Hello tout le monde ! Je reviens avec une traduction de l'histoire de YaDiva 'I'll Never Let You Go' autorisée par l'auteure bien sur ! Pour ceux qui lisent Sympathy For The Devil le prochain chapitre est en cours d'écriture et si vous avez des idées je suis toute ouïe !
Cette histoire parle de BDSM avec du maître-esclave, il y aura du fluff mais aussi du dark donc je vous conseille de lire ceci attentivement !
C'est en M car il y a du sexe, non-consensual sex, smut, language, et des thèmes bdsm assez forts et des jouets vous avertie l'auteur.
Warning : Il y aura du semi consensual Seblaine. L'amour de Klaine est toujours rappelé et est toujours le centre de l'histoire, mais il y aura du smut Seblaine.
Voilà pour les warnings de l'auteur.
Je voulais juste expliquer une chose : il y aura une grosse partie qui parle de clamation etpour ceux qui ne savent pas ce que c'est et bien dans cette histoire c'est tout comme le mariage mais pas vraiment, c'est un lien très fort qui unit le dominant/maitre et l'esclave/ soumis. Le dominant jure de protéger son soumis et le soumis promet de s'occuper du dominant aussi bien que ce dernier le fait et de lui obéir et s'il ne l'obéit pas alors il se fera punnir etc. C'est une chose très forte et très contrôlée par le Mynistère des maitres comme l'explique l'histoire. En tout cas j'espère que l'histoire vous dira d'elle-même ce qu'est la clamation et j'espère que vous aimerez.
Sur ce, bonne lecture
~5445 mots
Chapitre 1
Blaine ouvrit les yeux au même moment que le cadenas de sa cage cliqua et la porte s'ouvrit doucement. Il roula sur le dos et écarta les jambes et les bras. Dormir dans sa cage n'était jamais vraiment une punition. Les goûts de Kurt étaient trop chers et haut de gamme pour ça.
La cage était faite d'argent fin et le matelas était plus confortable que celui de la plupart des lits. La vraie punition était d'être séparé de Kurt. Blaine détestait dormir loin de la chaleur du corps de son maître et de son souffle apaisant. Il était content que sa punition ne dure qu'une seule nuit.
Il sera définitivement plus attentif quand à danser dans la maison.
Il sortit en rampant et marcha vers la salle de bains. Le matin, il avait vingt minutes avant qu'il ne doive prendre place à genoux à coté du lit de Kurt.
Il garda un œil sur l'horloge quand il utilisa la toilette, quand il se doucha et se brossa les dents et accomplit son emploi du temps de la journée.
Il aimait l'expression reposée et apaisée de Kurt. C'était l'un des rares moments où il avait l'air complètement relaxé et merveilleusement serein. Surtout ces jours-ci.
A sept heures, la sonnerie du réveil sonna bruyamment. Kurt grogna et chercha aveuglement le bouton 'off'. Il roula et tendit la main, ses mains cherchaient le corps de Blaine pour le tirer à lui. Ne sentant personne, il ouvrit les yeux. Ça lui prit un moment pour se remémorer que l'on était vendredi et non samedi, donc Blaine serait à genoux et en plus il l'avait fait dormir dans sa cage la nuit dernière. Qui punissait qui ? Il se retourna et sourit à la forme de Blaine à genoux sur le sol, ses mains croisées devant lui, les yeux baissés tandis qu'il attendait d'être salué.
« Bonjour, Blaine »
« Bonjour monsieur » Les yeux de Blaine rencontrèrent ceux de Kurt, un sourire timide se propagea sur son visage.
Kurt tendit la main et emmêla ses doigts dans les boucles humides de Blaine. Ce dernier ferma les yeux et soupira de contentement. Il ne bougea pas quand Kurt se leva, s'étira et marcha en direction de la salle de bain. Il revient un moment plus tard.
Blaine se lécha les lèvres d'anticipation. Kurt lui sourit et prit son épaisse queue dans la main et la pressa aux lèvres d bouclé.
Blaine gémit tandis qu'il ouvra la bouche pour l'accepter et sucer.
La fellation du matin de Kurt.
Kurt ferma les yeux et jeta la tête en arrière tandis qu'il agrippait les cheveux de Blaine. Sa bouche chaude le suçait parfaitement. En bas, en haut cinq fois, trois tourbillons de langue, il enleva légèrement, taquina la tête et répéta.
