Série : Gundam wing
Auteur :Ichigo.
Genre : Bishounen, yaoï, léger ooc.
Note : Les couples ne sont pas encore bien déterminé. Je laisse le mystère
planer.
Adresse : pour me contacter ? Une réclamation ? Laomaleys@yahoo.fr
Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi. C'est ce qui s'appel un
emprunt à long terme.
Meanne77 : merci ! comme promis je me lance dans l'updatisation afin que cela soit plus lisible ! Bonne lecture^^
Un Souvenir, Juste Un De Trop.
[pic]« Trowa »
Chapitre 1 : Seulement un cauchemar de plus.
La chaleur étouffante de la fin de l'après-midi n'avait pas décidé un jeune adolescent de se séparer de son pull à manches longues et col roulé. Il affichait un flegme dans le pur style anglais, tout en regardant le crépuscule d'un balcon donnant sur une mer un peu agitée.
Rien ne semblait l'intéresser hormis le son des vagues qu'il contemplait de ses yeux verts, comme la couleur des feuilles tendres. Quelques mèches brunes retombaient sur son visage, comme pour se cacher à moitié. A la voir, on pouvait affirmer qu'il était européen. Mais était-il anglais, ou bien français ?
Le grand pilote avait entretenu autour de lui le mystère sur ses origines, ainsi que sur lui-même. Des dons exceptionnels d'acrobate, joueur de flûte traversière, une étrange relation avec les animaux, sauvages ou non.
On croirait qu'il possède la capacité tant enviée de pouvoir communiquer avec tous les animaux. Pour le moment il ne se souciait pas de l'image qui se dégageait de lui, entièrement absorbé dans la beauté de la nature qui s'offrait devant lui. Il se rendait compte à quel point la Terre était magnifique. Et sa détermination n'en était que plus affermit.
Il fallait protéger le royaume de Sank, protéger la paix, afin que d'autres personnes puissent voir sereinement d'autres instants aussi magique que celui-là. Protéger l'avenir et l'espoir. Le cour de ses pensées s'arrêta lorsqu'on le tira de sa médiation solitaire pour qu'il vienne à l'intérieur du logement. Il ne bougea pas au départ, goûtant encore une seconde le spectacle des lumières du crépuscule dansant. Puis il s'arracha à son immobilité, quittant le balcon avec regret.
Heero était devant l'écran de son ordinateur, bientôt rejoint par un Duo énergique, un Wufeï impassible et un Quatre curieux. Quatre, le jeune blond au regard d'émeraude si vibrant d'innocence qui ne reflétait en rien sa condition de pilote de gundam. Le frère inquiet du groupe, sensible à cause de son empathie. Cette même empathie qui lui permettait de déceler le mensonge, ou de ressentir les émotions des gens proches de lui.
Il s'aperçut que son regard portait sur Quatre alors qu'il devait le diriger sur l'écran. Le grand pilote rectifia l'erreur et s'intéressa à la mission tout juste envoyée.
C'est là qu'il remarqua le silence des autres pilotes.
Même celui de Duo, l'assassin psychopathe doublé d'un clown survolté 24H /24. Il songeait à peine que cette situation n'était pas normal lorsqu'il bloqua mentalement en déchiffrant se qu'il y avait dans le message électronique.
C'était pas une mission.
Mais ça lui était adressé personnellement
Un joli gift animé représentant un funambule qui traverse l'écran de l'ordinateur d'Heero. Et une petite phrase en prime. « Attention Trowihema Quand les rêves se réalisent, ils deviennent cauchemars. »
Trowihema, en contractant, cela donnait Trowa. Quatre paires d'yeux le fixaient, réclamant des explication.
_Je n'en ai aucune idée.
_De quoi ? Demanda Duo.
_D'où ça peut provenir, qui l'a envoyé, comment l'auteur savait que Heero avait contact avec moi, la raison et le but de se message.
_Tu ne vois aucun rapport ?
Heero semblait pas vraiment heureux d'avoir reçut un message pour moi. Cela signifiait que l'auteur était bien informé et qu'il s'y connaissait en informatique.
_Aucun.
_Heero, est-ce que tu peux remonter le signal de parcoure du message afin de trouver qui l'a envoyé ? Intervint Quatre en se penchant un peu plus pour regarder en détaille le petit funambule.
_Hn. Essayer.
Quatre semblait visiblement tracassé par le funambule.
_Agrandit le.
Heero obéit sans arrière pensée. Le funambule pris une plus grande proportion et devint un peu flou. Il continuait d'avancer sur un fils ans un bâton dans les mains pour maintenir son équilibre. Combien de surprise peut encore cacher se message ?
Malgré le faite que le funambule n'était pas net, les pilotes reconnurent les traits caricaturés de Trowa. C'est alors que le funambule, au lieu de reprendre son parcoure dès le départ en arrivant à la fin de l'écran, perdit l'équilibre et tomba de son fils. Le gift se fixa lorsque le funambule s'effondrait sur un sol invisible comme un pantin désarticulé.
