Disclaimer : Harry Potter appartient à J.K. Rowling et à tous les autres là
qui ont des droits dessus là. On fait pas d'argent (de toute façon, qui
voudrait payer pour cette merde?) avec cette fic.
Notes de l'auteure écrites par une personne à qui je les dicte : J'aimerais remercier Dieu, ma mère pour m'avoir aidé à écrire des slash fics par son pouvoir de persuasion, Marie-Jade pour m'avoir appris a faire « Nye! », au Nain pour être si Nain (note du nain : pour lui avoir fait découvrir les slash fics), à l'Elfe pour ses complots maléfiques m'ayant inspiré cette slash fic et à moi-même pour avoir écrit ma première slash fic aujourd'hui, le 23 avril 2004, dans la demeure du nain, 15 minutes après que le Canadien ait été écrasé sauvagement par les mecs super hot de Tampa Bay (yay! Vive le Lightning).
Chapitre 1
Quatre jeunes amis se promenaient dans la salle commune des Gryffondors. Ils se nommaient : James Potter, Sirius Black, Remus Lupin et Peter Pettigrow. James Potter était d'une nature moqueuse, cruelle et sanguinaire, bref, personne, excepté ses amis, ne l'aimait. Sirius Black suivait James dans toutes ses facéties et ne se préoccupait guère des conséquences de ses actes. Remus Lupin les suivait : il était la raison du groupe. Peter Pettigrow, lui, les suivait en criant « Nye neuf neuf nye nye nye nyeuf ». L'histoire va nous porter vers Remus.
En observant le corps fier, la mâchoire virile et le menton volontaire de son compagnon Sirius, Remus sentit son cœur palpiter. Mais ce n'était pas pour lui. Il détourna le regard, complètement attristé. Une larme coula sur sa joue droite en un parcours parfait et puis alla s'écraser sur sa robe de sorcier. Sirius semblait avoir remarqué le malaise passager de son ami Remus, mais n'en fit pas de cas, comme pour cacher sa sensibilité. Remus feignit une faiblesse et se dirigea vers le dortoir. Ce que tout le monde ignorait, c'est qu'il était partit dans le but de fouiller dans le journal intime de son futur amour dans l'espoir de découvrir quelque chose qui lui ferait vivre autre chose qu'un amour à sens unique.
Il observa que le cahier en question était rose, preuve que Sirius n'était pas complètement dépourvu de sentiments. Le cadenas était fermé à clé mais Remus murmura tendrement, comme il le ferait lorsqu'il parle à Sirius, « alohomorum » , version antique de alohomora. Les pages étaient couvertes d'une écriture fleurie et Remus eut seulement le temps de distinguer « Mumus », « grille-pain » et « j'aime » avant que Frank Londubat n'entre dans la salle. Il cacha le cahier sous son oreiller après l'avoir serré contre son cœur et reniflé avec tout l'amour que son cœur pouvait contenir. Londubat avait l'air éberlué, comme à son habitude, et ils engagèrent une conversation sur la façon dont le pauvre garçon s'était fait persécuter par leur professeur de Potions, l'infâme Daniel Pewras. Frank ferma les rideaux de son lit à baldaquin en parlant à son cactus, Corneliu.
Remus était désolé de voir l'un de ses meilleurs amis réduit à cette condition, mais lui-même souffrait tellement qu'il n'avait pas le temps de s'apitoyer sur le sort des autres. Avec un sortilège de Disparition, il fit revenir le journal de son futur amant à sa place respective. En regardant une araignée tisser sa toile tel un oiseau qui construit son nid, Remus pensait, visualisait, il se voyait déjà dans les bras de Sirius en lui mordillant le lobe d'oreille auquel il susurrait des mots doux...
Sentant son cœur tout pimpant de joie, il mit fin à ce fantasme qu'il souhaitait être réalité en partant rejoindre ses amis et le beau Sirius. Il ne pu s'empêcher d'observer que Sirius avait des fesses fermes et parfaitement désirables. Pendant un instant, il eut l'impression que son futur complice le regardait avec envie, puis il lui sembla qu'il lui faisait un clin d'œil, mais ce n'était peut-être que des hallucinations.
