Yo People, New story for you in here!
Je vous préviens, que c'est spécial, j'ai jamais posté mes craquages ici... Enfin presque...
C'est une fic Sci-fi, House Cuddy Wilson, ect ect
Avec un monde robotisé régit par les trois loi de la robotique (Merci Sweety ^^)
1 Les robots doivent protéger la vie des humains
2Les robots doivent obéir aux humains, sauf si leurs ordres vont à l'encontre de la 1ère loi
3 Les robots doivent protéger leur existence sauf si cela va à l'encontre des deux premières lois.
J'espère que vous allez apprécier, et s'il vous plait, n'oubliez pas la review ^^
House MD appartient à des gens qui y tiennent beaucoup moins que moi.
Cyber Life
Introduction.
Décembre 3012
House poussa un énième soupir, s'attirant les regards outrés d'autres médecins de l'assistance.
Non sans lui lancer un regard noir, Wilson lui tapa le bras, chuchotant avec force:
- Tu pourrais avoir un peu plus de respect pour le médecin qui t'a permis de garder ta licence.
House arqua un sourcil.
- Le Docteur Cuddy est mort, je suis sûr que ça lui importe peu.
- Pour moi et le reste des gens ici, c'est important siffla Wilson. Et il me semble que vous vous entendiez bien tous les deux!
Le rabbin leur adressa un regard glacial qui réussi même à intimider House, puis continua sa tirade sur combien le Docteur Cuddy avait apporté au Princeton Plainsboro et comment son cœur était grand.
Wilson jeta un regard compatissant à Arlène qui sanglotait dans un coin, consolée tant bien que mal par Blythe.
C'était assez étonnant que ces deux femmes aux caractères si différents s'entendaient aussi bien. Peut-être que le fort caractère de Arlène rappelait à Blythe son propre fils...
Quand le Rabbin eu enfin finit (par une éloge des qualités de parent de Cuddy avec sa fille unique), le temple se vida peu à peu, les gens se dirigeaient désormais vers le cimetière pour rendre leur dernier hommage avant de retourner à leur vie de tous les jours.
- House, où tu vas ? Appela Wilson.
- Bosser, j'ai un patient je te rappelle! S'exclama House, s"éloignant rapidement.
Il enfourcha sa moto, et parti en direction de l'hôpital, essayant d'ignorer sa gorge serrée, et le sentiment de culpabilité qui le bouffait de l'intérieur.
Il n'avait pas résolu le cas à temps. Si il l'avait fait, Cuddy serait toujours là à lui courir après pour le forcer à faire ses consultation.
Sa moto ralentit soudainement et se posa brusquement au sol dans un bruit de ferraille.
- Merde, merde, merde...
House descendit, attrapa sa cane, et se passa une main frustrée dans les cheveux.
Finalement, il explosa.
- Combien de fois il va falloir que je t'emmène chez le garagiste espèce de tas de ferraille volant! Cria-t-il, assénant un grand coup de pied dans l'engin.
Pour toute réponse, la moto tomba sur le coté.
House s'essuya rageusement les yeux, et partit en direction d'un arrêt de bus.
Deux mois plus tard.
- Dr House, Mr Vogler voudrait vous voir! Appela l'infirmière Brenda.
- Qu'est-ce qu'il a, il a encore besoin que je lui torche le cul? Interrogea House avec mauvaise humeur.
Brenda lui adressa un regard compatissant.
Personne n'aimait Vogler, même House avait une côte de popularité plus haute que la sienne.
Le Plainsboro avait perdu en prestige, c'était indéniable, Vogler était un administrateur doublé d'un homme d'affaires, alors que le docteur Cuddy était un excellent médecin connu pour son humanité.
L'hôpital le plus prestigieux du pays avait été changé en boite à fric en moins de 2 mois...
House entra sans frapper comme à son habitude, et se planta devant Vogler, un petit sourire narquois sur les lèvres.
- Que puis-je faire pour son auguste seigneurie? Interrogea House avec une fausse révérence.
- Commencez donc par vous asseoir Docteur House.
- Nan, perte de temps, venez en au fait.
- Très bien. Vous êtes viré. Annonça Vogler de but en blanc.
