Désolé, toujours moi. La nouvelle. Oui, j'ai 17 ans bientôt 18 et je suis une lectrice de...Yaoi. Désolé encore une fois. Je sais pas en écrire ( slash ) mais cette maudite fanfiction me torture depuis que j'en ai lu une ( je ne dirai pas laquelle sauf que c'était dans le coin-là ).

Bon à tout en bas ! ( pour les plaintes, les injures et autres mots fleuris XP )


Il ignorait comment il s'était trouvé dans une posture pareille. Enfin, si, il savait mais tout de même...


Tout avait commencé par une simple curiosité de Tôshiro. Un base étrange ressemblant presque à la sienne avait croisé l'Arcadia. Ils s'étaient en mis d'accord pour le visiter. Jusque là, rien d'anormal. Enfin, c'est ce que Harlock croyait. Ils restèrent environ une demi-journée à faire des fouilles, comme l'avait si bien dit le professeur. Puis n'ayant en réalité constater que la station n'était qu'une ancienne station abandonnée, ils étaient repartis.

Et comble du malheur, son meilleur ami avait oublié son détecteur de particule qu'il avait laissé dans une des chambres, allez savoir pourquoi l'avait-il embarqué, à quoi ça pouvait lui servir. Harlock ne souhaitant surtout pas reposer son vaisseau sur cette base, avait donc prit un des ses engins de combats et était retourné sur cette foutue station pour retrouver le précieux objet de son ami, qui commençait d'ailleurs à devenir pénible avec sa grande technologie. Mais bon, il appréciait son coté "constructeur".

Donc il avait cherché dans toutes les chambres, oui, car c'était surtout un hôtel-station, surement pour riche vu la déco, et avait enfin trouvé le maudit appareil de Tôshiro...Et comme si ça devait arriver, il se rendit compte que cette appareil quelqu'un l'avait touché avant lui, ou plutôt examiner.

Il se mordit les lèvres en reconnaissant le bruit d'une arme pointée sur lui. Tiens, il avait l'impression d'avoir déjà vécu ça, seulement, il n'était pas venu chercher une fillette mais un "p..tain" d'appareil, bijoux de son ami.

"- Bonjour, capitaine, lança la voix familière de Zon.

Harlock tressaillit en se demandant si cette fois-ci, il allait tirer pour de bons. Il n'eut pas trop le temps de réfléchir à tous ça car tout à coup, les lumières s'éteignirent, les portes coulissantes de la suite se fermèrent. Ils ne voyaient rien ? Pas du tout, grâce à une sphère installée en plein milieu de la station, elle servait de lune gigantesque et permettait une lueur douce et mais faible contrairement au soleil traversant l'immense vitrage de la chambre. Zon pouvait toujours voir Harlock et vice-versa, donc s'enfuir par...aucune porte ne servira à rien.

"- Harlock ! Entendit-il par radio, y a un problème, la station s'est mise en mode "Fermée pour les vacances".

- Quoi ?

- Désolé, mais c'est un automatisme.

- Tu peux faire quelque chose ? Demanda le capitaine en oubliant la présence de Zon.

- Rien, du tout un bouclier le protège autant physiquement que informatiquement mais je sais sa durée, j'ai les coordonnés et les programmes de la station.

- Tss, ça me servira à rien...

- En vacance pendant 2 semaines ! S'écria alors Tôshiro, en fait, je crois bien que tu devras attendre 2 semaines."

Pas si je me fais tuer maintenant, pensa Harlock en se tournant alors vers Zon qui gardait son arme braquée sur lui.

"- T'inquiète pas, je peux tenir 2 semaines sans problème, réussit-il à dire malgré sa mauvaise posture, et puis tu peux aller ailleurs en attendant.

- Hors de question, je veux pas te laisser seul !

- Je suis seul...Dit-il avec ironie.

A sa grande surprise, Zon eut un sourire étrange et inhabituel.

"- J'espère que tu as de quoi tenir 2 semaines, lança son ami.

