Mon histoire commence comme étant banale. Enfin, son commencement. Et je vais tout vous raconter depuis le début. Si vous avez des questions, attendez la fin de mon chapitre avant de les poser, peut-être les réponses viendront d'elle même.
J'ai eu une enfance heureuse, du moins, jusqu'a mes 12 ans. Mon père était mon héro et je voulais tant lui ressembler. Chaque soir quand il revenait du travail, je lui sautais dans les bras et lui disait à quel point je l'aimais. Il souriait toujours à cette phrase et il me disait toujours qu'un homme ne devait pas dire ce genre de chose à son père même si il le pensait. Un homme ne montrait pas ses sentiments. Et comme toujours, je ne l'écoutais pas et je le lui disais quand même. Quant à ma mère, c'était la plus belle. Toujours. Peut importe ce qu'elle portais ou le fait qu'elle avait d'énormes cernes sous les yeux, je me suis toujours dit que si je devais avoir une femme, elle devais absolument être aussi belle que ma mère. Malheureusement, je suis enfant unique mais quand bien même cela me touchait énormément, mes parents étaient toujours la pour me consoler.
Lors de mon douzième anniversaire, une fête avait eu lieu. Mais elle fut interrompue par la porte qui se brisa brusquement. Cette nuit-la fut horrible et j'en garde que de mauvais souvenir. J'en rêve encore la nuit lorsque l'obscurité m'envahit. Ça fait mal. Revoit tout ça, tout ce sang. Ceux de mes parents. Les cris de mon père, les pleurent de ma mère. Je les entends toujours. Surtout quand je suis avec lui.
Mes parents sont mort cette nuit-la. Moi, on m'avait arraché a eux. Je ne comprenais pas. On me traîna des heures durant dans la boue. Il pleuvait cette nuit-la. On m'emmena dans un endroit sombre et lugubre, comme ceux dans les films d'horreur. J'angoissais. Qu'allait-il m'arriver? Il n'y avait aucune chaleur et le froid pénétrait dans mon chandail troué pour glacer ma chair. Que froideur parcourais mon corps, mon âme. Ce goût amer formant cette boule dans me gorge qui m'empêchait de parler. Je serrais dans mes paumes le dernier cadeau que m'aient offert mes parents avant de mourir, un pendentif en forme de spirale.
Je ne savais pas ce que l'on voulait de moi et si je l'avais su, j'aurais tenté de m'en aller loin d'ici. Mais j'étais trop naïf de croire que l'on m'amenait par pitié car on venait de tuer mes parents. Mais non, si seulement j'avais su. Je n'avais que 12 ans et je ne savais pas vraiment ce qu'était vraiment la vie. J'en connaissait a peine l'histoire.
On me poussa alors dans une salle remplit de gens, tous habiller de la même façon. Tous cagoulé dans une espèce de cape noire avec des nuages rouges. La salle était assez glauque. On aurait du un tribunal. Ceux qu'on utilise pour juger les gens qui ont fait quelque chose de répréhensible. Avais-je fait quelque chose de mal? Non. Malgré tout ce temps ou je tentais de me persuader que c'étais le cas, quelque chose au font de moi me faisait douter de ma culpabilité.
Om me retira les menottes qui meurtrissaient ma chair et on me fit asseoir sur une chaise noire. On me retint les mains sur les accoudoirs et les pieds sur les pattes avec d'énormes lacets de cuire qui lacéraient mes poignets et chevilles. Une personne s'avança devant moi en levant les mains et toutes les personnes présente ce levèrent. Ensuite, une autres personne avec la même cape mais un peu plus petite que les autre arriva dans le pièce. Il s'approcha de moi. Je me rappelle encore de leurs paroles. Surtout ceux que le plus grand dit au plus petit:
-Alors, tu en dit quoi, il te plait, petit frère?
A cette phrase j'avais des frissons. Une autre boule se forma dans mon estomac. A ce moment la, je sais que je me demandais qu'était le sens de la phrase. Pourquoi fallait-il que je lui plaise? Qu'allait-il faire de moi? Qu'est-ce qu'on allait faire de moi si je ne lui plaisais pas?
Seul un murmure répondit:
-Oui, il me plait bien.
Un chuchotement a peine audible. Mais c'étais un son grave. Certain qu'il était plus âgé que moi. Le curiosité embarqua et a ce moment j'aspirait tellement a voir son visage que j'en oubliait ou j'étais. Quelque chose comme un rire me réveilla et fit revenir à la réalité. C'était comme le rire d'un fou psychopathe. Un rire d'une joie sadique. Il vint près de moi et chuchota ces mots à mon oreille.
