avant-propos : Cette fanfiction m'a été inspirée par l'Essai sur les Poufsouffles de Adieue quî est simplement brillant, je vous enjoint à le lire. Cette histoire n'est pas l'histoire d'un élève, c'est l'histoire de Hogwart, c'est l'histoire d'une génération. Elle contiendra des références à certaines de mes autres fanfictions et a pour objectif de montrer la population poudlardienne dans son ensemble : les conflits entre les maisons mais également les amitiés, les amourettes, les passions, les drames, les fêtes, le quidditch, les rumeurs... J'envisage d'étendre ma fiction entre la premiere et la sixième année de Harry à Hogwart. Je me concentre peu sur les Gryffondors qui sont déjà surexploités par J.K.R. et je me permet la création que quelques O.C. afin de repeupler les autres années et les autres maisons.
Note d'auteur : merci à tout ceux qui lisent cette histoire, j'espere qu'elle vous plaira, prenez le temps de reviewer afin de m'aider à m'ameliorer, merci encore et bonne lecture !
Le festin de bienvenue était un rituel très apprécié à Hogwarts, on ne le raterai pour rien au monde. C'était le premier repas de l'année, accompagné de la présentation des nouveaux enseignants et, surtout, de la répartition des premières années. La répartition était lieu de grandes réjouissances et, à la table des Aigles, on lançait paris et pronostiques pour savoir quelle maison recevrai le plus de nouveaux cette année. Les Lions se racontaient leurs vacances en dégustant le repas, insistant sur tel pays incroyable ou tel sport où ils avaient excellé. Les aînés des Serpents discutaient des cours de la bourse et des dernières réformes politiques, quand les plus jeunes se chamaillaient joyeusement. À la table des blaireaux, le bruit des mastications résonnait dans un silence presque religieux, parfois entrecoupé de plaisanteries graveleuses.
Soudain, les portes s'ouvrirent en grand, laissant paraître une quarantaine d'enfants terrorisés, tétanisés et émerveillés tout à la fois. Certains scrutèrent l'horizon à la recherche d'un être familier, il en fut ainsi pour un jeune garçon brun qui fit de grands signes vers la table des aigles, et s'arrêta, dépité, face au manque de réaction de son aînée. Le professeur McGonnagal, fièrement dressée, arborant son éternel chignon serré et sa robe émeraude, déroula un parchemin vieillie et débuta l'appelle.
La première appelé à Pouffsoufle, une certaine Susan Bones, fut accueillie à grand cris sous les regards exaspérés des autres maisons. Les blaireaux n'avaient aucune tenue. Force fut pourtant de constater que les Gryffondors agirent pareillement pour chacun des leurs, avec peut être un peu plus de sauvagerie encore, sous les regards toujours réprobateurs des serpentard et serdaigle, qui applaudirent leurs recrues avec décence. Les blaireaux firent une ovation des plus spectaculaires a la jeune Smith, héritière de leur fondatrice, et les serpentards saluèrent bien bas Drago Malfoy et Theodore Nott, deux illustres héritiers de bonnes familles. Cependant, nul n'y fit plus attention lorsque le célèbre Harry Potter fut reparti chez les lions. Serpents et blaireaux se renfrognèrent. Les aigles quand à eux parièrent le temps que mettrait le fameux gamin à s'acclimater a Hogwart, puisqu'il semblait évident qu'il n'avait pas grandit dans le monde sorcier.
Les Gryffondors furent les plus bruyants cette année-ci, exhibant leurs nouveaux membres avec arrogance, et on sentait l'exaspération croître au sein des trois autres maisons. Lorsque sonna la fin du banquet, les blaireaux furent les premiers à déserter la place, rapidement suivis par les aigles. Serpentard et Gryffondores avaient toujours été les plus heureux de se montrer en spectacle mais un regard du professeure Snape sembla les dissuader de mener une esclandre. Ils suivirent les préfets aux dortoirs.
