Bonjour bonjour ! C'est la première fois que je post sur fanfiction alors excusez mon inexpérience au niveau de la présentation...

Alors, que je vous explique le concept de cette «fic», voilà quelques jour que je doit réviser mon bac (oui ma vie est très intéressante...) et j'ai eu une idée saugrenue pour me motiver à réviser (surtout l'histoire d'ailleurs...), je me suis dis « Tiens mais pourquoi ne pas écrire des fics sur Hetalia sur mes exemples de cours ? ».

Voilà, donc vous trouverez ici un recueil de ficlet sur des événements historique, en espérant que ce ne sera pas trop ennuyeux pour vous ! La plupart seront d'ailleurs sûrement de l'Angst, mais j'éspère quand même faire un peu d'humour dans ce monde de brute ~


Allemagne, année zéro.

Rien. Voilà tout ce qu'il restait de Berlin. Ludwig était à genoux face à ce qui avait été le Reichstag, encore debout mais surplombé d'un drapeau rouge. Rouge comme le sang de ceux qu'il avait fait couler, mais surtout rouge comme la couleur de ceux qui venait de le faire capituler. Autour de lui, des décombres, des soldats soviétiques, des femmes tentant tant bien que mal de ramasser les pierres sous les ordres de ceux de l'Est, son frère gisant au sol presque mort. Et Ivan l'obligeait à regarder tout cela, plutôt que de l'achever maintenant, il devait attendre, de se faire déchirer et partager par les vainqueurs. Il s'était résigné, il s'était rendue à l'évidence, toute la gloire passé qu'il avait pu avoir, les rêves de grandeurs et d'empire puissant qu'on lui avait mis dans la tête, tout ça c'était envolé. Envolé sous les bombes qui avaient ravagé les villes allemandes, ravagé par les actions d'Ivan, qui se délectait de sa souffrance. Tout ce que Ludwig voyait à présent, c'était ce que cette guerre qu'il avait lui-même enclenché, sous un coup de folie certes mais qui était de faute, avait anéantit plusieurs peuples, voir même avait anéantit le monde. Il se pris la tête dans les mains, des mains tachées de sang et s'empêcha de pleurer, il venait de perdre, mais il avait encore sa dignité et il ne ferait jamais le plaisir à la Russie de le voir en pleure. Alors que ses yeux étaient fermés et enfouis dans ses mains, une image lui vint, celle de Feliciano. Il n'était pas dans le même état que lui, grâce à son frère il avait pu éviter d'être entraîné en enfer à cause de Ludwig. Et dans un sens, cela rassurait l'allemand, c'était lui qui avait tout déclenché il devait en subir seul les conséquences.

La nation allemande, si grande autrefois, était à genoux, dominée par la Russie de plus en plus mégalomaniaque, en pleine repentance de ses actes, sachant que jamais il ne pourrait se pardonner ce qu'il avait fait et que jamais les autres ne lui pardonnerait . Cependant, en voyant le désastre et le chaos autour de lui, il se promis une chose et bien avant que les alliés ne se le dise ; plus jamais ça. Plus jamais autant de souffrance et de cruauté, c'est ce qu'il se jura au cœur de Berlin, ce jour là, le 8 mai 1945.