Cela jeta un froid au milieu du groupe.
Finalement le gift n'était pas si joli que ça.
Plutôt une menace de mort d'un inconnu qui à un humour particulier. Même ce genre de farce ne pouvait provenir de Duo. Tandis que l'on reprenait plus ou moins conscience de la présence de son voisin, le message macabre joua sa dernière carte en s'effaçant proprement sans laisser de traces. L'ordinateur s'éteignit brusquement et Heero jura en japonais, ramenant ainsi tous les esprits sur Terre.
_Tu connaîtrais pas quelqu'un par hasard qui veuille ta mort ?
Duo, le pilote à la longue natte châtain et aux yeux d'améthystes, avait parlé sérieusement.
_L'organisation d'Oz toute entière. Supposa Trowa sans grande conviction. Romefeller aussi.
_Et pourquoi pas la moitié du monde pendant que tu y es. Moi, je te parle de vengeance personnel, de vendetta, de dettes de sang, de tout se qui est susceptible d'en arriver là !
_Je l'ignore vraiment.
_Bah on est mal barré pour sauver ta peau.
_Je ne te suis pas Duo. Fit un Quatre soucieux.
_Si il(ou elle) est capable de te faire une menace de ce genre, je peux te garantir que ce n'est pas de la petite pointure. Si il est décidé à te tuer, il y arrivera, combien même tu serais le roi des caméléons. Nous n'allons pas pouvoir le protéger tant que nous ne savons pas qui il est, ou juste un indice sur se qui le motive.
_Qu'est-ce qui te dit que je veux être protéger ?
_Agru ? Trowa ?
C'est d'une voix calme mais fermement décidée qui se manifesta alors que Trowa prenait la parole.
_Je ne veux pas être surveillé, ni protéger.
Il laissa un Duo stupéfait en coordination exacte avec l'expression de Quatre. Heero et Wufeï se contentèrent d'un hochement de la tête. Wufeï coupa le silence installé.
_Le tueur se présentera avant de t'ôter la vie. Cela ressemble à une vengeance telle qu'il voudra voir ton visage au moment où il te tuera. Cependant, Barton, que ce soit bien clair. J'accepte que tu ne sois pas protéger, et nous devrons mentir aux professeur à se sujet, mais ne t'avise pas de mourir.
Il ajouta tout de même en voyant l'air hagard de Duo.
_Nous ne pouvons pas dans la situation actuelle perdre un pilote de gundam. Le remplacer nous coûterai du temps précieux.
Le jeune chinois, épris de justice aux cheveux d'ébène attachés sévèrement, entendit à peine un « j'me disais aussi. » de la part de l'assassin tandis qu'il constatait le froncement de sourcils de Heero. Ce dernier pianotait rageusement sur son clavier en face d'un carré totalement blanc. Finalement il pesta sur son manque d'esprit et referma brutalement l'ordinateur.
_Trowa, qui que se soit. Ton pire ennemi ou ta petite amie. Il vient de vider MON ordinateur. Désormais il va me le payer. Affaire privée ou non.
Heero montrait sa colère. Là c'est qu'il est très doué en informatique, l'auteur du message. Car pour réussir à mettre en colère le roi des hackers, il fallait être un génie doublé d'une sacrée dose d'inconscience. Ce que Duo ne manqua pas de faire remarquer. Quatre sentit la tension monter entre les deux pilotes, chose habituelle depuis que Duo s'était mis en tête de dérider Heero.
_Bon, si nous allions dormir. On dit que la nuit porte conseil et je crois que nous avons tous besoin de repos.
Et c'est ce qui fut décidé à l'unanimité.
Trowihema.
Quel nom étrange. Trowa avait beau fouiller dans sa mémoire, ce nom ne lui disait absolument rien.
Il se retourna pour la n-ième fois dans son lit, le sommeil ne voulait pas venir. Ou bien il ne s'avouait pas qu'il était tout de même intrigué par la menace reçut. C'est avec résignation que le pilote de Heavy arms chassa toutes les idées se rapportant au message macabre.
Car macabre il était.
Trowa était un acrobate hors paire et il pouvait très bien faire le funambule. Que le fils ait été suspendue à trois mètres ou à vingt. Une chose clochait, pourtant.
Il ne savait pas quoi, mais il en était persuadé. Il continua donc à y réfléchir, abandonnant le projet de dormir tranquillement. Personnes à sa connaissance l'appelaient Trowihema, ni ceux qui avaient étés. Il frissonna malgré lui en se remémorant l'image du funambule portant ses traits tomber et choir comme un corps sans vie.
Il se reprit rapidement en songeant que c'était peu être l'effet recherché par l'auteur de la menace. On frappa à la porte de sa chambre. Trowa souleva prestement les draps, pris une arme cachée sous son oreiller et alla ouvrir. Il apparut Quatre derrière la porte, vêtu d'un grande chemise semblable à celle que devait porter ses ancêtres du désert. Son visage était inquiet.