Serdaigle
Quelques discutions se continuèrent dans les couloirs, tandis que la plupart des premières années, tentaient de trouver leurs repèrent et notaient tout ce qu'ils pouvaient sur chaque couloir traversé. Le préfet, Robert Hilliard, un garçon grand, brun et bien en chair, conduisit les élèves de la maison bleu et bronze à travers un long couloir zigzagant. En réalité, la plupart des élèves d'années supérieures ne suivaient pas réellement le préfet, nombre d'entre eux le précédaient avec enthousiasme. Ils s'arrêtèrent finalement devant une grande porte au heurtoir de bronze représentant un aigle. Les premières années se pressèrent, sous le regard amusé de leurs aînés, et plusieurs sursautèrent lorsqu'un voix s'éleva de nul part :
Lorsqu'on me prononce, on me brise »
Cho Chang, une ravissante deuxième année au teint de pêche et aux yeux noirs soupira devant l'évidence d'une telle devinette. Cependant nul ne dit mot, et les regards convergèrent vers les petits nouveaux. Ceux ci ne pipaient mot, jetant des coups d'oeil interrogateurs autour d'eux.
«Je vous en pris, s'insurgea Roger Davis, c'est une évidence ! Finissons en, j'ai un nouveau bestiaire qu'il me tarde de lire. »
Timidement, un petit brun a l'allure efféminé s'avança et murmura une réponse à peine audible. Et cependant la porte s'ouvrit d'un coup, laissant voir une grande salle au plafond céleste et aux murs marbrés. Face à la porte, une grande alcôve dont le murs exposaient d'anciens grimoire mettait en valeur la statue de Rowena Serdaigle. Sofa fauteuils et tables d'études s'étalaient avec harmonie de part et d'autre de la moquette cyan et un piano à queue trônait près des portes de dortoirs. Les grandes fenêtres faisaient penser, pour la petite Lisa Turpin, à celles d'une églises gothique, si ce n'est qu'elles disposaient de banquettes -Lisa s'imaginait déjà lire assise confortablement à la fenêtre, éclairée par le claire de lune.
Tandis que les premières années hésitaient à rentrer, leurs aînés les encouragèrent à prendre place sans gêne. Les uns s'installaient sur les sofas pour se parler des vacances achevées, les autres lisaient un livre, assis dans un fauteuil ou allongés sur l'épaisse moquette. Le préfet, Roberts, se mis à jouer du piano avec un talent rare, plongeant la pièce dans une atmosphère paisible et presque surréaliste. Petit à petit, les jeunes aiglons pénétrèrent la salle commune, découvrant leur nouvelle maison. L'ambiance studieuse les intimidait, mais la soif de nouvelles connaissances était plus forte que tout. D'ailleurs, un petit groupe s'était formé autour du brun qui avait osé parlé :
«Qu'as tu répondu ? Questionnait avidement une indienne aux grands yeux noirs, c'était le silence n'est ce pas ? Tu la connaissais ?
«Bien sûr que c'était cela Padma ! Répondit vivement Anthony Goldstein, Mais aura-t-on une énigme différente la prochaine fois ?
«Je ne pense pas. Fit honnêtement une jeune fille blonde, ce ne serait vraiment pas commode.
«Au contraire, c'est bien plus sur ! Les autres élèves ne pourront pas, ainsi, apprendre la réponse par cœur. »
Les discutions ne s'achevèrent que tard dans la nuit, alors qu'ils étaient trop exténués pour se soucier de choisir un lit, prenant le premier qui n'était pas occupé. Et ainsi ils sombrèrent dans un sommeil salvateur et sans rêves.
