Version corrigée !
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Disclaimer: Tous les personnages reconnaissables appartiennent à JKR. Toutes les situations sont à moi (Note d'Aë : à Ms Figg, pas moi ^^ Je n'ai que la version française, ce qui est quand même déjà super cool). Pas de $$$ n'a été fait avec cette fanfic.
Note d'Aë : Je refuse d'avoir sur cette fic les mêmes commentaires que sur Snape au cirque. Ca n'a rien à voir donc je prendrais ça pour de l'acharnement. Oui, chuis sérieuse. Na. Prenez la peine de lire avant de critiquer ^^
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200e review de Saving Miss Granger by… hp-drago. Clap clap clap ^^ *applaudit*
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Juste une petite fic perverse
Opportunité manquée
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On la força à s'agenouiller, puis le bandeau fut soudainement retiré du visage d'Hermione. La sorcière effrayée leva les yeux vers les yeux d'un noir profond de son ancien professeur, Severus Snape.
« Surprise » ronronna-t-il.
« Professeur » souffla-t-elle, le cœur au bord des lèvres.
Hermione regarda autour d'elle. Ils étaient dans une petite pièce aux murs de pierre, et sans sortie visible. Il y avait un gigantesque lit à baldaquin et à draps noirs, et rien d'autre. Elle releva les yeux vers lui.
« Pas besoin de demander pourquoi vous êtes ici, Miss Granger. Pour mon plaisir et votre satisfaction » dit-il d'une voix de soie. « Je vous ai trouvée en position compromettante avec M. Weasley trois fois pendant votre dernière année à Poudlard. Une fois derrière la sorcière borgne, une autre dans la salle sur demande, la dernière dans les douches du stade de Quidditch. Vous n'êtes donc plus une vierge effarouchée, sorcière.
-Vous n'avez aucun droit de faire cela » murmura Hermione. « C'est du viol, Professeur. Du viol. »
Le Maître des Potions regarda pensivement la jeune femme.
« Miss Granger. Quand je vous ai découverte avec M. Weasley, je n'ai pas immédiatement arrêté vos « activités ». J'ai regardé dans votre esprit pour voir comment il pouvait vous satisfaire. Imaginez ma surprise quand je me suis vu vous prendre. Vous fantasmiez sur moi en couchant avec lui » conclut-il avec un petit sourire satisfait. « Et c'était le cas les trois fois. »
Hermione rougit violemment. Elle était démasquée.
Le sorcier poursuivit.
« Vous n'avez jamais eu le cran de m'approcher pour me dire que vous me vouliez. J'étais… comment dire… intrigué par cette idée. En fait, j'ai attendu pour voir ce que vous feriez. Mais, pour une Gryffondor, vous avez montré une couardise extraordinaire. Puis vous avez été diplômée et m'avait quitté incomblée. Voyez-vous, j'aurais adoré prendre une jeune et brillante sorcière telle que vous. Vous êtes une belle femme, petite et pleine de courbes, à mon goût. Et je sais que vous me désirez… Et comment vous me désirez. Vous voulez être gérée par un homme. M. Weasley n'était pas en mesure de vous donner ce dont vous avez besoin. Je vous ai observée, Miss Granger. Je sais que vous avez rompu avec lui. Vous n'avez pas été avec qui que ce soit depuis des mois. Êtes-vous en chaleur, Miss ? » lui demanda-t-il. « Voulez-vous combler vos attentes ? Voulez-vous que votre bâtard de Maître des Potions vous donne ce dont vous avez besoin ?
-C'est… Du… Viol… » expira Hermione, le ventre tiraillé.
Oui, elle avait vraiment ressenti quelque chose pour lui. Elle voulait être dominée par lui, mais ce n'était pas franchement la bonne manière pour lui d'atteindre son but. Soudainement, le sorcier la saisit par le bras. Un instant plus tard, ils étaient debout dans l'Allée des Embrumes.
Le Maître des Potions relâcha le bras d'Hermione, ses yeux noirs et étincelants baissés vers elle.
