeves, c'était sûrement cet abruti d'esprit frappeur qui s'amusait dans les couloirs.
Sachant d'avance qu'il ne pourrait se rendormir sans une bonne tasse de café noir, il décida de se lever et posa pied à terre. Mais, qu'est-ce que... ? Son pied ne venait pas de rencontrer la surface rugueuse du bois du sol de sa chambre, mais une matière ressemblant étrangement à ... du satin.
Surpris, il plongea sa main dans la pénombre et se saisit de « l'objet » en question. Il attrapa sa baguette magique et murmura un faible Lumos. Il rougit violemment : il tenait entre ses mains une petite culotte brésilienne...
Son regard rencontra le sol où il put en apercevoir une deuxième. Intrigué, il se leva et s'avança dans la pièce. Il rougit encore plus en découvrant une troisième culotte...
Puis une quatrième...
Puis une cinquième...
Suivant la trace des petites culottes plus qu'affriolantes, il se retrouva en boxer dans un couloir froid des cachots. (2) Il frissonna et continua son « enquête ». Tel Sherlock Holmes avec sa loupe, Snape avançait guidé par sa baguette. (3) Les pierres froides sous ses pieds agressaient sa peau. Il jura qu'il coincerait le maudit élève qui avait osé lui faire cette farce.
Bientôt, il arriva au coin d'un couloir et cru rêver : il avait entendu à nouveau ce rire cristallin. Il jubilait, il allait enfin pouvoir utiliser la méthode de Brandt : deux doigts dans les côtes d'une élève effarouchée surprise après le couvre-feu dans les couloirs... (4) Il chuchota un Nox, se tapit à l'angle du couloir et jeta un coup d'oeil ; sa mâchoire faillit se décrocher sous l'émotion : une jeune fille au long cheveux bruns bouclés était là, de dos, en soutien-gorge et culotte brésilienne assortis. Elle riait en éparpillant des petites culottes le long du couloir, semblant jouer au petit Poucet. Son regard se posa sur ses petites fesses rondelettes qui se dandinaient – l'idée de la mettre en retenue avec lui pour l'éternité lui traversa l'esprit – et ne les quitta plus des yeux jusqu'à ce qu'elles disparaissent à l'angle d'un mur. Merlin... Irrésistiblement attiré, il suivit la piste des petites culottes, en ramassant quelques unes au passage. (5)
Il arriva bientôt à une porte entrouverte qu'il n'avait jamais remarquée jusque là – et qui n'était autre que celle de la salle sur demande. Il l'ouvrit, n'y tenant plus, et découvrit sa déesse – ainsi l'avait-il nommée – allongée sur un lit. Son regard remonta de ses jambes, jusqu'à son bassin, puis à sa poitrine et enfin à son visage. Il hoqueta de surprise en reconnaissant Hermione Granger.
« Bonsoir, professeur. » Dit-elle d'une voix suave qu'il ne lui connaissait pas. « Venez, ne soyez pas timide... » Ajouta-elle en dégrafant son soutient gorge.
Merlin, c'est un complot... Pourtant, il avança jusqu'au bord du lit, comme un automate. Elle utilise une potion d'attraction, ce n'est pas possible. Elle s'agenouilla, arrivant à sa hauteur. Un sourire mutin flottait sur son visage de petite fille modèle. Elle s'approcha de son oreille, ses seins touchant son torse.
« J'adore ce que vous portez... »
Elle pencha sa tête en arrière et laissa s'échapper son rire. Cette fille est diaboli... quement irrésistible !
La brunette lui retira sa baguette des mains et la jeta sur le côté, dominatrice. Elle prit sa main et la posa sur son sein, joueuse. Un air de malice brillait dans ses yeux. Miss Je-Sais-Tout passa ses bras autour de son coup et l'embrassa. Tout devint flou... (6)
Le lendemain, Colin Crivey vendu le plus grand nombre de photo de toute sa vie : Snape, groggy, allongé dans un buisson de Poudlard, n'ayant que pour vêtement une petite culotte brésilienne... sur la tête.
Alors : bien, pas bien, stupide ? ^^ N'hésitez pas à donner votre avis, une review, ça fait toujours plaisir :p
(1) ma chère collaboratrice me fait remarquer qu'il y a un double sens là-dessous ; ne serait-elle pas un peu perverse ? Lol.
(2) y'en a trois qui doivent se sentir rapetisser, lol. Perverse un jour, perverse toujours ! Lol.
(3) et Ginny qui en rajoute une couche, pour la bonne cause, évidemment. Lol.
(4) Brandt est un de mes anciens profs de physique. Cette expression, il l'utilise pour définir autrement le fait qu'un gaz « aboie » à la flamme, lol.
(5) pour sa collection personnelle que, Ginny me fait remarquer, même Dumbledore n'a pas le droit de toucher, lol.
(6) ici, j'ai utilisé le même principe que dans ma fic Au Clair du Lune : c'est un rouge à lèvre avec un pouvoir de somnifère. Ici, il a duré plus longtemps, on peut considérer qu'elle a utilisé une drogue dans ce cas-ci.