Serpentard
Les préfets semblaient si désintéressés des nouvelles recrues que ce fut à Marcus Flint, un sixième année au visage disgracieux, de les guider. Ses quelques plaisanteries sur les professeurs ne furent pas de trop pour rassurer les enfants, intimidés par l'allure terrifiante des cachots où ils se dirigeaient. Il fit quelques haltes improvisés devant tel tableau particulièrement sympathique ou telle salle désaffectée "agréable pour les rencontres amoureuses tardives" au grand damne de certains de ses camarades qui jugeaient cela très inconvenant. Lorsque qu'ils arrivèrent, les escales les ayants ralentis, la porte de la salle commune était grande ouverte. Pansy Parkinson, une jeune fille assez grande au nez retroussé et aux cheveux teints, s'émerveilla sans retenue devant la vue : les fenêtres étaient en réalités des hublots donnant sur les profondeurs du lac, ce qui baignait la pièce dans une étrange ambiance aquatique. Le plafond était bas, le sol pierreux recouvert seulement par endroits de tapis et les lampes rondes accentuaient l'idée de profondeur sous-marine. les fauteuil vert foncés semblaient incroyablement moelleux, ainsi Drago Malfoy s'y précipita-t-il sans autre forme de procès, sous le regard amusé de ses amis Crabbe et Goyle.
D'autres étudiants semblaient plus hésitants, tel fut le cas d'une en une fille du nom de Tracey Davis. Lorsqu'on l'interrogea sur son possible lien de parenté avec le joueur de Serdaigle Roger Davis elle du, piteuse, admettre qu'elle était une née moldu. Cette révélation fit grimacer Drago, et quelques aînés, mais la gentille Milicent Bullstrod menaça de mordre quiconque lui ferait du mal et l'entraina avec elle dans leur nouveau dortoirs «J'ai un fard a paupière qui t'irait a merveille ! »
Cette déclaration avait fait briller les yeux de la sublime Daphné Greengrace, qui les avait rapidement suivies, au grand damne d'un garçon métisse qui alors la couvait des yeux.
Cette agitation avait détendu l'atmosphère, et chacun trouvait rapidement ses marques. Un groupe de cinquième année se donna pour mission d'informer les élèves restants dans la salle commune sur leurs emplois du temps, le mot de passe, et tout ce qui leur venait à l'esprit.
Drago tenta maladroitement de se mêler à une discutions politique, mais se rendus vite compte que les quelques données qu'il avait acquises de son père étaient bien insuffisantes. Dépité, il retourna s'amuser avec Vincent, Gregory et quelques deuxième années.
Les conversations allaient bon train, les parties d'échec passionnantes s'enchainaient aux virulentes parties de batailles explosives et les rires résonnaient dans la salle commune. C'était une ambiance bonne enfant, observée avec bienveillance par les aînés, qui déposèrent finalement leurs journaux pour se mêler à un jeu d'action vérité qu'avait lancé une quatrième année. La soirée se finit tôt, et chacun retourna à son dortoir avec le sourire, parfois accompagné d'un soupire amusé et d'un petit roulement d'yeux.
Les filles avaient depuis longtemps investi le dortoirs, mais ce fut une toute autre histoire pour les garçons, qui en vinrent presque aux mains avant de recourir à un autre stratagème : les plus riches choisiraient en premier. Cette solution avait semblé des plus légitimes, particulièrement à Drago et Théodore qui s'assuraient ainsi les meilleurs lits. Qu'elle ne fut leur surpris, et leur déconfiture, lorsque le jeune métisse, pas même certain d'être sang pur, se révéla de loin le plus fortuné. A cette révélation il leur fit un sourire moqueur et se vautra sur le lit qu'avait pris Théodore Nott pour cible, le jeune garçon filiforme décida à l'instant qu'il n'aimait pas, et n'apprécierait même jamais Blaise Zabini.
Les garçons finirent par se coucher, et, bercés par les bruits du lac, s'endormirent paisiblement.
Gryffondore
Percy, le préfet en chef, avançait rapidement dans les couloirs, n'oubliant pas d'indiquer au passage les salles de classes principales, les couloirs importants, la direction des cuisines et des cachots, le couloir interdit du deuxième étage, les escaliers particulièrement dangereux, les tableaux qui pouvaient renseigner sans trop de peine, ceux à qui il ne fallait pas s'adresser, le bureau du directeur... Il avait passé tout son temps à répéter mentalement la visite depuis qu'il avait appris être le préfet en chef. Il espérait, par cet exposé complet et studieux, faire oublier la sauvagerie et les manières rustres de certains de ses camarades.