Uchuu no kokoro, pensa immédiatement Trowa.
_Quatre ?
_Je peux te parler ?
_Oui. Entre.
Il reposa l'arme à son endroit habituel et fit signe à Quatre de s'asseoir sur le lit, la seul chaise de la chambre devant supporter ses vêtements. Quatre s'installa et rougit en baissant les yeux.
_Quelque chose ne va pas ? Demanda Trowa en essayant de voir son regard.
_Ta tenue.
_Oh.
Trowa dormait avec seulement un caleçon. Il faisait tellement lourd depuis que le soleil s'était couché. Il chercha un instant et la première chose qu'il vit fut un peignoir vite endossé.
_Ca vas mieux ?
_Oui.
Il rejoignit son camarade sur le lit et attendit que Quatre explique sa présence.
_Tu es profondément troublé et je n'arrive pas à dormir.
_J'en suis désolé.
D'habitude Quatre était moins direct à entrer dans le sujet de la conversation, nota Trowa tout en essayant de retrouver son calme légendaire.
_Pourquoi es tu ainsi troublé ?
« Face à un empathe, règle number one :ne jamais mentir. » Se souvenait Trowa. C'était Duo qui le lui avait dit. Mais jamais il lui était venue à l'esprit de mentir au petit blond et ce, depuis le début.
_Le message, une vague impression qu'un élément m'échappe.
_Et tu ne dormais pas.
_Non.
_As-tu déterminé ce qui n'allait pas dans le message ?
_Non.
_Qu'est ce qui attire le plus ton attention dans le contenu du message ?
_Je sais pas. Tout. Ah oui, Trowihema. Et le funambule qui tombe.
_C'est à dire, ton identité.
Là, Trowa ressentit la désagréable sensation d'avoir raté une transition importante.
_. ?
A sa question muette, Quatre s'empressa de répondre.
_Trowihema, Trowa, ton nom qui est déformé. Et le funambule, toi, le membre d'un cirque, c'est équivalent. Et pour finir, la chute. La chute de tes rêves, ta mort, ou l'insignifiance de ton existence.
_Un peu comme un suicide.
_Suicide ? Ca te fait penser à un suicide ?
_Heu non, juste une idée.
_Le moindre indice est important Trowa. J'ai la nette impression que l'auteur cherche à te déstabiliser psychologiquement.
Trowa se figea momentanément en remarquant le regard du pilote de Sand rock. Il n'arrivait pas à percevoir les émotions du petit blond. Une aura si noble émanait de lui. Il se sentait gêné. Intrigué et à la fois soucieux de ressentir cela envers Quatre, Trowa décida d'arrêter la conversation immédiatement.
_Il vaudrait mieux que tu ailles dormir.
_Trowa.
_Je prendrais un somnifère si je n'arrive toujours pas à me calmer.
Quatre soupira, comprenant qu'il était viré de la chambre. Encore un fois son ami se refermait dans sa coquille, alors qu'il semblait plus ouvert au départ.
Trowa ferma la porte tout en faisant un salut rêveur à Quatre. Il se jeta sur le lit en se mettant une claque mental. Un peu de tact ne lui ferais pas de mal. Puis il prit son oreiller et se recroquevilla dessus, un geste qu'il avait cru oublier, tout comme celui de pleurer.
Quelque chose en lui venait de naître, ça lui faisait mal, et il n'en trouvait pas l'origine. Mais cela avait apparut lorsqu'il avait chassé Quatre. Il se rappela ensuite la cause de la visite du pilote et se mordit les lèvres en se maudissant. Il fallait qu'il trouve un moyen de se calmer afin que son ami puisse être en paix. Mais quoi ?
Son regard porta sur la fenêtre de sa chambre. Il se leva et souleva le rideau pour voir la mer. Seulement, la fenêtre n'était pas exposée du bon coté. Alors il s'habilla rapidement et sortit de sa chambre pour aller dehors, pour se changer les idées.
Un ronflement sonore le fit sursauter :Duo.
Un gémissement de désespoir :Wufeï.
Un son proche du pianotement d'un clavier :Heero.
Et un sanglot étouffé lorsqu'il passa devant la porte de Quatre.
Son sang se glaça en reconnaissant son ami. Avait-t-il été si dur ? Torturé de remord, Trowa hésita longtemps entre la fuite et le désir de le réconforter. C'est pour cela qu'il n'entendit pas que les pleurs avaient cessés. Ni la porte s'entrouvrir.
_Trowa ? Que fais-tu là ?
_Quatre ?
Sans un entraînement acharné à ne jamais paraître surprit, Trowa aurait bondit sur place.
_Trowa ?
_Je.Heu.enfin, tu.(Pitié, un trou de souris).Quatre, est-ce que ça vas ?
_Après toi, c'est les ronflements de Duo. Cette nuit, je ne vais pas dormir.
_Je ne voulais pas parler de ça.
