Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas, mais toutes leurs fintes vaseuses sont bien de moi '
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Mac Taylor regarda gravement l'ensemble de son équipe, rassemblée dans son bureau. Il les dévisagea un par un, tandis que tous s'efforçaient de fixer la moquette en retenant des fous rires plus ou moins incontrôlés. Stella Bonasera, assise sur un coin de bureau, se cachait la bouche derrière une main, des larmes aux coins des yeux. Lindsay Monroe gloussait silencieusement, assise dans la seule chaise libre en face du bureau de Mac. Sheldon Hawkes, debout dans un coin de la pièce, lui tournait le dos, mais ses épaules qui tressaillaient par vagues le trahissaient totalement. Adam, confus au possible, tentait en vain de capter le regarder de quelqu'un (autre que Mac, qui l'effrayait un peu) pour essayer de comprendre ce qui se passait. Danny Messer et Don Flack se tenaient près de la porte. Flack faisait semblant de s'intéresser à un dossier tandis que Danny se frottait les yeux derrière ses lunettes pour s'empêcher de pleurer de rire.
Adam, toujours planté au milieu du bureau, osa ouvrir la bouche pour demander :
« Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi tout le monde se marre ? » d'un air totalement innocent.
Mac, déjà rouge de colère, devint cramoisi, et si ses yeux avaient pu lancer des missiles, Adam aurait été rayé de la carte pour céder la place à un cratère. Le « boss » s'approcha du jeune scientifique, qui ne put s'empêcher de reculer contre le mur.
Puis Mac se tourna brusquement vers tous les autres et hurla :
« Je veux savoir lequel de vous est le plaisantin qui a failli me faire faire une crise cardiaque ! »
Les ricanements reprirent de plus belle.
« Et ce n'est absolument pas drôle ! Il y aurait pu avoir des blessés, ou pire encore ! »
Exaspéré de les entendre se marrer et de ne pas trouver le coupable, il hurla de plus belle :
« Sortez tous de mon bureau ! Et que je ne vois aucun d'entre vous qui n'ai pas le nez dans leur travail, est-ce que c'est bien clair ? »
Il n'eut pour toute réponse qu'un bref bruissement et un courrant d'air. Ils s'étaient tous empressé de sortir de la pièce et de déserter le couloir le plus vite possible.
Mac respira un grand coup et s'approcha du petit tas de tissus posé sur son bureau. Il prit la marionnette dans une main et lui lança un regard meurtrier, en pensant au plus profond de lui qu'elle était horrible et qu'elle lui rappelait de sombres souvenirs de son enfance. Oui, il trouverait la personne qui avait osé suspendre cette horreur au plafond au dessus de la porte de son bureau afin qu'elle lui tombe dessus quand il y serait rentré. Et le coupable allait en baver !
….
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Alors, ça vous plait :p je continue ? R&R !
