Auteur : Shigure-sensei

Disclam : Si -Man était à moi, Luberier n'existerai pas, Chaoji non plus et Kanda serait déguisé en Geisha. Comme ce n'est pas le cas, tout est à Hoshino sama u_u. Et la chanson c'est Gory Box de Portishead (groupe que je vous recomende chaudemant =))

Titre : Danse avec moi

Pairings : Yuvi/Layu (shonen aï)

Rating : K (même si plus personne n'est choqué par ça de nos jours u_u)

Genre : Romance/Humour

Note de l'auteur : Heu je sais pas ce qui m'a prit Peut être que l'envie de voire les persos de DGM danser a contrôler mes doigts qui sais SBAF Hem. Bon ben je n'ai plus qu'a vous souhaiter une bonne lecture ^^

Ce chapitre a été relut par ma Beta Mako-Take on l'applaudit bien fort


-Non ! C'est bon je laisse tomber !

-Lavi, tu peux pas nous abandonner comme ça !

-Ben la preuve que si, cria-t-il en claquant la porte.

Lavi fit quelques mètres dehors, martelant le sol avec ses Doc Martens. Quelques secondes plus tard, Kanda courut derrière lui et le retint par la manche.

-Tu peux pas nous faire ça, tu ne peux pas ME faire ça !

-Laisse-moi partir ! A cause de vous et de vos stupides projets, je me retrouve à la rue. Et il n'y a pas que moi, Lenalee et Allen aussi sont sans maison. Mais toi bien sûr tu t'en fous, t'as quelqu'un sur qui tu peux compter. Moi la seule famille qui me reste ne veut plus me parler parce que je me suis laissé entraîner par tes histoires. Et dire que je t'ai cru mais qu'en plus je suis... Raah laisse-moi tranquille ! Oublie-moi, Ok ?

-Mais Lavi je t'a...

-Ferme-la !

Il se dégagea d'un coup sec et s'engagea sur le passage pour piétons.

-LAVI JE T'AIME !

Ce dernier se retourna, écarquilla les yeux... et se fit percuter par une voiture.

Quelques mois plus tôt.

Un jeune homme aux cheveux de feu courait dans les couloirs de l'Académie Nationale d'Histoire de Tokyo, l'air totalement perdu et l'attitude de celui qui s'est levé en retard. Il bifurqua brusquement à gauche et se retrouva face à une porte qu'il ouvrit en se calmant. Comme il le pressentait, le cours avancé sur la Renaissance Italienne avait déjà commencé. Il s'installa rapidement, brancha son enregistreur et se mit à prendre des notes distraitement. Lorsque le cours fut fini, le professeur retint la classe cinq secondes de plus.

-Monsieur Lavi Bookman, vous me ferez le plaisir de venir jusqu'à mon bureau quand vous aurez rangé vos livres.

Et merde! Bien que l'envie lui manquât, l'étudiant se dirigea vers le vieil homme qu'était son prof d'histoire. Le regard bienveillant que ce dernier posa sur lui étonna le jeune homme qui mit quelques secondes avant de prendre la parole :

-De quoi vouliez-vous me parler ?

-Lavi, cesse ce jeu lorsqu'il n'y a personne. Ça fait trois fois que tu arrives en retard cette semaine.

-Je sais grand-père, marmonna Lavi en s'asseyant sur le bureau de son aïeul, et je m'excuse, ça ne se reproduira plus.

-C'est aussi ce que tu as dit la dernière fois, fit le vieil homme en reprenant un ton plus dur, tes notes sont en baisse en ce moment, mais qu'est-ce qu'il t'arrive ?

-Rien ! Absolument rien !

-C'est la danse, c'est ça ?

-Non je...

-Ce n'était pas une question mais une affirmation, le coupa son grand-père, Lavi on en a déjà discuté, la danse et toi c'est terminé !

-Oui je sais, tu as promis à mes parents que tu prendrais soin de moi et que tu veillerais à ce que je ne rate pas ma vie.

