Suite au reviews, j'ai repris ma fiction pour corriger les fautes que ma correctrice avait sûrement oubliées.
Oui j'écris une « Mary-sue », j'avais oublié de le préciser, c'est fait maintenant. Si ma fiction ne vous plaît pas, je ne vous force pas à la lire mais ne vous moquez pas car même si je n'aime pas ce que les autres écrivent je ne leur fait pas savoir de façon cynique.
A bon entendeur salut !
P-S : comme vous pourrez le voir j'ai pris note de vos corrections.
Je tenais aussi à préciser que Cassidy est son nom chez les hommes et son nom elfique est Annarë.
Prologue :
- Pourquoi ne pourrais je pas aller les aider ! Hein POURQUOI ? criais je à mes parents qui ne voulaient pas me laisser libre de mes choix.
- Cassidy, tu es trop jeune et je ne veux pas perdre mon unique fille. Dit mon père lassé de m'entendre hurler.
Je partais furieuse en claquant la porte ! Capricieuse vous dites vous nan ... Ah mais j'y pense je ne me suis même pas présenté ! Alors moi c'est Cassidy, je suis une vala plus précisement la fille du roi et de la reine des Valars.
Pourquoi tout se raffut ? Je vais vous le dire : je souhaite aller aider la compagnie de Thorin écu-de-chêne qui est composée de 13 nains, 1 hobbit et de Mithrandir ( enfin plus connu sous le nom de Gandalf le gris ^^), mais malheureusement pour moi mes parents me prennent pour une enfant.
Oh et puis zut après tout je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas y aller. J'allais donc préparer mon sac en ne prenant que le strict nécessaire pour le voyage.
Puis je partais voir Vaïre, elle est la maitresse du temps et de l'espace, arrivée dans sa demeure je la trouvais assise à regarder le crépuscule.
- Cassidy je t'attendais mon enfant ... me dit elle sans se retourner.
- Comment ?
- Je savais que tu viendrais c'est ta destinée mais n'oublie pas une fois partie tu ne pourras revenir que par tes propres moyens... tout en disant cela elle s'était approchée de moi... alors tu es sûr de vouloir partir ?
- Oui comme tu l'a dis c'est ma destinée et puis je n'ai jamais vu de dragon ! Lui fis-je remarquer en souriant.
Je pris donc place devant elle tout en fermant les yeux, je sentis le sol tremblé et tout tourné autour de moi puis plus rien. Je me sentis vide comme aspirée et ensuite se fut le néant total...