Avant de partir dans la Grande Salle pour dîner, Remus tenta et réussit à effleurer la main poilue aux doigts effilés de Sirius avec qui il échangea encore un regard. La conversation semblait tendue à l'heure du repas, mais Peter et James ne le remarquaient pas et plaisantaient comme de gais lurons. Notre fragile héros demande à Sirius de lui passer le plat de pommes de terre, mais celui-ci rougit en entendant prononcer son nom par la voix un tantinet rauque de Lupin. Plus tard, ils plongèrent ensemble la main dans un plat de croustilles. Le contact était alors vraiment intense, ils se prirent la main et se levèrent, mais en voyant que tout le monde les regardait d'un air hébété, ils se rassirent, rouges et confus. Un regard de feu et d'éclair de la part de Severus Rogue à la table des Serpentards avait refroidi leurs ardeurs. Ils se quittèrent à regrets lorsque les élèves commencèrent à regagner leurs dortoirs respectifs.
James voulait aller aux toilettes alors ses compagnons le suivirent mais Remus était tellement ébranlé par la mésaventure du précédent repas qu'il préféra aller méditer près du lac au calmar nommé Squid. Il zigzagua en essayant d'atteindre son but mais une forme noire se jeta sur lui. Il pensa : « Ah, je n'aurais jamais du m'aventurer seul dans le noir. » lorsqu'il s'aperçut que c'était Severus Rogue qui essayait de le violer! Se débattant avec la force du désespoir, un cri sortit de ses lèvres entrouvertes pour déchirer le silence de la nuit. « SIRIUSSSSSSS!!! »
Mais c'était trop tard. La virginité de Remus s'était envolée comme un oiseau à la fin de l'été cherchant désespérément la chaleur, qui elle ne peut supporter les froidures de l'hiver qui est dur pour tous, de la petite chenille au grand babouin en passant par les stars de cinéma. Blessé, frustré et surtout terrorisé par le corps blanc, flasque et cireux couvert de moisissure et de champignons qui venait de l'attaquer. De plus, quand il effleura par accident les cheveux de l'immonde, il sentit le gras se déposer sur ses mains et laissa échapper un cri de dégoût.
Notes de l'auteure écrites par une personne à qui je les dicte : J'aimerais remercier Dieu, ma mère pour m'avoir aidé à écrire des slash fics par son pouvoir de persuasion, Marie-Jade pour m'avoir appris a faire « Nye! », au Nain pour être si Nain (note du nain : pour lui avoir fait découvrir les slash fics), à l'Elfe pour ses complots maléfiques m'ayant inspiré cette slash fic et à moi-même pour avoir écrit ma première slash fic aujourd'hui, le 23 avril 2004, dans la demeure du nain, 15 minutes après que le Canadien ait été écrasé sauvagement par les mecs super hot de Tampa Bay (yay! Vive le Lightning).
Chapitre 1
Quatre jeunes amis se promenaient dans la salle commune des Gryffondors. Ils se nommaient : James Potter, Sirius Black, Remus Lupin et Peter Pettigrow. James Potter était d'une nature moqueuse, cruelle et sanguinaire, bref, personne, excepté ses amis, ne l'aimait. Sirius Black suivait James dans toutes ses facéties et ne se préoccupait guère des conséquences de ses actes. Remus Lupin les suivait : il était la raison du groupe. Peter Pettigrow, lui, les suivait en criant « Nye neuf neuf nye nye nye nyeuf ». L'histoire va nous porter vers Remus.
En observant le corps fier, la mâchoire virile et le menton volontaire de son compagnon Sirius, Remus sentit son cœur palpiter. Mais ce n'était pas pour lui. Il détourna le regard, complètement attristé. Une larme coula sur sa joue droite en un parcours parfait et puis alla s'écraser sur sa robe de sorcier. Sirius semblait avoir remarqué le malaise passager de son ami Remus, mais n'en fit pas de cas, comme pour cacher sa sensibilité. Remus feignit une faiblesse et se dirigea vers le dortoir. Ce que tout le monde ignorait, c'est qu'il était partit dans le but de fouiller dans le journal intime de son futur amour dans l'espoir de découvrir quelque chose qui lui ferait vivre autre chose qu'un amour à sens unique.