Cependant les petits lionceaux se souciaient peu de cette visite guidée, fascinés par les fantômes, les armures, les immenses peintures et les bavardages de leurs aînés. Fred et George s'amusaient particulièrement à raconter toutes sortes de bêtises à un petit garçon joufflu. Harry Potter restait évidement le principal sujet de conversations. L'élu, le survivant, était à Gryffondore ! Et cela semblait bien plus important que le nombre de salles de sortilèges, au grand damne du préfet. Seule une née moldu aux cheveux touffus prêtait attention à ce qu'il disait, si bien que Percy Weasley était mortifié.
Lorsqu'ils arrivèrent enfin à la tour de Gryffondore, la Grosse Dame était là. Pareille à son habitude, prête à chanter. Et il fallu tout les efforts des lions pour qu'elle leur ouvre la porte sans trop de spectacle, au soulagement de tous.
Les nouveaux étudiants étaient agréablement surpris par les tons chaud de la salle commune, la tapisserie recouvrant les murs, la cheminée au feu déjà flamboyant et les fauteuil cramoisies qui les appelaient à se vautrer dedans.
Un jeune garçon blond ne se fit pas prier pour remarquer que la pièce n'avait rien de tellement magique, et qu'on était en droit d'attendre mieux d'une école de sorcellerie, il fut rabroué par une blonde aux cheveux savamment et très artificiellement bouclés :
«Mais tu t'attendais à quoi ? C'est une école, pas un parc d'attractions. »
Le préfet se pinça l'arrête du nez et désigna rapidement les dortoirs pour en finir avec sa mission. Il regagna alors son lit avec soulagement, impatient de se replonger dans ses livres de cours tandis que ses camarades feraient la fête. Ou pas, peu importait.
Contre toute attente les premières années voulurent rapidement aller dormir, leurs aînés firent une moue déçue et leur souhaitèrent une bonne nuit avant de continuer leurs bruyants bavardages. Une jeune femme de l'équipe de quidditch ouvrit un paquet de marshmallow pour célébrer une nouvelle année, les jumeaux Weasley décidèrent d'en jeter sur leur capitaine, Olivier Dubois, et une bataille de guimauve, de coussins, et bien d'autres objets non identifiés se déchaîna dans la salle commune.
Dans le dortoirs des filles de première année, la petite aux cheveux touffus fut la seule a ne pas participer à une passionnante conversation sur les garçons des différentes maisons qu'elles avaient ou apercevoir. Conversation entrecoupée de gloussements et de regards complices. Chez les garçons on s'installa confortablement sur les lits a baldaquins, rideaux ouverts en grands, pour parler sport et angoisses de début d'année autour d'un paquet de chocogrenouilles. L'entente était plus que cordiale et le sommeil les gagna doucement, un par un, sans qu'ils s'en rendent compte.
Poufsouffle
La Préfète trainait derrière les autres membres de la maison, accompagnée de premières années qui s'impatientaient. Elle était particulièrement posée, répondant à toutes les questions en prenant son temps... Et alors qu'ils allaient bifurquer vers les sous-sols elle décida soudainement de faire un détour, sans qu'ils ne semble y avoir de raison.
«On va où ? S'angoissa un garçon blond assez joufflu, qui ne voulait absolument pas aller a l'encontre du règlement intérieur -déjà qu'il était chez les blaireaux, ce serait un comble d'être renvoyé.
«Ne te fait pas un sang d'encre, t'es avec moi, tu n'as rien à craindre. » lui répondit la préfète dans un sourire chaleureux. Le petit garçon rougis jusqu'a la racine des cheveux, ce qui fit glousser la rousse Hannah Abbot.
