Je m'appelle isabella Swan, Bella pour les intimes, j'ai 20 ans et je travaille en tant que photographe. Ma carrière avait comencé il y a pas très longtemps donc j'étais souvent obligé de me déplacer d'un bout à l'autre du pays. Une séance foto par ci, un autre shooting par là etc... J'étais dans ma voiture, en train de rouler en direction de ma prochaine étape, Brest en l'occurence. Je devais rouler de nuit si je voulais arriver à temps mais j'avais eut la bonne idée de prendre l'autoroute car il n'y a jamais grand monde de nuit. Mon rythme était rapide, c'était la seule distraction que je m'étais faite depuis longtemps. Je bossais tellement que je me demandais s'il était possible que je puisse vivre une vie à côté. Bien sûr je rafolle de mon job mais quand même. Et je ne parle même pas de ma vie sentimentale, ça fait tellement longtemps que j'ai pas eu de rencart avec un garçon que je me demande si ma virginité reprend le contrôle sur mon corps.

Je commençais à être fatiguée de conduire, non pas phisiquement mais mentalement. Toujours la même route sombre où il ne se passe rien, j'avais l'impression que c'était ma vie. Enfin pas tout à fait car subittemment j'aperçut au loin un péage. Il n'y avait qu'une seule flèche verte et beaucoup de froix rouge, cela signifiait qu'un seul guicher était ouvert et que tous les autres étaient fermés. En regardant l'heure je ne fus pas surprise car il était 2h26 du matin. J'engagea ma voiture à l'endroit prévu et m'arreta. je fus inquiéte de constater que la borne otomatique était en panne mais je fus soulagé de voir qu'il y avait quelqu'un au guicher. C'était tellement rare de nos jours. Je baissai ma vitre et là ce fut le choc. L'homme au guicher me laissa sans voix tellement il était d'une beauté à toute épreuve. Sa peau légèrement pâle contrastait sublimement avec ses cheveux cuivrés. J'avais l'impression d'avoir en fâce de moi un véritable adonis, appollon en personne ! Mon corps réagit en conséquence. J'avais l'impression que le monde extérieur n'existait plus, seul ce dieu subsistait dans ma vision. Mon ventre s'était noué pas comme quand on est stressé mais comme quand on est ébahie. J'entendais même sa respiration, qui semblait envoyait des décharges de sensations électriques dans chacune de mes cellules à chaque expiration.

- Votre ticket madame.

Même sa voix était comme une mélodie envoutante. J'étais sous le charme. Je n'arrivais pas à revenir dans le monde réel, je ne le voulais de toute façon.

- Madame ?

Le ton un peu pressant qu'il employa me fit comprendre deux choses. Déjà il semblait capable d'etre fort, ça se sentait à sa voix à la fois autoritaire et sensuelle, tout pour me plaire. Mais cela me fit quand meme refaire surface.

- Heu, oui... Pardon je ... le voila...

Lorsque je tendis mon ticket vers lui il se pencha légèrement pour le prendre et je vis que son regard s'attarda sur mon décolleté. Après tout il était un peu en hauteur, ce qui lui donnait une vision parfaite sur ma poitrine. Cela me plaisait beaucoup. D'ordinaire j'étais assez reservé mais là je ne l'étais plus. Comment refuser cela à lui. Les formalités réglées il a fallu se résigner à partir. j'étais tellement béate que je rata complétement mon démarage, faisant vrombir inutilement mon moteur avant de relacher en même temps mon accélérateur et mon embrayage. Bien entendue la voiture cala. Immédiatement mon appollon sortit de sa cabine et vint à mon secours.

- Mademoiselle, dit-il inquiét. Vous allez bien ? Mais ! Vous avez une bosse à la tête.

J'avais percuté le volant sous le choc, me laissant une lègere bosse sans douleur. Je fis semblant d'avoir mal, voulant profiter de chaque instant.

- Oui j'ai très mal. Pouvez-vous faire quelque chose ?

Aussitôt il s'executa. Il se mit à me masser le front, délicatement. C'était tellement bon. Et encore ce n'était que le front. je me demandais quelles sensations magnifiques il pouvait me donner ailleurs.

- J'ai mal aussi ici. Vous pouvez regarder ?

Je pris sa main et la plaça sur ma cuisse. Il ne semblait pas avoir compris mon petit manège, trop inquiét pour moi. Quel homme merveilleux ! Il commença à me masser la cuisse et je fus pris comme d'un raz de marée de plaisir que j'eus du mal à cacher, je voulais que ça continue. C'était comme si le plaisir partait de là où il massait pour se diriger vers mon sexe, qui devenait telle une forêt tropicale, si chaude et si humide. Je n'en pouvais plus, il m'en fallait plus.

- Je crois que c'est ici que vous devriez vous occuper sans plus attendre.