Kurt tira sur les cheveux de Blaine plus fortement quand il se sentait être trop près. Le brun reconnut les signes et se prépara. Il connaissait chaque signe, chaque indice, chaque réaction de son maître. Il connaissait le corps de Kurt mieux que Kurt lui-même, et mieux que son propre corps. Kurt vient avec un long et traînant grognement. Blaine avala et resta, gardant la douce et sensible queue dans sa bouche. Il ne pourrait jamais rêver de la relâcher par lui-même.
Kurt se retira et tomba sur le lit, les yeux fermés, le souffle légèrement rapide, mais doux. Quel magnifique façon de commencer la journée. Il s'allongea là pendant quelques minutes avant de parler.
« Toast, fruit et yaourt. Tu vas m'attendre »
« Oui monsieur » Blaine se leva du sol . Kurt se leva par les coudes et regarda de haut en bas le corps nu de Blaine. Il était sur que le bouclé avait été dur durant la fellation mais plus maintenant. Il connaissait les règles.
« Mets un boxer »
« Oui monsieur » Blaine marcha vers la cuisine.
Kurt se doucha et se mit face à l'armoire, essayant de se souvenir de quelle scène ils allaient répéter. Ils ne faisaient pas encore de répétition en costume mais Kurt aimait imaginer ce que son personnage, Jonathan Jollaway, porterait. A la fin, il se décida pour une chemise blanche, une veste grise et un jean noir. Simplicité était la meilleure option ça allait sûrement être une longue journée. Il prit les vêtements de Blaine et les mit sur le lit.
Il arriva dans la cuisine pour trouver Blaine assis, écrivant dans son carnet. C'était la seule chose que Blaine était autorisé à faire dès qu'il le voulait, Kurt comprenait qu'une parole de chanson pouvait apparaître dans son esprit et puis disparaître en un instant. Il voulait que Blaine capture toujours ses pensées.
Blaine s'arrêta d'écrire quand Kurt entra.
« Termine ta pensée Blaine »
Blaine sourit et retourna écrire. Kurt versa du café, le prépara au goût de chacun et s'assit à la table. Il prit une bouchée de toast et regarda Blaine continuer à écrire, les yeux chiffonnés, son front froncé dans une concentration profonde. Kurt ne put s'empêcher de sourire et de se sentir reconnaissant que Blaine lui appartienne. Il détestait penser que Blaine appartienne à quelqu'un qui refuse d'encourager ses écrits.
Les paroles capturées, Blaine ferma le livre et commença à manger.
« Quelle scène répétez-vous aujourd'hui ? »
Kurt grogna. « L'argument. Brad a l'air de penser qu'argumenter veut dire crier, ne pas utiliser les intonations vocales, ou je ne sais pas... Jouer pour faire passer le message »
Blaine rit. Kurt secoua la tête.
« Tu penses que je plaisante mais je suis sérieux. Cet homme ne sait pas jouer. Je ne comprendrais jamais pourquoi Kevin l'a engagé. Si je ne croyais pas si fortement en ce spectacle je serais déjà parti »
Blaine sourit, Kurt ne pourrait jamais quitter ce show. Il a travaillé trop dur pour arriver là. C'était son deuxième show à Broadway et il était destiné à mettre Kurt dans la course pour une nomination au Tony.
« Vas tu être au studio toute la journée ? »
Blaine acquiesça. « J'ai besoin de terminer cette chanson pour Rachel »
« Okay je te récupère à quatre heures car Chandler et Seth viennent ce soir »
Blaine sourit « Est-ce que Seth ramène sa guitare ? »
« Je vais demander à Chandler s'il peut »
« Génial ! »
Kurt rit à l'enthousiasme exubérance de gamin de Blaine. Il était vraiment un gamin quelques fois.
« Vas t'habiller »
« Oui monsieur »
Kurt débarrassa la table et vérifia son sac pour être sur qu'il ait tous les changements de scripts qu'il a annoté la nuit dernière.
Il entra dans la salle de bain où Blaine l'attendait, habillé mais son boxer et son jean étaient baissés et pendaient autour de ses chevilles. Kurt s'avança vers l'armoire et prit une, customisée et faite main, et d'argent, cage de chasteté. Il plaça précautionneusement la queue de Blaine à l'intérieur et verrouilla le petit cadenas. Il plaça la clef sur la commode. Il avait une seconde clef sur son porte clefs. Blaine remonta son jean et son boxer.