- Oui, ne t'en fais pas, même si les portes des suites sont bloqués, chaque suite dispose de sa propre cuisine, de sa salle de bain, de son salon et de sa chambre...

- ah oui, c'est vrai, je pense même qu'il y a des boites de conserves dans les cuisines non ?

- C'est toi qui a vérifié, pas moi..."

Il fallait rompre la communication car Zon trépignait d'impatience.

"- Tôshiro, je te laisse, après tout, je peux très bien m'en sortir seul.

- Comme tu voudras, appelle moi dans 12 heures, je veux savoir si tout va bien.

- Oui, promis" Répondit-il la gorge sèche. Il n'espérait pas lui répondre dans ses délais si Zon s'apprêter à lui tirer dessus. La communication coupée, il pouvait pleinement se concentrer sur sa confrontation entre lui et Zon.

Ce dernier avança vers lui. Automatiquement, sous la défense, il recula légèrement.

"- Tout d'abord, vous allez me jeter vos ceintures, ordonna Zon.

Là où ses armes favoris et personnelles étaient disposés. Lentement, il les enleva et les jeta négligemment aux pieds de son ennemi. De toutes façons, il ne pouvait qu'obéir s'il voulait rester en vie, bien que la probabilité de l'être en ce moment était faible. On les ramassa pour être observer.

"- Jolies armes, très cher, approuva-t-il, très jolies..."

Il les balança au coin le plus éloigné d'Harlock puis se rapprocha de nouveau de lui. Harlock recula alors jusqu'à rencontrer un mur. Évidemment, il n'allait pas échapper à son ennemi aussi facilement, en plus dans une chambre. Le hasard des choses étaient très mal fait à son goût. Mais Zon ne s'arrêtait même pas à deux mètres, distance de sécurité d'un soldat face à l'ennemi, enfin c'est ce qu'avait apprit Harlock, mais à un mètre. Il sourit tout à en examinant de la tête au pied le pirate qu'il a tant haït.

"-Décidément, je vous voyais plus grand, ricana-t-il doucement. Il n'y avait rien de méchants dans ses paroles mais cela surprenèrent Harlock qui fronça les sourcils.

- Ne faîtes pas cette tête, mon cher, si vous croyez que je vais vous tuer alors que j'aurai pu le faire dans ce foutue château, vous vous trompez. Abattre lâchement son ennemi désarmé et sans défense n'ait pas mon genre."

Devait-il être soulagé ou non ? Bonne question. Surement, normalement.

"- Mais..c'est étrange parce que je vous trouve...irrésistible, souffla Zon en reculant d'un pas comme pour admirer un chef-d'oeuvre.

Harlock sursauta. avait-il bien entendu ? Contre toute attente, il se mit à rougir. La lueur de la sphère blanche en pleine face le montra à Zon qui rit.

"- Si j'avais su que ce...compliment...allait vous donner une telle réaction, je vous l'aurais dit en plein combat rien que pour vous déstabiliser !"

Ce n'est pas tous les jours qu'on lui disait ce genre de choses, surtout avec une arme pointée sur lui, il avait de quoi réagir. C'est alors que son pire ennemi s'approcha de lui encore plus, jusqu'à le frôler. De son arme, il caressa les joues d'Harlock qui frissonna confus par ce qu'il était en train de mijoter. Il suffisait d'une balle dans la tête et c'était fini. Mais Zon lui avait bien dit qu'il ne comptait pas le tuer. Donc il allait rester 15 jours avec lui ?

Il leva les yeux vers lui. Il nota que effectivement, Zon était légèrement plus grand que lui. Il n'avait jamais observé ce genre de détail. Le pistolet à canon arpentait maintenant ses mèches brunes d'une douceur étonnante mais effrayante pour le pirate.