Quatre leva des yeux interrogateur sur Trowa, emplis uniquement de l'innocence de ne pas comprendre, comme si il n'avait pas pleurer juste avant. Frappé par se changement, Trowa hésita de nouveau sur le bon choix à faire. Quatre semblait ne pas avoir besoin d'aide.
Enfin, se corrigea-t-il, c'est ce qu'il veut faire croire. Trowa inspira à fond et reprit.
_Je passais juste et je t'ai entendu. Il y a un problème ?
Cette phrase fit l'effet d'un déclencheur. Quatre manqua de force et se raccrocha à Trowa, palissant brusquement. Surprit, le grand brun resserra Quatre contre lui et le porta dans la pièce. Il l'étendit sur le matelas et rabattit la couverture, remarquant que Quatre avait les yeux fermés. Il allait partir chercher un médecin quand on lui prit le bras pour le retenir.
_Trowa, ne me laisse pas seul.
Indécis, il finit par se rapprocher de Quatre, entourant ses épaules d'un bras. Il faillit paniquer quand Quatre recommença à sangloter, craignant pour son l'état de santé.
_Quatre, je vais appeler un médecin. Tu es malade ? Es-tu blessé ?
Il ne répondit pas tout de suite et Trowa allait quémander Sally lorsque la voix claire se manifesta.
_Je ne suis pas malade, ma famille me .manque.
« Comment s'y prend-ton pour consoler ? » Trowa posa la tête du jeune blond au creux de son épaule et le serra contre lui, l'entourant de ses bras. Il se mit à murmurer des mots qui lui passaient par la tête.
_Tu n'es pas seul.Heero, Duo et Wufeï tiennent à toi.Je tiens à toi.Ne t'inquiète pas.De là où ils sont, ils doivent t'aimer.
Quatre hoqueta et il crut avoir dit un mot qu'il n'aurait pas dût.
_Je suis désolé de te déranger Quatre, Tu as toujours supporter des responsabilités pour nous libérer l'esprit à tout moment et jamais nous ne t'avons aider.
_Trowa.
Coupé dans sa piteuse tentative de réconforter le pilote de Sand rock, Trowa préféra se taire, n'osant dire quelque chose qui blesserai encore.
_Merci.
_Que. ?
_Merci de me consoler et de me considérer pour se que je suis, de ne pas me traiter de monstre.
_Quatre ! Mais tu n'es pas un monstre ! Qui a osé te faire ça ?
Un sourire illumina le visage d'une rare beauté de Quatre, et soulagea en même temps Trowa.
_Des gens qui ne comprennent pas, qui se sentent touchés dans leurs secrets, qui ont peur. Mais aucune personne dans la base ne fait partie de ces gens et j'en suis heureux. Le Uchuu no kokoro semble être un don,. parfois il est si lourd à porter.
_C'est pour cela que tu n'es pas seul désormais.
Quatre s'écarta de l'étreinte, rougissant un peu en voyant que cela était compromettant, surtout que Duo en profiterait.
_Je veux te faire une promesse.
Cette fois, le pilote blond fixa intensément le regard vert de son ami, interrogateur.
_Quand ton Uchuu no kokoro te seras trop lourd à porter, alors partages avec moi se poids. Reposes-toi sur moi.
Trowa resta de marbre, détournant son regard, attendant d'être rejeté ou même un rire prouvant l'impossibilité de sa proposition. A la place une main frôla son cou. Et une voix tendre.
_Merci beaucoup Trowa. Je suis sûr que je peux compter sur toi.
Finalement Quatre s'allongea sur son lit et fut assommé par le sommeil. Malgré le fond sonore provenant de la chambre de l'américain.
Trowa caressa légèrement les cheveux de l'endormit, puis, s'apercevant de son geste, retourna dans sa propre chambre, assuré qu'il trouverait lui aussi une place dans les bras de Morphée.
Sauf que Morphée avait ratée son rendez-vous et que se fut en enfer qu'il parvint au milieu de ses rêves.
Au centre d'un nuage rose et orange.
Ichigo : Yaouuuu, Trooooowaahounet.
Trowa : Le cauchemar se poursuit.
Duo : Attention, elle a l'imagination malsaine. Cette fanficsieuse serait capable de te coller un lémon pour se venger.
Trowa : Toi tu t'y connaît en vengeance ?
Duo : Je suis THE meilleur of assassin. J'évolue dedans depuis que je suis môme.(Pas en anglais, c'est certain.)
Ichigo :Mon Trowihemaaaaa.
Trowa en son fort intérieur : Pas de lémon, pasdelémonpasdelémonpasdelémonjesuisunesourced'eaucalme.
Quatre :J'admire ton self contrôle Trowa.
Trowa : Entraînement et caractère naturel.
Ichigo : Je suis si horrible que çaaaaaaaaaaaaaaa ?!!!
Trowa :.
Quatre :.
Duo :^_^'
Ichigo : Un Lémon, Un !
Duo : Non.J'y suis pour rien !!!
Ichigo : Trowa et Duo.
Duo :NAAAAANNNN.