-A partir de maintenant, tu lui appartiens. Tu devras répondre à tous ces caprice, fait tout ce qu'il désire que tu fasses. Si tu ne le fait pas, crois moi que tu en payeras les frais. Nous sommes des tueurs mais nous adorons aussi torturé les gens et surtout que tu es un bon sujet pour une nouvelle technique de torture que l'on vient de concocter. Alors j'espère pour tout que tu vas obéir!
Je restai muet devant lui. Je ne savais que dire. Pourquoi. Pourquoi enfin.
Faire quoi. Je ne comprends pas. Pourquoi moi? Cette question me brûlais tellement les lèvres que je le l'entendit même pas sortir de ma bouche. C'était sortit tout seul. L'homme en face de moi me regardais encore et émit un autre rire débile qui commençait sérieusement à me faire peur. Mais finalement, j'eus ma réponse.
-t'ais-je autistique a parler? Non, bien sur que non! Mais puisque tu en es a te première infraction je vais passer par dessus et te répondre. Alors, écoute moi bien. Ensuite, je t'expliquerai les règle du jeu, m'ais-je bien fait comprendre?
J'hocha de la tête et tenta de le regarder dans les yeux sous son capuchon. Inutile, elle cachait entièrement son visage. Avant de me répondre, il fit le tour de la salle, un tour que je suivis de mon regard. Cet endroit sombre étais éclairé pas quelques lanternes sur les mur ou de vieux banc s'adossait. Il y avait un énorme panneau représentant un nuage rouge, avec inscrit a l'intérieur `Akatsuki`
Perdu dans ma contemplation, je ne m'étais pas aperçu qu'il était arrivé près de moi. Aussi, je ne me doutais pas que ce que j'allais entendre allais autant me secoué, me troublé a ce point. En fait, je n'arrive pas à y croire encore aujourd'hui.
-A l'époque de la grande guerre, plusieurs personnes ont tout perdu. Ils n'avaient plus d'argent. Ceux-ci n'ayant plus rien à perdre, accepta l'offre que nous leur avons proposée. De l'argent en échange de leur premier enfant. Tous obéir. Lorsqu'ils eurent leur premier enfant, il nous le donna. La plupart sont encore en vie. Bref, tous on obéi sauf tes parents. Nous leur avons offert fortune et ils n'ont pas tenu parole. Pendant des années nous les avons rechercher sans suces jusqu'a maintenant. Nous aurions pu te tuer mais nous ne l'avons pas fait car nous comptons bien te faire payer la dette de tes parents. Je suis sure que tu comprends. Et puis, je suis sur que tu vas être utile en étant l'esclave de mon frère, il en a besoin d'un. Et compte toi bien chanceux d'avoir cette tache, tu aurais pu tombé bien plus bas. Mais s'il te prend le goût de ne pas obéir, c'est ton choix, un bien mauvais choix pour toi mais bon, je ne t'en empêcherai pas car sache que nous, on va encore plus s'amuser.
Je ne pus qu'acquiescé. Son visage était très près du mien et je pouvais sentir son haleine infecte venir me flatter les joues. J'avais très peur a ce moment-la, j'avoue. C'est compréhensible, non! Quand on vous tue vous parents et que vous allez payer leurs dette, que vous n'avez pas d'argent sur vous et que la seul chose que vous possédiez est votre corps. Un corps pur. Un corps chaste, encore jamais touché. Et puis, je savais que s'amuser pour est n'allait pas forcément être bénéfique pour moi. Alors je décidais d'obéir.
Pour moi, mes parents restaient des êtres extraordinaires et je les aimais toujours. Ils ont voulu me garder alors qu'ils ne devaient pas et c'est pour moi une belle preuve d'amour car ils l'ont fait au péril de leur vie. Au moins, j'ai eu la chance des les conaître.
Il eut un moment de silence ou tout le monde me regardant. C'étais complètement terrifier et tout ceux qui étais la s'en délectais, j'en étais sur. J'étais très mal à l'aise, moi qui suis si petit dans un monde de grand. Ce n'est pas dans mes habitudes d'abandonner et je retenais à grande peine mon envie de pleurer. J'en avait tellement envie. Mais je tins bon.
Finalement, on me fit transporter dans une autre pièce en passant par des couloirs qui était tous pareilles les uns des autres. J'arrivai dans une chambre sobre. D'une beauté simple. Jamais encore je n'avais vu un tel endroit. D'une couleur terre, le mobilier s'y accordait bien. Un lit double, quelques tables basses, des lampes et une photo. Une salle de bain s'emblait se cacher derrière un mur dont la porte était a moitié ouverte.