Kurt heurta son entre jambe amoureusement. Blaine ferma les yeux et fit disparaître l'érection qu'il ne pouvait de toute façon pas avoir.
« prêt ? »
« Oui monsieur »
« As tu assez d'argent pour le dîner ? »
Blaine acquiesça.
« Okay allons y »
Il sortirent juste quand Troy s'arrenta dans sa voiture Lincoln Town. L'arrêt de Blaine venait en premier. Quand il s'arrêtèrent devant le building, Kurt leva le bras et courut ses doigts doucement sur le beau collier qu'il a dessiné pour Blaine.
« J'espère que tu auras une journée créative et productive. »
« Essayez de ne pas être trop dur avec Brad. Ce n'est pas de sa faute s'il n'est pas aussi talentueux que vous »
Kurt sourit. « Et pour cet adorable commentaire tu auras peut être de la pizza ce soir Je te laisserai même commander ainsi que Seth » Le sourire de gosse de Blaine revint.
« Merci monsieur »
Kurt s'avança et l'embrassa. « Passe une bonne journée. »
il regarda Blaine entrer dans le bâtiment quand la voiture s'en alla, il se sentit reconnaissant pour la seconde fois ce matin que Blaine lui appartienne.
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Kurt Hummel posa ses yeux pour la première fois sur Blaine Anderson durant une visite à la Dalton Academy. Tandis qu'être gay n'était pas une insulte, c'était plutôt au sein même de la société, il y en avait toujours qui continuer à insulter avec ça. Malheureusement pour Kurt ils semblaient tous être à McKingley.
Il était malade de l'intimidation et du harcèlement dont il devait faire l'expérience tous les jours. Il voulait passer ses deux dernières années d'école en paix. Quand lui et son père visitaient l'école, la cloche sonna pour le changement de classe et ils se retrouvèrent emportés dans le hall d'entrée pour une performance impromptue des Warblers.
Le directeur des admissions avait l'air notablement nerveux à propos des parents potentiels de voir cette légèrement bruyante exposition, mais Burt était amusé et Kurt fasciné et choqué que le Glee Club était, en fait, populaire dans une école de garçons. Tandis qu'il regardait la performance il ne pouvait pas enlever ses yeux du chanteur principal absolument magnifique.
Kurt sentit quelque chose bouger au plus profond de lui, mais il l'écrasa rapidement. Ce garçon était le chanteur principal ce qui voulait dire qu'il était certainement un maître.
Les maîtres n'étaient pas autorisés à clamer un autre maître.
En plus Kurt n'avait aucune idée si ce garçon était gay ou non.
A la fin de la performance, quand le garçon rigolait et félicitait ses Warblers sur le bon boulot qu'ils venaient de faire, Kurt fut surpris de voir un aperçu de l'épaisse, tâche d'encre noire autour de son poignet gauche.
Ce garçon était un esclave.
Burt le remarqua aussi et regarda en direction du directeur des admissions avec surprise.
« Dalton est fière d'elle-même d'autoriser les esclaves à participer et diriger certaines activités ? Pour la plupart des étudiants esclaves, ce sera leur dernière et seule chance de faire ce genre de choses »
Burt hocha de la tête son accord et son approbation. C'était vrai. Tandis que certains esclaves étaient clamés par des maîtres qui les encourageaient à suivre une carrière, beaucoup non. La plupart des esclaves étaient heureux de rester à la maison sous la protection et la servitude de leur maître.
A son premier jour à Dalton, Kurt rencontra Wes, le chef du conseil de Warblers. Une fois qu'il eut fini de discuter, Kurt auditionna pour les Warblers, il demanda des informations sur le leader Blaine Anderson. Était il gay ? Est ce qu'il voyait quelqu'un ?
Wes était hésitant, en tant que bon maître et bon ami, il était protecteur envers Blaine . Extrêmement protecteur. La soumission de Blaine était extrêmement plus forte et plus profonde que la plupart des esclaves due à sa nature inhérente et due aux années de négligence émotionnelle et d'abus de sa mère maître. Tandis que la plupart des esclaves avaient seulement peur de déplaire à leur maître, Blaine vivait dans la peur de déplaire à n'importe quel maître. Il luttait pour résister à se soumettre à chaque maître qui lui donnait un ordre, faisant de lui une cible facile pour tous ceux avec de mauvaises tendances.
