Les Anges existent ils?
Rating : M (sait-on jamais )
Paring : vous verrez, mais yaoi
Type: aventure/romance/fantasy
Chapitre 1.
Les dangers de la glace.
Je m'appelle Yû Kanda, je suis... je ne sais pas vraiment ce que je suis à vrai dire. Je sais juste que je suis un homme de dix-huit ans, cheveux noirs long me tombant jusqu'au creux des reins, yeux bleu nuit, teint légèrement pâle environ un mètre quatre-vint-deux. J'ai été maudit par mon défunt père, un tatouage trône sur mon torse à l'emplacement de mon coeur, c'est la preuve cuisante de cette malédiction. J'habite ... nul part en fait je voyage au gré de mes envies, je parcours les terres sans but précis, ou peut être en ais-je un dans mon subconscient.
Je suis actuellement dans un pays dont j'ai oublié le nom, je peux juste dire qu'il fait vachement froid, la neige immaculé recouvre tout, même les rivières sont gelées. Je suis habillé chaudement une cape lourde en laine noir me recouvre jusqu'aux chevilles des bottes en cuir me monte jusqu'aux genoux.
Cela fait deux jours que je marche, j'arrive finalement dans un village où j'espère trouver l'hospitalité, j'ai vraiment de la chance d'être arrivé je n'ais plus rien à manger et dormir encore une fois dans la neige alors que les yokaïs* rôdent dans les forêts ne me dis pas plus que ça..., heureusement je ne me sépare jamais de Mugen, le katana que m'avais offert ma mère... elle est morte le jour où je fêtais mes huit ans.
Depuis ce jour j'erre dans le monde, je suis sur les routes depuis je suis gosse mais je ne suis jamais allé aussi loin de mon ancien chez moi qui d'ailleurs ne doit être plus qu'une ruine.
Je n'ais jamais vu de yokaï à part des calligraphies sur de vieux parchemins ou dans des bouquins en revanche j'ai pu voir de quoi ils sont capable: Des farces les plus stupides aux massacre de villes et villages entiers, voilà les possibilités de ces monstres.
Après plusieurs minutes de marche j'entre dans une auberge, l'ambiance est joyeuse il ya bien longtemps que je n'ai plus coeur à m'amuser je suis devenu froid, distant ne désirant qu'être seul. Mieux vaut prendre un masque impassible, ne pas montrer ses émotions ou très peu c'est la seule chose que mon père m'ais enseigné d'utile.
L'aubergiste m'accueil avec joie et m'offre un repas chaud composé d'une soupe, de pain et d'un peu de viande. Le tavernier est un homme chauve avec des yeux brun clair, il s'appelle Ernie je crois, avant de manger je me met devant la cheminée afin de réchauffer mes mains gelées, plusieurs bonhommes me regarde et m'invite à se joindre à eux
c'est avec mon habituelle visage indifférent que je décline leur offre poliment.
Se faire des amis, avoir des liens fort avec quelqu'un ne fait que te rendre plus faible c'est ma morale, c'est ce que j'ai appris quand ma mère est morte.
Une fois réchauffé et sorti de mes pensées je me met à table près du feu et seul pour manger mon repas, je demande en même temps à "Ernie" si il a des chambres de libre pour au moins deux nuits, il me répond que oui et me conseil même de rester plus longtemps il paraîtrais qu'un blizzard serait prévu pour demain soir, ce qui rendrait les chemins impraticable pour un moment. Peut être devrais- je partir demain matin pour avancer, il y a une autre route à une vingtaine de kilomètres je pourrais y être pour midi et ainsi j'aurais évité d'attendre que les chemins soient praticable, soit environ une semaine d'attente à ne rien faire.
Je vais repartir demain matin c'est préférable cela m'évitera bien des ennuies.
Mon repas terminé je monte dans ma chambre un lit douillet m'y attend avec un bain chaud dans la pièce adjacente, une fois lavé et séché je dénoue mes cheveux habituelement attaché en queue de cheval haute puis me jette sur "mon" lit avant de m'y endormir aussitôt.
Il est encore tôt quand un bruit extérieur me réveille, comme une pierre jeté sur la fénêtre. Je grogne un peu avant d'essayer de retrouver le sommeil , ce que je n'arrive bien évidement pas, je me décide alors à ouvrir les yeux et à me lever le jour commence à peine à se lever je grogne à nouveau devant cette constatation.
Après m'être lavé coiffé et habillé je prend Mugen et l'accroche à ma ceinture comme d'habitude.