-Bien, tu peux partir, mais fais attention, si tu arrives encore en retard et si tu ne fais rien pour ton travail scolaire, je serais forcé de te renvoyer.

Ayant fini son sermon, il se dirigea vers la sortie mais se stoppa au dernier moment en entendant la voix de son petit-fils :

-C'était quoi ce regard que vous m'avez lancé quand je suis arrivé au bureau, professeur ?

-Je ne vois pas de quoi tu parles, répondit M. Bookman en sortant définitivement.

Lavi soupira, les rapports entre lui et la seule famille qui lui restait étaient des plus ambigus.

Quelques rues plus loin, deux garçons totalement différents installaient du matériel électronique près d'un espace dégagé du parc. L'un était plutôt grand avec de longs cheveux noirs attachés à la va-vite, tandis que l'autre avait d'étranges cheveux blancs et était maigre et petit.

-Kanda, dit ce dernier en branchant des câbles, tu es conscient que ce n'est pas avec ça qu'on pourra rembourser le crédit de l'entrepôt ?

-Oui je sais, mais c'est déjà ça. On ira à la banque tout à l'heure pour leur demander de repousser la date limite.

-Encore ? Mais ils n'accepteront jamais !

-C'est tout ce que je peux proposer ! Cria Kanda en se levant et en faisant face à son acolyte. Tu peux comprendre que je ne sais plus quoi faire Allen ?

-Excuse-moi, c'est juste que …

-Je sais, dit le brun en s'asseyant à côté d'Allen, moi non plus je ne veux pas aller ailleurs. On va y arriver, fais-moi confiance.

Etrangement, le ton avec lequel Kanda avait dit cette phrase laissait penser qu'il essayait de se convaincre lui-même plutôt que son ami. Il passa sa main dans ses longs cheveux avant de se relever, de soulever une enceinte et de la poser à côté des autres. Cet assemblage formait un demi-cercle autour d'un espace assez important.

-Bon quand Lenalee arrivera, on pourra commencer. Tu as tout branché ?

-Oui tout est ok, répondit Allen en se relevant à son tour.

Il se dirigea vers deux sac jetés près des enceintes et sortit un tee-shirt à longues manches noir. Tandis qu'il se changeait, Kanda s'installa sur le sol et sortit un classeur de son propre sac. Autant attendre le dernier membre du groupe en faisant quelque chose d'intelligent.

-Tu te ronges les ongles, BaKanda !

Ce dernier sursauta en enlevant ses doigts de sa bouche, pestant contre ce TIC qu'il avait depuis qu'il était petit, et ce à chaque fois qu'il se concentrait. Il releva la tête, s'apprêtant à lancer un de ses pics au Moyashi, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Allen n'avait pas encore enfilé son tee-shirt, ainsi son corps était visible par tous. Enfin ce qui était visible, c'étaient les côtes saillantes du jeune homme en dessous de sa peau et ses bras si fins qu'on pouvait en faire le tour avec la main. Depuis quand était-il aussi maigre ? Un bout de tissu se rabattit sur la peau d'Allen, arrachant Kanda à sa contemplation.

-Quoi?

-Depuis quand tu n'as pas mangé quelque chose de convenable, toi ?

-Hein ? S'étonna le plus jeune. De quoi tu parles ?

-Je parle de...

-HE LES GARÇONS !

Les deux intéressés levèrent la tête vers une jeune fille dont les cheveux étaient coupés au carré et noirs avec des reflets violets. Elle se dirigea vers les deux amis, un grand sourire plaqué sur les lèvres.

-Tu as changé de coupe ? Demanda le blandinet, bien content que la conversation ne tourne plus autour de lui.

-Oui j'avais envie de quelque chose de plus léger, répondit la jeune fille, Kanda, pourquoi tu regardes Allen comme ça ?

En effet, il n'avait pas quitté son cadet des yeux. Il détacha pourtant son regard insistant en soupirant :

-Pour rien. Bon ! Vous êtes prêts ? Demanda-t-il en rangeant son classeur et en se relevant.