Merci à la politique anti-intimidation de Dalton car il était relativement sauf à Dalton, mais Wes s'inquiétait de tous ceux qui pourraient éventuellement avoir de l'intérêt à clamer Blaine. La seule chose que les esclaves voulaient plus que tout au monde était d'être clamé. D'être clamé et dominer par un maître était le plus grand désir des esclaves mais la combine était d'être clamé par le bon maître. Les parents des esclaves essayaient de ménager la procédure mais ce n'était pas facile. Dans le meilleur des scénarios, un esclave et un maître vont se rencontrer, sortir ensemble, tomber amoureux et le maître va clamer l 'esclave avec la permission des parents. Quelques fois les esclaves acceptent d'être clamé par des maîtres que les parents n'aiment pas. Dans ce cas la, les parents sont impuissants d'arrêter la clamation de prendre place. Dans le pire ses scénarios, un maître va clamer contre les vœux des parents et de l'esclave. C'est rare, mais pas inconnu.
Une fois que le maître a clamé l 'esclave, l'esclave est capturé sauf si le maître décide de le relâcher. Le seul recours est la LOI DES HUITS ANS D'ANNULATION. Si un esclave est malheureux ou que les parents de l'esclave veulent que leur enfant soit relâché, ils ont huit ans pour demander l'annulation auprès du Ministère des Maîtres. Après huit ans, la clamation ne peut être brisée que par le maître.
Après quelques répétitions des Warblers et de dîner ensemble pendant plusieurs semaines, Wes décida qu'il aimait Kurt. Il avait l'air sincère et gentil, mais aussi avec une nature, forte et dominante. La parfaite combinaison pour Blaine. Il avait aussi observé les regards furtifs de Blaine sur Kurt. Quand il lui demandait s'il était intéressé Blaine souriait timidement et acquiesçait.
Un jeudi après une répétition, Wes prit les deux garçons à part et fit une présentation formelle mais Wes fit comme s'ils se rencontraient pour la première fois.
« Dom Maître Kurt Hummel permets-moi de te présenter l'esclave soumis Blaine Anderson. Non clamé »
Kurt roula des yeux.
« Sérieusement Wes ? Ça fait un mois . On connaît le nom de l'autre »
Blaine rigola silencieusement, les yeux au sol.
Kurt était intrigué par la soumission intense de Blaine. C'était un grand contraste avec le garçon confiant et beau qu'il avait vu danser et chanter.
Il était aussi dérouté par les sentiments que Blaine provoquait à l'intérieur de lui. Il n'avait jamais sentit une si forte attraction envers quelqu'un avant.
Il a eu des crushes inappropriés sur des esclaves hétéros, ou des maîtres qui étaient gays, mais jamais aussi le profond, douloureux désir qu'il ressentait pour Blaine. Avec Blaine il sentait le désir de propriété et le besoin de dominer. Blaine se sentait aussi bouleversé par les sentiments que Kurt créaient. Il a passé la plupart de sa vie à essayer de ne pas se faire avaler par la soumission qui vie en lui. Il considérait être gay comme une bénédiction car ça enlevait de la course 80 % des maîtres qui erraient dans le hall de Dalton. Les maître gays qui n'avaient pas déjà les yeux sur quelqu'un venaient toujours approcher Blaine, attirés par sa beauté sexy et sa soumission profonde. Si Blaine faisait comprendre clairement qu'il n'était pas intéressé, Wes et les Warblers s'assuraient qu'ils restaient à distances. Mais Blaine aimait bien Kurt, quelque chose à propos des yeux de Kurt et de sa gentillesse ainsi que sa voix ferme disait à Blaine qu'il pouvait lui faire confiance : Kurt n'allait pas abuser de lui ou prendre avantage de lui. Pour la première fois, Blaine était excité par la présence de maître de Kurt. Kurt était fort et demandeur, mais sa dominance coulait en Blaine au lieu de tomber sur lui et de lui rendre malheureusement. Quelque chose à propos du ton de Kurt enflammait la nature soumise de Blaine.
Il ne désobéissait pas à Kurt car il le devait. Il le voulait. Son corps tout entier ronronner de désir de servir et d'être dominé par Kurt.
Ça lui prit chaque once de sa force pour ne pas se jeter aux pieds de Kurt à chaque fois que ce dernier entrait dans la pièce.