Après avoir expédié mon petit déjeuner et les réprimandes de l'aubergiste je finis par sortir dans le froid glacial, je constate tout de suite de gros nuages gris-blancs et je pars sans plus tarder.
Le blizzard sera bientôt sur les villages alentour alors autant me depêcher.
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Cela fait deux heures que j'ai quitté l'auberge, le vent souffle de plus en plus fort, il m'est difficile d'avancer aussi vite que je le voudrais " le blizzard est prévu pour demain soir" tchhh il aurait pu mieux se renseigner... aubergiste à la con, mes jambes commence à fléchir, c'est comme si la glace me pénétrait de part et d'autres, je ne sais même pas si je serais capable de tenir Mugen si on m'attaquais, je me sens impuissant mais cela ne m'empêche pas de continuer.
Je m'écroule quelques mètres plus loin, trop froid, plus de force..., je... il faut continuer... je tente de me relever pour mieux m'écrouler, le vent glacial me transperce comme des milliers d'épées, quand j'entend une chanson douce et rythmé dans ma langue natal m'encourageant à me relever, elle a l'air d'être au même rythme que le vent...j'essaie d'ouvrir les yeux je vois devant moi une silhouette clair dans l'obscurité grandissante, que se passe-til ? Je n'arrive pas bien à réfléchir, mais... pourquoi fait-il si sombre? ce n'est quand même à cause du blizzard ? Non impossible. Mais alors quoi ? On n'y voit pas à cinq mètres je vois comme des kanji, je me sens oppressé comme si le mal était partout autour de moi merde ! Tout d'un coup une puissante aura de bienveillance vint disperser celle de ce que je suppose être des yokaïs.
J'essaie encore une fois de me relever sans succès quand une voix douce et chantante me dit de ne pas bouger, de me laisser faire, je distingue malgré la neige qui vole à grande vitesse, un visage jeune dégageant une aura d'un blanc pure des yeux gris cendré rempli de gentillesse et de détermination. Je crois que je me sens soulagé voir apaisé, pour la première fois depuis ce jour tragique, je réussi à sourire avant de sombrer.
Où suis-je ? J'ai mal à la tête je sens mes membres sont engourdis par le froid que s'est -il passé ? Le blizzard a cessé on dirait, une brise fraîche me caresse agréablement, les seuls sentiments que je ressens sont ceux liés à la nature, je me sens vraiment bien je n'ais aucune envie d'ouvrir les yeux ... bon allez je voudrais quand même savoir où je suis j'ai l'impression de ne pas être seul, et aussi que quelque chose de doux est sur mes jambes.
J'ouvre doucement les yeux me faisant éblouir par le soleil, première constatation : On est le matin et j'ai le soleil en plein tête. L'éblouissement passé je vois que je suis dans une grotte plutôt petite, les cendres d'un feu sont à quelques mètres de moi visiblement on m'a aidé à me réchauffer. Je remarque une touffe de poils blanches sur mes genoux... y a des yeux gris cendré sur cette boule de poils où je rêve ? Gros blanc ... La boule de poils... sourit ?AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHH .
Je me lève d'un bond Mugen hors de son fourreau, la boule de poils blanche s'avère être un loup, sa patte gauche est d'un rouge pourpre, une cicatrice de la même couleur semble courrir sous son oeil gauche, mais surtout c'est un loup énorme il doit m'aller aux environs du torse je ne sais pas vraiment il est toujours couché.
J'ai vraiment l'impression qu'il n'a pas peur de moi il me semble qu... qu'il me sourit c'est à peine si il à l'air d'avoir remarqué qu'il a un katana pointé sur le bout de son museau noir.
Et le plus stupidement du monde je lui demande son nom d'un air agacé. Et le plus stupidement du monde il me répond ou plutôt aboie : Allen !
Je crois bien que je me suis à nouveau évanoui sous le coup.
Environ une heure après je me réveille, mais cette fois pas de trace de loup de plus d'un mètre trente cinq de hauteur avec une cicatrice et une patte pourpre.
Je me dit que j'ai rêvé et je prend mon sac, ... pourquoi j'ai sorti Mugen moi ? Je remet donc mon katana dans son fourreau avant de repartir dans la neige vers le prochain village.
A suivre (si vous le voulez bien)
playlist
morai naki (une chanson magnifique)j'ai écrit cette fic sur un coup de tête, tout m'est venu au fur j'espère sincèrement que cela va vous plaire !