Sans attendre une réponse, Kanda appuya sur un bouton et se plaça au centre du cercle, aux côtés de ses deux amis.

Lavi avait passé une très mauvaise journée. D'abord le fait que son grand-père le réprimande sur sa passion, ensuite ses cours qui n'en finissaient pas et qui se ressemblaient tous, et enfin ces idiots de dernière année qui inventaient des coups tordus pour faire du bizutage aux petits nouveaux comme lui.

C'était donc extrêmement contrarié qu'il avait entamé le chemin qui le mènerait à son domicile. Voulant se changer les idées, il avait bifurqué à gauche après la troisième rue pour passer par le parc Kokeishi. Ce parc, il y venait déjà quand il était tout petit pour jouer dans le sable lorsque ses parents étaient encore en vie, durant son adolescence pour y emmener ses premières conquêtes mais pendant sa vie de jeune adulte, il n'avait trouvé aucun prétexte pour aller marcher entre les arbres et les massifs de fleurs.

Alors qu'il regardait des petits de cinq ans courir après des papillons, une musique assez rythmée se faufila jusqu'à ses oreilles. Tout en continuant son chemin, il chercha d'où venait cette musique. Il arriva devant la grande place et écarquilla les yeux. Trois personnes étaient en train de danser. Mais pas cette dance de rue on l'on balance les bras et les jambes dans tout les sens. Pas cette mascarade en collants et en tutus que l'on apprend dans des écoles où le parquet est aussi glissant que de la glace.

C'était de la danse, de la vraie. Celle qui montre les sentiments des danseurs, celle qui met leur cœur à nu. Le spectacle était magnifique. Lavi resta longtemps sans rien faire, puis inconsciemment, il commença à taper du pied au rythme des percussions. Ses membres se mettaient à bouger tous seuls et son cœur se mit à battre plus vite, comme à chaque fois qu'il sentait sa passion s'emparer de lui.

Allen regarda la foule qui s'était rassemblée autour d'eux, juste avant de faire une pirouette en prenant appuis sur le dos de Kanda. Il venait de remarquer un rouquin qui tapait la pulsation avec son pied. Hm, pourquoi pas ? Il se rapprocha du fond en même temps que Kanda, laissant la scène à Lenalee pour quelques minutes.

-J'ai repéré quelqu'un dans la foule, un gars aux cheveux rouges, il a le rythme. On pourrait essayer avec lui ?

-Mouais, j'y vais t'en parles à Lena, dit le brun avant de retourner devant les gens pour continuer le spectacle.

-Alors ? Demanda la jeune fille qui s'était rapprochée.

-Le roux au deuxième rang.

Ils retournèrent au centre des enceintes qui crachaient une musique rapide et enchaînèrent des mouvements complexes mais tellement beaux. Quelques minutes plus tard, il n'y avait plus que Kanda et Allen au milieu de la piste. Lenalee discutait avec Lavi. Elle lui proposait tout simplement de venir danser avec eux pour voir ce qu'il valait. Quelque peu réticent au départ, le rouquin accepta finalement de danser un peu avec les trois jeunes. Levant les deux pouces vers ses compagnons, Lenalee emmena Lavi derrière les enceintes pour qu'il puisse poser son sac et choisir sa chanson. Lorsque ce fut fait, les deux autres garçons finirent leurs pirouettes en même temps que la musique sous les applaudissements du public qui remplit le chapeau que tendait le plus jeune de quelques pièces.

Rapidement, Lavi se retrouva seul devant les spectateurs, le cœur battant à tout rompre. Alors que la musique démarrait lentement, il ferma les yeux et prit une grande inspiration. Le moment était venu de montrer de quoi il était capable.

-50, 55, 60 et... 70€ ! Dit Allen en levant la tête.

-Quoi ? Mais c'est pas assez, se lamenta la seule fille du groupe.

-Faut dire qu'on aurait eut moins sans Lavi.