Ils ont avancé doucement en passant une grande partie de leur année de junior à devenir ami. Au début c'était dur pour Kurt de tirer des informations à Blaine à propos de ses goûts ou de ses intérêts parce qu'il essayait trop de faire ce que Kurt voulait. Mais éventuellement il réussit à apprendre que les céréales favorites de Blaine étaient les Apple Jacks. Il aimait Star Wars et les films Matrix, mais aussi Broadway.
Et bien sur, la musique.
La musique était la passion de Blaine. Son premier endroit sûr. Quand il était enfant il chantait pour lui même pour s'endormir tous les soirs. Quand sa mère criait et le réprimandait avec dégoût sur sa nature soumise d'esclave, il se retirait dans la sûreté d'une chanson dans sa tête, les yeux fermés serrés, chantant silencieusement à lui même pour étouffer sa voix. C'était pourquoi il pouvait se tenir devant une audience et chanter de tout son cœur. La musique le faisait se sentir fort et en sûreté.
Une fois que Kurt réalisa à quel point Blaine aimait la musique, il voulait lui faire plaisir. Ils sont allés à des concerts, des opéras, des symphonies. Quand Blaine a admis espérer un jour écrire des chansons pour des spectacles à Broadway, Kurt lui acheta un livret de note et l'encouragea à mettre ses pensées et ses paroles sur papier. Pendant leur année de senior il était plutôt clair que Kurt allait clamer Blaine dès que ce dernier aurait 18 ans. Ils étaient amoureux.
Un fort, profond amour rendu encore plus riche par la façon dont ils complétaient parfaitement l'autre. La soumission profonde de Blaine était parfaite pour la nature forte et quémandeuse de Kurt.
Kurt avait besoin de quelqu'un qui se donnerait complètement à lui et Blaine avait besoin de quelqu'un qui pourrait le dominer complètement.
Leur amour et affection étaient évidentes malgré les lois strictes du gouvernement concernant l'interaction maître-esclave avant la clamation. La prise de main était autorisée ainsi que frotter le milieu du dos et les câlins de 5 secondes. Kurt était autorisé à enrouler un bras autour de la taille de Blaine et Blaine était autorisé à poser la tête sur l'épaule de Kurt. N'importe quoi d'additionnel était considéré comme une violation;mais ça n'empêcha pas Blaine de s'asseoir si près de Kurt que c'était tout comme s'il était assit sur ses cuisses. Son corps s'enroulait autour de celui de Kurt, ses yeux emplis d'amour et du désir de se donner complètement à Kurt, totalement...
Sexuellement.
Mais il y avait des règles à propos de cela aussi.
Il était illégal pour un maître et un esclave de moins de 18 ans d'avoir des rapports sexuels.
Même après avoir eu 18 ans, les maîtres étaient fortement encourager à attendre jusqu'à ce qu'il ait une clamation, ou qu'ils étaient 100 % sur qu'ils allaient clamer l'esclave. Avoir des rapports avec un esclave et ne pas le clamer après était considéré comme de l'abus mental. Sexe est un connecteur entre un maître et un esclave. Cela dépend de la soumission de l'esclave et de son envie de servir son maître et de créer un lien entre les deux. Quand un maître s'en va simplement après avoir créer ce lien, l'esclave est laissée et se sent perdu et confus, désespéré pour la sûreté et le confort d'un maître. Cela mène certain esclave à prier auprès des pires types de maîtres. Les maîtres qui capturent les esclaves perdus et abusés ou les échanges à d'autres maîtres pour le sexe.
Burt pouvait voir le profond désir capturé dans la façon dont Blaine regarde Kurt. Il pouvait aussi sentir le sentiment fort de possessivité et de propriété de Kurt. Il remémora à Kurt les règles, au grand ennui de Kurt.
« Papa, s'il te plaît arrête. Je connais les règles. »
« Je sais que tu connais les règles, Kurt. Mais ça ne veut pas dire que tu veux les suivre »
« Bien sur que je ne veux pas les suivre,mais je vais le faire » Et me branler brutalement.