Puis Zon se débarassa de son arme qui rejoignit ceux d'Harlock et le remplaça avec sa main libre. Il lui effleura la joue si tendrement qu'Harlock ferma les yeux, incapable de savoir si c'était ça sa nouvelle forme de torture ou si c'était juste pour l'humilier ou un truc dans ce genre. Au moins, il était fixé, il n'allait pas utilisé la violence. Et lorsqu'il rouvrit ses yeux, le visage de Zon était si proche du sien qu'il eut un mouvement de défense, ses mains se placèrent sur le torse de l'allié des Illumidas, prêt à le repousser. Rapidement, sans même qu'il ait put anticipé son geste, Zon lui mordilla l'oreille gauche. Ses deux bras étaient plaqués aux deux cotés du pirate, le retenant ainsi prisonnier. Harlock échappa un hoquet de surprise et de stupeur : c'était à la fois agréable et à la fois embarrassant pouvait-il dire. Zon ne s'arrêta évidemment pas là, il relâcha l'oreille et lui lécha les tempes, déclenchant un tremblement brusque. Il continua sa lancée en parcourant la joue balafrée puis s'arrêta alors au niveau des lèvres, pour poser les siennes.

Harlock tenta de se défaire de cette position anormale, mais il s'avérait que son ennemi était plus expérimenté et plus fort que lui physiquement. Il ne parvint seulement à chiffonner la chemise blanche de ce dernier. La langue de Zon essayait de trouver une ouverture afin de posséder entièrement sa bouche qu'il avait bloqué. Voulant en finir au plus vite, le pirate se résigna et relâcha la pression de ses lèvres.
Une brute. D'un coup vif, la langue ravageuse de son pire ennemi s'empara de la sienne. Sa gorge laissa échapper un gémissement. Souhaitant à tout prix que cette torture se finisse, il essaya de pousser le traître des Humains afin de l'éloigner de lui. Mais au contraire, une main se positionna derrière son cou, forçant la pression. Quelque chose tomba tout à coup à ses pieds. Sa cape noire lui avait été enlevé.

Enfin, quand il décida de stopper le baiser, Harlock haleta comme jamais. Il avait l'impression d'avoir couru un spreet. Il aurait du s'en douter que Zon allait poursuivre : ce dernier l'embrassa et effleura du bout de sa langue toutes les parties de son visage. Il se permit même d'enlever à coup de dents son bandeau noir qui se posa sur le sol près de sa cape. Harlock crut que son oeil déchiqueté allait l'inciter à suspendre ses gestes, mais au contraire, il eut le droit à un sourire flamboyant de son ennemi qui caressa ce qu'il avait tant caché derrière le bandeau noir.

"- Ar..Arrêtez...Bredouilla le pirate pour la première fois en retenant sa respiration quand Zon s'empara de son cou par des multitudes de baisers tendres.

Il leva la tête et posa son regard de scientifique sur le visage du pirate le plus recherché de l'Univers.

"- Tu préfèrerais que nous nous battions à mort ? Lança-t-il avec un sourire narquois.

Harlock écarquilla des yeux. Lui ? Préférer la mort ? Normalement, c'était Zon qui devait préférer cela. Il avait en face de lui le pirate le plus dangereux et recherché du temps et de l'espace mais il préférait le laissant en vie et..S'amuser avec lui ? Harlock ne comprenait plus vraiment...

"- Non...bien sur que..."

Zon ne lui laissa pas terminer sa phrase, il embrassa plusieurs fois ses lèvres.

"- Nous ne sommes pas en guerre, murmura-t-il dans son oreille, tu le vois bien, sinon, tu serais mort avant même d'avoir pu appelé ton ami, et puis, prépare la guerre pour avoir la paix, non ? Je ne suis pas un homme aussi cruel que tu le crois, mon cher capitaine, j'ai tout de même des limites.

- Je suis...votre limite, c'est ça ? Articula tant bien que mal Harlock.

- Oui, surement, ricana-t-il en lui mordillant de nouveau son oreille.

- Et pourquoi...faîtes vous ça...maintenant ?

- C'est le moment non ? On ne peut pas sortir tous les deux, donc j'en profite. Et puis, je te l'ai dit tout à l'heure, tu es irrésistible lorsque tu es vulnérable."