Ichigo : Quatre et Zechs.
Quatre : NOOOOONNNN.
Ichigo : J'plaisante.(.) Un jour peu être.
Duo : Je crains le pire.
Meanne77 : merci ! comme promis je me lance dans l'updatisation afin que cela soit plus lisible ! Bonne lecture^^
Un Souvenir, Juste Un De Trop.
[pic]« Trowa »
Chapitre 1 : Seulement un cauchemar de plus.
La chaleur étouffante de la fin de l'après-midi n'avait pas décidé un jeune adolescent de se séparer de son pull à manches longues et col roulé. Il affichait un flegme dans le pur style anglais, tout en regardant le crépuscule d'un balcon donnant sur une mer un peu agitée.
Rien ne semblait l'intéresser hormis le son des vagues qu'il contemplait de ses yeux verts, comme la couleur des feuilles tendres. Quelques mèches brunes retombaient sur son visage, comme pour se cacher à moitié. A la voir, on pouvait affirmer qu'il était européen. Mais était-il anglais, ou bien français ?
Le grand pilote avait entretenu autour de lui le mystère sur ses origines, ainsi que sur lui-même. Des dons exceptionnels d'acrobate, joueur de flûte traversière, une étrange relation avec les animaux, sauvages ou non.
On croirait qu'il possède la capacité tant enviée de pouvoir communiquer avec tous les animaux. Pour le moment il ne se souciait pas de l'image qui se dégageait de lui, entièrement absorbé dans la beauté de la nature qui s'offrait devant lui. Il se rendait compte à quel point la Terre était magnifique. Et sa détermination n'en était que plus affermit.
Il fallait protéger le royaume de Sank, protéger la paix, afin que d'autres personnes puissent voir sereinement d'autres instants aussi magique que celui-là. Protéger l'avenir et l'espoir. Le cour de ses pensées s'arrêta lorsqu'on le tira de sa médiation solitaire pour qu'il vienne à l'intérieur du logement. Il ne bougea pas au départ, goûtant encore une seconde le spectacle des lumières du crépuscule dansant. Puis il s'arracha à son immobilité, quittant le balcon avec regret.
Heero était devant l'écran de son ordinateur, bientôt rejoint par un Duo énergique, un Wufeï impassible et un Quatre curieux. Quatre, le jeune blond au regard d'émeraude si vibrant d'innocence qui ne reflétait en rien sa condition de pilote de gundam. Le frère inquiet du groupe, sensible à cause de son empathie. Cette même empathie qui lui permettait de déceler le mensonge, ou de ressentir les émotions des gens proches de lui.
Il s'aperçut que son regard portait sur Quatre alors qu'il devait le diriger sur l'écran. Le grand pilote rectifia l'erreur et s'intéressa à la mission tout juste envoyée.
C'est là qu'il remarqua le silence des autres pilotes.
Même celui de Duo, l'assassin psychopathe doublé d'un clown survolté 24H /24. Il songeait à peine que cette situation n'était pas normal lorsqu'il bloqua mentalement en déchiffrant se qu'il y avait dans le message électronique.
C'était pas une mission.
Mais ça lui était adressé personnellement
Un joli gift animé représentant un funambule qui traverse l'écran de l'ordinateur d'Heero. Et une petite phrase en prime. « Attention Trowihema Quand les rêves se réalisent, ils deviennent cauchemars. »
Trowihema, en contractant, cela donnait Trowa. Quatre paires d'yeux le fixaient, réclamant des explication.
_Je n'en ai aucune idée.
_De quoi ? Demanda Duo.
_D'où ça peut provenir, qui l'a envoyé, comment l'auteur savait que Heero avait contact avec moi, la raison et le but de se message.
_Tu ne vois aucun rapport ?
Heero semblait pas vraiment heureux d'avoir reçut un message pour moi. Cela signifiait que l'auteur était bien informé et qu'il s'y connaissait en informatique.
_Aucun.
_Heero, est-ce que tu peux remonter le signal de parcoure du message afin de trouver qui l'a envoyé ? Intervint Quatre en se penchant un peu plus pour regarder en détaille le petit funambule.
_Hn. Essayer.
Quatre semblait visiblement tracassé par le funambule.
_Agrandit le.
Heero obéit sans arrière pensée. Le funambule pris une plus grande proportion et devint un peu flou. Il continuait d'avancer sur un fils ans un bâton dans les mains pour maintenir son équilibre. Combien de surprise peut encore cacher se message ?
Malgré le faite que le funambule n'était pas net, les pilotes reconnurent les traits caricaturés de Trowa. C'est alors que le funambule, au lieu de reprendre son parcoure dès le départ en arrivant à la fin de l'écran, perdit l'équilibre et tomba de son fils. Le gift se fixa lorsque le funambule s'effondrait sur un sol invisible comme un pantin désarticulé.
Cela jeta un froid au milieu du groupe.
Finalement le gift n'était pas si joli que ça.