« Je t'ai entendu, gamin. Mais pourquoi ne vas tu pas parcourir le chapitre 8 du livre des règles d'État juste une fois de plus »
Burt avait de bonnes raisons de s'inquiéter. Le maîtres atteignaient leur potentiel sexuel complet à 18 ans. Kurt avait 4 mois devant lui avant son 18ème anniversaire. Il serait prolifique avec une énergie sexuelle chaude et désespéré pour du soulagement, mais il était plus vieux de Blaine de 3 mois. Il va devoir attendre jusqu'à ce que Blaine ait 18 ans et qu'il puisse être clamer.
Il n'y avait rien à part le self-control de Kurt qui inquiétait Burt Hummel.
Pourquoi n'a-t-il jamais entendu parler des Anderson ?
Quand un maître et un esclave sortent ensemble et que la clamation est imminente, les parents de l'esclave ont pour habitude de demander une rencontre avec les parents du maître. Généralement il y avait plusieurs rencontres autour de dîners, soupers et les vacances comme moyens pour que les parents de l'esclave s'assurent que le clameur est le bon pour leur enfant et celui que leur enfant veut vraiment.
« Je ne comprends pas. Avec un soumis si profond que lui, j'aurai pensé qu'ils auraient voulu mettre toi, moi, Carole, Finn et même Rachel sous un microscope pour s'assurer que nous ne sommes pas abusif. »
Kurt fronça les sourcils et sentit le pincement familier de rage et de peine qui accompagnait les pensées du traitement de Victoria Anderson de Blaine.
« Les parents de Blaine s'en foutent de lui, Papa. Ils s'en foutent vraiment »
« Je suis sur que ce n'est pas vrai. Oui, quelques parents sont déçus quand ils ont un esclave au lieu d'un maître , mais c'est comme avoir un garçon ou une fille. Tu ne peux pas le contrôler. Tu les aimes comme ils sont. »
« Crois moi papa, Victoria Anderson ne voit pas cela de cette manière. Elle aime le frère de Blaine, Cooper parce qu'il est un maître, mais avec Blaine... Elle a passé des années à essayer de forcer Blaine à aller contre sa nature et être plus maître qu'esclave. D'après Wes, Victoria lui aurait crié dessus en lui disant qu'il était faible et qu'il n'est valait pas la peine et avait besoin de chercher profondément la puissance et la commande. Elle se moquait de lui sans pitié, essayant de le forcer à se mettre debout pour lui même et se battre en retour. Elle pensait que ça le rendrait moins soumis. Bien sur, ça n'a pas marché.
Au lieux de se battre, Blaine est tombé encore plus profond dans la soumission. Il n'a jamais trouvé la force de se battre. Éventuellement elle a abandonné mais l'abus mental a laissé Blaine soumis et apeuré de tous les maîtres. Elle est un maître horrible et une terrible mère. »
Burt ne se laissa pas découragé. « Peut être que je devrais les appeler »
« S'il te plaît non »
« C'est important , Kurt. Je ne veux pas que tu sois accusé de ne pas suivre les règles. Nous avons besoin de nous assurer qu'ils savent que tu veux clamer Blaine. C'est mieux si tu as leur permission »
Kurt savait que son père avait raison, mais rien que de penser à dealer avec Victoria Anderson l'inquiétait. Il espérait qu'elle continue de ne pas se souciait de Blaine et qu'elle laisse Kurt le clamer.
Spécialement depuis que Sebastian Smythe ne semblait ne pas pouvoir laisser Blaine seul.
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Comme les Anderson, les Smythe était une vieille famille avec de l'argent. Ils couraient dans la même cercle classe sociale et appartenaient aux mêmes clubs. Les Smythe avaient passé les cinq dernières années en Europe, mais étaient revenus aux États Unis pour que Sebastian puisse avoir son diplôme d'un lycée américain.
Sebastian a tourné autour de Blaine pour la première fois en été lors d'un barbecue donnait par ses parents pour célébrer leur retour en Ohio. Blaine était assit seul sur un siège dans le coin d'un grand jardin, il était en train d'écrire dans son carnet de musique.
« Qu'est-ce que t'écris, sexy ? »
Blaine leva le regard et puis baissa ses yeux immédiatement. Son corps se tendit sous le regard vicieux de Sebastian.
« Réponds-moi »
Blaine garda les yeux focalisés sur son livre.
« Juste... hmm... idées de chanson »
« Vraiment ? C'est intéressant en fait »
Sebastian s'assit à côté de lui. « Regarde-moi ».
Blaine leva le regard. Sebastian se lécha les lèvres.
« Tu es beau. »
Il regarda le cou de Blaine et mit une main sur sa cuisse.