Vulnérable ? Lui ? Imbécile. Bien sur qu'il l'était en ce moment.

"- Tu me domines surement dans l'espace, mais là, je te domines, poursuivit Feydar Zon en lui offrant des baisers dans le cou.

Harlock haleta aux rythmes des embrassades de son ennemi. Puis comme si cela ne suffisait pas, il fut plaqué totalement contre le mur et on s'empara avec fougue de ses lèvres. Ses bras lâchèrent la chemise blanche du scientifique, abandonnant toute résistante, sachant très bien, qu'il était dominé. Visiblement, sa résignation fut remarqué, car des mains baladeuses se permirent de s'introduire sous ses vêtements remontant jusqu'à la poitrine. Ces mains chaudes l'obligèrent à travers son haut à lever les bras au dessus de sa tête dans l'unique but de le mettre complètement torse nu.

Zon remonta lui-même l'uniforme noire du pirate tout en lui donnant des baisers sur sa peau dévoilant de nombreuses cicatrices. Cependant, il laissa le vêtement menottaient les bras de son pirate préféré. Ce dernier mal à l'aise dans cette position voulut se défaire de sa tunique qui l'empêchait de remuer correctement ses bras, mais une poigne ferme l'obligea à les garder au dessus de sa tête. Le professeur lui adressa un sourire enjoleur puis lui lécha le visage avant de descendre un peu plus bas, parcourant son cou, puis son torse. Il mordilla même les tétons déclenchant un gémissement doux. Harlock se cambra légèrement surpris par la sensation que lui procurait son ennemi.

Celui-ci se releva, puis d'une main lui prit son menton pour lui offrir un énième baiser plus lent, plus tendre. Enfin, il libéra le pirate de sa tunique qui lui bloquait les mouvements de ses bras. Il laissa ensuite l'uniforme noir accompagné la cape et le bandeau au sol.

Maintenant, Harlock était définitivement torse nu décoré de ses cicatrices multiples, en face de son adversaire de toujours qui le contemplait tel un artiste fier de ce qu'il a produit.

"- Décidément, tu me surprendras toujours, mon petit pirate ! S'exclama le professeur en l'embrassant de plus belle.

ça commençait franchement à l'agacer de sentir sur ses propres lèvres, celles d'un autre. Non pas que c'était douleureux, mais il n'avait pas l'habitude de ce genre de choses, et jamais il n'arrivait à savoir quand est ce que Zon allait l'embrasser ou non. Et puis à chaque fois, ou presque tout le temps, sa propre langue était prisonnière de l'autre, lui donnant un peu de mal à respirer, d'ailleurs. Contrairement à d'habitude, les deux mains de son ennemi se pressèrent dans son dos, le força à se coller au corps de ce dernier. Puis il l'incita à suivre ses pas. Son adversaire se déplaça tout en gardant ses lèvres prostrés sur ceux d'Harlock qui supportait tant bien que mal les mouvement de langue qu'il lui infligeait. Les pas de Zon l'emmenèrent près du lit, jusqu'à qu'il ressente l'extrémité d'un matelas sans doute. Il fut poussé avec délicatesse, une main lui retint le cou, il retomba avec souplesse sur le matelas de draps blancs emmenant avec lui l'allié des Illumidas. Sa peau au contact du drap le fit frissonner. C'était curieusement froid.

Zon se plaça au dessus de lui, à quatre pattes de tels sortes qu'il ne pouvait pas s'échapper. Il enleva ses lunettes puis sa chemise, dévoilant sa peau blanche et intact. Sans savoir pourquoi, Harlock eut les joues en feu et détourna la tête.

"- On dirait que tu as vu un fantôme, rit son pire ennemi.

- Je...Commença-t-il. Mais il ne trouva aucune réponse satisfaisante. Il se mordit les lèvres, détestant ne pas trouver des mots pour parler. On lui saisit doucement son menton afin qu'il regarde de face le visage de l'autre homme.

"- Je ne pensais pas que tu étais aussi timide, mon petit pirate, murmura Zon.

