Voici ma première fic, j'espère qu'elle va vous plaire!

Disclaimer : Tout les personnages appartiennent à J.K. Rowling.

Rémus écoutait le professeur Slughorn faire une leçon sur le Felix Felicius avec Sirius à ses côtés et prenait des notes, tout en essayant de ne pas se laisser déranger par l'absence de leurs meilleurs amis qui avait était appelé par la professeur Mcgonagall juste après la sonnerie qui annoncé le début du cours de potion. "Tu penses que c'est quelque chose en rapport avec ce qu'il y avait écrit dans la gazette?" lui chuchota discrètement son voisin. Remus posa sa plume et croisa les yeux verts émeraude de la jeune fille assise devant qui écouta la conversation des jeunes hommes. Ils étaient en sixième année à la meilleure école de sorcellerie d'Angleterre avec un mage noir qui prenait de plus en plus de pouvoir chaque jour. "J'espère que ce n'est pas en rapport avec ses parents..." lui répondit anxieusement Rémus qui craignait que les aurors Potter aient eu un rôle majeur dans l'attaque qu'avait été mis en place à Pré-Au-Lard le soir avant. "Y'avait pourtant rien écrit dans le journal ce matin à propos de morts ou de blessés? ca ne doit pas être ca" essayait de se rassurer Sirius.

C'est à ce moment que la lecture de Slughorn fut interrompue par l'entrée d'un garçon aux cheveux noirs de jets. Son visage ne laissé passé aucune émotion lorsqu'il s'excusa de son retard auprès de son professeur. "Entrez, entrez mon garçon, tout va bien je présume". Sans répondre, sous les regards de ses camarades de classe en sixième année, il se glissa silencieusement entre Rémus et Sirius".

A la sonnerie, les deux garçons se tournèrent rapidement vers le nouveau venu. "Elle voulait quoi Minnie?" demanda Sirius.

- C'est mes parents...commença James, ils sont à l'infirmerie, à Poudlard, ils ont été blessés hier.
- Ils vont s'en remettre alors? demanda Rémus qui savait que son amis, chef de la bande, savait remarquablement bien caché ses émotions quand il le voulait, ce qui le rendait difficile à lire.
- Voldemort veut leurs peau, plus qu'avant. Ils ont tués pluiseurs Mangmorts hier. Dumbledore ne comprend pas comment le ministère fait pour cacher les évènements.

Lily, qui avait été entrainé après la classe de potion par sa meilleure amie Marlène dans la salle commune pour déposer leurs affaires avant le déjeuner, réfléchissait à ce qu'elle avait entendu dire par les trois garçons dans la classe assis derrière elle.

- Tu penses que ses parents vont s'en remettre? demanda t-elle à son amie

- J'en suis certaine! Les Potter sont difficile à abattre! Pauvre James! Parlant de lui, Lily, les choses se sont amélioré entre vous cette dernière année il me semble?

- C'est pas parce qu'il a arrêté de me demander de sortir avec lui toutes les secondes qu'on peut dire qu'elle se sont améliorées, Marlène! Râla la rousse. Ce n'était pas la première fois qu'ils abordaient ce sujet. Marlène était convaincu que James, bien qu'il ait mûrit énormément pendant les vacances, ait toujours un faible pour sa copine.

- Je te dis que vous vivez un drame romantique: lui qui est fou de toi mais qui, parce qu'il te respecte, essaye de faire un effort, et toi qui ne veut pas admettre que tu l'aimes autant!

Lily maudit ses gènes de cheveux roux tout en essayant de ne pas rougir. C'était vrai que leur relation s'était bien améliorée et qu'elle pouvait à présent classer James dans sa catégorie d'amis. Ils se parlaient quand ils se croisait, faisait parti de la même bande, mais c'est surtout à partir de quand James a appris que Lily avait un esprit de farce qui pouvait combattre celui des Maraudeurs que les choses se sont passés d'une manière plus naturelle.

Ils descendaient les escaliers et sortit de la salle commune quand Lily, avec Marlène à ses côtés, vit une belle dame, habillée de manière gracieuse d'une cape verte foncée et d'un collier en diamant. Elle avait l'air d'avoir une cinquantaine d'années mais, Lily voyait qu'elle avait vieillit d'une manière flatteuse. Elle avait les cheveux aubruns avec des reflets roux et se disputait en anglais avec la grosse dame avec un accent français.

- Mais je veux juste chercher mon fils, tu peux bien me laisser rentrer quand même!
- Pas de mot de passe, pas d'entrée!

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