Oh c'est pas vrai ! encore cette Junessa
Bonjour amis du jour. Pour ceux qui me connaissent, je suis encore sur une autre fic, pour les autres, ravis de vous rencontrer !
Je sais pas pourquoi, alors que je viens à peine de commencer une nouvelle fic, j'en annonce une autre. L'idée m'ai venu cette après-midi, et j'ai tout de suite voulu la poster, en prenant le risque de ne pas savoir où je vais...comme d'habitude !
Je ne saurais pas vous faire un résumer de cette histoire, parce que je n'ai que le prologue d'écrit. lol, on verra au feeling, et en fonction de mon imagination dérangée !
Je vous lire ce premier petit aperçu, dîtes moi ce que vous en pensez. XOXO
Prologue
4 jours que je suis enfermée dans cette cellule.
4jours que j'ai froid, j'ai faim, je suis fatiguée, je n'en peux plus.
4jours où je n'ai pas pu fermer l'œil, à cause du boucan que ces idiots de policiers font, pour faire craquer mes nerfs.
4 jours que je ne pense qu'à lui.
Ils m'ont déjà fait passé une dizaine d'interrogatoire, où pendant des heures, leur but fut de m'extirper une quelconque information, sur les faits qui m'incriminent. Je souriais, joyeuse, en voyant leur visage, transpirant, les nerfs à vif, alors que j'ai l'air toujours fraîche. Je connais leurs stratégies par coeur, tantôt le policier agressif, puis le compréhensif. Ils me font bien rire ces rigolos.
Soudain, je me relève, quand l'un des gardiens, déverrouillent la cage immonde, où je suis enfermée.
Alors, suis je libérée ? (un large sourire sur les lèvres)
Gardien : Détecteur
Oh, génial ! J'ai toujours rêvé d'en faire un, en voyant tout ces films policiers (excitée)
Il soupira d'exaspération, face à ma perpétuelle bonne humeur. Je lui tendais mes mains, qu'il menotta, et le suivais jusqu'aux salles d'interrogations. Mes hauts talons claquant sur le carrelage du commissariat, attirèrent l'oeil de ces policiers vicelards, tout bedonnant et transpirant. Cet idiot me poussa vers l'une des salles, où je prend place, en face des deux inspecteurs, Black et Clearweather. À côté de moi, se trouve une petite femme, lunettes sur le nez, elle tapote sur son clavier, qui je suppose enregistra mes réponses.
Messieurs, bonsoir, bonjour, je n'ai plus la notion du temps, c'est tellement reposant de ne pas courir après lui
Insp. Clearweather : Madame Masen, s'il vous plait (fatigué)
Alors de quoi allons-nous parler aujourd'hui ?
Insp. Black : Vous avez accepté le détecteur de mensonges
Oui, d'ailleurs il est décevant de voir que vos preuves sont quasi inexistantes, au point d'utiliser cette machine, qui n'est d'ailleurs pas une preuve recevable lors d'un procès
Insp. Black : On en trouvera des preuves (sûr de lui)
Je vous souhaite ce bonheur, inspecteur
Il était difficile de ne pas voir, que je les agaçais avec mon comportement détaché. La jeune femme se releva pour m'équiper du détecteur. Sourire aux lèvres, je ne quittais pas des yeux, les deux hommes, alors que je relevais les bras, pour que cette employée débraillée, m'entoure l'abdomen d'une bande qui contenait des électrodes. Elle scratcha ensuite une autre bande épaisse, autour de mon biceps gauche, puis deux autres bandes, beaucoup plus petites, sur mon index droit, et mon annuaire de la même main. Prête, elle reprit sa place sur sa chaise.
Pouvons nous y aller ? Je dois encore aller voir si l'héritage que mon cher mari, paix à son âme, m'a laissé, a été transféré sur mon compte
Insp. Clearweather : Patience Madame Masen
Après une minute de silence, la jeune femme hocha la tête, vers les deux inspecteurs.
Insp. Black : Bien, nous allons commencer, vous répondrez aux questions, par des réponses simples, comme oui, ou non, rien d'autres
J'ai comprit
Insp. Black : Avant de débuter, Madame Masen, pouvez vous déclinez votre identité ?
Dois je le faire avec mon nom de jeune fille, ou d'épouse ?
Insp. Black : De jeune fille
Isabella Marie Swan, née le 13 septembre 1982, à Forks
Insp. Black : Bien, nous pouvons commencer...Madame Masen, êtes vous bien née le 13 septembre 1982
J'étais tenté de commenter son audition, mais je m'abstenais pour le bon déroulement de la procédure.
Oui
Insp. Black : Sommes nous mercredi ?
Non
Insp. Black : Répondrez vous franchement à toutes les questions ?
Je me retenais de toutes mes forces pour ne pas rire, de cette dernière. Je me contentais d'un grand sourire, avec une pointe de moquerie.
Oui
Insp. Black : Êtes vous mariée à Edward Masen, depuis le 07 juillet 2007 ?
Oui
Insp. Black : Combien font 4 fois 17 ?
Fameuse question de contrôle, et hors sujet.
76
Insp. Black : Avez vous assassiné votre mari, Edward Masen ?
Non
Il se tourna vers la jeune femme, qui hocha de nouveau la tête.
Insp. Black : Le test est à présent terminé, veuillez rester immobile
C'est tout ? Je suis déçue, ce n'est pas aussi trépidant qu'à la télé
La jeune femme, se releva, et me libéra du détecteur.
Insp. Black : Je sais
Alors, suis je blanchie de tout soupçons ou ai-je échoué au test, ce qui serait fort étonnant ?
Insp. Clearweather : Vous allez pouvoir être libéré (articula t-il difficilement, furieux que j'ai pu réussir)
Je suis peinée pour vous messieurs, j'aurais voulu être votre coupable
Insp. Clearweather : N'en faites pas trop Madame Masen
Je suis si dépitée messieurs, vous me jugez très mal...Comment une épouse aussi délicieuse que moi, pourrait faire du mal à son mari ?
Insp. Black : On trouvera
Comme vous avez trouvé pour mes 5 précédents maris (redevins-je sérieuse)
Leurs mains se serraient, jusqu'à faire blanchir leurs jointures, furieux de ne pas avoir réussi à m'incriminer. Quelques minutes plus tard, un policier me rendit les bijoux, qu'ils avaient confisqués, lors de mon enfermement dans ce trou de souris, ignoble, et malodorant. C'est avec un sourire narquois, que je signais les formulaires de sortie. Vérifiant que tout était présent dans mon sac, je quittais enfin le commissariat, après avoir été interpellé, par l'inspecteur Black.
Insp. Black : Ne vous réjouissez pas trop vite, nous prouverons que vous avez tué votre mari
Je ne répondis pas, non inquiète quand à l'assurance de l'inspecteur.
Bon courage Inspecteur Black