Enfin après un long moment, où ils montaient toujours plus haut, les enfants commencèrent à s'inquiéter. Plusieurs d'entre eux avaient pourtant assurés que la salle commune se trouvait près des cuisines, et on avait depuis longtemps perdu de vue les élèves plus âgés. C'est au milieu des jérémiades et des protestations plus ou moins timides que la préfète s'arrêta finalement et ouvrit une grande porte marqué d'une étoile : le spectacle leur coupa le souffle. Les astres brillaient d'une force inimaginable, le vent soufflait sur la forêt interdite et les nuages bleu-gris se mouvaient lentement dans le ciel nocturne, prenant multiples formes. Quelques chouettes et chauve-souris étaient partis en chasse, le bruissement des arbres imitait le mouvement des vagues sur une mer émeraude et de grands groupements de lucioles voletaient en chœur, faisant scintiller la surface noire du lac.
«Bienvenus... à Hogwarts. »
Les yeux des jeunes blaireaux brillaient d'émerveillement, jamais aucun d'eux n'avait contemplé pareil spectacle. Susan Bones alla s'assoir tout au bord de la tour d'astronomie, laissant ses jambes balancer dans le vide. Ernie Macmillam, le petit garçon joufflu, était pétrifié par le spectacle, hypnotisé par la voute céleste. Ils restèrent tous ainsi un long moment, alors que le vent les décoiffait et que le froid les mordait, avant que la préfète n'intervienne.
«Il est temps de retourner à la salle commune, le couvre feu va bientôt tomber. »
Le retour se fit dans un silence religieux, les enfants encore imprégnés de la magie de ce spectacle sans précédant. Ils descendirent vers les cuisines et s'arrêtèrent devant d'énormes tonneaux. La jeune femme les regarda cette fois sévèrement.
«Retenez bien sur quel tonneau je frappe, et le rythme. Il vous est strictement interdit de révéler le moyen d'entrer à qui que ce soit qui ne fasse pas parti de la maison, c'est bien clair ? Les sanctions à l'encontre de qui oubliera cette règles ne peuvent même pas être prononcées à voix haute. » plusieurs déglutitions résonnèrent contre la voûte du plafond, puis lorsque le silence se fit elle frappa neuf coups sur un rythme rapide. Alors le tonneau s'ouvrit tel une porte, tournant sur des gonds que jusque là personne n'avait vue.
A l'intérieur, les poufsouffles célébraient.
Le lieu semblait chaleureux, douillet, à l'image de ce que Justin Finch-Fletchey se faisait d'un trou de hobbit. Hannah était ravie par la présence de plantes éparses et Ernie se demandait surtout dans quelles circonstances ce lieu pouvait être un endroit d'études. Des chansons paillardes résonnaient dans toute la pièce, l'alcool coulait à flot chez les aînés et leurs cadets partageaient des cigarettes accommodées de racine de mandragore en poudre. Une ronde s'était formée au centre de la salle, qui faisait penser à celles des nymphes et des satyres autour du musicien. D'ailleurs, au milieu de ce cercle Cédric Diggory et Gabriel Truman jouaient de la flûte de pan, vêtus de toges violettes et coiffés de vignes tel deux Dyonisos. Les petits nouveaux hésitaient entre stupeur et hilarité devant cette fête qui semblait improvisée en doute spontanéité et regrettait plus une envie de s'amuser qu'une quelconque dépravation. Les réjouissances continuèrent jusqu'a tard le soir, on chanta de nombreuses fois l'hymne de Poufsouffle et plusieurs élèves gouttèrent pour la première fois le vin ou la bierreaubeure.
Lorsque le soleil se leva tous n'avaient pas rejoins leurs dortoirs... La première journée de cours s'annonçait ardue, mais plus un des nouveaux ne regrettait d'avoir été reparti chez les noirs et jaunes. Leur maison possedait l'essence de Hogwarts, et ils en étaient fiers.