« Vous pouvez partir, Miss Granger. Votre opportunité est passée. J'ai agi ainsi en pensant que cela pourrait faire jouer vos fantasmes à mon sujet. Je n'avais aucune intention de vous forcer à quoi que ce soit… Même s'il y aurait eu une certaine forme de force si vous m'aviez accepté. Je pense que cela aurait été bienvenu, sorcière. A présent, nous ne le saurons jamais, n'est-ce pas ? Bonne journée, Miss Granger » conclut-il en disparaissant.
Hermione se tint là, observant fixement l'espace vide qu'il occupait un instant auparavant. Malgré ses protestations, elle avait une douleur terrible entre les cuisses. Elle ne pensait pas qu'il la relâcherait ainsi. Il avait l'air de vouloir la prendre sans sous soucier de ses protestations. Mais le viol valait Azkaban. Elle doutait qu'il veuille aller en prison, peut importe combien il pouvait vouloir coucher avec elle.
Depuis l'Allée, Hermione rejoignit son paillasson. Normalement, elle aurait dû passer par la zone publique de transplanage. Il y avait de lourdes amendes pour les transplanages ne respectant pas cette règle. Mais dans l'Allée des Embrumes, ses amendes étaient rarement infligées.
Hermione s'assit au fond d'un fauteuil et fixa le feu. Elle descendait l'Allée de Traverse quand une main avait surgi pour la tirer vers une niche. Sa bouche avait été couverte, puis elle avait entendu un murmure prononcer un sort de Désillusion. Un bandeau avait été placé sur son visage, et ensuite elle avait sentit le transplanage vers un lieu incertain, puis on l'avait forcée à s'agenouiller.
« Merde » souffla-t-elle. « J'aurais pu en profiter pas mal. Je parie que ça aurait été extraordinaire. Eh bien, j'ai tout foutu en l'air. »
Cette nuit-là, elle eût un rêve particulièrement érotique du Professeur la prenant par derrière, un poing pâle fermement resserré dans ses cheveux, et son autre main la fessant, sa tête était renversée en arrière et son visage crispé sous l'effet du plaisir. Alors qu'elle dormait, elle eut un orgasme et se réveilla.
« Oh Merlin » souffla-t-elle, l'arrière de sa chemise de nuit humide de sa cyprine.
Pourquoi n'avait-elle pas laissé cet homme la prendre ?
Parce qu'elle était idiote, voilà pourquoi. Le Professeur Snape lui aurait donné la meilleure séance de sexe de sa vie… Pas qu'elle ait été avec un autre que Ron, mais tout de même… La simple sensation de ses mains l'aurait probablement faite jouir. Elle le voulait méchamment. L'idée de cet homme baissant ses yeux sur elle, ses yeux noirs et froids, ses lèvres incurvées en une expression lascive et sardonique alors qu'il la prenait, ça suffisait amplement pour qu'elle se sente se liquéfier pour devenir une petite flaque.
Avec ce nez, elle aurait parié que son membre était gigantesque.
« Merde » se maudit à nouveau Hermione, récupérant sa baguette sur sa table de chevet pour récurviter son lit et elle-même. Elle se laissa retomber en arrière et ramena les couvertures sur elle.
« Bon, c'est trop tard maintenant » pensa-t-elle, se retournant pour tenter de dormir. Il lui fallut un certain temps pour réussir.
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Après deux semaines, une Hermione Granger particulièrement épuisée se regarda dans le miroir. Elle avait des poches sous les yeux à cause du manque de sommeil, et devait utiliser des potions énergisantes chaque matin avant d'aller rejoindre son poste au Ministère. Encore un an et le Ministère paierait ses cours universitaires pour qu'elle puisse devenir Maîtresse des Sortilèges. Mais elle avait été plutôt médiocre les deux dernières semaines, faisant des erreurs insensées. Elle avait été appelée dans le bureau de son superviseur deux fois à cause de ses défaillances. Elle lui avait simplement dit être distraite.