« Je vois que tu n'es pas clamé. Quand as-tu 18 ans ? »
Blaine était nerveux et effrayé. Non, il n'était pas clamé mais il n'était définitivement pas valide. Il appartenait à Kurt.
« En août de l'année prochaine »
« L 'année prochaine, hein ? Je suppose que je peux attendre. Tu as l'air d'en valoir la peine »
Blaine voulait s'enfuir.
« Mais peut-être que pendant que nous attendons tu peux... »
« Sebastian, que fais-tu ? »
Les deux garçons levèrent le regard pour voir Cooper se tenir là, ses yeux étaient fixés sur la main de Sebastian qui caressait la cuisse de son petit frère. Sebastian arracha sa main rapidement.
« On a juste eu une conversation. Blaine me disait à quel point je vais aimer Dalton . »
Dalton ? Il va être à Dalton ?
« Ouais. Peu importe. Tu connais les règles. Garde tes mains loin avant que ça ne t'apporte des embrouilles... encore une fois »
Sebastian fronça les sourcils. Comment Cooper savait à propos de cela ? Il se leva.
« Comme je l'ai dit, nous ne faisions que parler. On se voit plus tard Blaine. »
Cooper regarda Blaine. « Ça va ? » Blaine hocha la tête. Cooper s'assit à côté de lui.
« Écoute. Je sais que tu passes beaucoup de temps avec ce gars là Kurt, mais tu ne devrais pas espérer qu'il te clame »
Blaine leva le regard, ses yeux remplis de surprise. « Pourquoi pas ? »
« Faisons face à ça. Sa famille ne fait pas partie de notre monde. Je ne pense pas que maman va te laisser être clamer par le fils d'un mécanicien. »
« Maman n'en a rien a faire de ce qui m'arrive »
« Ouais, c'est vrai, mais seulement à un point. Tu restes un Anderson. Ce qui t'arrive va refléter sur la famille et avec les Smythe de nouveau en ville, et toi et Sebastian d'à peu près le même age... »
Blaine haleta.
Non. Non.
Cooper lui donna un regard compatissant. « Je peux me tromper, mais sois préparé. »
Il se leva et s'en alla de nouveau vers la fête laissant Blaine apeuré et tremblant.
Dès qu'il fut à la maison, il appela Kurt.
« S'il vous plaît... Puis-je venir vous voir... J'ai besoin de vous... »
« Pars maintenant. Je t'attendrais »
Blaine arriva à la porte de Kurt à 10 heures du soir. Il était en train de pleurer et de ravaler ses larmes. Kurt l'emmena à l'intérieur et le tint plus de cinq secondes. Blaine commença à balbutier.
« Vous, Kurt. Vous. Je ne veux que vous. Je veux être avec vous. Je ne l'aime pas. Je vous aime. Vous. Seulement me soumettre à vous. »
Lui ?
« Shhh. Ça va aller Blaine. Dis moi ce qui s'est passé ? »
Kurt travailla dur pour masquer sa colère quand Blaine lui a dit à propos des avances de Sebastian et de la théorie de Cooper. Quand il eut fini, Blaine pleurait et tremblait. Kurt le tenait serré contre lui.
« Ne t'inquiète pas. Si je devais te clamer sans la permission de tes parents » Kurt savait que son père ne serait pas content, mais il n'en avait rien à foutre. Il n'y avait aucun moyen qu'il abandonne.
Blaine passa le reste de l'été à essayer d'éviter Sebastian aux fêtes d'été et aux rencontres sociales. Dès qu'il en avait la chance, Sebastian attraperait Blaine et effraya son être entier avec des attouchements illégaux et des conversations sur la clamation.
« Allez Blaine. Ça sera à quel point tes parents seront fiers de toi. Et crois moi je peux te rendre heureux. Je suis très doué à... tout » Sebastian se tint aussi près que possible de Blaine sans vraiment presser son corps au sien,mais c'était assez pour faire trembler de façon incontrôlable Blaine, son cœur battant de peur quand Sebastian murmura dans son oreille.