- Je...Je n'ai pas...l'habitude de vous voir...sans vos lunettes, avoua Harlock gêné en évitant son regard. Il ressemblait maintenant un enfant pris sur le fait !

Le scientifique arqua un sourcils puis éclata de rire, rapprochant son visage plus près de lui.

"- Je te fais donc de l'effet ?"

Sans les verres de ses lunettes, son regard était beaucoup plus intense et plus brillant qu'à l'ordinaire. Cela déstabilisait le pirate qui n'avait jamais croisé d'aussi près les pupilles de cet homme. Le professeur s'abaissa puis recommença sa torture comme lorsqu'ils étaient encore debout. Cette fois-ci, c'était plus facile et plus libre.

Il s'amusa plus longtemps avec les tétons du capitaine. Harlock rejeta en arrière sa tête, ne contrôlant plus son corps qui était stimulé par les sensations que lui procuraient Zon. Il tenta de nouveau et encore une fois de le repousser, mais ses mains se heurtèrent à sa peau chaude et dure qui se colla subitement à lui.

"- Monsieur Zon...Souffla-t-il alarmé par les mains qui se frayaient un chemin vers le bas.

Le scientifique arpenta de ses paumes tout le corps du capitaine de l'Arcadia, comme pour marquer son territoire. Du torse, il descendit ses mains en passant par les hanches puis rencontra alors le pantalon noir du pirate. Pour le distraire, sans qu'il ne s'en rende compte, Zon s'empara de sa langue le nombril créant ainsi des chatouilles violentes à son "amant" tandis que ses mains s'occupèrent à se débarrasser des dernières vêtements que le capitaine portait.

Cependant, ce dernier le remarqua et protesta en repliant ses jambes.

"- Non ! S'écria-t-il, je ne..

Zon remonta vivement vers lui et plaqua ses doigts sur les lèvres du capitaine qui se tut sous la surprise.

"- Chut, susurra-t-il, tout va bien, tout va très bien.

- Monsieur Zon, je..vous en prie...je..."

Il ne sentait pas bien. Il lui adressa un regard suppliant. Mais son ennemi se contenta d'éclater de rire et de l'embrasser.

"- Si tu croyais que l'amour ne s'arrêtait qu'à des baisers et des caresses, tu te trompes, mon pirate adoré, minauda-t-il, tu te connais en perfection de vaisseau...moi je me connais en perfection de l'amour...

- Et..la..haine, réussit à articuler Harlock d'un ton insolent malgré la situation.

- Oui, si tu le dis, approuva-t-il avec un sourire.

Il retourna à sa précédente tâche.

Le pantalon et les bottes noirs totalement débarrassés, il disposait maintenant du corps du capitaine. C'était un corps magnifique pour ses yeux de scientifiques. Un corps qu'il pouvait sans doute qualifié de parfait.

Complètement nu, Harlock ne s'était jamais senti aussi vulnérable, plus que les minutes qui précédaient. Automatiquement, il plaça ses jambes d'une façon particulière pour cacher ses parties intimes par pudeur. Il s'était laissé faire et se demandait bien pourquoi. Surement à cause du talent insistant de Zon, doué pour l'obliger à faire quelque chose qu'il ne voulait pas forcément le faire naturellement. Comme ce maudit défi avec son vaisseau soit disant invincible.

Zon rit de la pudeur du pirate. Il lui saisit les paumes de ses mains et les posa au dessus de sa tête pour l'embrasser avec ferveur. Il approcha ses lèvres de son oreille pour lui murmurer :

"- Sois prêt pour le premier combat au corps à corps."

Harlock frémit.


Salut, encore moi. Donc, si vous pas aimer. Moi arrêter et faire ça en OS ( oui, parce que y a suite ). Veux pas être frapper...XP

Les mots fleuris seront à déposer dans la boîte au lettre au 221B Baker Street. ( si vous regardez mon profil vous comprendrez pourquoi..) .

Mon dieu, je crois que j'ai trop lu de slash de Sherlock...