« Eh bien, vous feriez mieux de vous concentrer, Hermione. Vous savez que votre poste est très recherché. Vous pouvez être remplacée, et ce sera le cas si vous faites une autre erreur » lui avait-il indiqué.
« Hermione » s'interpella-t-elle intérieurement. « Tu vas devoir surpasser ça… Et il n'y a donc qu'une seule solution. Tu vas devoir aller voir le Professeur Snape et le laisser finir ce qu'il a commencé, ou tu n'auras plus jamais une nuit de sommeil décente. »
Hermione avait l'impression que ça allait être un supplice. Le Professeur Snape n'était pas l'homme le plus doux au monde. Quand il allait voir à quel point elle était excitée, il allait probablement lui en faire baver avant de lui en faire baver encore plus. Il allait probablement lui sortir le coup de « l'opportunité manquée ».
Est-ce qu'elle voulait vraiment traverser ça pour pouvoir arriver à son lit ?
Après les deux dernières semaines ? Putain, oui.
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Severus était resté tard dans son bureau à corriger des copies. Comme toujours, les notes étaient déplorables. Il était environ huit heures et il était fatigué. Il posa sa plume, se pencha en arrière dans son fauteuil pivotant et se frotta les yeux. Assez de torture. Il ne lui restait plus qu'à prendre un verre de Whisky Pur Feu et à se coucher. Il s'apprêtait à se lever lorsqu'on frappa à sa porte. Il se renfrogna. Qui cela pouvait-il bien être, à cette heure tardive ? Si c'était un élève, il ou elle pouvait déjà se préparer à compter les points perdus.
« Entrez » lâcha-t-il sarcastiquement.
La porte s'ouvrit lentement, et Hermione Granger entra, l'air incroyablement mal à l'aise.
Tiens, tiens.
« Miss Granger. Qu'est-ce qui vous amène en mon bureau à cette heure? » lui demanda-t-il, ses yeux noirs glissant sur elle. Il savait ce qui l'amenait.
Il le savait. Ça lui avait pris pas mal de temps.
« Je… Je devais vous voir, Professeur » dit Hermione d'une toute petite voix, s'asseyant sur le siège de bois branlant qu'il laissait aux visiteurs.
Severus arqua un sourcil. Ça allait être assez amusant.
« Quelle peut bien être la raison qui vous pousserait à venir me voir ? Vous n'êtes plus élève ici, Miss Granger » lâcha-t-il, combattant difficilement son envie de sourire lascivement. Il savait qu'elle le voulait uniquement grâce à la manière dont elle ne voulait pas le regarder dans les yeux. Elle était déchirée, et il aimait ça. Il aimait vraiment ça.
« C'est… C'est un souci d'ordre personnel » répondit-elle, tentant de trouver un moyen de lui dire qu'elle voulait coucher avec lui.
Severus se réinstalla dans son siège et croisa les bras sur son torse.
« Un souci d'ordre personnel ? Dites-moi, Miss Granger » ronronna-t-il.
Hermione rougit. Par tous les dieux.
« Eh bien, depuis notre dernière… Euh… Rencontre, je ne suis plus capable de dormir correctement… Et… Et mon travail au Ministère en souffre… Et… » commença-t-elle.
« Vous semblez avoir besoin de voir un apothicaire plutôt que moi, Miss Granger. Qu'est-ce que je pourrais bien faire pour votre manque de sommeil et vos problèmes de travail ? » demanda-t-il, ses yeux noirs étincelant.
Hermione commença à se tordre les mains nerveusement.
« Eh bien, vous êtes la raison pour laquelle je ne peux pas dormir et je suis distraite » dit-elle d'une voix tremblante.
« Et pourquoi cela ? » insista-t-il en penchant la tête.
« Parce que je rêve tout le temps de vous » se confessa-t-elle, se sentant à présent un peu nauséeuse.
« Vous avez des cauchemars à propos de mes mauvais traitements à Poudlard ? » demanda-t-il.
Hermione commença à s'énerver. Elle était sûre qu'il savait quel type de rêve elle faisait. Il ne rendait vraiment pas ça facile.
Severus souriait visiblement, à présent.