Plutôt une menace de mort d'un inconnu qui à un humour particulier. Même ce genre de farce ne pouvait provenir de Duo. Tandis que l'on reprenait plus ou moins conscience de la présence de son voisin, le message macabre joua sa dernière carte en s'effaçant proprement sans laisser de traces. L'ordinateur s'éteignit brusquement et Heero jura en japonais, ramenant ainsi tous les esprits sur Terre.
_Tu connaîtrais pas quelqu'un par hasard qui veuille ta mort ?
Duo, le pilote à la longue natte châtain et aux yeux d'améthystes, avait parlé sérieusement.
_L'organisation d'Oz toute entière. Supposa Trowa sans grande conviction. Romefeller aussi.
_Et pourquoi pas la moitié du monde pendant que tu y es. Moi, je te parle de vengeance personnel, de vendetta, de dettes de sang, de tout se qui est susceptible d'en arriver là !
_Je l'ignore vraiment.
_Bah on est mal barré pour sauver ta peau.
_Je ne te suis pas Duo. Fit un Quatre soucieux.
_Si il(ou elle) est capable de te faire une menace de ce genre, je peux te garantir que ce n'est pas de la petite pointure. Si il est décidé à te tuer, il y arrivera, combien même tu serais le roi des caméléons. Nous n'allons pas pouvoir le protéger tant que nous ne savons pas qui il est, ou juste un indice sur se qui le motive.
_Qu'est-ce qui te dit que je veux être protéger ?
_Agru ? Trowa ?
C'est d'une voix calme mais fermement décidée qui se manifesta alors que Trowa prenait la parole.
_Je ne veux pas être surveillé, ni protéger.
Il laissa un Duo stupéfait en coordination exacte avec l'expression de Quatre. Heero et Wufeï se contentèrent d'un hochement de la tête. Wufeï coupa le silence installé.
_Le tueur se présentera avant de t'ôter la vie. Cela ressemble à une vengeance telle qu'il voudra voir ton visage au moment où il te tuera. Cependant, Barton, que ce soit bien clair. J'accepte que tu ne sois pas protéger, et nous devrons mentir aux professeur à se sujet, mais ne t'avise pas de mourir.
Il ajouta tout de même en voyant l'air hagard de Duo.
_Nous ne pouvons pas dans la situation actuelle perdre un pilote de gundam. Le remplacer nous coûterai du temps précieux.
Le jeune chinois, épris de justice aux cheveux d'ébène attachés sévèrement, entendit à peine un « j'me disais aussi. » de la part de l'assassin tandis qu'il constatait le froncement de sourcils de Heero. Ce dernier pianotait rageusement sur son clavier en face d'un carré totalement blanc. Finalement il pesta sur son manque d'esprit et referma brutalement l'ordinateur.
_Trowa, qui que se soit. Ton pire ennemi ou ta petite amie. Il vient de vider MON ordinateur. Désormais il va me le payer. Affaire privée ou non.
Heero montrait sa colère. Là c'est qu'il est très doué en informatique, l'auteur du message. Car pour réussir à mettre en colère le roi des hackers, il fallait être un génie doublé d'une sacrée dose d'inconscience. Ce que Duo ne manqua pas de faire remarquer. Quatre sentit la tension monter entre les deux pilotes, chose habituelle depuis que Duo s'était mis en tête de dérider Heero.
_Bon, si nous allions dormir. On dit que la nuit porte conseil et je crois que nous avons tous besoin de repos.
Et c'est ce qui fut décidé à l'unanimité.
Trowihema.
Quel nom étrange. Trowa avait beau fouiller dans sa mémoire, ce nom ne lui disait absolument rien.
Il se retourna pour la n-ième fois dans son lit, le sommeil ne voulait pas venir. Ou bien il ne s'avouait pas qu'il était tout de même intrigué par la menace reçut. C'est avec résignation que le pilote de Heavy arms chassa toutes les idées se rapportant au message macabre.
Car macabre il était.
Trowa était un acrobate hors paire et il pouvait très bien faire le funambule. Que le fils ait été suspendue à trois mètres ou à vingt. Une chose clochait, pourtant.
Il ne savait pas quoi, mais il en était persuadé. Il continua donc à y réfléchir, abandonnant le projet de dormir tranquillement. Personnes à sa connaissance l'appelaient Trowihema, ni ceux qui avaient étés. Il frissonna malgré lui en se remémorant l'image du funambule portant ses traits tomber et choir comme un corps sans vie.
Il se reprit rapidement en songeant que c'était peu être l'effet recherché par l'auteur de la menace. On frappa à la porte de sa chambre. Trowa souleva prestement les draps, pris une arme cachée sous son oreiller et alla ouvrir. Il apparut Quatre derrière la porte, vêtu d'un grande chemise semblable à celle que devait porter ses ancêtres du désert. Son visage était inquiet.
Uchuu no kokoro, pensa immédiatement Trowa.
_Quatre ?
_Je peux te parler ?
_Oui. Entre.