« Je vais te baiser tellement bien, Blaine. Tellement putain de fort. Je dominerai complètement ton cul de soumis. Tu supplieras pour ma queue et si tu es un bon garçon, je te laisserai l'avoir. »
« S'il vous plaît... non... S'il vous plaît... je...Je ne veux pas... »
« Ce n'est pas à propos de ce que tu veux. C'est à propos de ce que je veux, et je te veux toi. »
Blaine glissa du mur au sol. Il tremblait et des larmes coulaient sur son visage. Il posa son menton sur ses genoux et enroula ses bras autour de lui. Kurt. Kurt. Kurt. Kurt.
Sebastian recula et rigola.
« Putain, tu es si putain de soumis. C'est super chaud. »
Après cet épisode Blaine s'est enfui vers la maison de Kurt et Kurt passa le reste de l'après-midi à effacer les peurs de Blaine avec des touches illégales de lui même.
« Tout va Bien Blaine. Je t'aime et je vais te clamer. Tu es mien. Tout à moi. Ne t'inquiète pas. »
A la fin de l'été Kurt ne pouvait pas attendre que l'école recommence pour qu'il puisse confronter Sebastian. Il ne perdit pas de temps à le trouver lors de son premier jour de classe.
Sebastian sourit de son sourire le plus sexy quand il vit Kurt marcher vers lui à la cafeteria. Wow. Dès son premier jour il attirait déjà des garçons chauds comme l'enfer.
« Et bien bonjour, beauté. J'espère que tu es mon cadeau de bienvenu »
Kurt leva les deux poignets. Le sourire de Sebastian s'estompa un peu quand il vit que Kurt n'était pas un esclave.
« Sebastian Smythe. »
« Kurt Hummel »
Le sourire de Sebastian disparut complètement.
« Désolé, mais ma mère a déjà remplie toutes les tâches ménagères dans notre maison. Toute fois, si la Jaguar de mon père casse je m'assurerais qu'il appelle ton père. En assumant qu'il est qualifié pour travailler sur une pièce de mécanique si chère. »
Kurt refusa de mordre à l'hameçon. Il avait des affaires plus urgentes que d'être embarqué dans un match d'insultes avec ce suricate.
« Reste loin de Blaine. Ne lui parle pas, ne le regardes pas, ne respire même pas dans sa direction. Et si tu le touches encore une fois je mettrais le Ministère des maîtres sur ton cul avant que le spray Axe ne s'évapore de ton corps »
« Oh, donc Blaine t'appartient, n'est-ce pas ? Marrant. Ses parents n'ont mentionné aucun nom quand j'ai parlé de le clamer. »
Kurt se releva. « Blaine ne te veut pas »
« Comme si ça importait. Écoute fillette, tu es hors de cette bataille. Blaine est de toute façon beaucoup trop bien pour toi. Si quelqu'un va le clamer c'est bien moi, donc je te suggères de dégager et d'arrêter de lui remplir la tête avec des promesses que tu ne pourras pas tenir. Victoria Anderson ne donnera jamais son fils à la progéniture d'un singe graisseux. Et je te dis quoi ? Ma femme de ménage a un fils et il s'avère être gay. Et si j'arrange quelque chose entre vous deux ? Vous êtes du même niveau social bas. Tu devrais t'en contenter et ne plus venir m'emmerder avec ça »
Kurt s'avança, sa voix calme masquant la furieuse rage à l'intérieur de lui « Et comment sais-tu exactement qu'il est gay ? Tu n'as pas brisé les règles d'état n'est-ce pas ? Baiser un esclave que tu n'as pas l'intention de clamer ? Tu devrais être prudent, Sebastian. Tu ne voudrais quand même pas être dénoncer d'abus. »
Les couleurs partirent un peu du visage de Sebastian. Il se recula. Kurt sourit de satisfaction.
« Reste loin de Blaine » Il se retourna et s'en alla, entra dans la première toilette sur son chemin et vomit son déjeuner entier.
Il tremblait avec colère et une rage possessive qu'il n'a jamais su avoir.
Blaine lui appartenait. A personne d'autre. Lui.
Il va devoir convaincre Victoria Anderson de lui laisser Blaine Il n'y avait pas moyen qu'il laisse Blaine finir avec ce trou du cul.
Kurt s'envoya de l'eau froide sur le visage et se sécha avec une serviette en papier. Il regarda son reflet dans le miroir.
Qu'elle aille ce faire foutre Victoria Anderson.
Il clamera Blaine sans sa permission. Son père n'approuvera pas, mais et alors ? Il va juste devoir s'y faire.
Il allait clamer Blaine et personne n'allait l'arrêter.
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