« Non. Des rêves de nature… Érotique » dit Hermione en fermant les yeux, son estomac faisant des bons alors qu'elle l'annonçait au Professeur sarcastique.
Severus releva les yeux vers elle. Elle portait des robes bleues et ses boucles s'arrondissaient doucement autour de ses épaules. Elle avait une petite bouche aux lèvres charnues. Il sentit une petite secousse en imaginant ces lèvres serrées autour de lui.
« Donc, que voudriez vous que je fasse pour cela, sorcière ? » demanda-t-il, sa voix prenant un ton sensuel et soyeux qui s'installa directement entre les cuisses d'Hermione.
« Aidez-moi à éliminer ces rêves pour que je puisse dormir et fonctionner normalement à nouveau » répliqua Hermione.
Severus la considéra un instant.
« Ce n'est pas la réponse que j'attends. Je veux que votre réponse soit plus… Honnête » lui lâcha-t-il.
Hermione essaya à nouveau.
« Je veux que vous me donniez une autre opportunité » dit-elle.
Severus secoua la tête.
« Plus direct » dit-il doucement, se sentant une érection surgir.
Hermione le regarda. Dieux, il allait le lui faire dire entièrement.
« Très bien. Très bien » tremblota sa voix. « Je veux que vous me baisiez, Professeur. »
Severus sentit une puissante pulsation devant l'aveu d'Hermione, mais cacha sa réaction.
« Vous et plusieurs autres petites sorcières en chaleur de ma connaissance » répliqua-t-il. « Quoiqu'il en soit, les autres ne m'intéressent pas. Contrairement à vous. »
Hermione sentit un délicieux tremblement alors qu'il exprimait son désir pour elle. Puis il se renfrogna légèrement.
« Mais vous m'avez déjà repoussé une fois. Comment puis-je savoir que vous ne le ferez pas à nouveau, Miss Granger? Par manque de tripes ou je ne sais quoi. »
Hermione le fixa. La réponse lui semblait évidente.
« Vous devriez le savoir, car je suis venue ici vous voir » répliqua-t-elle, son irritation se ressentant à présent dans sa voix. « Parce que je me suis abandonnée à mon désir.
-Vous ne l'avez pas encore fait, sorcière » répondit-il de sa voix soyeuse. « Je pense… Je pense que j'apprécierais d'avoir une petite preuve du fait que vous me voulez réellement. »
Le cœur d'Hermione manqua un battement. Il voulait une preuve ? Quel genre de preuve ?
« Quel genre de preuve ? » demanda-t-elle. Dieux, voulait-il la prendre ici… Ou une fellation ? Elle sentit une légère humidité glisser sur ses cuisses.
Severus gloussa.
« Ne vous inquiétez pas Miss Granger. Je ne souhaite pas que vous fassiez ici quoi que ce soit de sexuel pour moi. Enfin, au moins, pas quelque chose qui requiert que vous me touchiez. Quoi qu'il en soit, je voudrais voir vos seins. Montrez-les moi » conclut-il, ses yeux se rétrécissant quelque peu.
« Mes seins ? » répéta-t-elle doucement.
« Y a-t-il de l'écho dans la pièce ? Montrez-moi vos seins, sorcière, ou sortez. Je n'ai ni le temps ni l'envie de jouer avec vous » gronda-t-il sévèrement. Il était aussi du que la pierre, à présent.
Hermione sentit un peu d'excitation à l'écoute de la demande de cet homme. Merlin, comment pourrait-il bien être derrière des portes closes, quand il l'aurait à sa merci ?
Avec un peu de chance, il ne serait pas trop clément. Elle le voulait exigeant, sarcastique, et un peu… Sadique.
Elle commença doucement à déboutonner ses robes, ses yeux noirs la fixant alors qu'elle ouvrait bouton après bouton. Elle portait en dessous un t-shirt… Et un jean. Elle écarta sa robe. Ses yeux passèrent sur sa poitrine arrondie. Pour une si petite femme, elle avait d'amples courbes.