Il observa que le cahier en question était rose, preuve que Sirius n'était pas complètement dépourvu de sentiments. Le cadenas était fermé à clé mais Remus murmura tendrement, comme il le ferait lorsqu'il parle à Sirius, « alohomorum » , version antique de alohomora. Les pages étaient couvertes d'une écriture fleurie et Remus eut seulement le temps de distinguer « Mumus », « grille-pain » et « j'aime » avant que Frank Londubat n'entre dans la salle. Il cacha le cahier sous son oreiller après l'avoir serré contre son cœur et reniflé avec tout l'amour que son cœur pouvait contenir. Londubat avait l'air éberlué, comme à son habitude, et ils engagèrent une conversation sur la façon dont le pauvre garçon s'était fait persécuter par leur professeur de Potions, l'infâme Daniel Pewras. Frank ferma les rideaux de son lit à baldaquin en parlant à son cactus, Corneliu.
Remus était désolé de voir l'un de ses meilleurs amis réduit à cette condition, mais lui-même souffrait tellement qu'il n'avait pas le temps de s'apitoyer sur le sort des autres. Avec un sortilège de Disparition, il fit revenir le journal de son futur amant à sa place respective. En regardant une araignée tisser sa toile tel un oiseau qui construit son nid, Remus pensait, visualisait, il se voyait déjà dans les bras de Sirius en lui mordillant le lobe d'oreille auquel il susurrait des mots doux...
Sentant son cœur tout pimpant de joie, il mit fin à ce fantasme qu'il souhaitait être réalité en partant rejoindre ses amis et le beau Sirius. Il ne pu s'empêcher d'observer que Sirius avait des fesses fermes et parfaitement désirables. Pendant un instant, il eut l'impression que son futur complice le regardait avec envie, puis il lui sembla qu'il lui faisait un clin d'œil, mais ce n'était peut-être que des hallucinations.
Avant de partir dans la Grande Salle pour dîner, Remus tenta et réussit à effleurer la main poilue aux doigts effilés de Sirius avec qui il échangea encore un regard. La conversation semblait tendue à l'heure du repas, mais Peter et James ne le remarquaient pas et plaisantaient comme de gais lurons. Notre fragile héros demande à Sirius de lui passer le plat de pommes de terre, mais celui-ci rougit en entendant prononcer son nom par la voix un tantinet rauque de Lupin. Plus tard, ils plongèrent ensemble la main dans un plat de croustilles. Le contact était alors vraiment intense, ils se prirent la main et se levèrent, mais en voyant que tout le monde les regardait d'un air hébété, ils se rassirent, rouges et confus. Un regard de feu et d'éclair de la part de Severus Rogue à la table des Serpentards avait refroidi leurs ardeurs. Ils se quittèrent à regrets lorsque les élèves commencèrent à regagner leurs dortoirs respectifs.
James voulait aller aux toilettes alors ses compagnons le suivirent mais Remus était tellement ébranlé par la mésaventure du précédent repas qu'il préféra aller méditer près du lac au calmar nommé Squid. Il zigzagua en essayant d'atteindre son but mais une forme noire se jeta sur lui. Il pensa : « Ah, je n'aurais jamais du m'aventurer seul dans le noir. » lorsqu'il s'aperçut que c'était Severus Rogue qui essayait de le violer! Se débattant avec la force du désespoir, un cri sortit de ses lèvres entrouvertes pour déchirer le silence de la nuit. « SIRIUSSSSSSS!!! »
Mais c'était trop tard. La virginité de Remus s'était envolée comme un oiseau à la fin de l'été cherchant désespérément la chaleur, qui elle ne peut supporter les froidures de l'hiver qui est dur pour tous, de la petite chenille au grand babouin en passant par les stars de cinéma. Blessé, frustré et surtout terrorisé par le corps blanc, flasque et cireux couvert de moisissure et de champignons qui venait de l'attaquer. De plus, quand il effleura par accident les cheveux de l'immonde, il sentit le gras se déposer sur ses mains et laissa échapper un cri de dégoût.
