Kiloukou tout le monde !
Et oui c'est bien moi !
Je voulais vous faire un OS spécial pour mon retour mais j'ai rarement pu faire court. Donc cet OS sera une mini fic.
Je viens juste de l'écrire, j'étais en manque je crois. Je vais finir mes anciennes fics naturellement mais il faut que je me remette dans le bain avant.
Et malheureusement pour vous, je ne pense pas que ma grammaire se soit arrangée avec mon absence et je n'ai hélas plus de béta. Donc un peu d'indulgence s'il vous plaît !
Puis si vous me connaissez, vous savez déjà de quoi regorgera cet mini fic.
Alors bonne lecture.
- TOOOONNNYYYYY !
Le cri persan de Ziva retentit dans l'open-space faisant retourner tous ceux qui s'y trouvaient.
Pendant ce temps, à la morgue.
- Allez Jimmy, c'est une question de vie ou de mort.
- Je ne sais pas Tony. Si le docteur Mallard apprend qu'on utilise le matériel . . .
- Quel matériel ? On ne touche à rien. Je me glisse dedans, tu refermes derrière moi, je reste le temps qu'elle se calme, je ressors et ni vu, ni connu. Ducky n'en sera rien. Allez s'te plaît !
- Oh Tony, je ne sais pas. Imagine qu'elle apprend que je t'ai aidé, c'est moi qui me retrouvera à ta place.
Tony plaça chacune de ses mains sur les épaules du jeune assistant pour avoir toute son attention.
- Jimmy, mon pote, mon poteau. On est copain non ?
- Moui . . .
- Tu m'as aidé dans le passé sur mes enquêtes ?
- Oui mais . . .
- Alors qu'est-ce qui a changé ? Tu ne veux plus être mon second, mon informateur, mon coéquipier ?
- Oh Tony !
Tony le regarda de son air de chat botté et cela marcha.
- Bon d'accord, d'accord, mais si le docteur Ma . . .
- Il n'en sera rien.
- Allez dépêche-toi alors.
- T'es super Jiminy Cricket.
Et c'est ainsi que Tony s'allongea sur une table coulissante d'un frigo et que Palmer commença à le pousser.
Mais Tony l'arrêta en l'attrapant par la manche.
- On peut respirer la dedans ! N'est-ce pas ?
- Bah normalement ceux qui vont dedans ne respire plus depuis longtemps, donc . . .
- Jimmy !
- Tu es tranquilles pour quinze minutes mais pas plus.
- Ok alors on y va.
Palmer poussa la table, referma la porte du compartiment et pile poil à ce moment-là, Ziva entra dans la salle d'autopsie.
- Où est-il ?
Jimmy sursauta en entendant la voix énervée de l'israélienne mais ce mit rire en la voyant.
- Ce n'est pas drôle Palmer ! Où est-il ?
- Désolé Ziva, c'est . . . c'est vraiment . . . Et se remit à rire, l'obligeant à enlever ses lunettes pour essuyer ses yeux humides.
Ziva s'avança dangereusement de lui et lui dit froidement.
- CE N'EST PAS DROLE !
Tout de suite Jimmy se calma en voyant la lueur meurtrière dans le regard de la jeune femme et remit ses lunettes.
- Désolé.
- Où est-il ?
- Qui ?
- Tony !
- Tony ?
- Oui.
- C'est lui qui a fait ça ?
- Ça veut dire que tu sais où il est ?
- Oui, non.
- Oui ?
- Non.
- Sûr ?
- De ?
- Où ?
- Je ne sais pas où il est.
- Ecoute ! Je te promets que si tu me dis où il est, je ne le ferais pas souffrir, du moins pas autant que ce que j'avais prévu au départ.
- Mais je ne sais pas où il est, j't'assure. Et à mon avis, il est bien caché. T'as essayé d'aller voir Abby ?
- Tu me le dirais si tu savais où il est ?
- Oui bien sûr, pourquoi je ne te le dirais pas ?
Ziva regarda droit dans les yeux de l'assistant examinant le moindre mensonge, mais y vit de la peur.
Satisfaite, et sans plus un mot, elle s'en alla et y croisa le duo Ducky , Gibbs à la porte. Elle leur fit un signe de main de ne pas poser de question et s'engouffra dans l'ascenseur.
Ducky et Gibbs secouèrent alors la tête, amusés et désespérés.
- Tu sais Jethro, tu devrais vraiment leur trouver une occupation qui les tiennes quand il n'y a pas d'enquête. Je pleins le pauvre Anthony quand elle va le trouver.
Gibbs se contenta de sourire et virent tous les deux Palmer se trémousser.
- Quelque chose ne va pas Monsieur Palmer ?
- Euh non, non.
- Bien, alors veuillez aller me chercher les résultats du test ADN au laboratoire d'Abigaël, ça lui évitera un aller-retour.
Jimmy regarda sa montre. Encore dix minutes avant que Tony ne manque d'air. Avec un peu de chance Abby ne le retiendrait pas, puis Gibbs et Ducky ne seront plus là à son retour. Oui il avait le temps de faire le voyage. De toute façon c'était soit ça, soit dire que Tony . . . non, il avait le temps.
- Monsieur Palmer ?
- Oui, oui pas de problème, j'y vais.
Puis sortit de la morgue.
- C'est moi où ils sont tous bizarre aujourd'hui.
- Ils sont toujours bizarre Ducky.
- Oui tu as raison Jethro. Du thé ?
- Avec plaisir.
Les quelques minutes agréables dans lequel il était enfermé dans un huit clos, pour sa sécurité, se transformèrent vite en un endroit étroit, sombre et étouffant pour Tony.
Il regarda sa montre dont les aiguilles s'illuminaient dans la nuit.
Treize minutes.
Cela faisait déjà treize minutes qu'il était dans ce frigo pour mort.
- Bon sang qu'est-ce tu fou Jimmy ? Eh oh y a quelqu'un ? . . . Nan allez c'n'est plus drôle ! Jimmy ! Ziva si t'es là, je m'excuse . . . C'est bon j'ai compris la leçon. Allez ce n'est plus drôle maintenant.
Tony commença à paniquer. Il savait que les portes étaient hermétiques et sûrement même trop épaisses pour qu'on entende quoique ce soit de l'extérieur. Mais l'effet de panique l'envahie et commença à frapper sur la porte.
- Jimmy, allez, . . . ouvre maintenant. JIMMY !
Alors ça va je n'ai pas trop perdu la main ? Moi j'avoue que mon écriture est moins fluide, mais bon dîtes moi ce que vous en pensez!