Il reposa l'arme à son endroit habituel et fit signe à Quatre de s'asseoir sur le lit, la seul chaise de la chambre devant supporter ses vêtements. Quatre s'installa et rougit en baissant les yeux.
_Quelque chose ne va pas ? Demanda Trowa en essayant de voir son regard.
_Ta tenue.
_Oh.
Trowa dormait avec seulement un caleçon. Il faisait tellement lourd depuis que le soleil s'était couché. Il chercha un instant et la première chose qu'il vit fut un peignoir vite endossé.
_Ca vas mieux ?
_Oui.
Il rejoignit son camarade sur le lit et attendit que Quatre explique sa présence.
_Tu es profondément troublé et je n'arrive pas à dormir.
_J'en suis désolé.
D'habitude Quatre était moins direct à entrer dans le sujet de la conversation, nota Trowa tout en essayant de retrouver son calme légendaire.
_Pourquoi es tu ainsi troublé ?
« Face à un empathe, règle number one :ne jamais mentir. » Se souvenait Trowa. C'était Duo qui le lui avait dit. Mais jamais il lui était venue à l'esprit de mentir au petit blond et ce, depuis le début.
_Le message, une vague impression qu'un élément m'échappe.
_Et tu ne dormais pas.
_Non.
_As-tu déterminé ce qui n'allait pas dans le message ?
_Non.
_Qu'est ce qui attire le plus ton attention dans le contenu du message ?
_Je sais pas. Tout. Ah oui, Trowihema. Et le funambule qui tombe.
_C'est à dire, ton identité.
Là, Trowa ressentit la désagréable sensation d'avoir raté une transition importante.
_. ?
A sa question muette, Quatre s'empressa de répondre.
_Trowihema, Trowa, ton nom qui est déformé. Et le funambule, toi, le membre d'un cirque, c'est équivalent. Et pour finir, la chute. La chute de tes rêves, ta mort, ou l'insignifiance de ton existence.
_Un peu comme un suicide.
_Suicide ? Ca te fait penser à un suicide ?
_Heu non, juste une idée.
_Le moindre indice est important Trowa. J'ai la nette impression que l'auteur cherche à te déstabiliser psychologiquement.
Trowa se figea momentanément en remarquant le regard du pilote de Sand rock. Il n'arrivait pas à percevoir les émotions du petit blond. Une aura si noble émanait de lui. Il se sentait gêné. Intrigué et à la fois soucieux de ressentir cela envers Quatre, Trowa décida d'arrêter la conversation immédiatement.
_Il vaudrait mieux que tu ailles dormir.
_Trowa.
_Je prendrais un somnifère si je n'arrive toujours pas à me calmer.
Quatre soupira, comprenant qu'il était viré de la chambre. Encore un fois son ami se refermait dans sa coquille, alors qu'il semblait plus ouvert au départ.
Trowa ferma la porte tout en faisant un salut rêveur à Quatre. Il se jeta sur le lit en se mettant une claque mental. Un peu de tact ne lui ferais pas de mal. Puis il prit son oreiller et se recroquevilla dessus, un geste qu'il avait cru oublier, tout comme celui de pleurer.
Quelque chose en lui venait de naître, ça lui faisait mal, et il n'en trouvait pas l'origine. Mais cela avait apparut lorsqu'il avait chassé Quatre. Il se rappela ensuite la cause de la visite du pilote et se mordit les lèvres en se maudissant. Il fallait qu'il trouve un moyen de se calmer afin que son ami puisse être en paix. Mais quoi ?
Son regard porta sur la fenêtre de sa chambre. Il se leva et souleva le rideau pour voir la mer. Seulement, la fenêtre n'était pas exposée du bon coté. Alors il s'habilla rapidement et sortit de sa chambre pour aller dehors, pour se changer les idées.
Un ronflement sonore le fit sursauter :Duo.
Un gémissement de désespoir :Wufeï.
Un son proche du pianotement d'un clavier :Heero.
Et un sanglot étouffé lorsqu'il passa devant la porte de Quatre.
Son sang se glaça en reconnaissant son ami. Avait-t-il été si dur ? Torturé de remord, Trowa hésita longtemps entre la fuite et le désir de le réconforter. C'est pour cela qu'il n'entendit pas que les pleurs avaient cessés. Ni la porte s'entrouvrir.
_Trowa ? Que fais-tu là ?
_Quatre ?
Sans un entraînement acharné à ne jamais paraître surprit, Trowa aurait bondit sur place.
_Trowa ?
_Je.Heu.enfin, tu.(Pitié, un trou de souris).Quatre, est-ce que ça vas ?
_Après toi, c'est les ronflements de Duo. Cette nuit, je ne vais pas dormir.
_Je ne voulais pas parler de ça.
Quatre leva des yeux interrogateur sur Trowa, emplis uniquement de l'innocence de ne pas comprendre, comme si il n'avait pas pleurer juste avant. Frappé par se changement, Trowa hésita de nouveau sur le bon choix à faire. Quatre semblait ne pas avoir besoin d'aide.