Quelqu'un fit son entré et je me retourna pour constater que c'étais celui a qui je me devais obéir. Lentement je le vis enlever sa cape. Je dois dire que je n'avais jamais vu une beauté pareille mais quelque chose me tracassait chez lui. Peut-être était ce regard aussi noir que l'onyx qui me fixait durement ou peut-être les mèches noir corbeau retombant sur son visage si fin. Ses lèvres étaient si douces que j'avais envie de les effleurer.
En effet, il semblait plus vieux que moi, je ne pouvais dire son âge. Maintenant, je sais qu'il avait 3 ans de plus que moi. Il semblait lui aussi me détailler du regard. Je me sentais si pathétique à coté de lui. Il était si beau, si gracieux dans ses mouvements.
Il s'approcha de moi et d'un geste brusque il déchira mon chandail. J'en fus estomaqué. Il observa mon torse avec minutie. Lorsque mon père était en vie, j'allais souvent corder du bois avec lui et cela me fit de fin muscle. Sa main vint se poser la oui il y a mon cœur. Elle était si froide. Ensuite, elle fit son contour pour remonter plus haut. Finalement, il me retira brusquement ma chaîne. Je tentais de la lui reprendre mais il stoppa mon geste.
-Un esclave ne doit rien avoir d'autre que lui même, et encore, c'est beaucoup trop pour lui.
Que... Non mais pour qui ce prenait-il?
-Rendez la moi, C'est tout ce qu'il me reste de mes parents.
-Admettons que cela me touche mais c'a m'est complètement égale.
-Vous n'avez pas...
-Oh que oui. Tu ne t'en rappelles sans doute pas mais tu m'appartiens désormais et je fais ce que je veux avec toi. Maintenant, ferme-la et fais ce que je te dis. Sinon j'appelle mon frère.
Je dégluti lorsqu'il m'intima de me taire de sa main sur ma bouche. Je n'avais pas envie de chercher les problèmes mais je tenais à cette chaîne plus que ma vie. J'étais effrayer et je tremblait de colère et ça ce voyais. Il en souriait. Et plus il souriait et plus je tremblais. Ce sourire sadique devint plutôt pervers et je recula aussitôt pour me retrouver acculer au pied du lit. Apeuré, il continua de s'approcher de moi en lançant:
-Fait quelque chose pour m'empêcher de faire ce que je vais te faire et tu auras la pire punition de ta vie. Tu sauras que je garde quelque instrument dans cette chambre qui peut très bien servir si le goût m'en dit.
La peur devint plus forte et je tentais désespérément de me persuader que s'était un mauvais rêve. Que j'allais bientôt me réveiller. Que ma mère allait me bercer et me chanter sa chanson. Aussitôt, je senti des mains parcourir mes hanches. Subitement, mon pantalon glissa et mon caleçon aussi. Je me retrouvai ainsi nu devant cet inconnu qui me regarda. Je n'en pouvais plus. Je me rappelle que j'implorais les dieux de me laisser pendant que me vu se troublais. Il me fit basculer su le lit sans ménagement et commença son jeu dégueulasse.
Mes larmes se déversait tant la douleur étais forte. Je lui disais d'arrêter, que j'avais mal. Cela ne le fit que plus rire et d'aller plus fort. Chaque pénétration torturait mon corps. J'étais sur que j'allais m'évanouir. Mais non. A mon plus grand malheur, je restai éveillé tout le long de mon calvaire.
J'étais si chaste, si pure avant, maintenant, mon corps est souillé, mon âme meurtrie. On m'a pris ma famille, ma liberté, ma vie, mon corps, mes cris, mes larmes. Il ne me reste plus rien que les miettes de mon passé. Que des souvenirs amers. Mon propre corps est devenu ma prison où je ne peux pas m'évader. Mon sang me brûle de l'intérieur. Sa beauté reflète sa cruauté. Son cœur de glace me transperce de par en par son regard.
Les yeux dans le vide, je vit son sourire et me dit après m'avoir vole un autre baiser.
-Tu as été excellent! Mais je viens de me rendre compte que je ne connais pas ton nom.
-Na...Naruto.
Il sembla réfléchir un moment puis revint vers moi.
_a partir de maintenant, même ton nom m'appartiens.
Je n'ai plus de corps, plus de nom, Maintenant j'appartiens à Sasuke Uchiwa, le prince des territoires interdits.