-Hm, dommage qu'il soit parti juste après. D'ailleurs, pourquoi il n'est pas resté discuter un peu plus ? Demanda le blandinet en rangeant les sous dans une pochette bleue.

-Il a dit qu'il avait des « obligations familiales ». Bon les garçons, j'y vais, on se retrouve ce soir à la maison ?

-Tu verras Kanda mais pas moi, Tyki est rentré de voyage, il m'emmène faire une promenade sur la Seine, s'exclama le plus jeune l'œil brillant, donc moi aussi j'y vais.

-Vous m'abandonnez ? Demanda le plus vieux avec un faux ton dramatique.

-A demain Kanda !

Le jeune homme se retrouva seul en compagnie de la pochette qui contenait les 70€ qu'ils avaient gagnés aujourd'hui. Ça n'était pas assez. Pour pouvoir rester vivre dans la maison ils devaient rembourser le crédit de la banque qui s'élevait à 800 000€. Ils avaient déjà récolté 200 000€. Un an de petits boulots, de manifestations dans la rue comme celle qui venait de se passer. Mais ça n'était pas assez. Poussant un soupir à fendre l'âme, Kanda se dirigea vers la camionnette blanche qui servait à transporter les enceintes, grimpa à bord et démarra l'engin qui émit un doux vrombissement avant d'avancer sur le bitume.

Après quelques minutes de route, il arriva devant un entrepôt apparemment abandonné. Pourtant, il n'hésita pas à dégager l'entrée recouverte de planches de bois, et se dirigea vers un vieil ascenseur. Arrivé à l'étage du dessus, on ne pouvait voir qu'une seule grande pièce sans aucune organisation (pour ceux qui ont vu Sexy Dance 3, c'est le même genre, pour ceux qui ne l'ont pas vu : 1. Qu'est-ce que vous attendez ? XD et 2. Imaginez-vous un appartement organisé à l'arrache mais où vous aimeriez absolument vivre).

-Yuu, y'a un message pour toi sur le répondeur, c'est Tiedoll, dit un garçon affalé sur le canapé sans relever la tête du magazine qu'il était en train de lire.

-Daisya, combien de fois je t'ai dit de ne pas m'appeler par mon prénom ? marmonna le brun en mettant l'argent dans une boîte en fer.

-Ça fait 365 fois exactement.

-Merci Road !

-A ton service.

Kanda se dirigea vers le téléphone et appuya sur la touche du répondeur.

« Yuu-kun, mon petit je n'ai plus de nouvelles de toi

et je m'en inquiète.

Rappelle-moi . »

-Tss.

-Tu pourrais le rappeler quand même, c'est ta seule famille, non ?

-Hm, répondit Kanda qui n'aimait pas parler de son passé bien trop douloureux.

La jeune fille soupira. Elle n'aimait vraiment pas quand ses amis étaient dans cet état-là. Et malheureusement, tout le monde était comme ça en ce moment. Sauf Allen qui filait le parfait amour avec son oncle et Lenalee bizarrement, pourtant son frère la collait toujours autant. Elle se souvint soudain de quelque chose d'important qui égaierait sûrement le sourire de son japonais préféré :

-Kanda ! J'ai reçut un petit cadeau de Noël en avance de la part de tonton Millénaire !

-Ah? Combien ?

-50 000, c'est un chance d'avoir « Le Prince » dans ses contacts, non ?

-Oui mais on ne doit pas demander de l'argent, juste en recevoir, s'exclama Daisya.

-Mon oncle a dit qu'il allait parler de nous autour de lui pour voir s'il n'y aurait pas de sponsor intéressé.

Lavi entra dans son appartement sans faire de bruit. Remarquant qu'il n'y avait personne, il se précipita dans sa chambre faisant toujours le moins de bruit possible. Il regarda l'heure sur son réveil : 18h39. Parfait, il était pile a l'heure. Quelques secondes plus tard, il était assis à son bureau, un livre ouvert à n'importe quelle page. 18H40. Son grand-père entra sans prévenir dans sa chambre.