Enfin, se corrigea-t-il, c'est ce qu'il veut faire croire. Trowa inspira à fond et reprit.
_Je passais juste et je t'ai entendu. Il y a un problème ?
Cette phrase fit l'effet d'un déclencheur. Quatre manqua de force et se raccrocha à Trowa, palissant brusquement. Surprit, le grand brun resserra Quatre contre lui et le porta dans la pièce. Il l'étendit sur le matelas et rabattit la couverture, remarquant que Quatre avait les yeux fermés. Il allait partir chercher un médecin quand on lui prit le bras pour le retenir.
_Trowa, ne me laisse pas seul.
Indécis, il finit par se rapprocher de Quatre, entourant ses épaules d'un bras. Il faillit paniquer quand Quatre recommença à sangloter, craignant pour son l'état de santé.
_Quatre, je vais appeler un médecin. Tu es malade ? Es-tu blessé ?
Il ne répondit pas tout de suite et Trowa allait quémander Sally lorsque la voix claire se manifesta.
_Je ne suis pas malade, ma famille me .manque.
« Comment s'y prend-ton pour consoler ? » Trowa posa la tête du jeune blond au creux de son épaule et le serra contre lui, l'entourant de ses bras. Il se mit à murmurer des mots qui lui passaient par la tête.
_Tu n'es pas seul.Heero, Duo et Wufeï tiennent à toi.Je tiens à toi.Ne t'inquiète pas.De là où ils sont, ils doivent t'aimer.
Quatre hoqueta et il crut avoir dit un mot qu'il n'aurait pas dût.
_Je suis désolé de te déranger Quatre, Tu as toujours supporter des responsabilités pour nous libérer l'esprit à tout moment et jamais nous ne t'avons aider.
_Trowa.
Coupé dans sa piteuse tentative de réconforter le pilote de Sand rock, Trowa préféra se taire, n'osant dire quelque chose qui blesserai encore.
_Merci.
_Que. ?
_Merci de me consoler et de me considérer pour se que je suis, de ne pas me traiter de monstre.
_Quatre ! Mais tu n'es pas un monstre ! Qui a osé te faire ça ?
Un sourire illumina le visage d'une rare beauté de Quatre, et soulagea en même temps Trowa.
_Des gens qui ne comprennent pas, qui se sentent touchés dans leurs secrets, qui ont peur. Mais aucune personne dans la base ne fait partie de ces gens et j'en suis heureux. Le Uchuu no kokoro semble être un don,. parfois il est si lourd à porter.
_C'est pour cela que tu n'es pas seul désormais.
Quatre s'écarta de l'étreinte, rougissant un peu en voyant que cela était compromettant, surtout que Duo en profiterait.
_Je veux te faire une promesse.
Cette fois, le pilote blond fixa intensément le regard vert de son ami, interrogateur.
_Quand ton Uchuu no kokoro te seras trop lourd à porter, alors partages avec moi se poids. Reposes-toi sur moi.
Trowa resta de marbre, détournant son regard, attendant d'être rejeté ou même un rire prouvant l'impossibilité de sa proposition. A la place une main frôla son cou. Et une voix tendre.
_Merci beaucoup Trowa. Je suis sûr que je peux compter sur toi.
Finalement Quatre s'allongea sur son lit et fut assommé par le sommeil. Malgré le fond sonore provenant de la chambre de l'américain.
Trowa caressa légèrement les cheveux de l'endormit, puis, s'apercevant de son geste, retourna dans sa propre chambre, assuré qu'il trouverait lui aussi une place dans les bras de Morphée.
Sauf que Morphée avait ratée son rendez-vous et que se fut en enfer qu'il parvint au milieu de ses rêves.
Au centre d'un nuage rose et orange.
Ichigo : Yaouuuu, Trooooowaahounet.
Trowa : Le cauchemar se poursuit.
Duo : Attention, elle a l'imagination malsaine. Cette fanficsieuse serait capable de te coller un lémon pour se venger.
Trowa : Toi tu t'y connaît en vengeance ?
Duo : Je suis THE meilleur of assassin. J'évolue dedans depuis que je suis môme.(Pas en anglais, c'est certain.)
Ichigo :Mon Trowihemaaaaa.
Trowa en son fort intérieur : Pas de lémon, pasdelémonpasdelémonpasdelémonjesuisunesourced'eaucalme.
Quatre :J'admire ton self contrôle Trowa.
Trowa : Entraînement et caractère naturel.
Ichigo : Je suis si horrible que çaaaaaaaaaaaaaaa ?!!!
Trowa :.
Quatre :.
Duo :^_^'
Ichigo : Un Lémon, Un !
Duo : Non.J'y suis pour rien !!!
Ichigo : Trowa et Duo.
Duo :NAAAAANNNN.
Ichigo : Quatre et Zechs.
Quatre : NOOOOONNNN.
Ichigo : J'plaisante.(.) Un jour peu être.
Duo : Je crains le pire.