House fronça les sourcils, n'étant pas sûr d'avoir bien entendu.
- Parce que... J'ai refusé de prendre un siège?
- Non... Ça ça vous regarde, nous avons seulement trouvé mieux que vous pour diriger le services des diagnostiques, il est... Plus efficace, moins coûteux, et surtout, plus obéissant...
Vogler sourit en voyant la réalisation s'installer sur les traits de House.
- Vous... Vous m'avait remplacé par un ROBOT ? S'étrangla-t-il.
- Comme je le disais, un excellent investissement.
- Personne n'est aussi doué que moi, le programmateur de ce robot n'a certainement pas pu le rendre plus efficace! Rétorqua House avec fureur.
- C'est là que vous vous trompez, Gregory, nous avons nourrit ce robot avec tous les dossiers de vos patients, toutes les informations nécessaires du monde médical actuel, et surtout avec le magnifique livre que vous nous avez fait le plaisir d'écrire sur la méthode diagnostique.
- Vous êtes pas sensé me prévenir à l'avance pour ce genre de chose ? Et qui vous a permis d'accéder à mes dossiers?
- Je suis votre ancien patron, Gregory, j'avais parfaitement le droit de le faire...
House fit volte face, le poing crispé sur sa cane.
- Dites moi, Gregory...
House s'arrêta devant la porte.
- D'après vous, est-ce que ce robot aurait pu sauver Cuddy ?
House eu l'impression d'avoir été frappé dans l'estomac.
Il avait travaillé des jours non-stop pour sauver Cuddy, mais avait découvert le diagnostique trop tard. Son équipe et Wilson l'avait regardé se transformer en cadavre ambulant tout au long du cas alors qu'il se privait de repas et de sommeil pour trouver la réponse.
Le robot aurait été plus efficace, il ne serait pas tombé de fatigue, lui.
- Non. Mentit le diagnosticien.
Il partit rassembler ses affaires, sous le regard amusé du doyen.
House sortit du bar, titubant.
Le barman lui avait pris les clés de sa voiture, lui interdisant toute conduite.
Heureusement pour lui, son appartement se trouvait seulement à un pâté de maisons. Il n'avait plus qu'à espérer ne pas se faire mettre en cellule de dégrisement par les flics.
A mi-chemin, son estomac fit un bond, et il se traîna aussi rapidement que sa jambe le permettait vers une poubelle.
Il poussa un soupir essayant de cracher la bile qui restait dans sa bouche. Il n'était jamais tombé aussi bas. Jusqu'ici son talent lui avait permis de ne pas se faire remplacer par ces tas de ferrailles, Cuddy s'était battu corps et âme auprès du conseil d'administration pour que l'hôpital garde "le meilleur médecin de la planète".
Maintenant House ne pouvais plus supprimer le sentiment que c'était ça qui avait coûté la vie à son ancien boss.
Il se redressa, frustré. Il réagissait exactement comme Vogler le voulait. Non seulement il l'avait viré, mais en plus il cherchait à le détruire.
House donna un coup de poing dans la poubelle, cédant une fois de plus à sa colère.
Il commença ensuite à rire de manière hystérique. Même les machines devaient avoir plus d'humanité que Vogler.
Son rire s'arrêta net lorsqu'une vision d'horreur s'imposa à ses yeux.
Un bras nu émergeait d'entre les poubelles.
Il se précipita et écarta les sacs, pour découvrir une femme totalement nue.
Il posa deux doigts là ou devrait se trouver sa carotide, mais se rendit bien vite compte qu'il s'agissait d'un robot.
House fronça les sourcils. Ce robot ressemblait en tout point à un être humain, ce qui était plutôt rare. Les robots humanoïdes n'étaient utilisés que chez la police, les hôpitaux et les agences de prostitution (ce qu'il trouvait aberrant, il préférait largement une vrai femme).
Il recula, hésitant. Visiblement le robot allait être envoyé à la casse, et pourtant il ne semblait pas abîmé...
Ça ne ferait de mal à personne s'il le récupérait. Et au moins il aurait une distraction autre que d'aller se saouler la gueule chaque soir.
Ayant pris sa décision, il souleva le robot (qui était étonnamment léger) et héla un taxi .