« Est-ce que je peux juste relever mon t-shirt et mon soutien-gorge ? » lui demanda-t-elle.
Le sorcier acquiesça d'un vague son sorti du fond de sa gorge. Severus était penché en arrière à présent, les mains sur son bureau, la fixant toujours. Son visage affichait un air de luxure et d'attente. Hermione aimait la manière dont il la fixait. Il montrait ses émotions… Quelque chose d'inédit pour elle jusqu'alors. Il ne serait pas totalement froid lorsqu'il la prendrait… Elle en était sûre.
Hermione repoussa son t-shirt et son soutien-gorge, laissant ses seins jaillir à sa vue. Le Maître des Potions prit une profonde inspiration alors qu'il admirait leur ampleur. « Très jolis, Miss Granger » dit-il, la soie de sa voix virant doucement rauque. « Maintenant, caressez-les pour moi. Lentement. »
Extrêmement excite, Hermione fit ce qu'il lui demandait.
« Pressez-les. Fort » gronda-t-il.
Hermione le fit, et il siffla.
« Maintenant… Maintenant pincez vos tétons » dit-il d'une voix basse.
Hermione vit son bras bouger d'avant en arrière, et ne pouvait qu'imaginer ce qui se cachait de l'autre côté du bureau. Elle fit ce qu'il avait dit, ses yeux se fermant et sa tête partant en arrière alors qu'elle imaginait que c'était ses mains à lui qu'elle sentait.
« Ouiiii » souffla-t-il.
Soudainement il arrêta tout mouvement et grimaça. Il ferma les yeux, ses narines s'élargirent alors qu'il s'empêchait de jouir.
« Couvrez-vous, Miss Granger » gronda sa voix rauque. « Immédiatement. »
Désorientée, Hermione fi ce qu'il demandait… Rabaissant son soutien-gorge et replaçant ses seins dans chaque bonnet, puis remettant son t-shirt.
« Êtes-vous rhabillée ? » demanda-t-il, ses yeux toujours fermés.
« Oui » répliqua Hermione, sa propre voix un peu éraillée. Merlin, elle était tellement excitée. S'il l'avait voulu maintenant, Hermione se serait définitivement laissée aller.
Severus ouvrit les yeux et laissa échapper un soupir avant de relever les yeux vers elle.
« Très bien. Laissez moi votre adresse. Je vous prendrai à six heures ce vendredi » conclut-il en prenant une plume et un morceau de parchemin.
Hermione toucha sa main pour les lui prendre et sentit un bouillonnement en réaction. Severus vit qu'elle rougissait. Elle le voulait furieusement. Il était sûr que s'il s'approchait ne serait-ce qu'un peu plus il pourrait sentir son excitation. Mais il ne voulait pas se tourmenter lui-même plus encore que ce qu'il avait déjà subi.
Hermione griffonna son adresse sur le parchemin et le lui tendit. Il le lut puis releva les yeux vers son ancienne élève.
« Je dois vous prévenir, Miss Granger, je ne suis pas Ronald Weasley. Je suis un homme mature avec des besoins puissants et certaines préférences sexuelles. Vous ferez mieux de vous préparer pour une rencontre très intense et approfondie » précisa-t-il.
Hermione était si tentée qu'elle ne pouvait parler. Elle se redressa et quitta son bureau d'un pas mal assuré et sans un mot. Elle était presque sûre que l'arrière de ses robes était trempé.
Severus fixa la porte close pensivement.
Pour son bien, elle devrait mieux être préparée, et bien préparée. Il avait prévu de l'avoir, mais bien.
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Note d'Aë: Cette fic est sortie sous deux formes: un os (très long et censuré), quatre chapitres (plus courts et non censurés). J'ai pris le texte de l'OS pour le sortir avec le même découpage que la fic. Voilà.
Et si vous lisez ce chapitre, c'est que Saving Miss Granger a atteint les 200 reviews ! Allez, un gâteau ! En plus c'est bientôt mon anniversaire ^^
Envoyez-moi des bougies (et j'ai écrit « bijoux » par erreur avant de corriger XD)