Nyuh ~
Je reviens avec une petite série de micro textes écris par sms (pour Gynny ). Ils sont très court et tous indépendant les uns des autres.
Présence d'homosexualité et d'hétérosexualité. La plupart des personnes ne sont pas nommées, ça vous permet d'imaginer qui vous voulez. Certains en revanche on des personnes définit (mention d'Unsterbliicher, Newtiteuf, ArmTheBitch, Rosgrim, Brioche...).
Il est possible que vous aillez d'autres texte de ce genre par la suite, mais rien n'est moins sur.
Disclaimer : Les personnes nommés appartiennent à elles-même.
- Tu sais très bien que je suis dingue de toi, dit-elle.
- Et tu sais que mon affection profonde pour toi ne va pas jusque là, lui répondit-il, ses yeux bleus un peu triste.
Elle n'avait pas osé s'approcher. Et ce n'était pas plus mal finalement. Un peu plus loin, il avait pris la jeune fille dans ses bras, avec bien plus que de la tendresse.
- J'aime pas les rousses.
- Je sais.
- Tu sais que rien que pour ça je pourrai ne pas te répondre ?
- Je sais. Mais je t'aime quand même.
- Je suis fatiguée. Et j'ai froid.
- Je te prête ma veste si tu veux. Mais pour la fatigue je ne peux rien faire.
- Rien que pour ton odeur je la veux bien.
- J'ai pas envie de rentrer.
- J'ai pas envie de dormir.
- J'ai envie d'un câlin.
- J'ai deux bras et un torse à ta disposition.
- Ton manque de pilosité fait douter de ta virilité.
- Tu remues le couteau dans la plaie.
- Mais t'es quand même le plus beau !
- Elle t'aime.
- Je sais.
- C'est tout ce que ça te fait ?
- Je suis perdu, je ne sais plus où j'en suis.
- J'ai pas envie de passer ma vie à te courir après.
- Tu ne le feras pas, je te le promets.
Les chats sont des êtres vraiment attendrissant. Et d'un regard perçant et de quelques ronronnements, ils sont parfois capable de rapprocher les gens.
Gribouille ne comprenait pas ce que faisait cette robe à l'odeur inconnue par terre. Et il était vexé que son maître ne le laisse pas accéder à la chambre.
Le problème avec l'appartement d'NT, c'est que lorsqu'ils ne contrôlaient pas leurs gémissements, tout le quartier les entendait.
Le problème, c'est que plutôt qu'être assimilé à un crabe, lui aussi voulait trouver sa princesse.
Il était partagé. Il ne savait plus. Les sentiments étaient tellement compliqués. Qui aimait-il déjà ?
Tout n'est pas tout rose. Jamais. Pourtant, la voir en train de cuisiner alors qu'il venait de terminer un tournage, c'était ça, pour lui, le bonheur.
- Je t'aime.
- Je t'adore. Profondément. Mais pas comme toi, NT.
Le problème quand on est plus sur de rien, c'est que plus l'on pense, plus l'on s'enfonce dans les doutes. Et malgré les beaux visages, même lorsqu'il fermait les yeux, tout était flou.
Elle avait sursauté en sentant un bras passer autour de son ventre. Pourtant, en sentant la main descendre sur sa hanche, elle ne doutait plus des beaux yeux bleus qui la fixaient.
- Faut que tu t'habilles.
- J'ai la flemme.
- Mais t'as promis à tes abonnés que le live serait en facecam.
- Merde ! Où est mon boxer ?!
- Griiiiim ! Ta machine à café ne rentre pas dans la voiture.
- Quitte à ce qu'elle prenne ta place, on la prend !
- Enfoiré !
- Je t'aime.
- On va changer de sujet, hein. Vous avez mangé quoi hier les gens ?
Le métro était bondé. Il se colla donc contre son amie, donnant à son acte un côté protecteur. Il n'avouerait pas qu'il profitait beaucoup de la situation.
- C'est pas gênant ?
- De ?
- D'être aussi bien monté ?
- Bah, non. Arm adore !
- Je suis sure que si tu voulais tester l'homosexualité, tu le ferais avec NT.
- Non mais ça va pas ?! Il est beaucoup trop gros !
Gribouille déteste se faire gronder. Mais il adore embêter son maitre. Il retiendra de ne plus le faire quand Unster est sur Skype avec cette jolie jeune fille.
Quand Unster était rentré, chancelant, Gribouille avait tout de suite compris que quelque chose n'allait pas. Et il avait eu l'impression que les pleurs ne tarieraient jamais. Pourtant, aujourd'hui, il aimait beaucoup ce joli bout de femme qui redonnait le sourire à son maître.
-Hey, on couche ensemble ?
- J'ai dit que t'étais bonne, pas que j'avais envie de faire un corps à corps avec toi !
- J'ai envie d'un câlin...
Le bruit de froissement des draps indiqua que l'autre corps s'approchait. Deux bras l'encercla.
- J'aimerai tellement que tu ne me lâches jamais.
- Tu as un rêve ?
- J'en ai plein, comme tout le monde.
- Quel est ton rêve le plus précieux ?
- C'est toi.
Il y a des choses que l'on ose pas, que l'on garde pour soit. Pourtant, en voyant cette main posée près de la sienne, en admirant sa peau, elle se promit qu'elle lui dirait. Un jour.
Elle avait doucement sentit ses yeux piquer. Et silencieusement, il l'avait prise contre lui. Il n'y avait plus rien à faire, il ne partagerait jamais ses sentiments.
Merci d'avoir lu !