-Lavi ! Je venais m'assurer que tes révisions se passaient bien.

-Ben comme tu vois, je potasse comme ça, dit Lavi en bougeant avec lassitude sa main au-dessus du livre posé devant lui.

-Ah ! Et tu t'en sors avec le programme de l'année dernière ?

-Ah euh je...

-Je ne ferai pas de commentaires.

Il sortit lentement, laissant son petit-fils se rendre compte de son erreur.

Quelques heures plus tard, alors que son grand-père était en train de regarder un documentaire sur l'Egypte ancienne tout en notant les fautes faites par les spécialistes (Ben écoutez chacun sa passion u_u), Lavi décida de sortir en douce par la fenêtre. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça et il avait déjà tout préparé. Il posa le pied par terre et se mit à courir vers le centre ville. Il avait maintenant 2h avant que son grand-père vienne vérifier qu'il était dans son lit en train de dormir comme tout étudiant normalement constitué (Vous trouvez pas que Bookman fait mère poule dans cette phrase ? ). Lorsqu'il arriva près de la grande place, une douce voix se fit entendre. Se laissant porter par la voix cassée de la chanteuse, il se laissa aller vers un coin de la place où une jeune fille chantait. Ses cheveux noirs défiaient les lois de l'apesanteur en se dressant en pic sur sa tête. Lavi lui donnait 15 ans facile et pourtant elle avait la voix de ces chanteuses usées par le temps et la cigarette. Il s'assit en tailleur sur un banc, laissant son esprit voguer avec les paroles de la chanson.

From this time, unchained.

We're all looking at a different picture.

Through this new frame of mind.

A thousand flowers could bloom.

Move over, and give us some room.

Yeah.

-Ah ! Lave... Louve... LAVI !

-Hm ? Oh Lenalee ?

-Ça alors ! C'est dingue de se croiser ici ! S'exclama la jeune fille.

-Si tu le dis, fit le jeune homme avant de se tourner de nouveau vers la scène.

-Elle a une voix exceptionnelle, hein ? Demanda-t-elle en voyant l'intérêt du rouquin.

-Tu la connais ?

-Oui, elle fait partie du groupe « Innocent Sorrow ». On est un groupe d'artistes chanteurs danseurs et on essaye de se faire connaître. Mais c'est avant tout pour partager notre passion qu'on a formé ce groupe. Chacun de nous a son passé et ses blessures mais tout le monde est accepté comme il est. Et on aimerait que tu fasses partie de notre famille.

-Quoi ?

Lavi n'avait rien comprit. En quelques minutes, il avait été présenté à une dizaine de personnes dont Road, la chanteuse à la voix cassée. Et toutes ces personnes attendaient impatiemment la décision du roux. S'il acceptait de les aider, il serait enfin considéré comme un danseur et non comme le fils de Monsieur Bookman. Et il aurait une « famille » au complet. Mais d'un autre côté, il avait juré le matin même à son aïeul qu'il ne penserait plus à la danse.

-Alors ?

-Ecoutez je sais pas trop, dit Lavi embarrassé, mon grand-père veut que je fasse cette fac d'histoire et si mes notes baissent encore je risque de passer un sale quart d'heure.

Les mines déçues des artistes firent descendre définitivement son moral a zéro. Enfin jusqu'à ce que Kanda prenne la parole :

-Mais ce n'est pas ce que les autres veulent qui est important, c'est ce que tu veux toi.

Le rouquin leva ses yeux verts vers ceux bleus profond du brun. Il y lut une grande détermination mais aussi une grande détresse. Sans parler des cernes noirs qui avaient élu domicile au dessus de ses joues. Il sut à ce moment qu'il ne pouvait pas refuser. Kanda aussi l'avait remarqué.

-Bienvenue, fit-il simplement en esquissant un sourire.


Voila vous en pensez quoi ?

Kanda : c'est nul -_-

Lavi : Woeh un Yuvi =D

Kanda : La ferme Baka