A ces mots je plaça sa main sur ma culotte. Il me lança un sourire intense, comprenant ce que j'attendais de lui. Sans attendre il écarta ma culotte, laissant mon sexe visible à ses yeux car il avait légérement baissé mon pantalon. Ses doigts entrèrent en jeu aussitôt, caressant divinement et me pénétrant légérement à quelques occasions, laissant le plaisir montait en moi. Mais très vite cela ne nous contentait plus. Il me sortit de la voiture, m'installa sur le capot et enleva mon pantalon en quelques mouvements savants. J'étais telle une soupape prête à exploser, je ne pouvais pas attendre une seconde de plus.

- Arrache là !

Il obéit, arrachant ma culotte qu'il envoya au loin, réduite en lambeaux par sa force incroyable. Je pris sa tête dans mes mains et plaça sa bouche sur mon sexe qui n'attendait que lui. Sans plus attendre ses coups de langue commencèrent à me faire hurler de plaisir, je ne me préoccupais même pas qu'on puisse m'entendre ou pas. Il me léchait, me mordillait, m'embrassait de façon si experte qu'il était impossible qu'il n'existe pas un dieu du sexe qui ait donné ses pouvoirs à ce guichetier. Il continua quelques minutes encore puis se releva, me plaça à genoux devant lui et là je compris exactement ce qu'il voulait.

- A toi maintenant, me dit-il.

Moi aussi j'en avais très envie. Je défis sa braguette baissa à la fois pantalon et caleçon, laissant apparaitre un sexe magnifique. Il était là, juste devant mon visage, tendu dans ma direction, rien que pour moi. Je le saisis de ma main droite. Il était dur, très dur, laissant transparaitre le désir que ressentait cet appolon pour moi. Je le prit en bouche, effectuant la plus exeptionnelle des fellations qu'il m'était possible de faire. Ma langue parcourut toute la surface de son sexe, et croyez-moi il y avait du travail. J'adorais ça et il le ressentait bien, comme je sentais qu'il adorait ce que je lui faisait. De ma main gauche je lui carressais les testicules afin d'augmentait son plaisir. Ma langue travaillait activement. je léchais son gland, sa verge, tout. Puis soudain il me fit lever, enleva ce qui resta de mes vêtements, me laissant totalement nue devant lui. Il prit dans sa poche un preservatif qu'il s'empressa de mettre sur son sexe énorme. Je m'assis sur le capot de ma voiture et écarta les jambes, prête à l'accueillir. Il plaça son sexe devant mon vagin, s'y inséra lentement jusqu'à ce que son sexe disparaisse à l'intérieur. Puis il commençat. Le summum du plaisir était atteind pour ma part, l'orgasme se prolongea plus longtemps que je ne l'aurais cru possible et ça c'était grâce aux coup de reins experts de mon étalon. Tout en me pénétrant je vis qu'il avait une carte accroché à son tee-shirt. Il y avait écrit son nom : Edward Cullen.

- Vas-y Edward ! Crie mon nom ! Bella !

- Bella! hurla t-il. Je te veux !

La penetration continua longtemps, à mon plus grand bonheur. Edward ne montrait aucun signe de faiblesse. Soudain j'entendis quelqu'un approchait. Mais j'étais trop exitée pour vouloir m'arreter pour autant. L'homme était aussi beau qu'Edward et portait les mêmes vetements, surement un collegue.

- Salut Jacob, dit Edward sans s'arreter de me penetrer.

- Je vois que tu passes du bon temps. Je m'inquiétais de voir la même voiture sur la camera de sécurité. je pensais qu'il y avait un problème.

- T'inquiéte pas. Tout est sous contrôle. Par contre cette fille est inépuisable, elle en redemande. Tu peux me filer un coup de main ?

- Tes désirs sont des ordres, dit Jacob.

Jacob se déshabilla entièrement, montrant fièrement un sexe aussi magnifique que celui d'Edward. Il s'approcha de moi, voulant une fellation. Je n'étais pas vexée de ne pas avoir été consulté, j'en voulais toujours plus et deux dieux pour moi toute seule était un rêve. Je le pris en bouche pendant qu'Edward était toujours occupé à me pénétrer. Les positions et les orgasmes se succédèrent, j'en perdais le compte mais quand on même on ne compte pas. Le summum arriva lorsque je fus sur Edward en pleine pénétration et où jajob vint se plaçait au dessus de moi, voulant me pénétrer par une voie jusque là non utilisée. Je m'ouvris à lui, les laissant me donner des coups de reins à deux en même temps. C'était sensationnel, exeptionnel. le plaisir fut tel que je crus avoir plusieurs orgasmes en même temps. Ce fut le cas aussi pour me s deux étalons, ne pouvant arriver à se retenir plus longtemps.

Quelques minutes nous furent nécéssaires pour nous remettre de nos émotions. Je vis qu'il était 6h45. Le jour allait se lever. Notre partie de jambes en l'air avait duré exeptionnellement longtemps, ce qui ne me surprenait pas tellement le plaisir avait été intense et long. Depuis ce jour je repense toujours à cette nuit à chaque fois que je passe par un péage, et j'espère bien revoir un jour, ou une nuit, mes deux étalons favoris.