Voici ma première fiction sur ce Fandom, la première aussi que j'écris depuis les lustres (j'ai arrêté vers mes 20ans, j'en ai 25 ça craint) donc voilà sans mentir j'ai sûrement plus trop le coup de main. Je vais pas faire un truc super long. Mais j'ai regardé un épisode de Alone et je me suis demandé qui pourrais je bien perdre sur une île ? Bref le reste c'est des divagations débiles. Le rating M se justifie par un langage de pirate, d'abord, puis par des scènes de sexe parce que je vais me lâcher un peu je crois. Bon bah bonne lecture hein )

Cela faisait trois jours. Trois jours qu'il errait sur cette putain d'île déserte. Faire naufrage sur un putain de bout de caillou et bouffer des saloperies de noix de coco en continu. Il hésitait à se coller une balle quand il en voyait une. Il retourna sur la plage, scruta le large et soupira. Il n'avait pas voulu trop s'éloigner mais il allait devoir s'y mettre pour trouver de la bouffe.

Il traînait des pieds. Puis il vit un bout de barque détruite. Sûrement un malheureux prit dans la même tempête que lui. Alors il se décida à chercher une trace de vie, humaine ou animale peu importe, et marcha, marcha, jusqu'à avoir les pieds en sang et chercher une coco désespérément.

Enfin il la vit, prise dans des lianes. Elle avait vraiment l'air morte. Alors il se dit qu'il lui ferait les poches avant de l'enterrer. En s'approchant il vit qu'elle respirait encore. Il fallait la décrocher, coûte que coûte. Il se tenait à 15 centimètres et elle n'avait pas bougé. Il lui toucha une cuisse, doucement. Et elle sursauta. Hurla. Lui donna un coup de pied. Bon OK, elle avait l'air plus sympa à moitié crevée et inconsciente mais il était un homme d'honneur, il n'allait pas la laisser sécher la quand même.

Il attendit qu'elle se calme. Puis il revint. Elle était toujours aussi coincée dans ses branches et ses lianes, lui donnant une envie quasi irrépressible de rire. Elle le fusillait du regard. Elle était belle, et très très dénudée, avec son petit short, son haut déchiré couvrant à peine une poitrine pleine, et ses longs cheveux bleus totalement en désordre. Elle le regardait tout aussi fixement, puis finit par lâcher

« _ Non pas que ça me déplaise d'être accroché comme un jambon en séchage, mais je ne refuserais pas un coup de main pour rejoindre le sol.

_ Est-ce que vous aller être aussi chiante une fois en bas, ou ça ira mieux ? Vais-je le regretter ?

_ Je suis infernale, suspendue ou non… mais je pourrais essayer de me montrer plus agréable si vous m'aidez.

_ Honnêtement, j'ai pas envie de vous entendre hurler, et je sais que ça arrivera quoi qu'il arrive alors…. Posez vos jambes sur mes épaules que je vous hisse et que vous vous dégagier des lianes.

_ Ou alors vous utilisez vos mains histoire que cela soit moins gênant ? »

Shanks ouvrit alors sa cape, dévoilant le haut de son corps. Elle le fixa de longues secondes, les joues rouges, ne pipa mot quand il approcha et mis ses jambes sur ses épaules. Après de longues minutes où Shanks hésitait entre rire et pleurer, le nez collé à la fleur de la jeune fille, elle secoua le haut de son corps avec force et tomba en arrière entraînant son sauveur involontairement.

Elle mis plusieurs secondes à se relever et quand se fut fait, elle leva les bras au ciel et hurla, puis tendit ses même mains à Shanks pour le relever à son tour. Il refusa et se redressa seul, jaugeant enfin sa collègue de naufrage correctement. Une érection des plus imprévue fit son apparition et il décida qu'il était grand temps de marcher et trouver de la coco. Il réalisa plus tard seulement qu'il ne lui demanderait pas son prénom de tout leur séjour sur l'île ne la voyant presque jamais.

Il trouvait tout les matins un poissons frais la ou il dormait, son feu rallumé et une coco manquante. Il ne la voyait pas, ne l'entendait pas, et devait en toute logique la laisser tranquille.

Et puis un matin pas de poisson. Une jolie odeur de viande par contre. Et des cheveux bleus assis devant le feu.

« _ Oi viens manger. Il m'a fallut beaucoup de chance et de pratique pour l'avoir ce piaf…

_ Merci… tu as du feu sur ton camp ? Tu as trouvé le petit ruisseau ? Je ne t'ai pas revu depuis la première fois et…

_ Oui oui, t'en fais pas pour moi va, tout va bien. Je me fais un peu chier du coup, je pêche et je chasse toute la journée. J'ai de l'eau et tu as du feu et tout les matins, je t'en pique un peu et je rallume le mien et je mange chaud.

, _ Mais t'es vachement douée en survie, en tout cas. Sans toi je boufferais encore de la coco et seulement de la coco…

_ T'es un marin, tu sais pêcher quand même non ?

_ Je suis beaucoup moins bon que toi visiblement. »

Elle baissa la tête et mangea silencieusement. Il lui demanda son prénom mais elle ne répondit pas et elle partie avec les restes de son bout de volatile. Pour Shanks, retour à la case départ. Tout les matins il avait du poissons, parfois sur un très bon jour il avait du pigeon géant. Et il cochait sur un arbre les jours qui passait. Bientôt un mois. Il allait devenir fou.

Un matin ni poissons ni viande et un feu beaucoup trop grand. Il vit au loin un bateau. Il marcha sur la plage. Puis son équipage accosta et il put partir à la recherche de sa collègue de naufrage. Elle resta introuvable. Shanks voulu prier, puis la supplia, elle l'avait aidé à survivre pendant un mois. Il ne la laisserai pas ici. Il ne la trouva pas, elle ne répondit jamais. Il reprit la mer, le cœur lourd.

Voilà la fin de cette partie. J'écris sur mon téléphone. Ça va très mal pour écrire, encore plus pour relire, je n'ai donc pas relu et j'espère ne pas avoir fait trop de faute. J'ai essayé.

Je me rends compte que le langage doit être super bizarre. Un peu trop soutenu par rapport au début, un peu trop familier lors du second dialogue, pour cheveux bleus tout du moins mais ça a une explication. Vous verrez tout ça dans la suite. See you next week (Cœur sur vous)